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Luc-Olivier Merson (1846-1920) : de la peinture d’histoire à la peinture décorative / Luc-Olivier Merson (1846-1920) : from History Painting to Decoration

Stevenin, Anne-Blanche 27 November 2009 (has links)
Élève de l’École des beaux-arts de Paris, Luc-Olivier Merson obtient en 1869 le premier grand prix de Rome de peinture d’histoire, titre qui lui permet de parfaire sa formation pendant quatre années en Italie. Artiste reconnu de son vivant, Merson expose régulièrement au Salon parisien, avant d’ouvrir l’éventail de son talent à la décoration et à l’illustration. Au-delà de son goût pour la peinture monumentale, il affirme sa dilection pour l’art religieux dont il bouscule les conventions, grâce à des sources iconographiques recherchées et des sujets rares. Entre Académisme et Symbolisme, Merson confirme sa prédisposition pour le dessin, privilégiant la ligne, tout en entretenant un caractère coloriste subtil et recherché. En s’affranchissant de l’influence de son père Olivier Merson, critique d’art, et en dotant ses réalisations d’archaïsme et d’idéalisme, Luc-Olivier Merson est désormais considéré à juste titre comme l’un des précurseurs du Symbolisme. L’étude de la vie et de l’œuvre de Luc-Olivier Merson permet de comprendre les choix esthétiques et les audaces d’un artiste, trop souvent – et hâtivement – qualifié de Pompier par l’historiographie du vingtième siècle. / In 1869, when a student at the École des Beaux-Arts de Paris, Luc-Olivier Merson received the Rome Prize in history painting. The award allowed him to complete his training with four years of study in Italy. A well-known artist in his own time, Merson showed regularly at the Paris Salon before broadening the scope of his creative activity to include decorative painting and illustration. Beyond his taste for monumental painting, he evinced a keen interest in religious art, whose conventions he overturned, making use of recondite iconographic sources and unusual subjects. Suspended between Academism and Symbolism, Merson displayed a penchant for drawing, always privileging line, even as he maintained a subtle and refined sense of color. Having emerged from the shadow of his father, the art critic Olivier Merson, and endowed his work with a self-conscious archaism and idealism, Luc-Olivier Merson might justly be classed among the precursors of Symbolism. By studying the life and work of Merson, we may come to understand the aesthetic choices and the audacity of an artist too often—and too hastily—termed “Pompier” in twentieth-century art historiography.
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Affaires de familles et affaires de la cité : la transmission d'une pensée politique dans les livres de famille florentins (XIVe-XVe siècles) / Family and City affairs : Political Thought in Florentine Family Books (14th-15th centuries)

Leclerc, Elise 23 November 2013 (has links)
De l'institution du priorat à la chute définitive de la république en 1530, l'organisation de la vie dans la cité florentine a évolué tant dans ses structures effectives que dans ses représentations, laissant une place plus ou moins importante aux différents groupes sociaux, aux familles et individus qui la composent. au cours de cette période, le genre des livres de famille florentins s'est développé, a fleuri et s'est fané : œuvre dans son immense majorité de marchands, d'artisans qui appartiennent au popolo florentin, partie de la population appelée à participer au gouvernement de la cité, ces livres ont pour fonction de transmettre dans le cadre familial et de génération en génération ce que l'on considère important pour le devenir de la famille. quel lien y a-t-il entre ce genre et la vie de la république florentine, entre affaires de familles et affaires de la cité ? quelle est la place du politique dans cette logique de transmission ? quels aspects de la vie de la cité y sont représentés, comment sont-ils traités ? avec quels mots cette culture politique est-elle exprimée, dans quelle mesure est-elle redevable ou distincte de la tradition politique publique antérieure et contemporaine ? mêlant les approches historique, littéraire, linguistique, il s'agira ainsi de rendre compte de la question de la transmission du politique dans le genre des livres de famille en l'inscrivant dans le cadre global de l'évolution de la cité. / Based on a corpus which consists of 150 family books written between 1260 and 1480, this study intends to define the representations that Florence citizens had of their republic, of its running and of their role within it.The first part aims at identifying which room is given to historical and political passages in these books, and the functions of these excerpts in the overall writing strategy. The point is to study how the building of family identity was connected to the life of the city.The second part contains a stylistic and semantic analysis of the narrative parts that are dedicated to the major events of the 14th and 15th centuries. It offers a series of snapshots that define several specific configurations of the city’s political body and of how families refer to it. This textual analysis also provides us an image of the Florentine intellectual framework and a list of the key-concepts that characterized the political thought of the authors – which goes far beyond a mere interest in chronicles. The third part focuses on the use of those keywords in a diachronic perspective, in order to identify the evolutions, the involutions and the breaking points of this thought over the generations, and questions the link between citizens’ active political participation and their private writing on city affairs. The appendix presents transcriptions of the excerpts on the life of the city contained in the unpublished family books of the Florentine families, as well as biographical notes on their often unknown authors.
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Pratolino : art des jardins et imaginaire de la nature dans l'Italie de la seconde moitié du XVIe siècle

Brunon, Hervé 12 March 2001 (has links) (PDF)
L'étude aborde l'art des jardins dans l'Italie de la seconde moitié du XVIe siècle comme expression des rapports entre homme et nature en recourant à la notion d'imaginaire ; elle est centrée sur Pratolino, la villa du grand-duc François Ier de Médicis aménagée au nord de Florence, de 1568 à 1586, sous la direction de Bernardo Buontalenti. Cet exemple, analysé en détail, est replacé dans un contexte à différentes échelles : le règne de son commanditaire (1574-1587) ; les réalisations importantes en Toscane et dans le reste de l'Italie ; enfin la place du jardin dans la société et la culture de la période, et donc les domaines multiples auquel il se rattache. Différents problèmes sont successivement examinés. La fonction sociale du jardin est interrogée au travers de l'idéologie et des pratiques de la villégiature. La perception corporelle de l'espace et le rapport émotionnel au paysage, analysés à partir des témoignages contemporains, impliquent que le jardin, dans le cadre des préoccupations médicales et des modèles poétiques de l'époque, soit vécu et conçu comme médiation avec la nature. Les composantes matérielles, le tracé et l'iconographie construisent une représentation de la nature sur plusieurs plans : résumé de sa variété, le jardin détourne les enjeux du collectionnisme encyclopédique ; mise en scène de ses phénomènes, pour lesquels l'épistémologie des « météores » doit être prise en compte, il opère une réduction symbolique du territoire ; imitation de ses processus, il appartient à une esthétique où l'art vise à s'inscrire de manière immanente dans l'œuvre et qu'éclaire la fortune de l'aristotélisme au XVIe siècle. L'imaginaire de la nature qui sous-tend le jardin n'est pas univoque : il s'y joue à la fois un désir de projection, un fantasme d'analogie et un rêve de re-création. Pratolino montre que l'une des clefs de cet art tient dans l'exploitation politique des représentations culturelles de la nature.
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De l'événement à l'histoire. Récits et images d'actualité de la victoire de Lépante en Toscane sous le règne de Côme Ier de Médicis / From event to history. Current narratives and pictures of the victory of Lepanto in Tuscany under the rule of Cosimo I de’ Medici / Dall'evento alla storia. Racconti e immagini d'attualità della vittoria di Lepanto in Toscana sotto il regno di Cosimo I de' Medici

Ostrovsky-Richard, Charlotte 01 December 2012 (has links)
Cette étude se propose d’étudier la réception de la nouvelle de la victoire de Lépante dans le grand-duché de Toscane sous le règne de Côme Ier et la transformation de l’événement d’actualité en objet historique, inscrit dans l’historiographie officielle médicéenne. La participation de la flotte toscane à la Sainte Ligue de Lépante en 1571 s’inscrit dans un contexte particulier de crise diplomatique avec le roi d’Espagne Philippe II de Habsbourg, dont la Toscane est un État vassal et dont l’autorité est de plus en plus contestée par les Médicis. Côme Ier de Médicis a vu aboutir les projets de son ambitieuse politique navale en 1560 avec la création de l’Ordre militaire marin de Santo Stefano, de sa politique dynastique en 1569 avec l’obtention, par le pape Pie V, du titre héréditaire grand-ducal, accompagné d’un contrat de collaboration militaire pour l’Ordre. La présence de la Toscane, sous la bannière pontificale, dans une coalition aussi prestigieuse que la Sainte Ligue, qui réunit Venise, l’Espagne et le pape, devrait constituer une occasion privilégiée de renforcer le discours de légitimation du principat médicéen. En effet, la victoire de Lépante constitue un événement au sens traditionnel du terme, c’est-à-dire un fait politico-militaire inattendu, éclatant, dont les représentations d’actualité cristallisent les enjeux diplomatiques du moment et dont les célébrations permettent de mettre en scène le pouvoir : plus que l’antagonisme, c’est la qualité de l’alliance qu’on lui oppose qui fait sens dans les récits et les images de Lépante. Pourtant, en Toscane, on n’assiste pas à une production aussi riche, féconde, variée et durable qu’ailleurs en Italie, notamment à Venise ou à Rome. Fidèle à sa tendance de fond qui préfère aux revendications ouvertes la discrétion et la prudence, le discours médicéen raconte une victoire de Lépante ambigüe, nuancée, comme une voix discordante au cœur du concert de célébrations qui suivent l’événement, dépassant le simple clivage des catégories de victoire et de défaite. Les représentations toscanes puisent leur matière même dans les correspondances militaires et diplomatiques des acteurs de la bataille : ils écrivent juste après l’avènement des faits, observent avec lucidité les graves disfonctionnements au sein de la Sainte Ligue, rendent compte de leur expérience concrète de la guerre et des lourdes pertes subies par l’Ordre au cours des combats. La nouvelle et les détails de la victoire se diffusent très largement grâce à une nouvelle forme éditoriale, les avvisi a stampa, des publications occasionnelles qui racontent et célèbrent la victoire. Celles qui sont publiées en Toscane révèlent des choix éditoriaux particuliers : l’imprimerie officielle grand-ducale semble vouloir ménager les susceptibilités en diffusant des versions canoniques pontificales ou espagnoles du déroulement des événements, qui ignorent la participation toscane, tandis que des récits plus favorables aux Toscans sont publiés par des typographes d’importance secondaire. Dans un troisième temps, l’événement s’inscrit dans l’historiographie officielle du régime grand-ducal ; la bataille de Lépante est traitée comme une « semi-victoire » dans un chapitre de l’Istoria de’ suoi tempi de Giovambattista Adriani, l’histoire officielle du règne de Côme ; en revanche, elle fait l’objet d’une célébration triomphale dans un cycle de fresques de Giorgio Vasari réalisé dans la Sala Regia du palais apostolique du Vatican. En effet, Côme renonce à faire représenter la victoire de Lépante à Florence, au Palazzo Vecchio, comme nombre de ses hauts faits militaires, pour envoyer l’artiste officiel de l’État opérer au service du pape, comme ambassadeur du prestige culturel de Florence : pour servir l’État , les arts seraient, en somme, bien plus efficaces que les armes. / This dissertation focuses on how the news of the victory of the battle of Lepanto was received and dealt with under the rule of Cosimo I de’ Medici in the Grand Duchy of Tuscany. This approach will then highlight that, from piece of news to historical information, this event was in fact transformed and discussed by the official Medicean historiography. The Tuscan fleet joined the Holy League in 1571. This coincides with a diplomatic crisis which crystallized the Medici’s contesting the authority of King Philip II of Spain over the vassal state of Tuscany. Cosimo I de’ Medici’s ambitious naval policy led to the creation, in 1560, of the Sacred Military Order of St Stephen and when, in 1569, Pope Pius V granted him the title of Grand Duke on the grounds of hereditary right, along with a military agreement to support the Order, his dynastic policy was finally asserted. The papal banner acknowledged a prestigious alliance between the Republic of Venice, Spain and the Pope. Being part of this Holy League offered Tuscany an opportunity to legitimate the Medicean princedom. The Battle of Lepanto may be considered as an event, that is to say, an unexpected military and political fact. The representations of this brilliant victory epitomize the diplomatic stakes of the time and the way the event was celebrated highlights its power issues. In fact, in the narratives and images of the Battle, what prevails is the strength of the alliance and not what it stood up against. Yet, works dedicated to the Battle in Tuscany were not as diverse and lasting as in other parts of Italy such as Rome and Venice. Medicean historians and artists gave a nuanced version of the Battle, mirroring a general trend of discretion. Their voices thus disrupted the harmonious celebrations which came after the event and challenged the dichotomy of victory versus defeat. Tuscan representations of the event drew their inspiration from an archival material made of diplomatic and military letters. Just off the battlefield, the protagonists of the combat put their experience down into words. They exposed that the Holy League was seriously dysfunctional and gave a first-hand testimony of the war and of how heavy the losses were for the Order. The news of the victory, but also its details, quickly and widely spread thanks to avvisi a stampa, a new editorial practice consisting in occasional publications extolling the grandeur of the victory. This thesis contends that the publications in Tuscany were ruled by a particular editorialist choice. In fact, it appears that the grand-ducal official press remained neutral and published mainly canonical versions of the Battle, praising both the papal and Spanish roles, but which overlooked the Tuscan participation, whereas narratives extolling the Tuscan input in the battle were handled by minor typographers. Furthermore the event made its way into the official historiography of the grand dukedom. In a chapter from Giovambattista Adriani’s Istoria de’ suoi tempi, which relates the official history of Cosimo’s rule, the Battle of Lepanto is described as a "semi-victory". On the other hand, it was treated as a grand victory by Giorgio Vasari in the series of frescos he painted for the Sala Regia in the Vatican palace. As a matter of fact, Cosimo, instead of having the Battle, and many other of his military feats, commemorated in the Palazzo Vecchio in Florence, decided to send the official artist of the State to the Vatican as a cultural ambassador. Arts seemed a better way to serve the State than weapons.
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Entre mentalités et traditions à la cour de France : le pouvoir politique de Catherine de Médicis vu par ses opposants au temps des Guerres de religion

Marmen, Cynthia 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire tourne autour de l’histoire de Catherine de Médicis : une femme, une reine, une épouse et une mère. Nous y analysons les perceptions du pouvoir politique féminin entre 1560 et 1589. Nous nous intéressons également à l’histoire de la monarchie française et de son organisation hiérarchique, alors que le royaume est empêtrée dans les Guerres de religion. Nous y étudions notamment l’organisation sociale et les traditions de la cour de France, ainsi que l’évolution des relations entre le pouvoir monarchique, les bourgeois et les membres de la noblesse. Plus particulièrement, on voit comment Catherine a su conserver pendant trente ans un pouvoir politique étendu et puissant, alors que les mentalités dictent plutôt son retrait des affaires du gouvernement. En effet, pour de multiples raisons, religieuses, économiques, politiques et sociales, ses opposants ne veulent pas qu’une femme ait autant d’autorité au sein du royaume. Par exemple, selon eux, les femmes ne peuvent pas être régentes parce qu’elles sont trop émotives et que leur présence, auprès du roi, est un danger pour le royaume. Catherine utilise donc l’art, sa correspondance et les fidèles de son réseau de clientèle pour prouver à ses détracteurs qu’elle est une véritable femme de pouvoir et rester au sommet de l’État. / This thesis concerns the history of Catherine de Medici : a woman, a queen, a wife and a mother. In this study, we analyze the representations of the female political power between 1560 and 1589. Hence, it’s also focuses on the history of the monarchy during the French Wars of Religion and his organization. We look into the traditions and the organization of the French court, as well as the complex relations linking the crown, the bourgeois and members of the nobility during a dark part of French history. Through those thirty years, Catherine managed to retain a wide and strong power in spite of opposing mentalities. For various reasons stemming from political, social, religious and economic matters, her political opponents disapproved of a woman holding such authority. For instance, according to them, women were unfit for the regency because of their acute emotivity and the danger that might arise from their influence on the king. Therefore, Catherine used other means such as art, correspondence and social networks to assert her role as a powerful female figure.
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À la croisée des temps. François II, roi de France et la crise des années 1559-1560 / At the crossroads of times. Francis II, King of France, and the 1559-1560 crisis

Tejedor, Sophie 28 September 2019 (has links)
Cette thèse étudie les modalités et les conséquences politiques de la crise qui ébranle l’autorité royale française durant le très court règne du jeune François II et fait basculer le royaume dans le temps des troubles de religion. Dans le contexte de la fin des guerres d’Italie et après la tragique mort d’Henri II, l’avènement d’un roi âgé de quinze ans refusant le pouvoir qui lui revient, déclenche une contestation politique inédite dans la France du XVIe siècle. La situation s’envenime d’autant plus pour l’autorité monarchique que le gouvernement royal, conduit par les Guise, oncles du roi, répond par une sévère répression antihérétique au succès de la Réforme protestante. En mars 1560, la conjuration manquée d’Amboise révèle au pouvoir l’ampleur et l’imbrication de ces mécontentements à la fois politiques que religieux. À la faveur d’acteurs aussi essentiels pour la France du XVIe siècle que Catherine de Médicis, le cardinal de Lorraine ou Michel de l’Hospital, un processus d’inflexion politique majeure s’initie alors : le pouvoir opte pour une modération religieuse et une politique d’apaisement qu’il s’efforce d’ajuster à la « nécessité des temps » autant qu’à l’accélération des élans catholiques et protestants. Si le règne de François II ouvre le temps des troubles civils, il ouvre donc aussi celui des tentatives et des expérimentations politiques dont les édits des guerres de Religion seront les héritiers. Appuyé sur une fine analyse de l’enchaînement événementiel, le présent travail s’efforce de révéler la complexité de ce règne « à la croisée des temps » autant que son caractère décisif pour la réflexion politique du second XVIe siècle français. / This thesis focuses on the processes and political consequences of the crisis which destabilizes the French royal authority during the short-lived reign of young Francis II and propels the kingdom into the French troubles of religion. In the wake of the Italian Wars and the tragic death of Henry II, the accession of a fifteen-year-old king who refuses the power that is handed down to him entails a political contestation that is unprecedented in sixteenth-century France. The situation further deteriorates for the monarchical authority since the royal government led by the King’s uncles, the Guises, responds to the successful Protestant Reformation with severe repressive measures against heretics. In March 1560, the failed Amboise conspiracy reveals to the royal authority the extent and interconnectedness of the political and religious discontents. Thanks to figures of paramount importance to sixteenth-century France, such as Catherine de’ Medici, the Cardinal of Lorraine or Michel de l’Hospital, a process of major political reorientation is then initiated : the royal authority opts for religious moderation and an appeasement policy it tries to adapt to both the “necessities of times” and the increasing Catholic and Protestant momentums. Though the reign of Francis II opens the era of civil wars, it also opens that of political trials and experimentations which will eventually bring about the Wars of Religion edicts. This work is based on a detailed analysis of the chain of events, and endeavours to reveal the complexity of a reign “at the crossroads of times” as well as its determining role in the political reflection of the second half of the sixteenth century in France.
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Les réseaux d’information et la circulation des nouvelles autour de l’exil de Marie de Médicis (1631-1642) / Information Networks and circulation of news about Mary de’ Medici’s exile (1631-1642)

Guérinot-Nawrocki, Sophie 04 January 2011 (has links)
En 1631, Marie de Médicis (1573-1642), reine de France, opposée à la politique de Richelieu, quitte précipitamment le royaume pour trouver refuge à la cour de Bruxelles. Jusqu’à sa mort en 1642, elle ne réussit jamais, malgré maintes tentatives, à rentrer en France. Elle vit dans les Pays-Bas espagnols jusqu’en 1639, puis, après un bref passage dans les Provinces-Unies, à Londres jusqu’en 1641, pour finir ses jours à Cologne. Alors que la guerre de Trente ans déchire l’Europe, Marie de Médicis tisse des liens avec les princes, mais aussi avec d’autres émigrés français, tels que Gaston d’Orléans ou la duchesse de Chevreuse. A travers cette situation exceptionnelle, nous étudions les réseaux, officiels ou secrets, qui se font et se défont autour de ces émigrés. La mise en place des réseaux et leur bon fonctionnement sont assurés par des hommes, ambassadeurs, courtisans, serviteurs, qui ont chacun des profils et des ambitions différents. Leurs histoires individuelles permettent de restituer la logique organique de cet ensemble complexe et mouvant à travers lequel circulent des nouvelles. Celles-ci sont analysées du point de vue matériel de leur support et de leur acheminement, mais aussi en fonction de leur contenu, qui varie selon les circonstances et les tensions politiques du moment. La circulation et les mutations de l’information ont sur la diplomatie des incidences qu’il faut évaluer. De plus, elles reflètent des idées politiques et révèlent des codes, des symboles, des représentations et des comportements particuliers. La mise en scène de l’information devient alors un objet d’étude fondamental. / In 1631, Mary de’ Médici (1573-1642), queen mother of the French king, opposed to Richelieu’s government, precipitately leaves the kingdom to find shelter at the court of Brussels. Until her death in 1642, she never succeeds, in spite of many attempts, to be allowed to come back to France. She lives in the Spanish Netherlands from 1631 to 1639. Then, after a short passage through the United Provinces, she stays in London until 1641, to move out again to Cologne, where she finally dies. Whereas the Thirty Years War tears Europe to pieces, Mary de’ Médici weaves bonds not only with foreign princes, but also with other French banned emigrants, such as Gaston of Orleans or the duchess of Chevreuse. The study of this outstanding situation reveals official or secret networks, which are built up and undone around those emigrants. The making and good working of those networks are ensured by a pool of ambassadors, courtiers, servants, who have various profiles and follow different purposes. By rebuilding the individual stories of these men, we can disclose the organic logic of this complex and moving party, in which the news arise and flow. We try to provide an analysis from the point of view of the material support and routing of information, but also according to its content, which may vary following the peculiar circumstances and political issues. The circulation and changes of the news affect the diplomatic deeds in a way that must be investigated and explained. Moreover, information, as a mirror of political thoughts, is reflecting codes, symbols, representations and behaviors. Therefore, the setting and showing of information can be seen as a significant matter for political studies.
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The Marillac: Family Strategy, Religion, and Diplomacy in the Making of the French State during the Sixteenth and Seventeenth Centuries

Edward J Gray (8649114) 16 April 2020 (has links)
The Marillac were one of the most important noble families in early modern France. My analysis of this pivotal and deeply political family during the turbulent era of the French Wars of Religion (1562-1629) examines and explains the importance of the interaction of familial alliances, religion and diplomacy in the making of the state. This period represents a critical moment in the process of state development. In contrast to prevailing studies of early modern state formation that concentrate on a centrally-directed program, this dissertation argues that it was the expansion of family strategy, and its interplay with religion and diplomacy, that drove the ongoing construction of the early modern state. There was no blueprint for the creation of this state. Rather, it was born out of an accretion of policies formed by politically important clans working to advance their familial interests. By closely tracing the fortunes of the Marillac clan through archives and research libraries in France, this study discloses the nature of power in early modern Europe in its daily, practical manifestations. My project reaffirms the agency of the family and the individual in the making of the state. It showcases the importance of religious devotion to the formation of family strategy, and especially how Marillac women were drivers of this devotion. My research demonstrates how one family successfully negotiated the Wars of Religion. Additionally, I discuss the impactful role of the individual diplomat in the practice of foreign affairs. Finally, by tracing the fortunes of the Marillac family, I show how a family not only rises to power, but falls, as well as the consequences and limits of disgrace. My research will therefore contribute to the fields of early modern state-building, diplomacy, religious politics, and women and gender through the prism of Marillac family strategy and its interaction with religion and diplomacy.

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