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The Petrie papyri second edition : P. Petrie 2 /

Clarysse, Willy. January 1900 (has links)
Ph. D.--Leuven--Katholieke universiteit, 1975. Titre de soutenance : De Petrie-testamenten, uitgave en kommentaar. / Contient les textes des papyrus en grec ancien.
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Différence, dispersion et fragmentation sociospatiale : explorations métropolitaines à Brasilia et Curitiba / Diferença, dispersão e fragmentação socioespacial : explorações metropolitanas em Brasília e Curitiba / Difference, dispersion and socio-spatial fragmentation : metropolitan explorations in Brasilia and Curitiba

De Franca Catalao, Igor 15 May 2013 (has links)
Le passage du XXe au XXIe siècle a été accompagné d’intenses transformationssociospatiales, qui mettent en échec l’avenir de la ville. D’un côté, des processusd’individualisation et de segmentation sociale s’accroissent et articulément produisent ou réitèrent les inégalités. D’autre côté et de façon dialectique, la production de tissus urbains de plus en plus dispersés se confirme, caractérisée par des discontinuités territoriales et des densités variables du centre vers la périphérie. Dans ce contexte, l’urbanisation se diffuse mondialement, affecte tous les espaces et articule des différentes échelles, de façon à produire l’urbain au-delà des villes. Au Brésil, spécialement à partir des années 1970, les transformations sociospatiales mentionnées ci-dessus se sont liées à des processus de modernisation nationaux. Les métropoles de Curitiba et de Brasilia se sont développées dans cette période, chacune à sa manière, mais de façon plus accentuée à Brasilia. Toutes deux ont néanmoins été marquées par des inégalités et par la dispersion urbaine. Deux objectifs ont orienté la discussion proposée dans cette thèse : examiner la corrélation entre dispersion urbaine et fragmentation sociospatiale ; et expliquer comment ces deux processus se réalisent à Brasilia et à Curitiba. La recherche comparative a été menée à partir d’études et recherches sur les deux villes ainsi que directement dans leurs agglomérations. Des observations, des visites de terrain dans les zones résidentielles fermées et dans les villes de la périphérie métropolitaine ont été faites, mais aussi des entretiens avec des résidents. De ce fait, le cadre analytique de la thèse permet de comprendre qu’il y a, à Curitiba et surtout à Brasilia, des logiques fragmentaires qui favorisent la dissolution de l’unité morphologique tant par la dispersion des tissus urbains que par la segmentation sociale et la reproduction des inégalités. Ceci contribue à la création de limites à la mise en place du droit à la ville comme droit à la différence et amène à une nécessaire réflexion sur la notion de justice spatiale comme moyen approprier de surmonter les inégalités. / The passage from the 20th to the 21st centuries has accompanied intense socio-spatial transformations, which have questioned the future of city. On one side,processes of individualisation and social segmentation grow and combine or reiterate inequalities. On the other side and in dialectical way, the production of increasingly dispersed urban tissues is confirmed, i.e., they are characterised by territorial discontinuity and alternating densities from centre to periphery. In this context, urbanisation becomes globally diffused, affects all spaces and articulates different scales in order to produce the urban beyond the cities. In Brazil, especially from the 1970s, the mentioned socio-spatial transformations have occurred and connected to national processes of modernisation. The metropolises of Curitiba and Brasilia developed in this period by different ways. Both of them havebeen marked by inequalities and urban dispersion, but Brasilia experienced itoverwhelmingly. Two aims guided then the discussion proposed in this Ph.D. dissertation: to examine connection between urban dispersion and socio-spatialfragmentation; and to explain how these processes take place in Brasilia and Curitiba. The comparative research has concerned studies and researches about bothcities, but also has counted on a direct way, i.e., through observations, visits togated communities and to cities in the metropolitan agglomerations’ peripheries;some inhabitants were also interviewed. Therefore, the analytical framework of thedissertation helps to understand that there is, in Curitiba and especially in Brasilia, a fragmentary logics that promotes the dissolution of morphologic unit. That happens through the dispersion of urban tissues, social segmentation and reproduction of inequalities, and this is a limit to the right to city as being a right to difference. A necessary reflection about the notion of spatial justice appears then as an appropriate means to seek for overcoming inequalities. / A passagem do século XX para o XXI faz-se acompanhar de transformações socioespaciais intensas, as quais têm colocado em xeque o futuro da cidade. De umlado, registra-se a ampliação dos processos de individualização e segmentaçãosocial, que combinados produzem ou reiteram desigualdades. De outro, dialeticamentearticulado, verifica-se a produção de tecidos urbanos cada vez mais dispersos,caracterizados por descontinuidade territorial e densidades alternantesdo centro à periferia. No bojo desses processos, a urbanização torna-se mundialmente difusa, afetando todos os espaços e articulando diferentes escalas, deforma a produzir o urbano para além das cidades. No Brasil, especialmente a partir dos anos 1970, as transformações socioespaciais supramencionadas também ocorreram, atreladas a processos nacionais de modernização. As metrópoles de Curitiba e de Brasília desenvolveram-se nesse período, cada uma a seu modo, marcadas por desigualdade e dispersão urbana, mais acentuadas na segunda que na primeira. Dois objetivos orientam, portanto, a discussão proposta nesta tese: examinar as correlações entre dispersão urbana e fragmentação socioespacial; e explicar como esses processos se realizam em Brasília e Curitiba. A investigação, de cunho comparativo, foi feita a partir de estudos e pesquisas sobre as duas capitais e também diretamente nas duas aglomerações por meio de observações, visitas a áreas residenciais fechadas e cidades do entorno metropolitano, onde foram entrevistados moradores. Assim, o quadro analítico da tese possibilita entender que há, em Curitiba e especialmente em Brasília, lógicas fragmentárias que favorecem a dissolução da unidade morfológica, seja pela dispersão dos tecidos urbanos, seja pela segmentação social e reprodução das desigualdades, o que se configura em limite à realização do direito à cidade como direito à diferença. Isso leva a uma necessária reflexão sobre a noção de justiça espacial como meio mais adequado para basear a busca pela superação das desigualdades.
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Luttes de brésiliennes pour le droit à la ville : l'expérience des femmes de l'occupation Manoel Congo à Rio de Janeiro au Brésil

Carle-Marsan, Marie-Anne 06 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche s'intéresse aux actions collectives des femmes dans la ville. Elle se penche sur les pratiques de Brésiliennes qui occupent depuis cinq ans déjà un édifice public désaffecté dans le centre-ville de Rio de Janeiro au Brésil. Cette lutte s'inscrit au sein du Movimento nacional da luta pela moradia (Mouvement national de lutte pour logement : MNLM). Notre étude interroge la portée de cette action en matière d'empowerment, de citoyenneté locale et de Droit à la ville chez des femmes reléguées à être marginalisées sur les plans sociaux, économiques et politiques. Nous posons comme hypothèse que ces pratiques collectives peuvent contribuer à l'empowerment individuel et collectif des participantes de même qu'elles constituent un levier vers l'affirmation d'une citoyenneté locale. Nous croyons que cette lutte urbaine est une revendication de leur Droit à la ville et par là une possibilité de revoir les rapports sociaux de sexe dans la ville. Cette recherche se situe dans le cadre théorique de la géographie féministe ce qui nous permet de voir que les rapports sociaux de sexes structurent la ville de même qu'ils donnent lieu à des expériences urbaines sexuées. Notre démarche méthodologique repose sur une observation participante accomplie de septembre 2010 à janvier 2011 où nous avons participé aux activités de l'occupation et partagé le quotidien de ces femmes. Également, quinze entretiens semi-dirigés auprès d'habitantes et trois auprès de leaders du comité de coordination de l'occupation ont été menés. Notre étude dévoile que l'acte d'occupation et l'engagement politique et social qui en découlent, ont transformé la vie de ces femmes. Non seulement elles ont pris conscience de leurs droits, mais elles les ont manifestés tant dans l'espace public que dans l'espace privé. L'occupation Manoel Congo apparaît comme une école de citoyenneté locale où la construction d'un sujet politique femme semble possible. Enfin, animées par des enjeux qui touchent leur quotidien comme femmes et citadines, ces dernières transforment la ville et se l'approprient d'où une lecture sexuée de la réalité urbaine prend tout son sens. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : femmes et ville, géographie féministe, Droit à la ville, lutte urbaine, Rio de Janeiro, femmes et logement, occupation d'un édifice public.
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Les espaces publics urbains : entre privatisation et néolibéralisation : le cas de la Californie du sud : 1989-2011 / Urban public spaces : between privatization and neoliberalization : the case of Southern California : 1989-2011

Dassé, Marine 24 November 2017 (has links)
Les espaces publics dépendent désormais d’une ville néolibérale et entrepreneuriale qui doit obéir à des impératifs de rentabilité économique. Cette thèse entend montrer comment les municipalités doivent redorer leur image pour attirer de nouveaux capitaux, ce qui implique de se débarrasser des « indésirables » (les sans-abris et autres personnes perçues comme des nuisances) qui ternissent l’image de leurs espaces publics. Elle s’intéresse à trois analyses de cas : les centres commerciaux The Grove et Americana At Brand, les Business Improvement Districts et Safer Cities Initiative, un programme de « tolérance zéro » mis en place par la municipalité de Los Angeles en 2006. Il s’agit de comprendre en quoi l’expérience de l’urbanité a été tempérée et régulée par de nouveaux codes où les aspects dérangeants ont tous été dissous dans un tissu urbain lavé de toute diversité socio-culturelle. L’exclusion systématique des indésirables incarne particulièrement bien cette volonté d’imposer une norme dominante. Ces nouveaux espaces semblent sûrs et sécurisés mais s’avèrent être des espaces contrôlés, surveillés, dépourvus d’authenticité, où les comportements sont attentivement scrutés. Il s’agit également de démontrer comment l’exclusion spatiale et l’exclusion sociale se renforcent mutuellement. Enfin, cette thèse analyse également les groupes qui se positionnent contre la privatisation de l’espace public et proposent de repenser la ville contemporaine. / Public spaces now depend on a neoliberal and entrepreneurial city that has to obey economic profitability priorities. This thesis aims at showing how municipalities try to bolster their image in order to attract new capital, which entails getting rid of its undesirables (the homeless and other people perceived as problems) who tarnish their public spaces’ image. This thesis includes three case studies : two malls The Grove and Americana At Brand, Business Improvement Districts and Safer Cities Initiative a zero tolerance policy program initiated by the city of Los Angeles in 2006. The goal is to understand to what extent the urban experience has been tempered and regulated with new codes, and in which all disturbing aspects have all been disolved in an urban fabric cleaned of all socio-cultural diversity. The automatic exclusion of undesirables embodies perfectly well this desire to impose dominant norms. All these new spaces seem safe and secured but they turn out to be controlled, surveilled, deprived of authenticity, in which bevahiours are heavily scrutinized. This thesis also aims to demonstrate how spatial and social exclusion mutually reinforce each other. Finally, it analyzes groups that are against public space privatization and offers alternatives to the redesign the contemporary city.
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La nuit dimension oubliée de la ville : entre animation et insécurité. L'exemple de Strasbourg

Gwiazdzinski, Luc 19 December 2002 (has links) (PDF)
Que deviennent nos villes, passée l'agitation de la journée ? Dans nos régions ou le "non-jour" atteint en hiver les deux tiers de la journée, il doit bien y avoir une vie après le jour. Un autre espace se met en place avec de nouveaux acteurs. Nous chercherons à appréhender cette dimension oubliée de la ville à travers l'exemple de la métropole strasbourgeoise.
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À travers pratiques citadines et tactiques citoyennes, la production du droit à la ville au Cap (Afrique du Sud) / Through urban practices and citizens’ tactics, producing the right to the city in Cape Town (South Africa)

Buire, Chloé 25 November 2011 (has links)
Cette thèse part de l’idée de l’espace comme instrument pour la pensée et l’action formulée par Henri Lefebvre dans les années 1970, afin de comprendre les liens entre citadinité et citoyenneté dans la ville du Cap, en Afrique du Sud. Elle analyse la démocratisation du gouvernement local à travers la création de nouvelles circonscriptions électorales aux ambitions participatives : les wards. L’étude se concentre sur le ward 44 qui réunit des territoires autrefois divisés par l’apartheid. Une immersion dans la vie quotidienne de différentes familles révèle les mécanismes d’une gouvernementalité communautaire où la légitimité politique individuelle est indissociable de l’expérience citadine partagée.La thèse est complétée par un DVD qui présente seize séquences vidéos, entre récits de vie, situations du quotidien et moments forts de la vie de quartier. Les tactiques pragmatiques déployées au jour le jour par les citadins pauvres apparaissent alors dans leur complexité. Elles s’adaptent aux réformes institutionnelles en cours, tout en en conditionnant l’application au niveau micro-local. En fin de compte, la résistance aux inégalités spatiales passe donc par la figure de citadins-citoyens qui inventent jour après jour ce que pourrait être le droit à la ville en Afrique du Sud. / The present work takes as its starting point the idea of space as an instrument for thought and action, as formulated by Henri Lefebvre in the 1970s, as a means to understand the relationship between city life and citizenship in Cape Town, South Africa. It analyses the democratization of local government through the creation of new electoral circumscriptions, which aim to facilitate public participation: the wards. The study focuses on ward 44, which brings together territories formerly divided by apartheid. The immersion in the daily lives of various families highlights the mechanisms of a community-based governmentality, where individual political legitimacy is intertwined with the shared experience of the city.The PhD comes with a DVD comprising sixteen video excerpts of life narratives, scenes of daily life and neighbourhood events. The pragmatic tactics that urban residents deploy on a daily basis thus reveal their full complexity. They not only adjust to on-going institutional reforms, they also condition the very implementation of these reforms. Eventually, the resistance to spatial inequalities is carried out through the figure of the “citadins-citoyens”, the “urban citizen” who on a daily basis invents what could be the right to the city in South Africa.
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Habiter la ville sans droits : les travailleurs migrants dans les marges de Beyrouth (Liban) / Dwelling the city without rights

Dahdah, Assaf 03 December 2015 (has links)
Cette thèse de géographie sociale et radicale traite des rapports de domination à Beyrouth à travers l’habiter des travailleurs migrants dans les marges urbaines. Population aux ressources faibles et stigmatisée dans une ville fragmentée, les migrants originaires d’Afrique et d’Asie tentent malgré tout de prendre place dans la capitale libanaise. L’approche micro et croisée de lieux – Bourj Hammoud, Karm al-Zeitoun, Sabra et le camp palestinien de Mar Elias – et de leurs habitants montre l’imbrication des temps longs et courts des migrations, les frottements entre les logiques communautaires et mercantiles des établis et celles plus chaotiques des nouveaux venus. Si les marges beyrouthines constituent des « sas » d’insertion où s’enchevêtrent des dynamiques multi-scalaires, elles n’en restent pas moins des espaces d’exclusion et de pauvreté animées et fragilisées par les injustices sociales et les inégalités citoyennes. À travers l’étude des mobilités, du système locatif et de l’accès au logement, et du dispositif commercial ethnique, ce travail, basé sur une enquête qui mobilise l’observation des espaces, les entretiens réalisés avec les différents acteurs et l’outil vidéo, met en exergue les réalités complexes de ces marges urbaines. Il expose leurs transformations contemporaines, mais également les tensions locales générées par une crise socio-politique libanaise et moyen-orientale, révélées ici via le prisme de la mondialisation migratoire. In fine, cette thèse interroge de manière à la fois décentrée, et ordinaire un ordre urbain généralement apprécié sous l’angle du confessionnalisme politique et questionne en miroir la nature du régime politique libanais. / This thesis of social and radical geography focuses on power relations in Beirut through an analysis of the housing of migrant workers in the outskirts of the city. As a population with few resources and subject to stigmatization, African and Asian migrant workers nevertheless try to find lodgings within the capital. Taking a micro and intersected approach to the study of specific neighbourhoods (Bourj Hammoud, Karm al-Zeitoun, Sabra and the Palestinian camp of Mar Elias) and their inhabitants reveals the interweaving of long- and short-term migrant groups and frictions between the commercial interests of the existing community and those, admittedly more chaotic, of newcomers. While the outskirts of Beirut have now become a transition zone, spaces in which new plural dynamics are emerging at various levels, they are also spaces of exclusion and poverty, where the coexistence of these communities is constantly being challenged and weakened by instances of social injustice and civil inequality. This study of mobility, rental accommodation, access to housing and the ethnic economy draws on observations of spaces, interviews with actors and video films and provides insights into the complex realities within a marginal urban population. It also highlights contemporary transformations and local tensions caused by the social, economic and political crisis in Lebanon and the Middle East through the prism of international migration. In fine, this thesis takes a decentralized and ordinary approach to analysing an urban structure usually observed from the perspective of confessional politics and, at the same time, questions the overall Lebanese political regime.
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Cultiver son jardin, s'inscrire dans la ville : Approche anthropologique des community gardens de New York City

Baudry, Sandrine 26 November 2010 (has links) (PDF)
Dans les années 1970, alors que la Ville de New York faisait face à une grave crise économique et sociale, des citadins ont entrepris d'investir le tissu urbain en transformant des terrains vagues en jardins collectifs. Après avoir accueilli favorablement ces initiatives grassroot qui palliaient des carences en espaces verts et articipaient à la vie des quartiers, la municipalité a cherché à les éliminer dans les années 1990, lorsque la relance économique les a fait apparaître comme un usage peu rentable du territoire. Usant de tactiques fortement médiatiques et théâtrales, les jardiniers ont réussi à protéger provisoirement une grande partie des community gardens, mais leur sort demeure aujourd'hui incertain. L'étude de l'histoire de ces jardins inscrits dans une tradition politique d'intervention par la base, ainsi que l'analyse ethnographique de quatre de ces espaces, permettent de développer un point de vue à plusieurs échelles sur un mouvement né d'initiatives ultra-locales, mais dont seule la mise en réseau à l'échelle de la métropole permet de justifier l'existence à long terme. La question se pose aujourd'hui de la manière dont ces pratiques citoyennes peuvent être intégrées à l'aménagement urbain dans la perspective des politiques de ville durable, tout en ne perdant rien de leur richesse et de leur diversité.
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Différence, dispersion et fragmentation sociospatiale : explorations métropolitaines à Brasilia et Curitiba

De Franca Catalao, Igor 15 May 2013 (has links) (PDF)
Le passage du XXe au XXIe siècle a été accompagné d'intenses transformationssociospatiales, qui mettent en échec l'avenir de la ville. D'un côté, des processusd'individualisation et de segmentation sociale s'accroissent et articulément produisent ou réitèrent les inégalités. D'autre côté et de façon dialectique, la production de tissus urbains de plus en plus dispersés se confirme, caractérisée par des discontinuités territoriales et des densités variables du centre vers la périphérie. Dans ce contexte, l'urbanisation se diffuse mondialement, affecte tous les espaces et articule des différentes échelles, de façon à produire l'urbain au-delà des villes. Au Brésil, spécialement à partir des années 1970, les transformations sociospatiales mentionnées ci-dessus se sont liées à des processus de modernisation nationaux. Les métropoles de Curitiba et de Brasilia se sont développées dans cette période, chacune à sa manière, mais de façon plus accentuée à Brasilia. Toutes deux ont néanmoins été marquées par des inégalités et par la dispersion urbaine. Deux objectifs ont orienté la discussion proposée dans cette thèse : examiner la corrélation entre dispersion urbaine et fragmentation sociospatiale ; et expliquer comment ces deux processus se réalisent à Brasilia et à Curitiba. La recherche comparative a été menée à partir d'études et recherches sur les deux villes ainsi que directement dans leurs agglomérations. Des observations, des visites de terrain dans les zones résidentielles fermées et dans les villes de la périphérie métropolitaine ont été faites, mais aussi des entretiens avec des résidents. De ce fait, le cadre analytique de la thèse permet de comprendre qu'il y a, à Curitiba et surtout à Brasilia, des logiques fragmentaires qui favorisent la dissolution de l'unité morphologique tant par la dispersion des tissus urbains que par la segmentation sociale et la reproduction des inégalités. Ceci contribue à la création de limites à la mise en place du droit à la ville comme droit à la différence et amène à une nécessaire réflexion sur la notion de justice spatiale comme moyen approprier de surmonter les inégalités.
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L'autopromotion, une piste pour l'innovation architecturale, environnementale et urbaine / The "self promotion", a path for architectural"

Ruiz, Eric 03 November 2014 (has links)
Au-delà du cadre classique de la production du logement, des projets originaux à l’initiative de citoyens ou impliquant fortement des habitants, se développent sur le territoire européen et notamment français. S‘émancipant de l’offre professionnelle privée ou publique, ces maîtrises d’ouvrages d’usagers produisent un habitat original, tant du point de vue architectural et environnemental, que de l’insertion sociale et au territoire qui l’accueille. Ce type de dynamique n’est pas un phénomène nouveau. En Amérique Latine notamment, des mouvements populaires et coopératifs développent ce type de démarche depuis plusieurs décennies. Insuffisamment étudié, ce phénomène mérite d’être analysé plus précisément, en particulier dans le champ de l’architecture et du point de vue des porteurs de ces projets : les habitants. Cette recherche vise à montrer, par une analyse des différentes typologies d’organisations collectives, adoptées par ces maîtrises d’ouvrage non professionnelles d’habitants, les atouts et les résultats de leur production, du point de vue de : la question « spatiale », qui interroge la notion de l’habitat et de son usage ; la question du « métier » du concepteur, qui interroge le mode de production du projet au travers de la relation architecte – maîtrise d’ouvrage (non professionnelle) ; et enfin la question de « l’insertion spatiale et sociale », qui interroge la dimension urbaine de ces projets et citoyenne de leurs promoteurs. Se basant sur les notions de « droit à l’œuvre » et de « droit à la ville » définies par Henri Lefebvre et de « bien commun » définie par Elinor Ostrom, cette thèse propose un apport de connaissances visant à contribuer à la réponse des professionnels et des politiques publiques, à une demande sociale chaque jour plus présente en matière d’initiatives citoyennes dans la production de l’habitat. / Further to the production of housing within a traditional Framework are curently developed all over europe and specialy in France. Moving away from public or private standar models, the projects inspired by the end users tend to produce very original habitats, in terms of architecture and environment as well as social and territorial insertion. This kind of dynamic is not a new phenomenom. Particulary in Latin America, popular and cooperative movements have developed this type of approach for decades. Insufficiently studied, this phenomenom merits more precise analysis, particulary in the field of architecture and from the point of view of the managers of such projects : the inhabitants. This research aims to demonstrate, through an analysis of different types of collective organizations adopted by these non-professional inhabitants leadership, the benefits and results of their production, in terms of: the "spacial" question, which looks at the concept of habitat and its use ; the issue of "skill" of the designer, who questions the mode of production of the project through the architect relationship - project management (non-occupational) ; and finally the area of "spatial and social inclusion", which looks at the urban dimension of these projects and their "property developers". Based on the concepts of "right to do" and "right to the city" defined by Henri Lefebvre and "common good" defined by Elinor Ostrom, this thesis provides a contribution of knowledge to contribute to the response of professionals and public policy, to a real social demand present every day in terms of citizen initiatives in the production of housing.

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