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The exploration of mixed-use principle as an ingredient to improve the viability and vitality of town centres in MauritiusRamsahye, Nitin Chiranjeev 07 1900 (has links)
This thesis has been realised through a scholarship offered by the Government of Canada to the Government of the Republic of Mauritius under the Programme Canadien de Bourses de la Francophonie / La mixité d’usage est de plus en plus considérée comme un facteur essentiel au développement durable et à la prospérité des villes, tant par les professionnels en urbanisme, les décideurs politiques et les chercheurs que par tous ceux concernés par la qualité de vie de nos concitoyens. Présentement, on assiste au développement de stratégies et mécanismes en vue de faire cohabiter les diverses fonctions urbaines. Ainsi, cette recherche exploratoire porte sur la mixité d’usage et la possibilité de transférer cette approche, plus particulièrement, dans celui des villes de l’Île Maurice, petit état insulaire en développement. Le principal facteur à l’origine de ce choix est la volonté du gouvernement de mettre en place un métro léger reliant les centres des villes de la conurbation urbaine de l’Île, d’où l’opportunité de réhabiliter ces centres en déclin à travers une plus grande mixité d’usage.
Ainsi, deux cas, Quatre Bornes et Rose-Hill sont analysés. La cueillette des données inclut des entrevues avec onze urbanistes locaux, lesquelles permettent de développer le volet public de la problématique et de bien contextualiser les avenues possibles de solution. Nous constatons qu’un laisser-faire, des politiques inappropriés et diverses interventions publiques ont favorisé la congestion routière et l’étalement urbain et entrainé une perte de diversité des usages dans le centre-ville. Nous identifions ainsi les défis et les opportunités relatifs à la mixité d’usage et proposons des stratégies, dans l’optique d’améliorer la viabilité et la vitalité des centres-villes. / Mixed-use is increasingly considered as a key principle for sustainable development and prosperity of cities and towns by planners, decision-makers, researchers and many others concerned with the quality of life of our citizens. As such, we are witnessing new strategies and mechanisms to enable different uses to cohabit. Our thesis explores the transferability of the mixed-use concept in the context of the town centres in Mauritius, a small island developing state. The main reason explaining this choice is the government’s commitment in introducing a light rail transit system linking the town centres of the urban conurbation of the island. Indeed, the opportunity lies in improving the declining health of town centres through mixed-uses.
In this context, we analyse two case study areas, Quatre Bornes and Rose-Hill. Our empirical researches include interviews with eleven planners in Mauritius, in an attempt to better grasp the institutional problematic and contextualise relevant solutions. We find out that the laisser-faire situation, unresponsiveness of policies and government interventions on transport and traffic congestion have favoured urban sprawl and led to the lack of diversity in the town centres. In contemplation, we identify the common challenges and opportunities with respect to mixed-use in the two case study areas and propose strategies in view of improving their viability and vitality.
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Planification du projet urbain : incertitudes ou ChaosHachachena, Salima January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Planning for public spaces in multiethnic contexts : a case study of Mountains sights, MontrealSweeney, Mary January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le milieu de l'urbanisme à Montréal (1897-1941) : histoire d'une "refondation" / The Montréal's urban planning milieu (1897-1941) : the story of a "re-foundation"Rioux, Gabriel 05 December 2013 (has links)
A l'aube du XXe siècle, une partie de l'élite montréalaise a reconnu au nom d'un intérêt général que la croissance urbaine pouvait être mieux conduite sous la direction du planning ou, terme apparu plus récemment, de l'urbanisme. Cette thèse retrace la contribution de nouveaux spécialistes de l'urbain et de leurs alliés pour préparer l'avènement d'une métropole moderne et prospère. Alors que plusieurs travaux ont privilégié l'étude des formes d'intervention durant les trente glorieuses ou dénoncé les conséquences d'une absence de volonté politique pour combattre les désordres de la grande ville industrielle, cette étude porte sur les formes sociales d'appartenance et propose de considérer les relations complexes qui se nouent autour de l'urbanisme naissant pour faire l'histoire d'acteurs collectifs. Elle recourt au concept de milieu afin de construire avec les outils de l'histoire le récit d'un champ d'expérience. Dès le début du XX· siècle, l'urbanisme se caractérise par une combinaison inédite: quête d'un statut professionnel, constitution d'une discipline appliquée par le développement des « études urbaines » et élargissement d'un domaine d'intervention publique. À travers l'incidence déterminante de deux grands enjeux - la planification urbaine et le logement populaire - qui participent de la formation d'un débat urbanistique, la recherche dégage les étapes de la construction de ce milieu ainsi que du discours et des pistes d'action. Le récit qui s'étale de la fin du XIXe siècle jusqu'à la création du Service d'urbanisme de la Ville de Montréal, en 1941, révèle aussi la présence d'une dynamique collective nourrie de quelques idées-forces : la défense d'un intérêt général, l'optimum de l'intervention, le rapport entre le spatial et le social, et l'impératif de la prévision. Ce récit conduit ainsi à une meilleure compréhension des facteurs d'émergence de la nouvelle spécialité et à relativiser l'effet d'entraînement des politiques publiques. / At the onset of the 20th century, part of Montréal's elite, in the name of the common interest, acknowledged that urban growth could be better achieved through planning or, resorting to a recent term, urbanism. This thesis recounts the contribution of these new experts and their allies in preparing the upcoming of a modern and thriving metropolis. While several research have promoted the study of intervention modalities during the thirty glorious years or denounced the aftermath of a non-existent politic al willpower to counteract the pandemonium of the large industrial city, this study focuses on the social forms of belonging and proposes to consider the complex relationships that intertwined around the emerging urbanism to construct the story of collective actors. It resorts to the concept of milieu and uses the tools of history in order to write the story of a field of experience. As of the beginning of the 20th century, urban planning is characterized by a new combination: the quest for a profession al status, the constitution of an applied discipline through the development of "urban studies," and the expansion of a public intervention sphere. Based on the deciding impact of two major constituents-urban planning and public housing-that relate to the development of an urbanistic debate, this research highlights the phases in building this milieu as well as the discourse and possible avenues of action. The story, which spans from the end of the 19th century to the creation of the city of Montréal's urban planning service, in 1941, also uncovers the presence of a collective dynamics nurtured by a number of key ideas: the protection of the general interest, the optimization of interventions, the relationship between the spatial and social dimensions, and the prediction imperative. This story thus leads to a better understanding of the factors underlying this new specialty and to keep in perspective the ripple effect of public policies.
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Analyse économique de la planification urbaineLecat, Gabriel 07 June 2006 (has links) (PDF)
Cette thèse propose d'une part une analyse des ressorts de l'efficacité des plans d'occupation des sols et des plans locaux d'urbanisme (POS/PLU). Elle caractérise, d'autre part par une régression logit, les déterminants de l'adoption en 1999 des POS par les communes n'en disposant pas encore ; les résultats corroborent le rôle déterminant des facteurs fiscaux et budgétaires. Enfin, elle réalise sur l'aire urbaine de Dijon entre 1994 et 2002 une évaluation comparée des effets des POS sur les prix fonciers des terres agricoles, ceux des terrains à bâtir et les prix immobiliers des maisons individuelles, en corrigeant l'endogénéité des POS au marché foncier ou immobilier par la méthode de Heckman (1979) et par la méthode instrumentale locale de Heckman et Navaro-Lozano (2004). L'existence d'un POS apparaît comme endogène aux prix des terrains à bâtir et aux prix immobiliers mais comme indépendante du marché foncier agricole. Il apparaît en outre que les POS accroissent à la marge les prix fonciers des terrains à bâtir et les prix immobiliers tandis qu'ils dévalorisent ceux des terrains agricoles.
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La politique de rénovation urbaine des gouvernements New Labour après 1997: l'exemple du Borough d'Islington à Londres.Vallejos, Thierry 10 December 2010 (has links) (PDF)
La politique urbaine a pour objet d‟agir sur la gestion des villes afin d‟améliorer le bien-être des résidants. En Angleterre, l‟Etat est intervenu dès le XVIIème siècle afin de soulager les mauvaises conditions de vie des plus pauvres en agissant sur l‟hygiène et le logement. Puis la ville s‟agrandissant, les désordres liés au surpeuplement se sont multipliés, spécialement dans les zones les plus dépourvues des centres-villes. C‟est à Londres que ceux-ci ont été les plus criants et les besoins de solutions les plus urgents. Ainsi, pour permettre une gestion plus efficace des délits urbains, la gouvernance de la capitale britannique a été réformée. C‟est ce à quoi se sont attelés les Travaillistes dès leur arrivée au pouvoir en 1997, et ils ont en même temps donné une nouvelle impulsion à la politique en direction des villes en favorisant les aspects sociaux, environnementaux de la rénovation urbaine, tout en comptant sur l‟investissement des communautés. Et l‟adoption de la politique dite de la Troisième Voie fut un pas essentiel en ce qu‟elle ne rejetait plus le secteur privé mais l‟acceptait, au contraire, comme partenaire privilégié. Islington, l‟un des boroughs les plus petits de Londres, a la particularité de jouxter une des zones les plus prospères du monde : la City de Londres. Cependant, il présente des caractéristiques sociales communes aux zones les plus pauvres du pays. Les programmes qui y ont été lancés ont pris en compte cette spécificité. L‟analyse de ces projets nous permet de passer en revue la politique de rénovation telle qu‟elle a été voulue par les Travaillistes de 1997 à 2010, d‟essayer d‟en tirer des bilans et de tenter de pointer les défis auxquels les villes vont être confrontées.
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MOBILITE, ENJEUX ET RISQUES DANS LE DISTRICT METROPOLITAIN DE QUITO (EQUATEUR)Demoraes, Florent 05 July 2004 (has links) (PDF)
L'objectif de cette thèse de géographie est de proposer une réflexion sur les risques encourus par le District Métropolitain de Quito –DMQ– (Equateur) à partir de la question de la mobilité des personnes et de ses vulnérabilités en partie attribuables aux aléas en présence (séisme, éruption volcanique, inondation...). Inspirée des méthodes d'analyses antérieures du risque réalisées par des géographes de l'Université de Savoie sur les villes de Nice et d'Annecy, cette recherche élaborée de façon à être reproductible, ciblée sur les enjeux, propose une base de réflexion utile aux différents acteurs urbains dans une perspective de planification préventive ; elle fournit des pistes pour la réduction des vulnérabilités et apporte des orientations pour la gestion de crise. Enfin, elle propose une réflexion conceptuelle sur l'articulation des thématiques de la « mobilité » et des « risques » à partir des concepts de « vulnérabilité » et « d'accessibilité ».<br /><br />La démonstration se fonde sur un travail de terrain réalisé durant deux ans et demi à Quito, dans le cadre du programme de recherche « Système d'Informations et Risques dans le District Métropolitain de Quito » initié en 1999 par l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD) en collaboration avec la Municipalité de Quito. Ce travail, avant tout méthodologique, a nécessité la constitution d'une base de données géoréférencées et documentées (métadonnées), appelée « Mobilité » structurée grâce au Système d'Information Géographique « Savane » développé par l'IRD.
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La revitalisation de Pointe-Saint-Charles à Montréal : un cas de transformation des quartiers ouvriers péricentrauxGravel, Félix 07 1900 (has links) (PDF)
Le rôle des acteurs privés, publics et communautaires dans la revitalisation des quartiers ouvriers est complexe. Il met en scène différents points de vue et différentes stratégies pour transformer la ville. Ces interactions entre acteurs sont particulièrement tangibles dans le quartier Pointe-Saint-Charles dans l'arrondissement du Sud-Ouest de Montréal. Elles constituent un cas exemplaire des dynamiques du changement social, économique et environnemental que connaissent les quartiers ouvriers suite au redéveloppement d'espaces jusque-là réservés aux activités industrielles. Comme cette étude tente de le montrer, l'intégration des acteurs communautaires et privés au processus de revitalisation urbaine apparaît de plus en plus comme une prérogative de bonne gouvernance de la revitalisation urbaine. Différentes visions s'opposent alors dans la conception, l'élaboration et la mise en œuvre des projets urbains. Cela conduit à renégocier la manière de développer, mettant en lumière les divergences ou les intérêts communs entre les différents acteurs. Un certain nombre d'outils s'offrent alors aux acteurs de la revitalisation, notamment en ce qui a trait aux instruments réglementaires qui apparaissent comme des leviers pour mieux peser dans la négociation. En résumé, cette étude met en lumière le rôle des acteurs privés, publics et communautaires qui participent à la revitalisation des quartiers ouvriers, en questionnant les facteurs et les freins à une meilleure intégration du développement urbain.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : revitalisation urbaine, quartier ouvrier, Pointe-Saint-Charles, acteurs, groupes communautaires, promoteurs, élus, urbanisme, développement, inclusion, approche intégrée.
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L'évolution de la notion de projet urbain en Espagne : les cas de Madrid et de Barcelone. / The evolution of the concept of urban project in Spain : cases of Madrid and BarcelonaGotlieb, Carlos 29 January 2016 (has links)
La réflexion sur la notion de projet urbain reste toujours d’actualité du fait des nouveaux processus de mutation qui s’opèrent, dans les territoires urbanisés, à partir de l’émergence des phénomènes de globalisation et de métropolisation.L’expression de projet urbain fait son apparition dans les années 1980 en Europe occidentale, en réaction à la démarche de planification urbaine en vigueur pendant les « trente glorieuses ». Face aux excès de la vision fonctionnaliste de ces années-là et au coup d’arrêt des grands projets d’extension, la notion de projet urbain apparaît comme une démarche, un nouvel ensemble d’actions qui s’intéresse à la conception de la forme de la ville, s’occupant en priorité de la restructuration des territoires tombés en obsolescence pendant la crise des années 1970. La nature des territoires d’application de la démarche de projet urbain a toutefois changé au gré des évolutions économiques et sociales. Alors que dans les années 1980 les projets urbains s’intéressaient prioritairement au remodelage des secteurs à l’intérieur des villes, en particulier à ceux déstructurés ou fortement "impactés" par la crise, dans les décennies suivantes le centre d’intérêt s’est déplacé vers des secteurs touchés par les phénomènes de métropolisation et de globalisation.Partant de ces constats, il est donc apparu opportun de dresser un état des lieux de la notion de projet urbain.En termes d’efficacité, cette recherche s’est orientée sur le choix de l’Espagne, plus particulièrement sur les villes de Madrid et Barcelone qui ont constitué, ces quarante dernières années, un laboratoire très riche d’application de la notion de projet urbain. / The reflection on the concept “projet urbain “, (urban strategy) is still in topical because of the new processes of change occurring in the urbanized areas, due to the emergence of the phenomena of globalization and metropolisation.The expression of “projet urbain “ appeared in the 1980s in Western Europe, in reaction to the urban planning process in effect during the "thirty glorious years". Faced with the excesses of the functionalist vision of those years and the sudden shutdown of major expansion projects, the concept of “projet urbain “appears as a process, a new set of actions focuses on the design of the shape of the city, dealing primarily with the restructuring of territories witch felt in obsolescence during the crisis of the 1970s.The nature of the application areas in the urban project approach has however changed at the whim of economic and social developments. While in the 1980s urban projects are primarily interested in remodeling areas within cities, especially those damaged or strongly affected by the crisis, in the following decades the focus has moved to areas affected by the phenomenon of metropolisation and globalization. Based on these observations, it therefore seemed appropriate to draw up an inventory of the concept of “projet urbain “.In terms of effectiveness, this research has focused on the choice of Spain, especially in the cities of Madrid and Barcelona who constituted the last forty years, a rich laboratory for applying the concept of “projet urbain “.
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Kisumu en ses échelles : les conditions spatiales, temporelles et politiques des ambitions compétitives d'une ville secondaire kényane / Kisumu and its scales : the spatial, temporal and political conditions of the competitive ambitions of a secondary Kenyan cityMercurol, Quentin 20 October 2017 (has links)
Kisumu, troisième ville du Kenya sur les rives du Lac Victoria, est aujourd’hui le lieu de la définition de politiques urbaines, menées aussi bien par des acteurs locaux qu’internationaux, qui visent à faire de la ville une charnière logistique de la construction est-africaine. Ces politiques urbaines exemplifient la prolifération à l’échelle mondiale des agendas urbains centrés sur la compétitivité et de l’attractivité dans les villes, même les plus ordinaires. Kisumu n’est pourtant pas le réceptacle passif de modèles urbains qui s’imposent sur une périphérie du monde. Nous proposons d’explorer les paramètres géographiques, historiques et politiques qui tracent la particularité de la trajectoire de la ville dans la mondialisation. Kisumu doit être appréhendée au-delà de sa dimension locale : les relations scalaires à partir desquelles se formulent le projet urbain contemporain permettent de mettre en lumière l’adoption à Kisumu d’un agenda compétitif. A travers une « monographie multiscalaire », nous dégageons trois axes de contextualisation des relations scalaires par lesquelles se comprennent les évolutions contemporaines de la politique urbaine et ses conséquences spatiales. Premièrement, la longue durée de l’insertion coloniale de la ville dans le monde structure la formulation du projet urbain contemporain et en investi ses lieux clefs (centre-ville et aéroport). Deuxièmement, la construction et la formation de l’État colonial et postcolonial sont des médiations centrales dans la manière dont s’énoncent les enjeux politiques d’un projet urbain compétitif. Finalement, les différentes échelles d’appartenance à l’ethnicité Luo qui prennent Kisumu comme lieu d’ancrage façonnent la manière dont le projet est localement adopté et contesté. / Kisumu, third largest Kenyan city on the shores of Lake Victoria, is today the place where are defined urban policies both by local and international actors that aim to make the city a logistic hub in the East African construction. At the world scale, these policies illustrate the proliferation of competitiveness oriented urban agendas, even in most ordinaries cities. However, Kisumu is not the passive container of circulating urban models imposed on a world periphery. We propose here to explore the geographical, historical and political parameters that explain the particular urban trajectory of Kisumu in the globalisation process. We see Kisumu beyond its local dimension: scalar relations from which the contemporary urban project is built highlight the local translation of a competitiveness-oriented agenda. Through a “multiscalar monography”, we bring three major directions out that help us to contextualize the scalar relations from which we can understand the contemporary evolutions of urban policies and their spatial consequences. First, the longue durée of the colonial embeddedness of the city in the world still helps the formulation of the contemporary urban agenda. Secondly, the construction and the formation of the colonial and postcolonial state are mediates the way the politics of the newly defined agenda is enunciated. Finally, the different scales of belonging to the Luo ethnicity the city is the anchorage shapes the way the project is locally both adopted and contested.
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