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La question du texte littéraire au coeur du dialogue entre Gadamer et Derrida

Ombasic, Maya January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Chaque fois unique, la fin du monde : figures et apories du deuil selon Jacques Derrida

St-Louis Savoie, Marie-Joëlle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Heidegger et la déconstruction de la métaphysique / Heidegger's deconstruction of metaphysics

Shimabukuro, Felipe 09 November 2018 (has links)
Le but du présent travail est de proposer une interprétation du concept de déconstruction chez Heidegger. Notre interprétation repose sur trois thèses : 1) La déconstruction est l’un des trois éléments de la méthode phénoménologique de Heidegger avec la réduction et la construction, ces trois éléments étant indissociables les uns des autres. 2) Ces trois éléments nous permettent de comprendre la stratégie la plus générale de constitution de la pensée de Heidegger. 3) La déconstruction de la métaphysique est la version heideggérienne de la critique de la raison. Dans la première partie, la réduction est définie comme une opération de remise en question des présupposés naturalisés de la pensée, le présupposé qui fait l’objet de la réduction de Heidegger étant le concept métaphysique d’être. Dans la deuxième partie, la construction est définie comme une généalogie des présupposés naturalisés de toute l’histoire de la métaphysique. La construction nous permet de dégager deux définitions de la métaphysique chez Heidegger : 1) En tant que compréhension hégémonique et normative des concepts fondamentaux de l’Occident : être, vérité, pensée, langage et homme. 2) En tant qu’onto-théologie. Dans la troisième et dernière partie, la déconstruction est définie comme une double opération. D’une part, l’opération négative de circonscription des limites de la métaphysique, d’autre part, l’opération positive consistant dans la proposition d’une nouvelle manière de penser les concepts fondamentaux de la métaphysique. / The aim of this work is to propose an interpretation of Heidegger’s concept of deconstruction. Our interpretation is based on three thesis: 1) the deconstruction is one of the three elements of Heidegger’s phenomenological method with the reduction and the construction, these three elements being indissociable from each other. 2) These three elements allow us to understand the most general strategy of Heidegger’s thought constitution. 3) The deconstruction of metaphysics is the heideggerian version of the critique of reason. In the first part, the reduction is defined as an operation of questioning the naturalized presuppositions of thought, the metaphysical concept of being is the naturalized presupposition which is the object of Heidegger’s reduction. In the second part, the construction is defined as a genealogy of the naturalized presuppositions of the whole history of metaphysics. The construction allows us to identify two definitions of metaphysics in Heidegger’s thought: 1) as an hegemonic and normative understanding of the basic concepts of the West: being, truth, thought, language and man. 2) As an onto-theology. In the third and last part, the deconstruction is defined as a double operation. On the one hand, the negative operation of circumscription of metaphysics’ limits, on the other hand, the positive operation which consists in the proposition of a new way of thinking the basic concepts of metaphysics.
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Constructions de déconstructions

Flores Ramirez, Melvin 21 December 2021 (has links)
La déconstruction est une notion très présente dans nos recherches à la maîtrise. Nous décortiquons une idée en observant comment il nous est possible de la fragmenter et, par la suite, nous structurons nos actions conceptuelles et plastiques. Aussi, l'évolution du processus de création nous aide à supprimer des artifices qui gravitent autour d'un sujet d'exploration, faisant en sorte de clarifier nos intentions sur ce sujet. L'appropriation d'un objet et ses caractéristiques intrinsèques sont détournées, pour ainsi donner des perspectives alternatives et alimenter une nouvelle composition dans la recherche. Également, nous avons expérimenté l'insertion ou l'immersion du regardeur dans un ensemble sculptural. Pareillement, nous avons intégré des disciplines telles que la photographie, le son et la vidéo, offrant ainsi une projection et des questionnements inédits à notre travail actuel, autrement formel. Enfin, la multidisciplinarité artistique manifeste un élan de création qui tente de proposer une expérience sensorielle complète.
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La délégation du récit et la violence symbolique en architecture : en marge de Jacques Derrida et de Chora L Works : une contribution (mineure) à un balisage historique pour la déconstruction architecturale

Marquis, Jean-François. 18 April 2018 (has links)
Bien que la mouvance architecturale dénommée «déconstruction» ait fait l'objet de multiple traitement, les conditions formelles révélant comment divers projets hétérogènes se sont confrontés, doivent encore être éclaircies. Ce travail de recherche veut circonscrire le fonds commun à partir duquel récit, narration, histoire, archive, droit, et patrimoine, peuvent se nouer dans la forme construite, et s'y reposer en une configuration inédite. Les lignes de faille qui tendent les corps disciplinaires et qui participent, derrière des noms propres (Eisenman, Tschumi, Derrida), de divers projets conjoints et contradictoires, courent encore souterrainement au carrefour supposé entre quatre moments synchroniques, mais distincts : la conservation muséale, la théorie architecturale, le discours scientifique, et la philosophie. Or, dans la disputatio scolastique, la forme discursive admet justement la confrontation entre divers champs du savoir, et le dépassement des formes du pouvoir par la violence. La déconstruction se reconfigure alors dans l'appareil de la justice.
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Déconstruction instrumentale et déconstruction dimensionnelle dans le contexte de la géométrie dynamique tridimensionnelle

Mithalal, Joris 09 December 2010 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse porte sur le passage, dans l'enseignement secondaire, d'une géométrie du concret à une géométrie portant sur des objets idéaux. Nous montrons que des environnements de géométrie dynamique tridimensionnelle offrent des conditions favorables à ce passage, que nous détaillons. La réflexion théorique s'appuie sur la Théorie des situations didactiques (Brousseau, 1998) pour proposer des hypothèses quant aux conditions et mécanismes d'apprentissage. En outre, notre questionnement initial est interprété à l'aide de deux cadres principaux. Le point de vue épistémologique des paradigmes géométriques (Houdement et Kuzniak, 2006) permet d'identifier la référence à GII comme un objectif fondamental. L'approche cognitive de Duval (2005, 1994) montre qu'à cette fin, l'élève doit abandonner la visualisation iconique et s'appuyer sur déconstruction dimensionnelle pour l'interprétation et la résolution des problèmes de géométrie. La géométrie dynamique dans l'espace est envisagée comme moteur de cette double perspective, et la déconstruction instrumentale y joue un rôle clef. Ce rôle, ainsi que des hypothèses d'émergences de la déconstruction dimensionnelle, sont précisés par un important travail théorique s'appuyant sur le modèle cKc (Balacheff, 1995; Balacheff et Margolinas, 2005), ainsi que la mise en œuvre d'une ingénierie didactique. Celle-ci apporte une validation expérimentale de plusieurs plusieurs résultats, au nombre desquels : - la pertinence d'analyser l'activité géométrique simultanément en termes de visualisations, déconstructions, et paradigmes géométriques ; - l'intérêt de la géométrie dynamique dans l'espace pour déstabiliser la visualisation iconique ; - l'existence de deux déconstructions instrumentales, et leur rôle fondamental pour l'émergence de la déconstruction dimensionnelle ; - les interactions entre les différentes déconstructions, qui n'étaient pas établies dans les travaux antérieurs ; - la possibilité de produire des situations s'appuyant sur la géométrie dynamique dans l'espace favorisant l'émergence de la déconstruction dimensionnelle ; - l'intérêt du modèle cKc pour la modélisation et l'analyse des phénomènes observés.
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Virginia Woolf and the poetics of trauma narrative

Amara, Ahmed January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Derrida and metaphor : drawing out the relation between metaphor and proper meaning through différance

Brown, Matthew A. January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La déconstruction : une philosophie de l'à venir, entre phénoménologie et psychanalyse / Deconstruction : a philosophy of the ‟to come” between phenomenology and psychoanalysis

Lamy-Rested, Elise 19 September 2013 (has links)
Notre thèse se propose de montrer que la déconstruction peut être pensée comme le résultat de la jonction de l’intentionnalité husserlienne et de la compulsion de répétition freudienne. En repartant des premières lectures derridiennes de certains textes de Husserl, mais surtout de La voix et le phénomène (1967) vraisemblablement rédigée en même temps que « Freud et la scène de l’écriture » (conférence de 1966), nous y étudions comment Derrida unit la temporalité husserlienne et la temporalité freudienne : le Présent Vivant n’est pas essentiellement différent de l’ « après-coup » (Nachträglichkeit), de même que la répétition de l’idéalité n’est pas essentiellement différente d’une compulsion de répétition aveugle et mécanique.Cet étrange accouplement a selon nous donné naissance à toute la philosophie derridienne, même si celle-ci n’a par la suite cessé de s’enrichir et de se complexifier grâce à l’ « ex-appropriation » d’une / The present dissertation aims to show that deconstruction can be conceived of as resulting from the confluence of Husserl’s intentionality and Freud’s repetition compulsion. By going back to Derrida’s first readings of some of Husserl’s texts, but mostly back to Voice and Phenomenon (La voix et le phénomène, 1967), probably written concurrently with ‟Freud and the Scene of Writing” (‟Freud et la scène de l’écriture‟, lecture from 1966), I try to examine how Derrida brings the Husserlian and the Freudian temporalities together : the Living Present is not essentially different from the ‟après-coup” or deferred action (Nachträglichkeit), nor is the repetition of ideality essentially different from a blind mechanical repetition compulsion.Such uncanny coupling is, in my view, what gave birth to the Derridean philosophy as a whole, even if that philosophy did continue to get richer and more complex thanks to the ‟ex-appropriation” from many other authors, whether philosophers, poets, writers and so on.
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Crise de la symbolisation et Idéal du Moi dans la culture postmoderne : essai de psychanalyse pharmakologique / The Crisis of the Symbolization and the Ego Ideal in the postmodern Culture : essay of pharmakological psychoanalysis

Cueille, Julien 20 October 2018 (has links)
Le concept lyotardien de « postmodernité » désigne la crise actuelle, à savoir une crise des « méta-récits » organisateurs de la modernité, et de l’ordre social, épistémique et discursif qui en découle. Face à la tentative hégémonique actuelle de la biomédecine et du cognitivisme, qui proposent un nouveau mythe scientifique, celui du transhumanisme, et font le jeu d’un « bio-pouvoir » accru, une démarche alternative consisterait à faire converger les lectures « déconstructrices » qui, de la psychanalyse à la philosophie en passant par l'anthropologie, font droit à une approche en termes de « pharmakon », c’est-à-dire d’ambivalence du poison et du remède, entre Eros et Thanatos.La recherche des limites est la condition contemporaine de l'« individu incertain », éternel adolescent. On retrouve là la « nouvelle économie psychique » qui fait signe vers une figure clinique nouvelle, celle de l’ « état-limite » qui connaît de multiples avatars et résiste aux classifications.Nombre d’essais sur le « malaise » entremêlent clinique individuelle et spéculations sur la culture, à partir du concept-clé de « désymbolisation ». La carence de Loi et de Père symbolique semble toutefois une explication insuffisante, tout comme la lecture inverse qui pousse à la fuite en avant libertaire. Notre lecture de Lacan refuse de s’inscrire dans ce dualisme Anciens/Modernes, et met l’accent sur la catégorie d’Idéal du Moi et de « trait unaire » qui suggère un nouage du symbolique avec l’imaginaire, loin de les opposer. La symbolisation est donc un processus plus qu’un état, dans lequel le sujet se trouve confronté, dans l’ambivalence, à la question de ses limites. Il doit convertir le Moi idéal en Idéal du Moi.C’est ce à quoi s’emploient les mythes, qui étayent, tels des totems médiateurs, le travail de subjectivation, en engageant les sujets dans un processus identificatoire et « transfictionnel » qui produit des effets créatifs. A notre époque de désenchantement du monde, les mythes disponibles ne sont que de quasi-mythes « évasifs », sur fond de malaise et de mort de Dieu. Mais la littérature populaire, notamment celle qui s’adresse aux adolescents, comme certains récits de vampires, propose des « romans narcissiques », où l’Œdipe passe désormais au second plan. Elle revisite le personnage d’Hamlet.Paradoxalement, les figures des mystiques, adeptes des expériences-limites et imprégnés d’ambivalence, proches de Lacan par leur théologie « négative » de la kénose et leur parole « apophatique », qui cultive la perte, retrouvent également une actualité, ainsi que la figure de l’apôtre Paul, lue par Agamben. Sa christologie du Dieu faible, abaissé, soumis au manque, résonne comme une déconstruction. Elle ouvre à un « temps de la fin », « temps qui reste », qui suspend les identités, désamorce les pouvoirs et rend possible, peut-être, une « promesse » et une « foi » au sens de Derrida, dans une logique ambivalente du sacré où l’idéal voisine avec l’abject.Dès lors, la cure ne devrait-elle pas, en renonçant à une approche trop nosographique et trop centrée sur la castration symbolique, s’attacher à retrouver la trace féconde et vivifiante du trait unaire, c’est-à-dire laisser une place à l’imaginaire ? Ainsi l’analyse jouerait-elle le rôle d’une sorte de « chambre claire » : en laissant affleurer les « mythes ». C’est peut-être au prix du risque, celui de la chute, du « skandalon », que l’on peut espérer que le sujet se déprenne du Moi idéal et de ses pièges pour opérer un autre nouage, jamais prévisible ni assuré d’avance, et toujours au voisinage du « trou » : une nomination, un sinthome. / The Lyotardian concept of "postmodernity" refers to the current crisis, namely a crisis of the "meta-narratives" organizing modernity, and the resulting social, epistemic and discursive order. Faced with the current hegemonic attempt of biomedicine and cognitivism, which propose a new scientific myth, that of transhumanism, and play the game of an increased "bio-power", an alternative approach would be to converge "deconstructive" readings, who, from psychoanalysis to philosophy through a certain anthropology, are entitled to an approach in terms of "pharmakon", that is to say of ambivalence of the poison and the remedy, between Eros and Thanatos.The search for limits is the contemporary condition of the "uncertain individual", eternal adolescent. Here we find the "new psychic economy", making a sign towards a new clinical figure, that of the "borderline” patient, which knows multiple avatars and resists classifications.A number of essays on "discontent" intermingle individual clinical and cultural speculation, based on the key concept of "desymbolization". The lack of Law and the symbolic Father, however, seems an insufficient explanation, as does the reverse reading that leads to the libertarian headlong pursuit. Our reading of Lacan refuses to be part of this Old / Modern dualism, and focuses on the category of Ego Ideal and "unary trait" which suggests a knot of the symbolic with the imaginary, far from opposing them; it plays a vital role, allowing the symbolic to register. Symbolization is thus a process rather than a state, in which the subject is confronted, in ambivalence, with the question of its limits. He must convert the ideal Ego into the Ego Ideal.This is what myths allow to do, they are used to support, as mediating totems, the work of subjectivation, by engaging subjects in an identificatory and "transfictional" process that produces creative effects. In our era of “disenchantment of the world”, the available myths are only quasi-myths, "evasive" myths, against the background of discontent, and death of God. But popular literature, especially the one which is aimed at adolescents, like some vampire stories, offers "narcissistic romances", where Oedipus is now in the background. It revisits the character of Hamlet.Paradoxically, the figures of the mystics, adepts of limit-experiences and impregnated with ambivalence, close to Lacan by their "negative" theology of kenosis and their "apophatic" word, which cultivates loss, also find a new relevance, as well as the figure of the Apostle Paul, read by Agamben. His christology of the weak, depressed God, subject to lack, resonates like a deconstruction. It opens to a "time of the end", "time that remains", which suspends identities, defuses the powers and makes possible, perhaps, a "promise" and a "faith" in the sense of Derrida, in a ambivalent logic of the sacred where the Ideal is close to the abject.Therefore, should not the cure, by renouncing a too nosographic approach, and too much centered on the symbolic castration, endeavor to find the fruitful and invigorating trace of the unary trait, that is to say, to leave a place to the imaginary? Thus the analysis would play the role of a kind of "Camera Lucida": by letting out the "myths".But it is perhaps at the price of the risk, that of the fall, of the "skandalon", that one can hope that the subject is deprived of the ideal Ego and its traps, to effect another knotting, never foreseeable nor assured in advance, and always in the neighborhood of the "hole": a nomination, a sinthome.

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