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< ELLE PARTIT, S'ENFONCANT DANS LA PLUIE FINE COMME UN VOILE > : ESTHETIQUE DE LA PROSTITUTION FEMININE DANS LA LITTERATURE DU XIXEME SIECLEBernaudat-Hanin, Clémentine Pierrette Claudine 04 August 2016 (has links)
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The Médan Matrix: Huysmans and Maupassant following Zola's model of naturalismWolter, Jennifer Kristen 05 September 2003 (has links)
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Ruptures ; précédé de Petite corrida sur le motif littéraire de la tauromachieBernard, Daniel 02 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / L'histoire se déroulera en Espagne pendant la fête de la Saint-Firmin : la fête des taureaux à Pampelune. C'est dans cette atmosphère d'ivresse et de carnaval que de jeunes voyageurs, cherchant la trace d'Hemingway, assisteront à une corrida. Troublé par la disparition de son amie, l'un d'eux s'engagera alors sur une voie irréversible qui l'amènera à vivre une série de ruptures, à la fois intérieures et extérieures.
Plutôt que d'analyser ces ruptures, notre intention sera de les montrer à travers divers événements : le voyage, la fête, la tauromachie et l'amour. Ainsi, notre récit sera presque journalistique au début ; la narration, en focalisation externe (Dashiel Hammett : La Clé de verre, Ernest Hemingway : Paradis perdu ; certains auteurs français du XIXe siècle introduisent l'intrigue de cette façon : Balzac : La Peau de chagrin, Flaubert : Madame Bovary), permettra d'examiner de l'extérieur la rupture physique. Par la suite, la narration, en focalisation interne (Stendhal : La Chartreuse de Parme ; James : Les Ambassadeurs ; Joyce : Le Portrait de l'artiste), permettra d'investir l'espace mental du héros afin de montrer deux autres ruptures, toutes intérieures celles-là.
L'originalité du projet résidera dans l'utilisation de la tauromachie comme structure du récit. Ainsi, le récit - comme la tragédie de la corrida - sera divisé en trois actes : dans le premier acte, le "tercio de varas", le héros prendra conscience qu'il est seul. Dans le deuxième acte, le "tercio de banderillas", l'amour-propre du héros se retrouvera bafoué et déchiré. C'est dans le dernier acte, le "tercio de la muerte", que le héros subira la mort de ses illusions.
Nous venons de le voir, le motif de la corrida sera très important dans le texte de création. Or, plusieurs écrivains se sont intéressés à la tauromachie, dont Michel Leiris dans un court essai intitulé "De la littérature considérée comme une tauromachie". Dans notre essai critique, nous visiterons ces auteurs et nous chercherons à comprendre comment le motif de la course de taureau intervient dans leurs textes.
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Die Franse bydrae tot en invloed op Africana-literatuur vanaf 1622 tot 1902 met spesiale verwysing na Franse en vroee Afrikaanse tekste.Sienaert, Marilet. January 1985 (has links)
No abstract available. / Thesis (Ph.D.)-University of Natal, Durban, 1985.
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Une tentatrice redoutable : la télévision chez Jean-Philippe Toussaint et Serge JoncourAuger, Marie-Claude 08 1900 (has links)
Si, depuis son apparition, la télévision suscite de nombreuses réactions de mépris chez les élites cultivées, son emprise sur l’individu et la vie en société est indéniable. La littérature ne pouvait manquer de s’intéresser à la nature et à l’évolution de ce média si discuté avec lequel elle entretient des relations plus complexes qu’il n’y paraît. Cette étude porte sur deux romans qui proposent une représentation très élaborée et singulière du petit écran et de son rôle, La Télévision de Jean-Philippe Toussaint et Que la paix soit avec vous de Serge Joncour. Chacun d’eux fait l’objet d’un chapitre. En plus de procéder à une critique incisive du média télévisuel, ces fictions mettent en évidence ses liens avec l’imaginaire social contemporain. Toussaint accorde une importance particulière aux bouleversements socioculturels causés par la télévision et montre qu’elle a si bien investi la place de la vie quotidienne que les mondes réel et virtuel risquent désormais constamment de se confondre. Joncour décrit avec soin l’influence qu’elle exerce sur notre perception de la réalité et critique la lecture superficielle du monde qu’elle impose. Cependant qu’elles effectuent ce travail critique, les deux œuvres se rejoignent pour souligner son pouvoir de fascination et la présentent telle une tentatrice redoutable. Parce qu’elle part d’une lecture interne des textes pour les mettre en relation avec la façon dont la télévision, en tant que dispositif sémiotique, c’est-à-dire en tant que machine à produire du sens, informe la réalité humaine, notre étude se situe sur le terrain de la sociocritique des textes. / If, since its emergence, television has created numerous reactions of contempt amongst the cultivated elites, its influence on individuals and society is undeniable. Literature could not have passed up on taking an interest in the nature and evolution of this so often discuss media with whom she maintains relations more complex than they appear. This study focuses on two novels that offer an especially elaborate and particular representation of the small screen and its role, La Télévision from Jean-Philippe Toussaint and Que la paix soit avec vous from Serge Joncour. Each of these is the object of one chapter. Besides offering an insightful criticism of the television media, these works of fiction bring forward its relations with the contemporary social imaginary. Toussaint highly focuses on the sociocultural turnovers caused by television and illustrates that it has so well invested itself in our everyday life that, henceforth, we may constantly confuse the real and virtual worlds. Joncour carefully describes its weight on our perception of reality and criticizes the superficial view of the world it inflicts. However their critical work, both novels connect to underline its power of fascination and present it such a fearsome temptress. Because it begins with an internal reading of the texts to relate them to the way that television, as a semiotic device, meaning as a sense producing machine, informs human reality, our study is positioned on the grounds of the sociocriticism of the texts.
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Les voix du saltimbanque et leur mise en scène dans L'homme qui rit de Victor HugoMarcotte, Viviane 07 1900 (has links)
Malgré sa disparition progressive dans l’espace public, le saltimbanque, objet constant de méfiance et de mépris du côté des élites sociales, connaît un regain dans l’art et la littérature du XIXe siècle. Publié en 1869, L'Homme qui rit de Victor Hugo offre une représentation particulièrement élaborée de cette figure. Le roman déploie un encyclopédisme et une polyphonie qui permettent de situer l’art du saltimbanque dans l’ensemble des théâtralisations de la parole publique qu’il passe en revue. Les deux personnages principaux, des bateleurs du nom de Gwynplaine et d’Ursus, sont conduits à franchir des frontières sociales et culturelles habituellement étanches : ils évoluent entre autres dans les villes, sur les places, sur les routes, dans les tribunaux, dans les caves pénales, dans les auberges et dans les chambres parlementaires. L’étude sociocritique de leurs parcours met en lumière le dialogue que le roman hugolien entretient avec l’imaginaire social du Second Empire, tout particulièrement à l’égard des débats sur la misère, sur le sens du pouvoir et sur la valeur du théâtre qui le traversent. / Although the mountebanks as progressively disappeared from the public space, led by the constant mistrust and the aversion of the elite society, the subject knows a renewal of popularity in art and literature of the 19th century. Published in 1869, L'Homme qui rit written by Victor Hugo offers an especially elaborated representation of that figure. The book unfolds an encyclopaedism and an impressive polyphony that help to narrow the art of the mountebanks into the entirety of the theatricalisation of the public voice. The two main characters, both street performers named Gwynplaine and Ursus, are led to step over social and cultural frontiers that are normally hermetic: they evolve inter alia in the cities, on the places, the roads, through court houses, jails, inns and parliament chambers. The sociocritic study of those different paths clarifies the dialogue between the novel and the spirit of the second empire’s society, particularly with regard to the debates on misery, the meaning of the authority and the value of the theatre which cross it.
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Vision, montage et trame sonore dans «Tous les matins du monde», de Pascal QuignardBérubé, Annabel 12 1900 (has links)
L’étude de « Tous les matins du monde», de Pascal Quignard, et ponctuellement, de « Terrasse à Rome», nous permettra d’examiner les relations entre cinéma et littérature d’un point de vue poétique et esthétique et d’approfondir l’approche intermédiale de la littérature. À l’aide de la théorie de la lecture d’Umberto Eco, nous montrerons comment l’encyclopédie filmique du lecteur peut le rendre réceptif à un effet-cinéma en littérature. Nous étudierons les indices implicites qui, ensemble, permettent de parler d’une esthétique filmique. Trois grands chapitres permettront d’étudier cela : vision, montage et univers sonore du texte.
Cet angle d’approche devrait permettre de relire « Tous les matins du monde » suivant une perspective critique nouvelle, tout en approfondissant les recherches sur l’intermédialité. / The study of « Tous les matins du monde », of Pascal Quignard, and punctually, of « Terrasse à Rome », will allow us to examine the relationship between cinema and literature from a poetic, esthetical point of view and a deepen literature’s intermediary approach. Using Umberto Eco’s reading theory, we will observe how the reader’s film encyclopaedia may make him receptive to cinema-effect literature. We will study the implicit clues which, together, create the film esthetic. Vision, editing and sounding can be studied through three chapters.
We hope that this perspective will allow the reading of « Tous les matins du monde » from a new critical perspective, while deepening the intermediality researches.
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La plume et le glaive : Caligula et la création littéraire chez CamusNadeau, Jean-Philippe 08 1900 (has links)
Pour Albert Camus, la littérature était à la fois une activité essentielle à son bonheur et un objet de réflexion. Afin de saisir quelle conception de la littérature et quelle vision du rôle de l’écrivain se dégagent de son oeuvre, ce mémoire aborde dans un même mouvement ses deux principaux essais, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, et une pièce de théâtre, Caligula. Notre premier chapitre consiste dans la recherche de ce qui, pour Camus, fait de la création artistique une activité privilégiée dans l’horizon de la pensée de l’absurde et de la révolte. Dans le deuxième chapitre, les différents commentaires émis par la critique à propos de Caligula seront examinés. La pièce, malgré l’opinion dominante, ne raconte pas l’histoire d’un empereur absurde qui se révolte contre son destin. L’importance du thème de la création littéraire dans cette pièce a également été grandement sous-estimée. Enfin, le troisième chapitre de ce mémoire présente notre propre analyse de la pièce. La confrontation de la fiction avec la théorie révèle une grande concordance entre les deux aspects de l’oeuvre de Camus. L’accord n’est cependant pas parfait, et l’étude des points de friction découverts permet d’apporter des éclaircissements sur un des points les plus obscurs des essais de Camus : l’éthique du créateur placé dans une situation où il doit choisir entre tuer et mourir. / For Albert Camus, literature was both an activity crucial to his happiness and a study object. In order to understand what conception of literature can be found in Camus’ writings and the responsibilities of the writer that this definition implies, this memoir studies his two main essays, The Myth of Sisyphus and The Rebel, and one play, Caligula. Our first chapter consist in a research of what makes artistic creation an exceptional activity in the light of Camus’ thoughts on absurd on revolt. In our second chapter, the critics’ various commentaries about Caligula are examined. In spite of what is still the opinion of a majority of critics, the play is not the tale of an absurd emperor who would revolt against his destiny. Also, the theme of literary creation has not been sufficiently studied in that play, in which it plays a determinant role. Finally, the third chapter of this memoir presents our own analysis of the play. The confrontation of fiction and theory reveals a great similarity between the two aspects of Camus’ writings. However, the match is never perfect, and the study of the friction points allows us to shed light on one of the most obscure part of Camus’ essays: the ethic of the creator placed in a situation where he must kill or be killed.
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Le motif du voile dans Sordidissimes de Pascal Quignardde Bellefeuille, Josée 04 1900 (has links)
Les trois paradigmes majeurs à partir desquels s’oriente l’analyse du voile dans Sordidissimes de Pascal Quignard sont les vêtements et la nudité, les « sordes » et le linceul, la toile et le regard. C’est à l’aide de l’analyse thématique et de la psychanalyse que la relation du voile au corps, à la mort et à l’art, est interprétée. Ce que l’on souhaite mettre en évidence est que le voile tient lieu de l’ambivalence. Il se trouve perpétuellement tendu par la volonté du sujet qui l’utilise tour à tour pour recouvrir ou révéler l’objet de ses désirs ou de ses peurs. Le voile incarne ainsi la frontière d’où s’origine la fascination, qu’elle soit morbide ou sexuelle. / The bases of our analysis of the veil in Pascal Quignard’s Sordidissimes are the three following paradigms : clothing and nudity, sordes and shroud, and canvas and gaze. Thematic analysis as elaborated by Jean-Pierre Richard and psychoanalysis will guide our interpretation of the relation of the veil to the body, death and arts. The purpose of this study is to demonstrate the constant movement of the veil. It is not static; the breeze that is the willpower of the self always moves the veil without ever tearing it off. What the veil is hiding or partially revealing is the origin of the fascination – bet it morbid or sexual.
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La mémoire matérielle : évocation des souvenirs et photographie dans Les années, d’Annie ErnauxBissonnette, Karine 08 1900 (has links)
L’imbrication de l’écriture et de la photographie sera examinée dans Les années, d’Annie Ernaux, de façon à montrer la tension au cœur du double désir de l’auteure de documenter des moments révolus et de les transmettre à autrui. Seront étudiées, d’un point de vue poétique et esthétique, la mise en œuvre des documents et les modalités d’inscription des souvenirs, lesquels sont généralement présentés sous forme d’images mémorielles. Nous verrons que ces images sont liées à un effet photographique, destiné au lecteur dans le but de partager une mémoire matérielle, intime et collective, s’étalant sur des années.
Cet angle d’approche devrait permettre de relire Les années suivant une perspective critique nouvelle, et de contribuer aux recherches portant sur la narration, la trace et la mémoire dans la littérature contemporain. / The interweaving of writing and photography will be examined in Annie Ernaux’s Les années, showing the central tension of the author’s double desire to document past events and pass them on to others. The implement of documents and the engraving modes of memories are generally presented as mental images that will be studied here from a poetic and aesthetic point of view. We will see that those images are linked to a photographic effect, in order to share with the reader an intimate and collective material memory that spreads over many years.
This approach would allow a rereading of Les années from a new critical perspective and a contribution to research about narrative, trace and memory in contemporary writing.
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