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(Dis)continuités des identités et imaginaires en francophonie littéraire : étude comparée des nouvelles de Sévérin Cécile Abéga et de François Mauriac

Medouane Ndafang, Edith Bertine 20 December 2013 (has links) (PDF)
Produites dans une période de questionnement sur l'identité de l'homme et de l'écrivain, les nouvelles littéraires de François Mauriac et de Sévérin Cécile Abéga présentent un imaginaire tantôt symétrique, tantôt non, mais éclairant du rapport entre l'écrivain, son espace et son identité. Le sujet, "(Dis)continuités des identités et imaginaires en francophonie littéraire : étude comparée des nouvelles de Sévérin Cécile Abéga et de François Mauriac " pose le problème des modes de transfiguration des identités et de l'imaginaire dans la nouvelle littéraire francophone. L'hypothèse en est qu'en francophonie littéraire, la pluralité des lieux culturels se reflète dans la diversité d'un genre et implique une certaine cohérence. Cette étude interroge la représentation du cadre spatial et des personnages, les systèmes de valeurs de la société et du genre dans deux postures différentes. Les sujets de cette étude la destine à la critique des imaginaires, et cette approche est enrichie par d'autres lectures comparatistes. Ainsi, on constate que les périodes pendant lesquelles l'écrivain se trouve à la rencontre de tensions historiques,idéologiques et littéraires latentes sont celles où l'imagination créatrice de la nouvelle est réelle. On peut aussi établir que l'espace de la nouvelle est essentiellement celui des auteurs, mais qu'il s'agit d'un espace de désenchantement. Cet univers de déconstruction de l'être implique un univers idéal, un ailleurs qui est chez Mauriac en Dieu et chez Abéga est dans la justice sociale. Les personnages, empêtrés dans cet univers en épousent les valeurs,ce qui entraîne irrémédiablement leur chute. La seule planche de salut est l'humilité,l'ouverture vers le savoir nouveau (le modernisme par exemple) sans reniement de son ancrage identitaire. Abéga comme Mauriac sont donc pour une mixité décomplexée.
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Espaces imaginés, espaces habités. Au-delà de la mondialisation : Téhéran, Rabat, New York, Paris

Bailly, Émeline 08 December 2009 (has links) (PDF)
La mondialisation est souvent associée à une homogénéisation et une standardisation des métropoles. Pour autant, des représentations urbaines singulières émergent. En questionnant la réalité des modèles internationaux, mon ambition était de comprendre la manière dont les pensées urbaines se fabriquent, se diffusent, se confrontent et s'inventent, la façon dont elles s'ancrent dans une culture, projettent une société en devenir et créent les lieux publics. La mise en regard de la conception de l'espace urbain dans quatre métropoles, Paris, Rabat, Téhéran et New York, a révélé qu'il n'y avait non pas émergence de grands modèles types mais, au contraire, une atomisation de références qui co-existent et fondent les nouveaux lieux de la ville. Ce faisceau d'influences s'inscrit en continuité avec le passé pour mieux le réinventer. Il s'inspire de visions de plus en plus diversifiées, venues d'ailleurs. Plus encore, il prend appui sur des symboles, des représentations imaginaires de la ville. La réalité urbaine émerge de cet enchevêtrement d'interprétations individuelles et collectives, passées ou importées, théoriques ou imaginaires. Les lieux publics apparaissent alors comme un espace de dialogue inachevé sur une représentation du monde elle-même en évolution. Ils sont une redéfinition infinie de l'expérience de la relation des hommes à leur environnement. Cette hybridation amène à penser autrement le fait urbain. La proximité et l'expérience partagée de la fabrication de la ville permettent de charger les lieux des existences, émotions, passions et rêves des hommes. Ceux-ci sont potentiellement ouverts à une possibilité d'habiter, d'être au monde. Plus encore, l'expérience subjective et symbolique permet d'être présent au monde et à autrui, de transposer la vie humaine au-delà de sa condition mortelle, d'inventer un horizon pour " habiter poétiquement la terre " (F. Hölderlin).
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Le quartier Figuerolles à Montpellier : imaginaire et lien social

Arcaix, Thierry, Arcaix, Thierry 08 November 2012 (has links) (PDF)
Figuerolles est le nom d'un quartier de la ville de Montpellier, une ville qui est le chef-lieu de la Région Languedoc-Roussillon et du département de l'Hérault, en France. La thèse qui y est consacrée s'articule autour de trois axes : sa dimension historique, car il n'y a de vrai développement qu'à partir d'une bonne connaissance de ce que nous sommes, ensuite tout ce qui a trait aux anecdotes, rappelant ainsi qu'il y a, comme le dirait Edgar Morin, une dialogie, c'est-à-dire un va et vient constant entre les archétypes fondateurs et les stéréotypes vécus dans la vie courante. Enfin, les descriptions de figures emblématiques, véritables totems, autour desquels on s'agrège, et qui ainsi constituent véritablement ce qui est un idéal communautaire. Au travers de ces trois points : histoire, figures, anecdotes, il s'agit de montrer comment le bien et le mal, la lumière et les ténèbres, le matériel et le spirituel sont mêlés en un réel tout à la fois complexe et fécond, régi par le hasard et la nécessité. La manifestation la plus évidente d'une telle complétude étant l'étonnante tolérance entre " ceuxqui croyaient au ciel et ceux qui n'y croyaient pas ", vivant en un même lieu. N'oublions pas que le lieu fait lien... La signification affective du " quartier " souligne bien l'importance de l'espace que " je " partage avec d'autres, espace où la diversité des orientations sexuelles, la pluralité des représentations idéologiques, la multiplicité des tenues vestimentaires, la théâtralisation corporelle et la variété des goûts divers s'inscrivent dans l'ordre des choses. Tout et son contraire ont leur place, confirmant bien ainsi qu'" il faut de tout pour faire un monde ".
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Les formes élémentaires de la prise de drogue : santé, sacré et déviance

Gondard, Eric 27 November 2013 (has links) (PDF)
Bien plus qu'un simple fait de société, la prise de substances modificatrices de conscience est à comprendre sur le temps long comme intrinsèquement liée à l'histoire de l'humanité. Par une méthode comparative, entre pratiques hédonistes dans la société française et pratiques néo-chamaniques en Haute Amazonie péruvienne et équatorienne, nous pouvons doubler notre approche sur le réel, et sur ce phénomène en particulier afin de l'objectiver le plus justement possible. À travers une posture compréhensive ce travail vient interpréter les sens latents que les pratiques de drogues véhiculent aujourd'hui. Trois concepts chers à la sociologie sont ainsi mis en exergue : la santé, le sacré et la déviance. Dès lors, la prise de substances modificatrices de conscience doit être comprise comme un prisme qui entraîne notre regard pour révéler le fonctionnement sociétal et un possible réenchantement du monde. La compréhension de ce phénomène social nous amène à mieux cerner l'ensemble sociétal dans lequel il s'insère, ce qui en retour nous permet de mieux comprendre le phénomène étudié dans une sorte de spirale ascendante qui, en soi, ne peut pas connaître de véritable limite. Dépassant le statut de concepts opératoires, la santé, le sacré et la déviance se révèlent comme étant les formes élémentaires de la prise de substances modificatrices de conscience.
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Les schèmes anxiologiques de l'imaginaire : de l'affectivité transcendantale aux dynamismes de l'imaginaire, suivi d'une application à l'imaginaire de la RFID

Schunadel, Nicolas 21 September 2011 (has links) (PDF)
La peur est traditionnellement comprise comme une " émotion fondamentale " ; en cette formule obscure on entend communément la peur comme une conséquence psycho-physiologique d'un stimulus objectif. La peur se voit ainsi définie en sa périphérie causaliste. Dès lors, l'antienne définitionnelle ne parvient jamais (ni ne cherche) à la cerner en sa phénoménalité. C'est en cette aporie que le présent travail s'insère. En outre, précisément, ladite aporie hante la philosophie durandienne (Durand, 1960) faisant de la peur à la fois une conséquence du temps ennemi et un profond et essentiel dynamisme de l'imaginaire. L'imaginaire trouverait ainsi son essence dans l'extériorité du monde perdant ainsi sa marque transcendantale. Toutefois, en s'affranchissant de la théorie ordinaire de la peur, en tentant de la comprendre en sa phénoménalité, et pour cela en s'appuyant sur la profonde réflexion henryenne dévoilant l'affectivité comme Essence de la Manifestation (Henry, 1963), il paraît possible d'enrayer cette progressive aliénation de l'imaginaire. L'affectivité, et conséquemment la peur, comprises comme cette essence transcendantale, l'imaginaire dynamisé par elles retrouve un ancrage éidétique stable. Ce dynamisme aux pieds ancrés dans la transcendantalité et aux mains qui façonnent structurellement les constellations d'images, c'est le schème ; non plus ce schème qui se perdait dans les mystères du réflexe, de l'instinct, de la pulsion, etc. mais ce schème issu du plus essentiel des savoirs - le savoir affectif immanent de soi : le schème est affectif, il est la transcendance affective qui de l'affectivité structure l'imaginaire, manifeste le monde. En empruntant les voies de la phénoménologie bachelardienne, ce schème affectif - ici anxiologique - peut être retrouvé. Nous verrons qu'il est double - pénétrant et constricteur - et qu'il se joue sur différentes voix (passive, intermédiaire, active). Afin de montrer l'étendue et l'efficace de cette schématique mais également afin de répondre aux exigences contextuelles qui portent le présent travail (partenariat avec le Commissariat à l'Énergie Atomique de Grenoble), nous parcourrons l'imaginaire anxiologique de la technologie RadioFrequency Identification (RFID). Loin de n'être qu'un simple et froid agrégat de silice permettant de nouvelles données et de nouveaux flux informationnels, la RFID est un produit technique, est un produit humain. Comme tel, elle n'a de réalité et de possibilité que sur le fonds anthropologique duquel elle émerge. Et ce fonds regorge d'yeux, de crocs et de venins pénétrants, de mains, de toiles et de filets constricteurs.
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Imaginaire et usages du froid dans les pratiques scéniques et dramaturgiques du théâtre québécois contemporain : étude d'Agaguk et de Roche, papier, couteau...

Gagné, Julie 12 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, je propose que le froid, au théâtre, se manifeste par ses effets sur le(s) corps, l'espace, la matière et le langage. Après avoir établi les éléments qui incarnent le froid dans la représentation et dans le texte dramatique, je vise à déterminer son usage dans les pratiques scéniques et dramaturgiques en m'intéressant à deux œuvres où il participe à la création de formes inédites, soit l'adaptation d'Agaguk d'Isabelle Hubert, présentée par le Théâtre Sous Zéro (TSZ), et la pièce Roche, papier, couteau... de Marilyn Perreault, créée par le Théâtre I.N.K. Mon premier chapitre définit le froid et ses effets afin de cerner les composantes qui en forment l'imaginaire. Sensation intensifiée par l'humidité, le vent et la noirceur, le froid transparaît par le truchement d'effets corporels d'ordre physique (Lapras, Larrouy, Ambid et Richard) et comportemental (Parsons et Hensel). Il force l'organisme à l'isolement (Suhonen), l'oblige à prendre refuge (Durand) et s'inscrit dans un territoire marqué par la nordicité (Hamelin). Absence de chaleur, il modifie l'état de la matière sans l'altérer (Ruiu). Marque de subjectivité, il témoigne de la sensibilité du locuteur (Kerbrat-Orecchioni). Phénomène complexe, le froid se rêve grâce aux matériaux nordiques (Désy), tandis que le feu, la chaleur, l'évoque par contiguïté (Désy et Michelis-Maslosh). Ambigu, il véhicule l'angoisse de la mort et l'espoir du dégel, la violence et la quiétude, le silence et le trop-plein de mots (Désy et Michelis-Maslosh). Il commande un souffle bref et une langue morcelée (Girard). Mon deuxième chapitre se consacre à l'Agaguk du TSZ, dont la dialectique « chaud-froid » permet au spectateur de contempler l'hiver dans le confort de l'intérieur. Il traite de la théâtralité (Féral) qu'appelle le froid et qui se déploie par le biais du quatrième mur vitré et d'un espace composé de trois lieux distincts (salle de spectacle, castelet et extérieur). L'analyse des mots « froid » et « froidement », présents dans l'adaptation d'Hubert, révèle la fonction du froid dans le texte dramatique : il exprime l'impassibilité, dissimule les pensées ou les réactions, contraint les personnages au refuge, à l'immobilité, à l'isolement, à la proximité et au silence, en plus d'accentuer la tension dramatique. Mon troisième chapitre, qui porte sur l'analyse génétique et dramaturgique de Roche, papier, couteau..., retrace la manière dont Perreault représente le froid. Le Nord inuit, découvert par l'auteure lors de séjours au Nunavik, influe sur l'inventivité du langage, le rapport des personnages à la parole et au silence, le suspense et l'univers froid. La genèse du texte montre la construction de l'espace et mène à une réflexion sur la spatialité du froid (l'intérieur, l'extérieur et le cadre). Le froid énoncé, quant à lui, rappelle l'état de survie des personnages, figure leur mal-être, les pousse à se réchauffer de différentes façons, leur insuffle une poésie et laisse poindre l'espoir. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Froid, Hivernité, Nordicité, Théâtre québécois, Imaginaire, Représentation, Dramaturgie, Génétique théâtrale, Marilyn Perreault, Isabelle Hubert, Théâtre I.N.K., Théâtre Sous Zéro, Contiguïté, Subjectivité, Refuge, Cadre, Fenêtre.
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Imaginaires collectifs : le récit du mythe du Grand Dérangement dans l’imaginaire acadien.

McLaughlin, Gilbert 07 February 2014 (has links)
La déportation des Acadiens de leurs terres en 1755 est un évènement sur lequel se fonde cette communauté. Le Grand Dérangement, comme on l’appelle fréquemment, n’est pas un simple évènement historique. Il aura passé de l’histoire à la mémoire et de la mémoire au mythe. Élevé officiellement au rang de mythe fondateur lors de la première Convention nationale acadienne de 1881, le Grand Dérangement subira par la suite de nombreuses réinterprétations dans les discours politiques. Reprenant la théorie de Gérard Bouchard sur les mythes et les imaginaires collectifs, cette thèse vise à comprendre quelles ont été les interprétations historiques du mythe du Grand Dérangement dans le discours national des élites acadiennes entre 1763 et 2005. Retourner au mythe, c’est retourner à l’imaginaire d’un peuple et de son importance dans ses processus de conciliation des conflits. L’objectif est donc de comprendre les nombreuses réinterprétations du Grand Dérangement issues des discours des élites politiques acadiennes, mais aussi de démontrer le rôle structurant du mythe dans la construction de l’identité acadienne. The expulsion of the Acadians from their land in 1755 is an event which defined this community. The “Grand Dérangement”, or Great Upheaval, long ago made the passage from historical event to collective memory and from collective memory to myth. Officially raised to the level of a founding myth during the first Acadian National Convention of 1881, the Great Upheaval has been subject to several political reinterpretations. Using Gérard Bouchard’s theory of collective myths and imaginaries, this thesis aims to understand the historical reinterpretations of the Great Upheaval myth within the Acadian elite national discourse between 1763 and 2005. To appreciate the power of the myth is to appreciate the power of a people’s imagination and its potential for resolving conflict. The objective of this thesis is to understand the many reinterpretations of the Great Upheaval through the Acadian elite political discourses, and also to demonstrate the role of the myth in constructing the Acadian identity.
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A narrativa de viagem em Portugal no século XIX : alteridade e identidade nacional

Carvalheiro Cabete, Susana Margarida 14 May 2010 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche porte sur le récit de voyage au Portugal au XIXème siècle, du point de vue de la formation des images de l'étranger, dans le cadre duquel on analysera ses spécificités, aussi bien que le rapport qu'il a établi avec la presse périodique, notamment le feuilleton, modalité d'écriture d'influence française, avec une grande projection à l'époque. Dans ce contexte, notre attention se centre tout particulièrement dans les récits de voyage des écrivains de la deuxième génération du romantisme portugais, en réfléchissant sur les mécanismes qui sont à l'origine da la formation des hétéro et auto-images, fondées sur un imaginaire collectif, résultant du procès indissociable entre altérité et identité. Cette analyse permettra d'établir une sorte de cartographie des voyages qui ont marqué la littérature portugaise du XIXème siècle et de découvrir les lieux devenus mythiques pour les voyageurs portugais, à l'égard des paradigmes culturels de l'époque.
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Au nord du Nord, au nord de soi, au nord de l’Autre... Une analyse du thème du Nord dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert

Sylvain, Véronique 26 April 2012 (has links)
Le Nord a souvent inspiré des artistes de différentes disciplines (par exemple, en littérature, notamment au Canada français). Au fil des années, dans le milieu franco-ontarien, nombreux sont les chansonniers, les poètes et les romanciers qui ont nourri leur plume de cet imaginaire. Toutefois, est-ce que le Nord, dans des œuvres poétiques écrites à partir des années 1980, aurait encore la place qu’il occupait en poésie durant les années 1970 en Ontario français? C’est la présence de cette thématique dans les chansons, les poèmes et les romans franco-ontariens, écrits depuis la période d’effervescence culturelle en Ontario français, qui a attiré notre attention. Nous avons remarqué, dans la production poétique de poètes du nord de l’Ontario, qui y ont vécu ou qui l’ont traversé, que l’espace septentrional alimentait l’imaginaire collectif de plusieurs créateurs. Dans le cadre de notre thèse de maîtrise, nous avons analysé le thème polymorphe du Nord dans deux recueils de poésie franco-ontarienne contemporaine, soit dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert. Pour ce faire, nous avons eu recours à la « critique thématique » telle que définie par Gaston Bachelard et Jean-Pierre Richard, ainsi qu’à une grille d’analyse inspirée, entre autres, des recherches du chercheur, professeur et spécialiste du Nord, Daniel Chartier, du géographe du Nord canadien, Louis- Edmond Hamelin, et des spécialistes de la littérature franco-ontarienne, Fernand Dorais, François Paré et Johanne Melançon.
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La colonne à travers l'espace-temps et/ou l'imaginaire de la durée /

Benedetto, Giuseppe. January 1994 (has links)
Mémoire (M.A.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1994. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU

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