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Le Hamas, de la résistance armée à l'exercice du pouvoir / Hamas, from the armed resistance to the exercise of power

Shakkura, Majdy 19 December 2012 (has links)
Cette étude vise à faire la lumière sur le discours politique du mouvement Hamas, dans le cadre d'une approche comparée critique qui s'appuie sur une méthodologie historique dans la recherche et l'analyse. Nous suivons le passage de ce Mouvement, aux références idéologiques religieuses islamistes, de l'opposition palestinienne au pouvoir. Nous essaierons d'atteindre les objectifs suivants :Décrire l'émergence et l'évolution de ce Mouvement, incarnation vivante des Frères musulmans en Palestine, ainsi que les circonstances et facteurs qui ont conduit à sa régression à certains moments de l'histoire et à sa montée en puissance à d'autres. Nous cherchons également à connaitre les racines de ce mouvement avant et après 1948 et jusqu'au déclenchement de l'Intifada en 1987.Identifier les facteurs qui influent sur les politiques et la prise de décision de ce Mouvement, notamment le facteur idéologique et partisan, étant donné qu'il fait partie intégrante du Mouvement international des Frères musulmans dont l'Islam est la référence idéologique et politique. Il existe également le facteur de l'action nationale palestinienne et les intérêts partisans qui lui ont imposé des visions et des positions pragmatiques. De plus, il convient d'analyser la division du leadership entre intérieur et extérieur et enfin l'influence extraordinaire de l'aile militaire dans la formulation des politiques et dans la prise de décision.Identifier les positions du mouvement Hamas vis-à-vis du système politique palestinien dans ses deux composantes - l'OLP et l'Autorité nationale palestinienne - mais aussi vis-à-vis du conflit israélo-palestinien et les options de règlement de celui-ci, et donc de sa position vis-à-vis du règlement politique, comparée aux positions de l'OLP et des autres factions palestiniennes. Cette étude cherche également à connaître la position du Hamas sur le principe de la libération de la Palestine et vis-à-vis des initiatives politiques de l'OLP et des Etats arabes, et celles des organisations ou des pays amis, comme la Conférence internationale, et à faire la lumière sur l'initiative politique du Hamas en comparaison avec les positions des autres forces.Identifier la relation entre le Hamas et les Frères musulmans et le degré d'autonomie dont jouit le Hamas dans le cadre de sa relation avec l'organisation mère, de caractère internationaliste. L'étude tente aussi d'étudier la nature de la relation de ce mouvement avec les organisations internationales, régionales et arabes, en particulier avec les Etats-Unis d'Amérique, l'Union européenne, la Russie, les autres pays de la région et de connaitre sa place dans les axes dans la région, notamment « l'axe de la résistance », à la lumière de ses relations avec les pays arabes voisins de la Palestine (Egypte, Jordanie, Syrie et Liban) et ceux qui influent sur les politiques régionales et arabe en général, et l'Arabie Saoudite et l'Iran en particulier.Explorer l'expérience du Hamas dans sa transition de l'opposition au pouvoir et faire un parallèle avec l'expérience l'Islam politique, en particulier le mouvement des Frères musulmans, le courant salafiste jihadiste, Al-Qaïda, le Hezbollah libanais et enfin le Parti de la Justice et du développement turc, depuis sa création jusqu'à son accession au pouvoir. / This report aims at highlighting the political ideology of Hamas in a comparative approach through critical analysis and researches, based on a historical methodology. We followed this political movement through its religious ideology and Islamic references, from its position as a Palestinian opposition to the reached power itself. We tried to achieve the following objectives:Describing the emergence and evolution of the movement, the living embodiment of the Muslim Brotherhood in Palestine, as well as the factors and circumstances that led to its decline and its rise at certain periods of the History. We also seek to know the roots of this movement before and after 1948 and until the outbreak of the intifada in 1987.Identifying the factors that influence the policies and decision making of the Movement, espacially the ideological and partisan aspect, as a matter of fact that Hamas is a fundamental element of the international movement Muslim Brotherhood, where Islam is the ideological and political reference. The report tackles the aspect of the national Palestinian actions and partisan interests who have imposed their own visions and pragmatic positions. In addition, it is necessary to analyze the division of leadership between the inside and outside group, but also the important influence of the military wing in the Policy building and decision making.Identifying the positions of Hamas movement towards the Palestinian political system into its two components – the PLO and the Palestinian Authority – towards the Israeli-Palestinian conflict and its settlement options and therefore towards the political settlement, compared to the PLO positions and other Palestinian factions. This research seeks to determine the position of Hamas on the principle of the Palestinian liberation and towards the political PLO initiatives, the Arab States, the organizations and the friendly countries, such as the International Conference, and to bring out the political initiative of Hamas and comparing it to the other forces' positions.Identifying the relation between the Hamas and the Muslim Brotherhood, the degree of autonomy that Hamas has in the organization and its international framework. The research tries to study the nature of the relations of the movement with the international, regional and Arab organizations. A special attention is given to the United States, the European Union, Russia and the other regional countries in order to understand its place and position in the axis of the region. The attention is especially focused on the « axis of the resistance » and the kind of relations Hamas has with the Arab countries of Palestine, like Egypt, Jordan, Syria, Lebanon, and States who have an big impact on the regional policies, particularly Iran and Saudi Arabia.Exploring the experience of Hamas in the transitional period, from the opposition to the takeover and parallelly with the experience in the political aspect of Islam with the Muslim Brotherhood, the Salafi Jihad, Al-Qaida, Hezbollah and the Turkish Party of Justice and Development, from its inception until its accession in power.
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Le Hamas, de la résistance armée à l'exercice du pouvoir

Shakkoura, Majdy 19 December 2012 (has links) (PDF)
Cette étude vise à faire la lumière sur le discours politique du mouvement Hamas, dans le cadre d'une approche comparée critique qui s'appuie sur une méthodologie historique dans la recherche et l'analyse. Nous suivons le passage de ce Mouvement, aux références idéologiques religieuses islamistes, de l'opposition palestinienne au pouvoir. Nous essaierons d'atteindre les objectifs suivants :Décrire l'émergence et l'évolution de ce Mouvement, incarnation vivante des Frères musulmans en Palestine, ainsi que les circonstances et facteurs qui ont conduit à sa régression à certains moments de l'histoire et à sa montée en puissance à d'autres. Nous cherchons également à connaitre les racines de ce mouvement avant et après 1948 et jusqu'au déclenchement de l'Intifada en 1987.Identifier les facteurs qui influent sur les politiques et la prise de décision de ce Mouvement, notamment le facteur idéologique et partisan, étant donné qu'il fait partie intégrante du Mouvement international des Frères musulmans dont l'Islam est la référence idéologique et politique. Il existe également le facteur de l'action nationale palestinienne et les intérêts partisans qui lui ont imposé des visions et des positions pragmatiques. De plus, il convient d'analyser la division du leadership entre intérieur et extérieur et enfin l'influence extraordinaire de l'aile militaire dans la formulation des politiques et dans la prise de décision.Identifier les positions du mouvement Hamas vis-à-vis du système politique palestinien dans ses deux composantes - l'OLP et l'Autorité nationale palestinienne - mais aussi vis-à-vis du conflit israélo-palestinien et les options de règlement de celui-ci, et donc de sa position vis-à-vis du règlement politique, comparée aux positions de l'OLP et des autres factions palestiniennes. Cette étude cherche également à connaître la position du Hamas sur le principe de la libération de la Palestine et vis-à-vis des initiatives politiques de l'OLP et des Etats arabes, et celles des organisations ou des pays amis, comme la Conférence internationale, et à faire la lumière sur l'initiative politique du Hamas en comparaison avec les positions des autres forces.Identifier la relation entre le Hamas et les Frères musulmans et le degré d'autonomie dont jouit le Hamas dans le cadre de sa relation avec l'organisation mère, de caractère internationaliste. L'étude tente aussi d'étudier la nature de la relation de ce mouvement avec les organisations internationales, régionales et arabes, en particulier avec les Etats-Unis d'Amérique, l'Union européenne, la Russie, les autres pays de la région et de connaitre sa place dans les axes dans la région, notamment " l'axe de la résistance ", à la lumière de ses relations avec les pays arabes voisins de la Palestine (Egypte, Jordanie, Syrie et Liban) et ceux qui influent sur les politiques régionales et arabe en général, et l'Arabie Saoudite et l'Iran en particulier.Explorer l'expérience du Hamas dans sa transition de l'opposition au pouvoir et faire un parallèle avec l'expérience l'Islam politique, en particulier le mouvement des Frères musulmans, le courant salafiste jihadiste, Al-Qaïda, le Hezbollah libanais et enfin le Parti de la Justice et du développement turc, depuis sa création jusqu'à son accession au pouvoir.
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Construire, représenter combattre la peur : la société italienne et l'Etat face à la violence politique des "années de plomb", 1969-1981 / instilling, Describing and Fighting Fear : Italian Society and the State in the face of Political Violence during the ''Years of Lead'', 1969-1981

Le Quang, Gregoire 12 December 2017 (has links)
La décennie des années 1970 est caractérisée en Italie par un « cycle de protestation » et des mobilisations politiques et sociales de grande ampleur, qui s'accompagne – sans s'y limiter – d'une vague de violences politiques de natures très diverses, des attentats à la bombe mis au point par l'extrême-droite aux attentats ciblés de la lutte armée d'inspiration marxiste-léniniste, en passant par les débordements occasionnés par des manifestations ou des agressions. Ces violences s'inscrivent dans des stratégies d’intimidation qu'il s'agit de replacer précisément dans des cultures politiques qui se donnent comme objectif d'utiliser, parfois explicitement, la peur comme outil d'intervention politique, occasion de replacer les différents « terrorismes » dans la perspective de trajectoires de radicalisation. Quels sont les résultats socio-politiques de ces manœuvres visant à généraliser la guerre psychologique ? Au fil de la décennie et en comparant, sans les confondre, les différentes formes de « terrorisme » et leurs effets, se dessine une géographie et une chronologie de l'imprégnation de la peur : au-delà de l'effet de terreur qui dure peu, la violence « terroriste » installe un climat de peur durable, un sentiment de menace qui devient, à partir de 1978, un fait incontournable et que nombre de sources contemporaines permettent de saisir. Se pose alors la question de la représentation de la peur dans l'espace public et politique, son instrumentalisation éventuelle dans des stratégies propres au gouvernement ou à l'opposition, et l'absolue nécessité de rassurer, y compris au prix d'une mise en tension des mesures de sécurité avec les valeurs de l'État de droit. / The 1970s in Italy are characterized by a new “cycle of protests” and a dramatic rise in social and political mobilization. These movements were accompanied by – although not limited to – a wave of political violence of various types, from right-wing bombings to targeted attacks by armed underground Marxist-Leninist organizations, and a great number of outbursts of collective violence during demonstrations and street fights. Not all of this violent activity falls under the heading of “terrorism”, rather it should be considered within the broader context of a political climate where intimidation tactics were on the increase and fear was, sometimes explicitly, used as a political tool. The political culture facilitated the use of violence in a process of radicalisation. What are the socio-political results of such a strategy of intimidation and psychological warfare? Analysis of the different strategies and their effects reveals a propagation of fear through the decade, resulting in a sustained climate of terror and the sense of a pressing threat, particularly from 1978 onwards. This raises the question of the effects of repetitive terrorist attacks, and the representation of fear in the public and political sphere: at the same time a destabilizing factor and a tool for legitimising political activities.
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Le traitement, dans la presse écrite, de la violence politique en Guadeloupe de 1979 à 1989 / How the written press dealt with the political violence in Guadeloupe between 1979 and 1989

Canneval, Jacques 22 October 2013 (has links)
Entre 1979 et 1989, la région des Antilles et de la Guyane, et plus particulièrement la Guadeloupe, ont connu une décennie de violence. 284 attentats à la bombe ont été commis dans ces pays, soit un peu plus de 10 % des 2616 attentats perpétrés sur le territoire français de 1973 à 1980. Ces actes de violence ont été revendiqués par deux organisations “terroristes“ successives : le Groupe de libération armée (G.L.A) et l’Alliance révolutionnaire caraïbe. Cette “lutte armée“ avait pour objectif de “pousser“ le gouvernement français à accorder l’indépendance nationale à ses dernières possessions des Antilles et de l’Amérique du Sud. Cette thèse intitulée : “le traitement, dans la presse écrite, de la violence politique en Guadeloupe de 1979 à 1989“ s’attache à interroger la stratégie discursive des journaux nationaux et régionaux pour rendre compte des violences dans un pays où est à l’œuvre une théorie politique de l’assimilation. En se fondant sur le schéma actanciel, ce travail, dans sa première partie, s’emploie à dégager les grandes étapes de la formule “départementalisation“ qui s’est imposée au fil du temps comme cadre politique de régulation de la vie publique des départements d’outre-mer. Dans sa deuxième partie, il s’attarde à mettre en lumière le long processus historique qui a conduit aux événements de violence précités. Ceux-ci sont analysés, dans la troisième partie, par la technique de mise en relation contrastive du quotidien de “référence“ le “Monde“ et du journal “nationaliste“ le “Journal Guadeloupéen“, et par celle de l’analyse de contenu. Les résultats de ce travail sont de deux ordres : 1) le phénomène de la violence politique est saisi dans son fonctionnement pratique et théorique ; les premières vérités, à la suite d’une enquête approfondie, apparaissent sur cette période troublée. 2) la mise en relation contrastive, les analyses lexicale et thématique révèlent avec quel substrat les journaux construisent leurs dires. / Between 1979 and 1989, the region covering the French West Indies and Guyana, and in particular Guadeloupe, experienced a decade of violence. 284 bomb attacks were committed in these countries, i.e. slightly more than 10% of the 2,616 attacks carried out throughout French territory between 1973 and 1980. Two “terrorist” organizations successively claimed responsibility for these acts of violence: the Liberation Army Group (G.L.A.) and the Caribbean Revolutionary Alliance. The aim of this “armed struggle” was to “incite” the French government to grant national independence to its last strongholds in the West Indies and South America. This dissertation, entitled “How the written press dealt with the political violence in Guadeloupe between 1979 and 1989”, focuses on questioning the discursive strategy implemented by national and regional newspapers for reporting the violence in a country where a political theory on assimilation was brought into play. In its first part, this work, which is based on the actantial model, concentrates on highlighting the major phases in the “departmentalization” formula, which imposed itself over time as the political framework that would be used to regulate public life in overseas departments. In its second part, it emphasizes in detail the long historic process which led to the aforementioned violent events. These are analyzed in the third part through a contrastive study of the reference daily – Le Monde, with the nationalistic newspaper – the Journal Guadeloupéen and by analyzing the content. The results of this work are twofold: 1) the phenomenon of political violence is addressed in its theoretical and practical functioning; following an in-depth enquiry, the basic truths are brought to the fore for this troubled period. 2) the contrastive relationship, the lexical and thematic analysis uncovers the “substance” used by the newspapers for establishing their claims.
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Arriba los que luchan! : sindicalismo revolucionário e luta armada : a trajetória da federação anarquista uruguaia : 1963-1973

Alves, Daniel Augusto de Almeida January 2014 (has links)
La présente dissertation a pour objectif d'analyser l'incidence de la Fédération Anarchiste Uruguayenne (FAU) dans les luttes sociales en Uruguay des années 1968 à 1973. Fondée en 1956, la FAU s'est grandement inspirée d'anarchistes comme Malatesta et Bakounine, ainsi que de nombreuses expériences du mouvement ouvrier dans le pays, comme se fût le cas avec les syndicats autonomes et les groupements de solidarités. Entrée dans la clandestinité aux côtés d'autres organisations de gauche en décembre 1967, la FAU continua de développer une action politico-sociale consistante. Durant cette période, comprise par l'organisation comme une « dictature constitutionnelle », son champ d'influence s'est considérablement développé dans le mouvement syndical et étudiant, créant une importante organisation de masses, la Résistance Ouvrière Etudiante (ROE). La FAU fut aussi capable d'entraîner, sous le nom de la Tendance Combative, tout un pan de regroupements syndicaux qui soutenaient une opposition de gauche à la politique du Parti Communiste Uruguayen dans le mouvement syndical. Elle participa aussi activement au processus d'unification du mouvement syndical, qui culminera avec la création de la Convention Nationale des Travailleurs (CNT). En plus de monter une expression significative dans les luttes de masses, la FAU a aussi développé un petit, mais efficace, appareil armé, l'Organisation Populaire Révolutionnaire 33 Orientaux (OPR-33). Bien qu'elle revendiquait explicitement la lutte armée comme un moyen révolutionnaire, cette organisation n'est jamais tombée dans les thèses du foquisme, qui a tant influencé les organisations du continent, et a soutenu un projet de lutte armée articulée et par une organisation politique, avec une ligne de masses. La lutte armée était comprise, par conséquent, comme une expression d'auto-défense des luttes de masses. / A presente dissertação tem como objetivo analisar a incidência da Federação Anarquista Uruguaia (FAU) nas lutas sociais do Uruguai entre os anos 1968-1973. Fundada em 1956, a FAU se alimentou de uma grande influência de anarquistas como Malatesta e Bakunin, além de inúmeras experiências do movimento operário no país, como foi o caso dos sindicatos autônomos e os grêmios solidários. Posta na clandestinidade junto a outras organizações de esquerda em dezembro de 1967, a FAU seguiu desenvolvendo uma consistente atuação político-social. Nesse período, compreendido pela organização enquanto uma “ditadura constitucional”, ampliou de forma considerável seu raio de influência no movimento sindical e estudantil, conformando uma importante organização de massas, a Resistencia Obrero Estudiantil (ROE) além de impulsionar um campo de agrupações sindicais que sustentavam uma oposição de esquerda à política do Partido Comunista Uruguaio no movimento sindical, a Tendencia Combativa. Também participou ativamente no processo de unificação do movimento sindical, que culmina na conformação da Convención Nacional de Trabajadores (CNT). Além de galgar uma significativa expressão nas lutas de massas, a FAU também desenvolveu um pequeno, embora eficaz, aparato armado, a Organización Popular Revolucionaria 33 Orientales (OPR-33). Apesar de reivindicar expressamente a luta armada como via revolucionária, esta organização não abarcou nas teses do foquismo, que tanto influenciaram organizações no continente, sustentando um projeto de luta armada articulado e dirigido por uma organização política, com incidência de massas. A luta armada era compreendida, portanto, enquanto uma expressão de auto defesa e impulso das lutas de massas. / Este trabajo tiene como objetivo el análisis de la incidencia de la Federação Anarquista Uruguaya (FAU) en las luchas sociales de Uruguay entre los años 1968-1973. Fundada en 1956, la FAU se alimentó de una gran influencia de anarquistas como Malatesta y Bakunin, además de inúmeras experiencias del movimiento obrero en el país, como fue el caso de los sindicatos autónomos y los gremios solidarios. Puesta en la clandestinidad junto a otras organizaciones de la izquierda revolucionaria en diciembre de 1967, la FAU siguió desarrolando una consistente actuación político-social. En este periodo, comprendido por la organización mientras una “dictadura constitucional”, se amplió de forma considerable su rayo de influencia en el movimiento sindical y estudantil, conformando una importante organización de masas, la Resistencia Obrero Estudiantil (ROE) además de impulsar un campo de agrupaciones sindicales que sostenian una oposición de izquierda a la política de Partido Comunista Uruguaio en el movimiento sindical, la Tendencia Combativa. También participó activamente en el proceso de unificación del movimiento sindical, que culmina en la conformación de la Convención Nacional de Trabajadores (CNT). Además de lograr una significativa expresión en las lutas de masas, la FAU también desarrolló un pequeño, pero eficaz, aparato armado, la Organización Popular Revolucionaria 33 Orientales (OPR-33). Aunque reivindicara expresamente la lucha armada como vía revolucionaria, esta organización no abarcó en las tesis del foquismo, que tanto influyeron organizaciones en el continente, sosteniendo un proyecto de lucha armada articulado y dirigido por una organización política, con incidencia de masas. La lucha armada era comprendida, por lo tanto, como una expresión de auto defensa y impulso de las luchas de masas.
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Arriba los que luchan! : sindicalismo revolucionário e luta armada : a trajetória da federação anarquista uruguaia : 1963-1973

Alves, Daniel Augusto de Almeida January 2014 (has links)
La présente dissertation a pour objectif d'analyser l'incidence de la Fédération Anarchiste Uruguayenne (FAU) dans les luttes sociales en Uruguay des années 1968 à 1973. Fondée en 1956, la FAU s'est grandement inspirée d'anarchistes comme Malatesta et Bakounine, ainsi que de nombreuses expériences du mouvement ouvrier dans le pays, comme se fût le cas avec les syndicats autonomes et les groupements de solidarités. Entrée dans la clandestinité aux côtés d'autres organisations de gauche en décembre 1967, la FAU continua de développer une action politico-sociale consistante. Durant cette période, comprise par l'organisation comme une « dictature constitutionnelle », son champ d'influence s'est considérablement développé dans le mouvement syndical et étudiant, créant une importante organisation de masses, la Résistance Ouvrière Etudiante (ROE). La FAU fut aussi capable d'entraîner, sous le nom de la Tendance Combative, tout un pan de regroupements syndicaux qui soutenaient une opposition de gauche à la politique du Parti Communiste Uruguayen dans le mouvement syndical. Elle participa aussi activement au processus d'unification du mouvement syndical, qui culminera avec la création de la Convention Nationale des Travailleurs (CNT). En plus de monter une expression significative dans les luttes de masses, la FAU a aussi développé un petit, mais efficace, appareil armé, l'Organisation Populaire Révolutionnaire 33 Orientaux (OPR-33). Bien qu'elle revendiquait explicitement la lutte armée comme un moyen révolutionnaire, cette organisation n'est jamais tombée dans les thèses du foquisme, qui a tant influencé les organisations du continent, et a soutenu un projet de lutte armée articulée et par une organisation politique, avec une ligne de masses. La lutte armée était comprise, par conséquent, comme une expression d'auto-défense des luttes de masses. / A presente dissertação tem como objetivo analisar a incidência da Federação Anarquista Uruguaia (FAU) nas lutas sociais do Uruguai entre os anos 1968-1973. Fundada em 1956, a FAU se alimentou de uma grande influência de anarquistas como Malatesta e Bakunin, além de inúmeras experiências do movimento operário no país, como foi o caso dos sindicatos autônomos e os grêmios solidários. Posta na clandestinidade junto a outras organizações de esquerda em dezembro de 1967, a FAU seguiu desenvolvendo uma consistente atuação político-social. Nesse período, compreendido pela organização enquanto uma “ditadura constitucional”, ampliou de forma considerável seu raio de influência no movimento sindical e estudantil, conformando uma importante organização de massas, a Resistencia Obrero Estudiantil (ROE) além de impulsionar um campo de agrupações sindicais que sustentavam uma oposição de esquerda à política do Partido Comunista Uruguaio no movimento sindical, a Tendencia Combativa. Também participou ativamente no processo de unificação do movimento sindical, que culmina na conformação da Convención Nacional de Trabajadores (CNT). Além de galgar uma significativa expressão nas lutas de massas, a FAU também desenvolveu um pequeno, embora eficaz, aparato armado, a Organización Popular Revolucionaria 33 Orientales (OPR-33). Apesar de reivindicar expressamente a luta armada como via revolucionária, esta organização não abarcou nas teses do foquismo, que tanto influenciaram organizações no continente, sustentando um projeto de luta armada articulado e dirigido por uma organização política, com incidência de massas. A luta armada era compreendida, portanto, enquanto uma expressão de auto defesa e impulso das lutas de massas. / Este trabajo tiene como objetivo el análisis de la incidencia de la Federação Anarquista Uruguaya (FAU) en las luchas sociales de Uruguay entre los años 1968-1973. Fundada en 1956, la FAU se alimentó de una gran influencia de anarquistas como Malatesta y Bakunin, además de inúmeras experiencias del movimiento obrero en el país, como fue el caso de los sindicatos autónomos y los gremios solidarios. Puesta en la clandestinidad junto a otras organizaciones de la izquierda revolucionaria en diciembre de 1967, la FAU siguió desarrolando una consistente actuación político-social. En este periodo, comprendido por la organización mientras una “dictadura constitucional”, se amplió de forma considerable su rayo de influencia en el movimiento sindical y estudantil, conformando una importante organización de masas, la Resistencia Obrero Estudiantil (ROE) además de impulsar un campo de agrupaciones sindicales que sostenian una oposición de izquierda a la política de Partido Comunista Uruguaio en el movimiento sindical, la Tendencia Combativa. También participó activamente en el proceso de unificación del movimiento sindical, que culmina en la conformación de la Convención Nacional de Trabajadores (CNT). Además de lograr una significativa expresión en las lutas de masas, la FAU también desarrolló un pequeño, pero eficaz, aparato armado, la Organización Popular Revolucionaria 33 Orientales (OPR-33). Aunque reivindicara expresamente la lucha armada como vía revolucionaria, esta organización no abarcó en las tesis del foquismo, que tanto influyeron organizaciones en el continente, sosteniendo un proyecto de lucha armada articulado y dirigido por una organización política, con incidencia de masas. La lucha armada era comprendida, por lo tanto, como una expresión de auto defensa y impulso de las luchas de masas.
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Arriba los que luchan! : sindicalismo revolucionário e luta armada : a trajetória da federação anarquista uruguaia : 1963-1973

Alves, Daniel Augusto de Almeida January 2014 (has links)
La présente dissertation a pour objectif d'analyser l'incidence de la Fédération Anarchiste Uruguayenne (FAU) dans les luttes sociales en Uruguay des années 1968 à 1973. Fondée en 1956, la FAU s'est grandement inspirée d'anarchistes comme Malatesta et Bakounine, ainsi que de nombreuses expériences du mouvement ouvrier dans le pays, comme se fût le cas avec les syndicats autonomes et les groupements de solidarités. Entrée dans la clandestinité aux côtés d'autres organisations de gauche en décembre 1967, la FAU continua de développer une action politico-sociale consistante. Durant cette période, comprise par l'organisation comme une « dictature constitutionnelle », son champ d'influence s'est considérablement développé dans le mouvement syndical et étudiant, créant une importante organisation de masses, la Résistance Ouvrière Etudiante (ROE). La FAU fut aussi capable d'entraîner, sous le nom de la Tendance Combative, tout un pan de regroupements syndicaux qui soutenaient une opposition de gauche à la politique du Parti Communiste Uruguayen dans le mouvement syndical. Elle participa aussi activement au processus d'unification du mouvement syndical, qui culminera avec la création de la Convention Nationale des Travailleurs (CNT). En plus de monter une expression significative dans les luttes de masses, la FAU a aussi développé un petit, mais efficace, appareil armé, l'Organisation Populaire Révolutionnaire 33 Orientaux (OPR-33). Bien qu'elle revendiquait explicitement la lutte armée comme un moyen révolutionnaire, cette organisation n'est jamais tombée dans les thèses du foquisme, qui a tant influencé les organisations du continent, et a soutenu un projet de lutte armée articulée et par une organisation politique, avec une ligne de masses. La lutte armée était comprise, par conséquent, comme une expression d'auto-défense des luttes de masses. / A presente dissertação tem como objetivo analisar a incidência da Federação Anarquista Uruguaia (FAU) nas lutas sociais do Uruguai entre os anos 1968-1973. Fundada em 1956, a FAU se alimentou de uma grande influência de anarquistas como Malatesta e Bakunin, além de inúmeras experiências do movimento operário no país, como foi o caso dos sindicatos autônomos e os grêmios solidários. Posta na clandestinidade junto a outras organizações de esquerda em dezembro de 1967, a FAU seguiu desenvolvendo uma consistente atuação político-social. Nesse período, compreendido pela organização enquanto uma “ditadura constitucional”, ampliou de forma considerável seu raio de influência no movimento sindical e estudantil, conformando uma importante organização de massas, a Resistencia Obrero Estudiantil (ROE) além de impulsionar um campo de agrupações sindicais que sustentavam uma oposição de esquerda à política do Partido Comunista Uruguaio no movimento sindical, a Tendencia Combativa. Também participou ativamente no processo de unificação do movimento sindical, que culmina na conformação da Convención Nacional de Trabajadores (CNT). Além de galgar uma significativa expressão nas lutas de massas, a FAU também desenvolveu um pequeno, embora eficaz, aparato armado, a Organización Popular Revolucionaria 33 Orientales (OPR-33). Apesar de reivindicar expressamente a luta armada como via revolucionária, esta organização não abarcou nas teses do foquismo, que tanto influenciaram organizações no continente, sustentando um projeto de luta armada articulado e dirigido por uma organização política, com incidência de massas. A luta armada era compreendida, portanto, enquanto uma expressão de auto defesa e impulso das lutas de massas. / Este trabajo tiene como objetivo el análisis de la incidencia de la Federação Anarquista Uruguaya (FAU) en las luchas sociales de Uruguay entre los años 1968-1973. Fundada en 1956, la FAU se alimentó de una gran influencia de anarquistas como Malatesta y Bakunin, además de inúmeras experiencias del movimiento obrero en el país, como fue el caso de los sindicatos autónomos y los gremios solidarios. Puesta en la clandestinidad junto a otras organizaciones de la izquierda revolucionaria en diciembre de 1967, la FAU siguió desarrolando una consistente actuación político-social. En este periodo, comprendido por la organización mientras una “dictadura constitucional”, se amplió de forma considerable su rayo de influencia en el movimiento sindical y estudantil, conformando una importante organización de masas, la Resistencia Obrero Estudiantil (ROE) además de impulsar un campo de agrupaciones sindicales que sostenian una oposición de izquierda a la política de Partido Comunista Uruguaio en el movimiento sindical, la Tendencia Combativa. También participó activamente en el proceso de unificación del movimiento sindical, que culmina en la conformación de la Convención Nacional de Trabajadores (CNT). Además de lograr una significativa expresión en las lutas de masas, la FAU también desarrolló un pequeño, pero eficaz, aparato armado, la Organización Popular Revolucionaria 33 Orientales (OPR-33). Aunque reivindicara expresamente la lucha armada como vía revolucionaria, esta organización no abarcó en las tesis del foquismo, que tanto influyeron organizaciones en el continente, sosteniendo un proyecto de lucha armada articulado y dirigido por una organización política, con incidencia de masas. La lucha armada era comprendida, por lo tanto, como una expresión de auto defensa y impulso de las luchas de masas.
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La gauche révolutionnaire et la question carcérale : une approche des années 70 italiennes / The revolutionary Left and the prison issue : an approach for Italian's 70

Santalena, Elisa 08 December 2014 (has links)
Notre thèse porte sur la question carcérale et la gauche révolutionnaire en Italie dans les années 1970 et 1980.La question carcérale devient centrale, en Italie, à partir des années 1970 : ce sont des années de révolte et de revendications de masse, mais aussi la période des mouvements de lutte armée. À ce moment-là, l'État se retrouve confronté à un double problème : d'une part, celui de la réforme du système pénitentiaire, avec des prisons vétustes et des règlements archaïques hérités de la période fasciste, et d'autre part la montée en puissance des mouvements extra-parlementaires et de la lutte armée, qui ne cessent d'augmenter la population carcérale.Cette étude vise à analyser le rôle joué par le système carcéral pendant cette période de crise pour la jeune République italienne, et ceci selon plusieurs points de vue. Nous analysons, d'une part, le mouvement revendicatif des détenus de droit commun, qui se politisent au contact des jeunes extra-parlementaires arrêtés après leurs manifestations. D'autre part, nous étudions la montée en flèche de la violence révolutionnaire qui s'oppose à un État qui, de son côté, accroît l'intensité de la répression et met en place des mesures d'urgence pour contrer la dissidence. Cette confrontation donne naissance à une période particulièrement violente, où la prison fini par assumer une fonction de gestion du conflit politique.À travers la description d'un corpus très varié (articles de journaux, tracts, documents théoriques, documents militants de revendication, archives ministérielles, archives de l'administration pénitentiaire) mais aussi des textes historiographiques et des témoignages directs, cette étude pose la question plus générale du rôle central de l'univers carcéral, comme une véritable clé de lecture sociopolitique des années 70 et 80 italiennes. / Our thesis focuses on the prison issue and the revolutionary Left in Italy during the 1970s and 1980s.The prison question becomes central in Italy from the 1970s: these are the years of revolt and mass claims, but also the period of the armed struggle. At that time, the State faces a double problem: first, the necessary reform of the prison system, with prisons in dilapidated state and archaic regulations inherited from the fascist period ; and secondly the rise of extra-parliamentary movements and armed struggle, which are both increasing the prison population.This study aims at analyzing the part played by the prison system during this crisis period in the young Italian Republic, according to several points of view. We analyze, on the one hand, the protest movement of the common criminals who politicize themselves in contact with the young extra-parliamentary people arrested after their demonstrations. On the other hand, we study the soaring revolutionary violence that opposes the State which, in turn, increases the intensity of repression and sets up emergency measures to counter dissidence. This confrontation gives rise to a particularly violent period in which the prison finally takes up a role of political conflict management.Through the description of a varied corpus (newspaper articles, pamphlets, theoretical documents, activists claim, ministerial archives, archives of the prison administration) as well as historical texts and eyewitness accounts, this study raises the more general question of the prison system as a central key to sociopolitical reading of the Italian Seventies and Eighties.
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Langue et discours de la contestation. Enjeux et représentations des luttes sociales et politiques en Italie (1967 - 1980)

Vezzani, Ilaria 15 November 2013 (has links) (PDF)
La thèse porte sur la langue et les discours de la contestation en Italie dans les années 1970. L'étude vise à définir les enjeux et les représentations qui ont prévalu dans l'utilisation de certains mots plutôt que d'autres, en essayant de se placer du point de vue des acteurs qui ont vécu la période. Elle analyse d'une part l'utilisation de certains mots dans la langue politique de l'époque, en la comparant avec la production analogue précédente, et notamment avec les traditions politiques de référence.Elle étudie d'autre part la spécificité de la langue de la période en s'interrogeant sur la question d'un lexique politique propre à une époque donnée. Elle étudie enfin les débats linguistiques qui ont accompagné cette modification du lexique politique, en s'attachant plus particulièrement aux textes qui ont marqué des tournants linguistiques et idéologiques.L'étude vise à adopter une démarche scientifique qui comprend une historicisation précise des textes et des enjeux de leur écriture et qui a été définie par l'expression " philologie politique ".À travers la description d'un corpus très varié, comportant les textes politiques de référence (articles de journaux, tracts, affiches, documents théoriques, débats) produits par les organisations majeures d'extrême gauche (gauche extraparlementaire, mouvements, lutte armée) et leur interaction avec d'autres types de discours (Pci, Dc, presse) ; mais aussi des textes historiographiques et différentes formes de témoignage, cette étude pose la question plus générale de la création d'une langue politique propre à une époque donnée et du caractère particulier de la langue politique des années 1970 en Italie.
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Langue et discours de la contestation. Enjeux et représentations des luttes sociales et politiques en Italie (1967 - 1980) / Language and debates of protests. Stakes and representations of political and social conflicts in Italy (1967-1980)

Vezzani, Ilaria 15 November 2013 (has links)
La thèse porte sur la langue et les discours de la contestation en Italie dans les années 1970. L’étude vise à définir les enjeux et les représentations qui ont prévalu dans l’utilisation de certains mots plutôt que d’autres, en essayant de se placer du point de vue des acteurs qui ont vécu la période. Elle analyse d’une part l’utilisation de certains mots dans la langue politique de l'époque, en la comparant avec la production analogue précédente, et notamment avec les traditions politiques de référence.Elle étudie d'autre part la spécificité de la langue de la période en s’interrogeant sur la question d’un lexique politique propre à une époque donnée. Elle étudie enfin les débats linguistiques qui ont accompagné cette modification du lexique politique, en s’attachant plus particulièrement aux textes qui ont marqué des tournants linguistiques et idéologiques.L’étude vise à adopter une démarche scientifique qui comprend une historicisation précise des textes et des enjeux de leur écriture et qui a été définie par l’expression « philologie politique ».À travers la description d'un corpus très varié, comportant les textes politiques de référence (articles de journaux, tracts, affiches, documents théoriques, débats) produits par les organisations majeures d’extrême gauche (gauche extraparlementaire, mouvements, lutte armée) et leur interaction avec d’autres types de discours (Pci, Dc, presse) ; mais aussi des textes historiographiques et différentes formes de témoignage, cette étude pose la question plus générale de la création d’une langue politique propre à une époque donnée et du caractère particulier de la langue politique des années 1970 en Italie. / The dissertation tackles the language and the debates of protests in Italy in the Seventies. The research looks at defining the stakes and the representations that have been predominant through the use of certain words instead of others, by trying to show the point of view of the stakeholders that have lived this historical period.On one hand, the use of certain words utilized in the political language of that time has been analyzed, and compared with the precedent analogue production, notably with the political traditions of reference.On the other hand, the dissertation tackles the specificity of the language of that period by questioning the theme of a political vocabulary relatively of a specific time. Eventually, an analysis is made of the linguistic debates that have gone along with this change in the political vocabulary, by linking itself in particular to the writings that have marked linguistic and ideological turning points.The study aims at adopting a scientific method that entails a precise historization of the texts and the stakes connected to their writing which has been defined with the expression of « political philology ».The research utilizes the description of a very diversified collection of documents that include the political writings of reference (newspaper articles, leaflets, posters, theoretical documents, debates) produced by the main organizations of the extreme left wing (extra parliamentary left wing, movements, armed struggle) and their interaction with different types of speeches (PCI, DC, press); moreover the study includes historiographic texts and different forms of witness’ documents. The aim is to discuss more generally the creation of a political language belonging to a specific time and the particular character of the political language in the Seventies in Italy.

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