Spelling suggestions: "subject:"dramaturgie"" "subject:"dramaturgies""
11 |
L'hyper-théâtralité du personnage dans la dramaturgie de Réjean DucharmeBoucher, Marie-Élaine January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
|
12 |
Théâtralité du cinéma : enjeux scénographiques et dramaturgiquesLafleur, Guillaume January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
13 |
Voir pour croire, texte illustré destiné au théâtre : la résistance à la forme dramatique par le recours à l'imageFrancoeur, Marie-Ève January 2008 (has links) (PDF)
Ayant pour origine la création d'un texte illustré destiné au théâtre intitulé Voir pour croire, le présent mémoire propose une réflexion sur la forme dramatique à laquelle il oppose une résistance. La première partie du mémoire présente le projet de création combinant dessin et écriture. Vient ensuite la deuxième partie consacrée à la réflexion qui en découle. Dans le chapitre I, la notion de résistance à la forme dramatique est définie. S'inspirant de ses usages courants dans les domaines de la science physique, de la biologie, de la politique et de la psychanalyse, le concept de résistance est d'abord explicité. Il est ensuite mis en relation avec celui de forme dramatique, lui-même élaboré à partir des théories d'Aristote. Les notions d'épique et de mimesis, essentielles à la compréhension du genre, y sont aussi développées.
Dans le chapitre Il, des manifestations de résistance à la forme dramatique dans l'écriture sont observées. S'inspirant principalement des théories de Szondi et de Sarrazac sur l'évolution et la crise du texte dramatique, ce chapitre se concentre davantage sur l'observation de tendances et de procédés que sur l'étude de cas.
Les textes illustrés destinés au théâtre étant rarissimes, le chapitre III traite de pratiques scéniques ayant recours à l'image. Deux créations contemporaines y sont analysées de même que deux ouvrages tirés de représentations théâtrales intégrant des dessins ou des images tirées de photographies. Finalement, le chapitre IV retrace le parcours ayant mené à la création de Voir pour croire, texte illustré destiné au théâtre. Quelques dessins réalisés y sont analysés et leur transposition dans l'écriture y est explicitée. Plusieurs images ayant été intégrées au sein de la version finale, la fonction de l'image y est aussi développée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Théâtre, Écriture dramatique, Image, Postdramatique, Crise du drame, Résistance.
|
14 |
Toujours déjà tombé, ou, Le rythme comme noeud différentiel d'un spectacle indisciplinaireKrouglikov-Lvov, Ilya 03 1900 (has links) (PDF)
La scène contemporaine privilégie de plus en plus une approche indisciplinaire en résonance avec une réalité fragmentaire. Elle produit des œuvres hybrides dont ce mémoire cherche à identifier les rouages à travers l'idée d'un nœud rythmique formé par des forces d'attraction et de répulsion. Ce nœud est un élément essentiel à la structure, à la cohérence et à la cohésion du spectacle. Dans un premier temps, un aperçu des modes d'interaction entre les arts, de la séparation à la fusion, permet de déterminer les enjeux de leur coexistence. S'en dégage, par une analogie musicale, la notion de partition capable d'organiser de façon dynamique les diverses composantes de l'œuvre. La réflexion se prête ensuite à une étude du phénomène rythmique. Au terme d'un survol des définitions et des éléments fondamentaux, le rythme s'impose comme modalité de correspondance et de composition. Principe structurant, il organise le temps de l'œuvre en le dotant de sens. Agent de perception, le rythme s'avère aussi inséparable du sujet qui l'articule. Le mémoire est ponctué par des renvois au volet pratique de cette recherche, un essai scénique intitulé Toujours déjà tombé. La dramaturgie de cette « conférence indisciplinée » s'est appuyée sur De l'autre côté du miroir de Lewis Carroll (et son écho critique, Logique du sens de Gilles Deleuze). À la fois maître et victime des mots, coincé dans la ritournelle de sa comptine, Humpty Dumpty est emblématique de l'expérience - il est « toujours déjà tombé ». La polysémie caractéristique du personnage permet de réfléchir au sens du discours, notamment celui de la conférence. Le destin tout tracé du célèbre œuf est l'occasion de revenir à la question du temps, cette fois dans un rapport plus étroit à la scène.
______________________________________________________________________________
MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : rythme, interdisciplinaire, théâtre, spectacle, Humpty Dumpty, partition.
|
15 |
L'hyper-théâtralité du personnage dans la dramaturgie de Réjean DucharmeBoucher, Marie-Élaine January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
16 |
La composition dramatique : La liaison des scènes dans le théâtre français du XVIIe siècle / Dramatic composition : Linking Scenes in Seventeenth-Century French TheatreDouguet, Marc 11 May 2015 (has links)
Au XVIIe siècle, la composition dramatique (c’est-à-dire l’art de faire se rencontrer les personnages sur le plateau en un certain ordre pour raconter une histoire) est révolutionnée, aux alentours de 1640, par l’instauration de la règle de la liaison des scènes, qui prescrit que, à l’intérieur d’un acte, un personnage au moins soit commun à deux scènes successives. Cette règle a totalement et durablement changé l’aspect des pièces de théâtre en imposant une esthétique de la continuité qui rompt avec la discontinuité qui prévalait jusqu’alors. Dans les pièces du début du siècle, l’action progressait par la juxtaposition de scènes qui présentaient chacune des personnages différents, permettant ainsi au dramaturge d’introduire de brusques changements dans les lieux, les temps et les situations. Au contraire, les pièces qui respectent la règle de la liaison des scènes ne peuvent plus compter que sur les entractes pour renouveler complètement les personnages présents sur le plateau : à l’intérieur des actes, l’action doit évoluer par glissements successifs, chaque scène conservant une partie des paramètres de la scène précédente. En mettant en lumière les choix auxquels le dramaturge est confronté, la différence entre ces deux esthétiques témoigne de l’importance de la composition dramatique : écrire une pièce, ce n’est pas seulement imaginer une intrigue, mais aussi lui donner une forme visuelle et spécifiquement théâtrale. Ce travail s’intéresse donc à la fois aux enjeux propres à la liaison des scènes, et, plus généralement, à la poétique de la disposition des scènes et au « montage » dramatique auquel le dramaturge se livre pour donner corps à la fiction. / In the seventeenth century, dramatic composition, that is, the art of introducing characters on stage in a specific order to relate a story, was revolutionized in the period around 1640 by the establishment of the rule for linking scenes. This new rule decreed that within one act, at least one a character must appear in the two successive scenes. This rule completely changed the aspect of plays in the long term. It imposed an aesthetics of continuity that broke with the discontinuity that had prevailed up until then. In plays from the beginning of the century, action progressed by the juxtaposition of scenes that each presented different characters, thus permitting the playwright to introduce abrupt changes in place, time, and situation. On the contrary, the plays that respect the rule of connection between scenes can no longer count on the intermission alone to renew completely the characters present on stage. Within each act, the action must evolve by successive shifts in meaning, each scene conserving a part of the parameters of the preceding scene. By shedding light on the choices the playwright confronts, the difference between these two aesthetics bares witness to the importance of dramatic composition: writing a play is not simply imagining a plot, but rather giving it a visual form and specifically a theatrical one. This dissertation thesis, then, is interested in both the stakes of the rule for linking scenes itself, and more generally, in the poetics of the positioning of scenes, and in dramatic “editing” with which the playwright engages in order to give body to fiction.
|
17 |
Pedagogická dramaturgie a její kořeny v ostatních disciplínách / Educational dramaturgy and its roots in other disciplinesKŘENKOVÁ, Eva January 2013 (has links)
The thesis deals with dramaturgy as used and implemented in selected areas of the arts ? literature, theater, film and music. Besides these four artistic disciplines experiential education is mentioned with its understanding of dramaturgy. On the basis of information submitted, the thesis focuses on the comparison of artistic fields with experiential education. In addition the thesis handles the question of applying the principles of dramaturgy in school teaching.
|
18 |
Soliloques : texte dramatique écrit à partir d'improvisations filmées dans des lieux non théâtraux suivi d'une réflexion sur la sensation comme lien entre le jeu et l'écritureLocas, Elisabeth January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire-création est composé de deux parties. La première est une réflexion sur la sensation comme lien entre le jeu et l'écriture. La deuxième est constituée du texte théâtral Soliloques. L'objectif de cette recherche est de réfléchir sur le transfert possible du stock de sensations qu'un acteur a accumulées par le jeu et dont il peut se servir pour l'écriture. Cette réflexion est élaborée à partir d'une expérimentation: une série d'improvisations solos filmées dans huit lieux non théâtraux, comme première étape de récriture d'un texte dramatique. La partie réflexion de ce mémoire expose d'abord certaines théories du jeu développées par Constantin Stanislavski, Michael Checkhov et Lee Strasberg, afin de réfléchir au rôle de la sensation dans le jeu de l'acteur. Quelques écrits sur la sensation comme source d'inspiration en danse et en écriture poétique ajoutent à la réflexion. Ensuite, le rapport entre le corps du créateur et son environnement est analysé à partir des travaux de Richard Schechner aux Etats-Unis et de la pratique du metteur en scène québécois Éric Jean. Puis, les enseignements de Checkhov et de Strasberg sur la mémoire sensorielle sont exposés pour expliquer le passage de la sensation du jeu (improvisations) à l'écriture de Soliloques. Les écrits de ces auteurs et praticiens constituent le cadre théorique de ce mémoire. Le dernier chapitre de la partie réflexion explique comment la sensation a été abordée et traitée dans le travail de l'actrice et comment elle se transpose dans l'écriture. Cette analyse permet d'identifier, de définir et de justifier tes sensations qui ont traversé tes différentes étapes du processus d'écriture, des improvisations jusqu'à la dernière version de Soliloques. Ce mémoire conclut que les sensations constituent une puissante source d'inspiration pour la création en état de jeu et pour l'écriture. La mémoire sensorielle permet d'inspirer l'actrice-auteure pendant tout le processus de création, en plus d'agir comme le lien entre le jeu à l'écriture. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sensations, Mémoire sensorielle, Corps, Lieu réel, Improvisation, Théorie du jeu, Écriture dramatique et soliloque.
|
19 |
Physiologie de l'auteur dramatique : « Histoires saisonnières autour du feu »Régnier, Jean January 2010 (has links) (PDF)
Ce mémoire création a pour sujet l'utilisation de l'imagination matérielle en écriture dramatique. Il s'organise en trois scènes dramatiques qui ont été écrites en engageant, pour chaque scène, un organe du corps distinct, lié à un élément de la nature et à une saison. Chaque scène comporte trois trios: l'eau, les reins, l'hiver; le bois, le foie, le printemps; le feu, le coeur, l'été. Elles mettent en relation les deux mêmes personnages, devant un feu. Une lecture publique des scènes a été présentée lors d'une conférence démonstration où l'auteur a également exposé les caractéristiques de son expérimentation. Des réflexions théoriques inspirées de La psychanalyse du feu et de L'eau et les rêves de Gaston Bachelard appuient la recherche, ainsi que des travaux de Larry Tremblay, Louis Jouvet, Eugenio Barba, Jerzy Grotowski, Pol Pelletier et Bonnie Bainbridge Cohen. L'auteur de ce mémoire a aussi suivi un entraînement physique et énergétique, le qi gong de La mémoire du souffle, afin de favoriser une perception subtile des manifestations du corps. Cet entraînement a été supervisé par Marie-Claude Rodrigue. Il mobilise, à chaque saison, un organe corporel spécifique en correspondance avec un élément de la nature. La tenue d'un journal de bord complète la démarche en vue de témoigner de la manifestation de la dynamique corps objet -corps sujet chez l'auteur dramatique en action. L'utilisation de l'imagination matérielle a stimulé la pulsion créatrice de l'auteur dramatique. Des traces des éléments de la nature et de leurs dérivés sont perceptibles dans les trois scènes. La principale révélation de l'expérimentation est la reconnaissance de l'existence d'un mouvement énergétique particulier à chaque élément de la nature lorsque celui-ci est imaginé et senti, comme une matière, dans un organe du corps. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Théâtre, Écriture dramatique, Imagination matérielle, Corps, Entraînement.
|
20 |
Qui est mort? (pièce en kit) - The master of creation remix - ; suivi de, Le maître et la créatureMangerel, Philippe 09 1900 (has links) (PDF)
QUI EST MORT ? (PIÈCE EN KIT) est une pièce de théâtre en dix points et un refrain que la version abrégée, THE MASTER OF CREATION REMIX, réinterprète sous l'angle de la création à l'université, sous forme de fragments interchangeables. L'ensemble du propos se centre sur une personne, prénommée Thomas, un metteur en scène totalitaire et irascible qui se sait condamné à mort et qui décide conséquemment de mettre en scène son dernier spectacle. L'action a pour objet les différentes relations qui se nouent et se dénouent au sein de cette mise en scène entre les différentes personnes constituant l'entourage de Thomas : les acteurs / performateurs (Véronique, Balthazar, Gotika, Lombric, le chœur des clowns) et la régie (Antonin, l'Éclairagiste, Lucas). Cette action centrale est observée par des personnes extérieures qui interviennent peu ou prou telles que le Sphynx, l'Ange botté de cuir ou la Petite fille aux gros yeux et se terminera par l'intervention extraordinaire de l'un d'eux, une personne inquiétante intitulée l'Archange, dont le rôle est absolument définitif. LE MAÎTRE ET LA CRÉATURE constitue le dossier d'accompagnement réflexif et esthétique de la pièce de théâtre. Formé de trois fragments principaux, il élabore une réflexion sur les conditions d'écriture en milieu universitaire en se basant sur les différentes pratiques liées à la littérature (écriture et lecture). Après l'identification dans un premier fragment d'un problème d'adéquation dans l'emploi du terme création entre l'auteur et le milieu institué dans le cadre duquel il écrit, un modèle idéal est proposé -dans un second fragment- qui étudie la relation liant Antonin Artaud à Vincent Van Gogh par le biais d'un extrait de l'essai intitulé Van Gogh le suicidé de la société, avant de se pencher, lors d'un troisième fragment, sur la démarche de l'auteur et les déclencheurs de son écriture, établis grâce à un parallèle avec trois œuvres de Gabrielle Wittkop : La Mort de C, Almanach perpétuel des Harpies et Chaque jour est un arbre qui tombe.
______________________________________________________________________________
|
Page generated in 0.0337 seconds