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Substances psychédéliques, expériences mystiques et bénéfices thérapeutiques : étude sur les fondements de la prise en compte de l'expérience mystique dans le domaine des sciences cognitives au cours de la renaissance psychédélique (1999-2019)

Plourde, Louis 19 November 2021 (has links)
Au tournant des années 2000, le domaine des sciences cognitives s’est intéressé de nouveau aux substances psychédéliques. Nous constatons qu’un nombre croissant d’études indiquent que l’expérience singulière catalysée par ces substances pourrait contribuer de manière significative au traitement de conditions et de troubles mentaux divers, allant des dépendances à la détresse en fin de vie, en passant par la dépression majeure et le stress post-traumatique. Dans le présent mémoire, nous nous intéressons à une corrélation établie, au cours de ladite « renaissance psychédélique » des vingt dernières années, entre les bénéfices thérapeutiques et psychologiques avérés du LSD et de la psilocybine et un certain type d’expérience qualifié de « mystique » et « océanique » par les chercheurs. Dans notre analyse de la littérature des sciences cognitives publiée entre 1999 et 2019 au sujet de ces deux substances psychédéliques dites sérotoninergiques, nous discernons les fondements, aussi bien théoriques que langagiers, de cette prise en compte de l’expérience de type mystique dans le contexte actuel de la psychiatrie, de la psychologie et des neurosciences. En examinant les études cliniques réalisées aux États-Unis et en Europe sur l’efficacité thérapeutique et les bénéfices psychologiques du LSD et de la psilocybine, ainsi que sur les mécanismes cérébraux sous-jacents à leur potentiel transformateur et salutaire, nous distinguons, au-delà de l’hypothèse, une mise en relation de données quantitatives probantes résultant de l’évaluation psychométrique de l’expérience psychédélique et de l’observation longitudinale des changements occasionnés par cette dernière. En réponse à notre question de recherche, nous détaillons comment les principaux instruments psychométriques employés pour quantifier la dimension mystique ou océanique de l’expérience psychédélique découlent essentiellement du modèle typologique formulé par le philosophe pérennialiste Walter Terence Stace, dont l’approche phénoménologique a facilité l’intégration de ce phénomène, classiquement associé aux traditions religieuses et aux sciences qui les étudient, dans le domaine des sciences cognitives. / At the turn of the year 2000, the field of cognitive sciences regained interest in psychedelic substances. We see that a growing number of studies indicate that the singular experience they bring about could contribute significantly to the treatment of diverse mental disorders ranging from addiction to end-of-life distress, through depression and post-traumatic stress. In this thesis, we examine a correlation that has been recognised in the course of the present “psychedelic renaissance” between the therapeutic and psychological benefits of LSD and psilocybin and a certain type of experience described as “mystical” and “oceanic” by researchers. In our analysis of the cognitive sciences’ literature published between 1999 and 2019 concerning these two (serotonergic) psychedelic substances, we discern the theoretical and linguistic foundations of this consideration of the mystical-type experience in the actual context of psychiatry, psychology and neurosciences. Looking at recent clinical studies conducted in the United Stated and Europe on the therapeutic value and psychological benefits of LSD and psilocybin, as well as on the neural mechanisms underlying their transformative potential, we distinguish, beyond hypothesis, a correlating of various quantitative data resulting both from the psychometric assessment of the psychedelic experience and from the longitudinal evaluation of its outcomes. In response to our research question, we detail how the principal psychometric instruments used to quantify the mystical or oceanic dimension of the psychedelic experience essentially derive from the typological model proposed by the perennialist philosopher Walter Terence Stace, whose phenomenological approach has facilitated the integration of this phenomenon, conventionally associated with religious traditions and the sciences that study them, in the field of cognitive sciences.
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Approche psychanalytique du discours sectaire

Mary, Arthur 19 January 2013 (has links) (PDF)
La recherche porte sur les collectifs sectaires contemporains et la participation psychique singulière de l'adepte au sein du collectif. Après avoir déconstruit l'idée de manipulation mentale et d'une emprise transitive du gourou à l'égard de l'adepte, nous interrogeons, par la rencontre clinique (d'adeptes et d'ex-adeptes) et le paradigme du transfert qui s'en déduit, les enjeux psychiques du lien sectaire de l'adepte. Nous soutenons que la notion d'adepte, empruntée à la sociologie des religions, est impropre à indexer avec justesse une spécificité psychique du vécu d'emprise. En réponse aux approches psycho-victimologiques, les conditions de possibilité d'un discours non traumatique sont également explorées dans les rapports du sujet de l'individu avec le sujet du collectif. La thèse vise in fine l'écriture logique de la (ou des) discursivité(s) sectaire(s).
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Clinique de la psychose ordinaire avec des enfants et des adolescents / Ordinary psychosis clinic in children and adolescents

Saldarriaga Alzate, Ana Victoria 09 December 2017 (has links)
Cette thèse aborde la clinique de la psychose avec des enfants et des adolescents à partir de deux diagnostics : dans la première partie, le diagnostic de « Psychose ordinaire », d’orientation lacanienne, et, dans la seconde partie, ce qui a été qualifié par des orientations postfreudiennes de « limite », soit un « cas », un « état » ou un « trouble ». Des séries de cas respectifs ont été examinés, à partir des rapports écrits par les psychanalystes de chaque orientation. Dans cette recherche, nous avons pu vérifier que lorsque des changements immédiats et positifs sont arrivés dans le cours même des séances, ils le sont toujours grâce à l’établissement du transfert. Dans cette perspective, Lacan a souligné que les cas dit « limites » sont en réalité des cas d’acting out, où le sujet cherche à pousser le transfert depuis le registre imaginaire des significations vers l’opération symbolique dans laquelle doivent être pris les signifiants de la langue ou de la lalangue qu’il prononce. Ce que les « cas limites » mettent en relief est la « limite transférentielle ». Dans la psychose ordinaire, les suppléances imaginaires réussies par le sujet seul ont acquis en présence de l’autre réel du transfert des supports symboliques stables. Dans la psychose extraordinaire, où ces suppléances manquent et l’appel du sujet à un autre est fait à travers différentes manifestations de la jouissance, l’acquisition du support signifiant est suffisant pour des changements subjectifs significatifs et l’établissement de liens sociaux. Grâce au transfert l’état extraordinaire devient ordinaire et on peut dire que dans la clinique de la psychose, il y a un avant et un après le transfert. / This thesis approaches the clinical psychosis with children and adolescents from two different diagnoses: in the first part, the diagnosis of "ordinary psychosis", Lacanian orientation, and, in the second, what has been qualified by certain guidelines post-Freudian "limit", be it a "case", a "state" or a "disorder”. The respective case series have been examined from texts written by psychoanalysts of each orientation. In this thesis, we have been able to verify that, when there have been immediate and positive changes in the actual course of the sessions, it has been thanks to the establishment of the transfer. From this point of view, Lacan has emphasized that the cases qualified as "borderline" are really acts of acting out, through which the subject seeks to turn the transfer of the imaginary register of significations towards the register of the signifiers. In this record, what counts is the symbolic operation in which are taken these signifiers of the language or the lalangue pronounced by the subject. In the ordinary psychosis, the imaginary substitutions, achieved by the subject alone, have acquired, in the presence of the other reality of the transference, stable symbolic supports. In the extraordinary psychosis, when these substitutions have been lacking and the subject makes their call to the other through different manifestations of enjoyment, the acquisition of significant support is sufficient to achieve meaningful subjective changes and the establishment of social bonds. Thanks to the transfer, the extraordinary state becomes ordinary and one can say that in the clinical psychosis there is a before and an after the transfer.
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L’écoute dans le travail social clinique en santé mentale : l'impact d'une parole délirante sur l'idéal

Galbrun, Frédérick 02 1900 (has links)
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D'une étude métapsychologique de la fonction délirante dans les processus psychiques de la schizophrénie / Of a metapsychological study about the delusional function in the psychic processes of schizophrenia

Flemal, Simon 28 June 2011 (has links)
En nous référant aux théorisations de l’épistémologie psychanalytique, nous concevons la schizophrénie comme résultant d’une expérience traumatique primaire n’ayant pu être intégrée au sein de la subjectivité. Ce traumatisme, nous le rattachons moins à un évènement en tant que tel qu’à la position impensable qu’il désigne pour le sujet. Ainsi, en nous inspirant de la pensée de P. Aulagnier et de R. Roussillon, nous suggérons que le noyau traumatique conditionnant le développement d’une problématique schizophrénique se rapporte à la position d’objet pulsionnel, ou de non-désir, à laquelle se trouve identifié le sujet au sein des premiers échanges avec son environnement. <p><p>Face à l’impensable de cette position identificatoire, le sujet se voit contraint de s’extraire de la scène relationnelle avec ses objets primaires, se clivant par la même opération du capital représentatif qui lui est associé. Dans ces conditions, nous pensons que le délire, moins d’apparaître comme une production pathologique dépourvue de sens, correspond à un mode de réponse face au retour hallucinatoire de l’impensé traumatique. Aussi, à partir d’une méthodologie qualitative basée sur l’analyse d’une douzaine de cas cliniques, nous mettons en évidence trois principales fonctions du délire dans la schizophrénie. La première, conceptualisée sous le terme de « fonction contenante », procède à la mise en forme et à la transformation signifiante de ce qui ne put être symbolisé de l’expérience traumatique. La seconde, nommée « fonction localisante », tente de situer en dehors du sujet le débordement pulsionnel inhérent au traumatisme primaire. La troisième, appelée « fonction identifiante », permet à la personne délirante de s’attribuer un énoncé identificatoire qui, de manière auto-créée, supplée à l’énigme de son histoire insensée.<p><p>Enfin, l’analyse de nos données cliniques souligne que ces trois fonctions de l’activité délirante ne se réalisent pas de façon aléatoire mais qu’elles s’articulent selon une logique particulière. Ainsi, nous suggérons qu’à partir de sa triple opération le délire schizophrénique tend à se déployer en un « processus délirant », par lequel le sujet peut rendre pensable et supportable la position traumatique à laquelle il a été identifié au cours de son histoire.<p><p><p>By following theories from the psychoanalytical epistemology, we consider schizophrenia as the result of a primary trauma that has not been assimilated within the subjectivity. We connect less this traumatism with an event than with the unthinkable position the subject is identified to. Therefore, being inspired by the thought of P. Aulagnier and R. Roussillon, we suggest that the traumatic nucleus which conditions the development of schizophrenia is related to the position of instinctual object, or of non-desire, to which the subject is identified within the first exchanges with his environment. <p><p>In view of this unthinkable position, the subject is forced to remove himself from the relationship with his primary objects, splitting off from the representative capital that is associated with it. In these conditions, we think that the delusion appears less as a meaningless pathological production than as a way of answering to the hallucinatory return of the traumatic unthought. From a qualitative methodology based on the analysis of a dozen clinical cases, we highlight three main functions of the delusion in schizophrenia. The first, conceptualized under the term «containing function», carries out the shaping and the significant transformation of what could have not been symbolized of the traumatic experience. The second, called «localizing function», tries to locate outside of the subject the instinctual overflow inherent to the primary trauma. The third, named «identifying function», enables the delusional person to assume an identificatory principle which, in a self-created way, compensates for the enigma of his senseless history.<p><p>Finally, the analysis of our clinical data underlines that these three functions of the delusional activity are not randomly accomplished but are organized according to a particular logic. Thus from its triple operation, we suggest that the schizophrenic delusion tends to develop into a «delusional process», by which the subject can make thinkable and bearable the traumatic position to which he was identified during his history.<p> / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les causes de l’impuissance animique : la question du mal chez Freud et Spinoza / The Causes of the Powerlessness of Mind : Freud and Spinoza on Question of Evil

Ledoux, Isabelle 06 December 2014 (has links)
Spinoza, parce qu’il est à la pointe de la pensée scientifique de son époque, Freud, parce qu’il prétend fonder une nouvelle science de la nature sans se référer spécifiquement aux sciences humaines, adhèrent à un modèle épistémologique issu de la science déterministe classique. En étendant son application à l’âme humaine, tous deux ont, chacun à sa manière, bouleversé la conception de l’unité psychophysique de l’individu et proposé de nouveaux modèles de compréhension de ses rapports avec les autres et avec le monde.Or, partir de la question du corps pour remonter progressivement jusqu’à celle du mal, point névralgique de la pensée de la liberté, permet de mettre en évidence ce qui les rapproche et ce qui les sépare. Si, en situant la source de la destructivité à l’intérieur de la psychè et en dialectisant les différentes tendances qui la constituent, Freud adopte une perspective non spinoziste, sa conception de la mémoire, de la représentation, du langage, du rêve et du délire, se rapproche beaucoup de celle de Spinoza et permet d’éclairer aussi bien les virtualités que les points explicites de son système.Inversement, Spinoza, par les choix doctrinaux qui marquent l’évolution de sa pensée comme par les stratégies pédagogique et éthique qu’il met à l’œuvre dans ses textes, produit une illustration en acte de ce qui favorise la puissance de l’âme et de ce qui l’entrave. Sans créditer le mal d’une essence positive, il reconnaît néanmoins à ses principales figures : finitude, privation, crime, une efficience historique, dont la compréhension peut fonder une vigilance prophylactique. / Spinoza, at the top of the scientific thought of his time, and Freud, intending to found a new science of nature without specifically referring to human sciences, adhere to an epistemological model coming from the classical determinist science. Extending its application to the human mind, they both have, each in their own way, drastically changed the conception of the psychophysical unity of the individual and proposed new models of understanding his relationships with the others and the world.And yet, starting with the question of the body to progressively reach the question of evil so problematic for the thought of freedom makes it possible to reveal what separates and brings them closer. Setting sources of destructivity inside the psyche and giving a dialectical representation of its different constituent motions, Freud adopts a non-Spinozist perspective. But his conception of memory, representation, language, dream and delirium, gets closer to that of Spinoza and allows to throw light on potentialities as much as on the explicit points of his system. Conversely, Spinoza, marking the evolution of his thought by doctrinal choices and using pedagogical and ethical strategies in his texts, gives an acting illustration of what favours and hampers the power of the mind. Nevertheless without giving a positive essence to evil, he recognizes the historical efficiency of its main figures: finiteness, deprivation and crime whose understanding can found a prophylactic vigilance.

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