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" Champion[s] de la même cause " ? : la pensée politique des rédacteurs de l'Allgemeine Zeitung des Judenthums et des Archives israélites entre Allemagne et France (1848-1914)

Knörzer, Heidi 16 June 2011 (has links) (PDF)
Les textes de Ludwig Philippson, Gustav Karpeles, Isidore Cahen, Hippolyte Prague, publiés dans l'Allgemeine Zeitung des Judenthums et dans les Archives Israélites entre 1848 et 1914, témoignent d'un incessant souci politique. De l'égalité politique des minorités juives et de leur discrimination à la réflexion sur les relations entre politique et religion, en passant par les nouveaux courants politiques du XIXe siècle, tels le nationalisme, le socialisme ou encore le sionisme, nombreux sont les thèmes liés à la politique qu'ils abordent dans leurs articles. C'est le discours politique tel qu'il se donne à voir dans leurs articles qu'il s'agit d'étudierdans cette thèse. La pensée politique des minorités juives en Allemagne et en France au XIXe siècle a déjà fait l'objet de diverses études. Certaines abordent la thématique dans une perspective nationale, d'autres adoptent, comme nous, une approche comparée, en soulignant essentiellement les différences de points de vue entre les deux collectivités juives. Ces recherches partent du principe que l'Allemagne et la France sont structurées différemment, notamment en ce qui concerne les conceptions de la nation, les rôles joués par la religion et, partant, le mode d'émancipation des juifs, pour en déduire que la réalité des minorités juives et leur façon de penser, de sentir et d'agir l'est aussi. S'il ne s'agit pas de nier une certaine influence du contexte national sur lafaçon dont les journalistes voient le monde, la conviction qui anime le présent travail est que les contextes nationaux apparemment différents ne doivent pas nous empêcher de voir que leurs discours politiques obéissent à une logique commune. La thèse que nous nous proposons de démontrer dans cette étude consiste à dire que les discours politiques des juifs allemands et français, loin de former deux discours disjoints et opposés, se sont mutuellement rencontrés et fertilisés pour former un discours largement transnational. Grâce à leurs revues, il existait en effet de nombreux contacts entre les journalistes qui pourraient expliquer, entre autres, les parallèles et ressemblances dans leur manière d'aborder certaines questions politiques
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Histoire d'une répression : les judéo-convers dans le royaume de Valence aux premiers temps de l'Inquisition (1461-1530)

Banères, Patricia 24 November 2012 (has links) (PDF)
L'étude de l'Inquisition dans le district de Valence reposait essentiellement sur l'analyse menée par l'historien Ricardo García Cárcel en 1976. Nous avons voulu par l'étude exhaustive de différents documents : abécédaires inquisitoriaux, procès, mais aussi documents comptables, documents notariés, établir une nouvelle liste des condamnés entre 1478, date de l'implantation du Saint-Office à Valence et 1530, période où le filon judéo-convers se tarit, laissant place à des nouvelles stratégies et à la persécution de nouveaux groupes dissidents. À Valence, les années 1520-1530 marquent le déclin de la région au profit d'une Castille conquérante, dominatrice en Espagne et dans le monde. Le nouveau registre que nous avons établi, riche de 3 094 condamnés en grande majorité judéo-convers (93,39 %), nous a servi de fondement pour dresser les contours de ce que fut la répression dans cette région et comprendre le rôle d'une Inquisition qui, entre urgences financières du monarque et uniformisation religieuse et culturelle, bouleversa l'équilibre d'une communauté judéo-converse, de plus en plus intégrée à la société vieille-chrétienne à laquelle elle appartenait depuis sa conversion. À travers l'analyse des comptes du receveur des biens confisqués, limitée aux familles judéo-converses de trois des villes principales du royaume, Gandía, Xàtiva et Segorbe, nous avons voulu déterminer le niveau social de cette communauté et savoir quel fut l'impact de cette répression dans une région qui perdait ses prérogatives et son pouvoir au profit de la nouvelle monarchie des Habsbourg.
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Les pseudonymes dans les littératures yiddish et hébraïque du milieu du XIXe siècle au milieu du XXe siècle / Pseudonyms in Yiddish and Hebrew Literatures, from the Mid-19th Century to the Middle of the 20th Century

Bar-Kochva, Sharon 06 February 2015 (has links)
Les littératures yiddish et hébraïque modernes sont étroitement liées par une histoire commune et partagent également de multiples traits stylistiques et thématiques. Or, une différence importante peut être remarquée quant à l’usage des pseudonymes dans les deux langues. Dans la littérature yiddish moderne, la pseudonymie est très importante, aussi bien du point de vue quantitatif que qualitatif, et une grande partie des plus importants auteurs yiddish sont connus principalement sous leur pseudonyme, alors que dans la littérature hébraïque moderne les noms de plume restent un phénomène relativement marginal. La présente recherche analyse la pseudonymie dans les deux littératures, dans le but d’expliquer cet écart. Nous commençons par une analyse des modes de construction des pseudonymes pour en constituer une typologie générale. Par la suite, nous nous concentrons sur les pseudonymes « durables », c'est-à-dire ceux qui accompagnent les auteurs sur le long terme et façonnent leur image publique, pour décrire en détail dans quelles circonstances et de quelles manières ils sont utilisés. Enfin, nous utilisons les informations recueillies pour démontrer que la pseudonymie est un phénomène social, et pour isoler les facteurs sociaux et historiques qui ont conduit à l’adoption de la pseudonymie comme l’une des « traditions inventées » de la littérature yiddish moderne. / Modern Yiddish and Hebrew literatures are closely connected by a common long history, sharing many stylistic and thematic features. However, both literatures significantly differ in their use of pseudonyms. In Yiddish literature, authors’ pseudonyms appear rather frequently, and a significant number of the most important writers are known mainly in their pseudonyms, while in modern Hebrew literature pen names remained a relatively marginal occurrence. This research analyses pseudonymity in both literatures in order to explain this discrepancy. In the first chapter, the various patterns used in building pseudonyms are analysed, so to establish a general typology of the phenomenon. Subsequently, I focus on the "lasting" pseudonyms, namely those that accompany authors for a long time, shaping and determining their public image. In the second chapter I describe in detail under which circumstances and in what ways the "lasting" pseudonyms were created and used. Finally, in the last part the information analysed previously is utilised, clarifying that pseudonymity is actually a social phenomenon, and defining the social and historical factors that led to the adoption of pseudonymity as one of the "invented traditions" of modern Yiddish literature.
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Les juifs et la guerre de sept ans (1756-1763)

Vaugeois, Denis 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Conflits des idéologies et stratégies militaires lors de la première guerre juive : une lecture de Flavius Josèphe (66-70 apr. J.-C.)

Chantal, Marie 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur la première guerre juive, qui a opposé les Romains et les Juifs sur le territoire de Palestine de 66 à 70 apr. J.-C. À partir d'une lecture des oeuvres de Flavius Josèphe, la recherche établit le lien entre les aspects social et militaire de cette guerre. D'abord, la question des hostilités intrinsèques à la société juive de 66 apr. J.-C. cherche à comprendre les relations entre les groupes, ainsi que les motivations de certains à combattre le pouvoir romain. Par la suite, l'impact des conflits sociaux sur le déroulement de la guerre est examiné, afin de voir dans quelle mesure la mise en place de l'organisation militaire et l'élaboration de stratégies de défense furent influencées par le contexte d'instabilité sociale. L'ensemble de cette recherche, au centre duquel s'ajoute l'aspect religieux, se veut une étude originale et novatrice de la première guerre juive.
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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Pèlerinage organisé en Israël pour jeunes Juifs montréalais : un exemple de rite de passage contemporain

Geoffrion, Karine January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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Roger Braun s.j. (1910-1981) : engagement philosémite et secours aux étrangers / Roger Braun s.j. (1910-1981) : philo-semitism and relief to foreigners

Lunel, Frédéric 13 December 2013 (has links)
Roger Braun (1910-1981) est un prêtre français qui s’est très tôt intéressé aux juifs, qu’ils soient en France ou en Palestine, au judaïsme et à la culture juive. En 1942, il est nommé Aumônier général adjoint des camps de zone sud et des formations de travailleurs étrangers. Face aux persécutions, il tente de soustraire les internés juifs à l’occupant, cache les enfants, fait son possible pour réunir les familles dispersées, place les vieillards dans des hospices. Il participe au changement de politique de l’Aumônerie en lui permettant d’apporter, en plus d’un secours spirituel, une aide matérielle sans distinction de « race », de religion, de nationalité. Ce faisant, il jette les bases du Secours catholique international (SCI). En 1946, le SCI fusionne avec le Comité catholique de secours de l’Aumônerie des prisonniers de guerre du chanoine Rodhain. L’œuvre de charité confessionnelle ainsi créée adopte le nom de Secours catholique. Après avoir quitté cette instance, en 1957, il reprend son apostolat sous la modalité du dialogue en direction des juifs et d’Israël, aux Cahiers sioniens d’abord, puis en créant sa propre revue : Rencontre chrétiens et juifs. Formation parallèle à l’Amitié judéo-chrétienne, cette revue vise à favoriser la compréhension et le rapprochement entre les fidèles des deux religions. Fervent militant contre l’antisémitisme, il intègre également les rangs de la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA). Il en devient Président de la Fédération de Paris et membre du Comité directeur. Chevalier de l’Ordre de la Santé publique, premier Français à être distingué par l’État d’Israël pour son rôle en faveur des juifs pendant la Seconde guerre mondiale, « Juste parmi les nations », officier de l’Ordre des Veterans of the Foreign Wars of the United States, chevalier de la Légion d’honneur, récipiendaire du Prix Narcisse Leven contre l’antisémitisme, de la Médaille de Vermeil de la Ville de Paris, ce religieux n’avait curieusement jamais fait l’objet d’aucune étude historique. Ce travail a pour objectif d’établir une biographie la plus exhaustive possible du père Roger Braun, de l’inscrire dans le courant plus large du philosémitisme catholique et de la redécouverte des origines juives du christianisme. Il vise également à comprendre la naissance de l’œuvre de charité catholique et à établir ce qu’a été son action en faveur des étrangers et réfugiés de l’Europe d’après-guerre. / Roger Braun (1910-1981) was a French Jesuit priest who early took an interest in the Jews, coming from France or Palestine, Judaism and Jewish culture.In 1942, he was appointed chaplain assistant to the camps and groups of foreign workers in the “Free France” area (in the south of the country). Responding to persecutions, he tried to save the lives of interned Jews from the Nazi occupiers by releasing them or organizing escapes and hiding children. He did his utmost to bring together members of families dispersed owing to the war and he placed the elderly in the care of hospices.He was involved in the policy change of the Chaplaincy allowing it to provide, in addition to a spiritual help, a material help without any distinction of “race”, religion or nationality. In so doing, he established the basis of an international Catholic Relief Service (Secours Catholique International – SCI). In 1946, the SCI merged with Catholic Relief Committee (Comité Catholique de Secours) belonging to the Canon Rodhain’s Chaplaincy of prisoners of war. The new confessional charity thus created adopted the name of Secours Catholique.In 1957, after leaving this institution, he returned to his apostolate in the form of a dialogue to the Jews and Israel, being involved in the editorial team of the Cahiers Sioniens, and then, creating his own periodical: Rencontre chrétiens et juifs (Meeting/Encounter Christians and Jews). As a parallel creation to the Amitié judéo-chrétienne de France (Judeo-Christian Friendship of France), this periodical aims at improving a mutual understanding between the faithful of both religions and bringing them together. As a fervent opponent to anti-semitism of any kind, he joined the International League Against Anti-semitism (LICA: Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme). He became president of its federation in Paris and member of the steering committee.Roger Braun was made a Knight (Chevalier) of the Order of Public Health, the first French to be honored by the State of Israel as “Righteous Among the Nations” for his involvement in favor of the Jews during World War II, Officer of the Order of the Veterans of Foreign Wars of the United States, Chevalier of the Legion of Honor, recipient of the Narcisse Leven Award against anti-semitism and of the Médaille Vermeil of the City of Paris. And yet, the work of this religious had never been studied from an historical point of view.This thesis aims at making the most detailed possible biography of Father Roger Braun, to establish his work as a significant part of the philo-semitism trend and the rediscovery of the Jewish roots of Christianity. It also seeks to analyze and understand the birth of this catholic charity and to clarify his action and involvement in favor of the foreigners and the refugees of post-war Europe.

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