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L'incidence de l'ajustement struturel sur les inégalités socio-économiques dans un contexte néo-patrimonial : le cas du Sénégal

Abadie, Delphine January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La poésie orale peule des pêcheurs de la vallée du Fleuve Sénégal (Pékâne) : approche géopoétique / Oral poetry of the River Senegal fishermen (Pekane) : geopoetic approach

Lorin, Marie 25 September 2015 (has links)
Cette étude propose de mettre en relation une pratique poétique propre à la communauté des pêcheurs du fleuve Sénégal, le Pékâne (Pekaan en poulâr) – en particulier l’une de ses composantes la moins connue, le Diârâlé (jaaraale en poulâr)- et un paysage : la vallée du Fleuve Sénégal. Le Pékâne est une poésie orale en poulâr chantée a capella par des Soubalbés, c’est-à-dire les pêcheurs du Fleuve Sénégal. Le Diârâlé est couramment défini comme de la poésie descriptive. Il s’agit d’une poésie ancrée dans un territoire local qui retrace l’itinéraire des poètes circulant au bord du fleuve Sénégal. Cette dimension géographique fondamentale a orienté le choix d’un cadre théorique particulier, celui de la géopoétique, qui n’a pas encore été mis à l’épreuve pour étudier le Pékâne et ses différentes composantes. C’est pourquoi cette étude essaiera de montrer en quoi le Diârâlé peut être défini comme une poésie paysagère qui a su s’adapter à un contexte très mouvant. Pour ce faire, trois questions principales seront abordées. La première partie analysera comment le Diârâlé se construit sur un réseau non seulement intertextuel mais aussi social et culturel. Une seconde partie s’interrogera sur les évolutions du Diârâlé en montrant qu’il s’agit d’un genre dynamique qui a su se perpétuer au-delà de Guélâye Âli Fâl, la figure tutélaire du Pékâne contemporain sur lequel toutes les études avaient jusqu’à présent porté. Enfin, une dernière partie montrera que le Diârâlé peut être considéré comme une poésie paysagère et nomade en prise avec les bouleversements environnementaux qui frappent de plein fouet la Vallée du Fleuve Sénégal.L’analyse s’appuiera sur un corpus de six textes oraux, transcrits en poulâr et traduits en français, collectés auprès de deux chanteurs de Pékâne au Sénégal en 2011 et 2012. / This dissertation aims to link a poetry specific to River Senegal’s fishermen called Pékâne (Pekaan) - especially one of its lesser-known component called Diârâlé (Jaaraale) - and a landscape : the Valley of the River Senegal. Pékâne is a fulani oral poetry sung a capella by fishermen of the River Senegal. Diârâlé is often defined as a descriptive poetry. It is deeply rooted in a local territory and it retraces the poets’ itinerary along the bank of the River Senegal. This fundamental aspect has lead me to choose a specific theoretical framework : the geopoetic approach which has never been used before to study Pékâne and its components. This is why, this dissertation tries to show why Diârâlé can be defined as a landscaping poetry which was able to adapt itself to a highly changing environment. Three main issues are raised.The first part analyses how Diârâlé is building itself not only on an intertextual network but also on a social and cultural network. The second part examines the Diârâlé actual evolutions, showing that it is a dynamic genre which was able to continue beyond Guélâye Âli Fâl, the tutelary figure of modern Pékâne. Finally, the last part shows that Diârâlé can be considered as a landscaping and nomadic poetry linked to environmental changes that are hitting the River Senegal Valley.The analysis is based on a corpus made of six oral performances collected in 2011 and 2012 in Senegal. Texts are transcribed in Fulani and translated into French.
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La poésie orale peule des pêcheurs de la vallée du Fleuve Sénégal (Pékâne) : approche géopoétique / Oral poetry of the River Senegal fishermen (Pekane) : geopoetic approach

Lorin, Marie 25 September 2015 (has links)
Cette étude propose de mettre en relation une pratique poétique propre à la communauté des pêcheurs du fleuve Sénégal, le Pékâne (Pekaan en poulâr) – en particulier l’une de ses composantes la moins connue, le Diârâlé (jaaraale en poulâr)- et un paysage : la vallée du Fleuve Sénégal. Le Pékâne est une poésie orale en poulâr chantée a capella par des Soubalbés, c’est-à-dire les pêcheurs du Fleuve Sénégal. Le Diârâlé est couramment défini comme de la poésie descriptive. Il s’agit d’une poésie ancrée dans un territoire local qui retrace l’itinéraire des poètes circulant au bord du fleuve Sénégal. Cette dimension géographique fondamentale a orienté le choix d’un cadre théorique particulier, celui de la géopoétique, qui n’a pas encore été mis à l’épreuve pour étudier le Pékâne et ses différentes composantes. C’est pourquoi cette étude essaiera de montrer en quoi le Diârâlé peut être défini comme une poésie paysagère qui a su s’adapter à un contexte très mouvant. Pour ce faire, trois questions principales seront abordées. La première partie analysera comment le Diârâlé se construit sur un réseau non seulement intertextuel mais aussi social et culturel. Une seconde partie s’interrogera sur les évolutions du Diârâlé en montrant qu’il s’agit d’un genre dynamique qui a su se perpétuer au-delà de Guélâye Âli Fâl, la figure tutélaire du Pékâne contemporain sur lequel toutes les études avaient jusqu’à présent porté. Enfin, une dernière partie montrera que le Diârâlé peut être considéré comme une poésie paysagère et nomade en prise avec les bouleversements environnementaux qui frappent de plein fouet la Vallée du Fleuve Sénégal.L’analyse s’appuiera sur un corpus de six textes oraux, transcrits en poulâr et traduits en français, collectés auprès de deux chanteurs de Pékâne au Sénégal en 2011 et 2012. / This dissertation aims to link a poetry specific to River Senegal’s fishermen called Pékâne (Pekaan) - especially one of its lesser-known component called Diârâlé (Jaaraale) - and a landscape : the Valley of the River Senegal. Pékâne is a fulani oral poetry sung a capella by fishermen of the River Senegal. Diârâlé is often defined as a descriptive poetry. It is deeply rooted in a local territory and it retraces the poets’ itinerary along the bank of the River Senegal. This fundamental aspect has lead me to choose a specific theoretical framework : the geopoetic approach which has never been used before to study Pékâne and its components. This is why, this dissertation tries to show why Diârâlé can be defined as a landscaping poetry which was able to adapt itself to a highly changing environment. Three main issues are raised.The first part analyses how Diârâlé is building itself not only on an intertextual network but also on a social and cultural network. The second part examines the Diârâlé actual evolutions, showing that it is a dynamic genre which was able to continue beyond Guélâye Âli Fâl, the tutelary figure of modern Pékâne. Finally, the last part shows that Diârâlé can be considered as a landscaping and nomadic poetry linked to environmental changes that are hitting the River Senegal Valley.The analysis is based on a corpus made of six oral performances collected in 2011 and 2012 in Senegal. Texts are transcribed in Fulani and translated into French.
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La poésie orale peule des pêcheurs de la vallée du Fleuve Sénégal (Pékâne) : approche géopoétique / Oral poetry of the River Senegal fishermen (Pekane) : geopoetic approach

Lorin, Marie 25 September 2015 (has links)
Cette étude propose de mettre en relation une pratique poétique propre à la communauté des pêcheurs du fleuve Sénégal, le Pékâne (Pekaan en poulâr) – en particulier l’une de ses composantes la moins connue, le Diârâlé (jaaraale en poulâr)- et un paysage : la vallée du Fleuve Sénégal. Le Pékâne est une poésie orale en poulâr chantée a capella par des Soubalbés, c’est-à-dire les pêcheurs du Fleuve Sénégal. Le Diârâlé est couramment défini comme de la poésie descriptive. Il s’agit d’une poésie ancrée dans un territoire local qui retrace l’itinéraire des poètes circulant au bord du fleuve Sénégal. Cette dimension géographique fondamentale a orienté le choix d’un cadre théorique particulier, celui de la géopoétique, qui n’a pas encore été mis à l’épreuve pour étudier le Pékâne et ses différentes composantes. C’est pourquoi cette étude essaiera de montrer en quoi le Diârâlé peut être défini comme une poésie paysagère qui a su s’adapter à un contexte très mouvant. Pour ce faire, trois questions principales seront abordées. La première partie analysera comment le Diârâlé se construit sur un réseau non seulement intertextuel mais aussi social et culturel. Une seconde partie s’interrogera sur les évolutions du Diârâlé en montrant qu’il s’agit d’un genre dynamique qui a su se perpétuer au-delà de Guélâye Âli Fâl, la figure tutélaire du Pékâne contemporain sur lequel toutes les études avaient jusqu’à présent porté. Enfin, une dernière partie montrera que le Diârâlé peut être considéré comme une poésie paysagère et nomade en prise avec les bouleversements environnementaux qui frappent de plein fouet la Vallée du Fleuve Sénégal.L’analyse s’appuiera sur un corpus de six textes oraux, transcrits en poulâr et traduits en français, collectés auprès de deux chanteurs de Pékâne au Sénégal en 2011 et 2012. / This dissertation aims to link a poetry specific to River Senegal’s fishermen called Pékâne (Pekaan) - especially one of its lesser-known component called Diârâlé (Jaaraale) - and a landscape : the Valley of the River Senegal. Pékâne is a fulani oral poetry sung a capella by fishermen of the River Senegal. Diârâlé is often defined as a descriptive poetry. It is deeply rooted in a local territory and it retraces the poets’ itinerary along the bank of the River Senegal. This fundamental aspect has lead me to choose a specific theoretical framework : the geopoetic approach which has never been used before to study Pékâne and its components. This is why, this dissertation tries to show why Diârâlé can be defined as a landscaping poetry which was able to adapt itself to a highly changing environment. Three main issues are raised.The first part analyses how Diârâlé is building itself not only on an intertextual network but also on a social and cultural network. The second part examines the Diârâlé actual evolutions, showing that it is a dynamic genre which was able to continue beyond Guélâye Âli Fâl, the tutelary figure of modern Pékâne. Finally, the last part shows that Diârâlé can be considered as a landscaping and nomadic poetry linked to environmental changes that are hitting the River Senegal Valley.The analysis is based on a corpus made of six oral performances collected in 2011 and 2012 in Senegal. Texts are transcribed in Fulani and translated into French.
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Des institutions internationales à l'action locale. A quelles échelles le développement durable est-il efficace ?<br />Le cas des équipements structurants dans le bassin versant du fleuve Sénégal.

Sène, Abdourahmane Mbade 08 October 2008 (has links) (PDF)
Les travaux s'articulent autour de deux axes de réflexion : d'une part, ils portent sur l'étude du développement durable au travers de l'analyse sur les plans économique, social, institutionnel et environnemental des politiques de développement et des grands aménagements hydro-agricoles effectués à l'échelle régionale dans le bassin du fleuve Sénégal, puis à l'échelle locale dans l'espace territoriale situé le long de la rive gauche du fleuve. D'autre part, ils tentent d'étudier ou de comprendre comment les politiques internationales de développement et particulièrement de gestion environnementale pilotées et conceptualisées par les grandes instances internationales sont intégrées aux dispositifs de gestion ou de gouvernance établis aux niveaux régionale, nationale et locale et comment elles sont, au terme des différentes étapes d'intégration, mises en application. <br />D'une manière transversale à ces axes de recherche, apparaissent deux autres axes de réflexion : d'abord de nouveaux principes ou indicateurs relatifs au développement durable et à la justice environnementale tels que l'équité et la participation sont étudiés sur ces territoires afin de mieux comprendre les mécanismes ou le fonctionnement des modèles de développement véhiculés par les instances internationales sur les territoires des pays du Sud. Ensuite, l'analyse des grandes conventions internationales environnementales depuis leur élaboration au travers de négociations internationales avec toutes les controverses qui en découlent jusqu'à leur application avec les difficultés d'appropriation par les Etats du Sud des normes qui y sont élaborés et les conditionnalités de l'aide qui s'y rattachent.
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"Vivre à l'ombre proche" du barrage de Manantali : les formes de représentations sociales des impacts dans les campements et les villages environnants

Cisse, Coumba 09 June 2016 (has links)
En 1988, le Bassin du fleuve Sénégal au Mali a vu la mise en service d’un barrage par l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS). L’objectif principale est la production d’énergie électrique partagée entre : le Mali (52%), le Sénégal (33%) et la Mauritanie (15%). Mais l’apparition de cet ouvrage constitue une perturbation profonde dans l’organisation et le fonctionnement des espaces riverains. Les territoires autour du Bafing, affluent où se localise le barrage, se trouvent ainsi cloisonnés en une partie amont et aval du lac de retenue. Ce dernier a insufflé une nouvelle dynamique spatiale avec l’installation récente de 25 campements de pêche.Cette nouvelle économie constitue un facteur d’attraction de pêcheurs professionnels venus des régions du Centre du Mali, particulièrement de Mopti et de Ségou. Le lac devient ainsi une immense réserve de poissons avec des tailles plus importantes par rapport à ceux capturés dans les affluents du Bafing, du Bakoye, ou même du fleuve Sénégal. En amont du barrage, la pêche devient la première activité économique poussant des jeunes agriculteurs et éleveurs «autochtones» à une reconversion professionnelle pas toujours aboutie. Les campements de pêcheurs occupent un ancien site des villages déplacés lors de la construction du barrage. Trente-trois villages sont actuellement réinstallés en aval du barrage dans le finage d’autres hameaux préexistants. Cette cohabitation bouleverse l’occupation de l’espace et entraine des tensions foncières. Certains sites comme Manantali à 5 km du barrage en sont les grands bénéficiaires. Ce village s’est transformé en un véritable « centre-rural », en accueillant les cadres et les ouvriers qualifiés et toute la main d’œuvre venus du Mali voire de l’étranger. Cet afflux d’habitants urbanisés a profondément changé la configuration du site et l’a surtout fortement ségrégué. Les bureaux de la société d’exploitation au pied du barrage, le vieux village de Manantali, les cités des ouvriers et celle des cadres sont autant de témoins d’un espace urbain en devenir, fonctionnel et très inégalitaire. Le principal objet de cette étude est l’étude des impacts du barrage de Manantali sur l’organisation socio-spatiale et physique des territoires riverains. L’entrée par une lecture des représentations sociales, consensuelles comme conflictuelles, par les habitants et les différents acteurs, est privilégiée. L’analyse des données quantitatives et des différents discours identifie les expressions tant des effets environnementaux physiques que socioéconomiques suscités par l’ouvrage. Le concept de représentations sociales est posé de la façon suivante: «les représentations forment des codes mémorisés par le cerveau, mobilisables de façon consciente et se prêtant à de multiples utilisations mentales. Ces codes servent en particulier à décrypter notre environnement géographique, mais aussi à communiquer avec autrui, à rêver, imaginer, planifier et orienter nos conduites ou nos pratiques les plus diverses» (DI MEO, 2008). Cette étude d’impact se positionne donc le domaine de la géographie sociale.Au cœur de cette étude se trouvent les acteurs, les responsables politiques à différentes échelles, et surtout l’habitant ordinaire qui vit à l’ombre du barrage de Manantali. Cette notion d’ombre doit être comprise dans la polysémie des impacts de l’ouvrage, tout autant néfastes que bénéfique, et par rapport à son aire d’influence. Les principales zones d’étude considérées se situent à « l’ombre proche » de l’ouvrage, ou à l’échelle locale, dans un rayon de 50 kilomètres autour du barrage. Il s’agit de 8 villages déplacés et anciens. Mais également des 25 campements de pêche autour du lac de retenue. / In 1988 the Senegal River basin in Mali has witnessed the building of a dam by the Organization for the Development of the Senegal River (OMVS) in French. The main objective is the production of electric power shared between: Mali (52%), Senegal (33%) and Mauritania (15%). But the birth of this dam has deeply disrupted the organization and functioning of all the waterside’s areas. The territories around the Bafing, the river where the dam is localized, are now strictlydivided by the reservoir between an upstream and downstream portions. This artificial lake has created new types of spatial organization with the recent settlements of 25 fishing camps.This new economy has created a pull factor for professional fishermen coming from the central regions of Mali, particularly Mopti and Segou. The lake hence becomes a huge fish reserve with larger sizes compared to those caught in the Bafing, the Bakoye or even in the Senegal River. In the upstream areas of the dam, fishing has become the first business activityencouraging local young farmers and herdsmen towards an unlikely professional retraining.Fishermen settlements occupy former site of displaced villages due to the dam construction. Thirty-three villages have been relocated downstream of the dam in the lands of existing hamlets. This cohabitation disruptstraditional land use and leads to social strains.
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Migrations internationales, restructurations agraires et dynamiques associatives en pays soninké et haalpulaar (1975-1990), essai d'anthropologie du changement social et du développement

Lavigne Delville, Philippe 27 June 1994 (has links) (PDF)
Ce travail propose une interprétation des dynamiques actuelles de changement social dans la zone sahélienne d'émigration internationale (pays soninké et haapulaar, à cheval entre le Sénégal, le Mali et la Mauritanie), resituées dans une perspective de longue durée. La ruine des formations sociales précoloniales soninke et haalpulaar a réorienté leurs économies vers les migrations, et, depuis les années 60-70, les migrations vers la France. Les transferts financiers des migrants sont devenus le coeur de la régulation de l'économie domestique. Le contrôle de ces transferts est devenu un enjeu, que les notables ont cherché à contrôler, à travers le regroupement des migrants dans des "villages-bis" dans les foyers d'immigrés. Au niveau villageois, les revenus migratoires ont recomposé les stratégies économiques des familles, que ce soit pour accumuler, ou éviter la désaccumulation. L'agriculture occupe désormais un rôle secondaire, même là où, comme au Fuuta Toro, les périmètres irrigués créés par l'Etat ont permis d'accroître la capacité de production. La relative marginalisation de l'activité agricole n'est cependant pas un effet mécanique de la dépendance à la migration, mais le fruit de stratégies différenciées. Les projets de développement financés par les migrants sont à la fois des investissements collectifs et des façons de gérer l'extraversion. En migration comme au village, les associations locales apparaissent comme de nouveaux modes d'action collective, sur les affaires publiques locales. Elles sont en même temps des arènes dans la compétition politique et sur le sens du terme "développement"
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Le bassin du fleuve Sénégal : vers une gestion participative? : implication des populations dans la gestion des ressources du bassin et évolution des relations entre riverains

Auclair, Audrey 19 April 2018 (has links)
Après l’instauration de l’Organisation de Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) en 1972, d’ambitieux projets d’aménagements hydroagricoles furent réalisés en réponse aux sécheresses consécutives et à une pression démographique accrue. Ces mutations, qui visaient l’intensification de la production agricole dans le bassin, auraient dû répondre aux besoins des populations locales, mais eurent comme corollaire le bouleversement des modes de subsistance traditionnels et du fragile équilibre séculaire s’étant instauré entre agriculteurs, pasteurs et pêcheurs. La mise au ban forcée d’un savoir ancestral et l’accroissement des inégalités socioéconomiques constituèrent rapidement un terreau fertile à la montée des tensions, qui culminèrent avec le conflit sénégalo-mauritanien de 1989. En réponse aux vives critiques reçues, l’OMVS tenta de pallier ces lacunes en adoptant une tangente participative au tournant des années 2000. Le présent mémoire s’intéresse à cette démarche inclusive et vise à identifier les impacts d’une telle approche sur les relations entre communautés riveraines.--Résumé de l'éditeur.

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