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La Multimorbidité : un concept pour la médecine générale en Europe / Multimorbidity : a concept for family medicine within Europe

Le Reste, Jean-Yves 19 May 2016 (has links)
En utilisant un processus de recherche minutieux étape par étape, cette thèse a créé une équipe de recherche européenne pour concevoir son protocole de recherche. L'examen systématique de la littérature a montré une énorme quantité de définitions différentes (132 définitions différentes) et une grande diversité dans ces définitions (avec 1631 critères uniques distincts). La définition globale du concept de multimorbidité découlant de la revue systématique de la littérature est une étape pertinente.Les traductions du concept ont été finalisées pour le bulgare, le castellan, le catalan, le croate, le français, le galicien, l'allemand, le grec, l'italien et le polonais. Les études qualitatives ont confirmé le concept en MG et ont ajouté deux modificateurs de la Multimorbidité aux compétences fondamentales de la Wonca et la dynamique des relations médecin-patient comme aide à la détection et à la gestion de la multimorbidité. Le programme de recherche a porté sur les besoins futurs de recherche sur la mesure de la multimorbidité et son impact sur le patient. Elle a également renforcé la nécessité de simplifier ce concept en utilisant une approche pragmatique pour déterminer les variables utiles du concept sur ses résultats et son lien avec la complexité. / Using a step-by-step careful research process this thesis created a European research team to design its research protocol. The systematic review of literature showed a huge amount of different definitions (132 different definitions) and a great diversity in those definitions (with 1631 distinct single criteria). The comprehensive definition of the concept of multimorbidity issued from the systematic literature review was a relevant step.The translations of the concept were finalized for Bulgarian, Castellan, Catalan, Croatian, French, Galician, German, Greek, Italian and Polish. The qualitative studies confirmed the concept for FPs and added two modificators of Multimorbidity with the Wonca’s core competencies of FM and the doctor-patient relationship dynamics as a help to detect and manage multimorbidity.The research agenda focused future research needs on the measurement of multimorbidity and its impact on patient. It also enhanced the need for the simplification of this concept using a pragmatic approach to determine the useful variables of the concept on its outcomes and its link to complexity.
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Expérience des personnes adultes atteintes de multimorbidité : une étude phénoménologique

Duguay, Cynthia January 2012 (has links)
La prévalence de la multimorbidité est très élevée parmi la clientèle des services de santé en première ligne selon des études effectuées dans plusieurs pays et elle est associée à de nombreuses conditions défavorables. Ainsi, toute intervention mise en place pour aider une personne à faire face à la multimorbidité sera enrichie grandement de la connaissance approfondie de cette expérience selon la perspective même de la personne. Objectifs : La présente étude phénoménologique a pour but de décrire l'essence de l'expérience vécue par des personnes adultes atteintes de multimorbidité. Méthodologie : L'étude s'est déroulée dans une région francophone du Québec auprès d'un échantillon de 11 adultes suivis en première ligne. Pour le recrutement des participants, nous avons sollicité et obtenu la collaboration de sept médecins de famille oeuvrant dans trois cliniques de médecine familiale. Les participants de sexe masculin ou féminin, devaient être âgés entre 18 et 69 ans et être atteints d'au moins quatre maladies chroniques. Les données ont été recueillies en trois étapes : une première entrevue semi-dirigée auprès des participants incluant un questionnaire sociodémographique, une deuxième entrevue semi-dirigée quelques semaines plus tard et finalement la collecte de renseignements complémentaires auprès du médecin de famille au sujet des maladies chroniques présentes chez les participants. Le contenu des entrevues a été analysé selon la méthode proposée par Colaizzi. Résultats : Il ressort des thèmes présentés, qu'au coeur de la structure de l'expérience de la multimorbidité, se trouve une impression de vieillir prématurément en raison des nombreuses pertes aux plans physique et social. Cette sensation de vieillesse prématurée est vue dans toute sa complexité, laquelle se caractérise par un enchaînement de plusieurs maladies et une multitude d'interactions nécessitant une gestion complexe des nombreux soins et autosoins requis par leur condition de santé. Malgré le fardeau psychologique important, les participants estiment qu'ils s'approprient la multimorbidité et ajustent leur quotidien selon leur réalité. Conclusion : L'étude montre que l'expérience de vivre avec la multimorbidité est un vécu unique. Les personnes atteintes ont une vision systémique de leur condition. La connaissance des résultats interpelle l'organisation du réseau de la santé pour une approche systémique des soins et des services pour répondre adéquatement à leurs besoins particuliers. D'autres études s'imposent pour poursuivre l'exploration du vécu et le développement d'interventions adaptées à la réalité des personnes atteintes de multimorbidité.
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Explorer la relation entre le statut socio-économique et la multimorbidité au sein d’une population clinique de première ligne

Kinumbe Elungu, Michel January 2015 (has links)
Cette recherche a pour objectif d’explorer la relation entre le statut socio-économique estimé par différents facteurs et la multimorbidité au sein d’une population clinique de première ligne. Nos analyses montrent que, malgré divers biais liés à la base des données, les résultats obtenus sont très révélateurs. Cette étude a été réalisée sur base des données collectées par le programme de recherche d’une cohorte interrégionale sur la santé en évolution (PRÉCISE) dirigée par Haggerty et Fortin. Pour notre étude, nous avons utilisé les données de la première collecte de données de PRECISE en nous concentrant sur la population clinique de première ligne c’est-à-dire celle rencontrée dans les salles d’attente de pratique médicale et qui a une affiliation avec un médecin de famille. Les variables, dépendante et indépendante, étaient respectivement la multimorbidité et le statut socio-économique. Ces variables ont été opérationnalisées de différentes façons selon les analyses. Des associations directes entre le statut socio-économique et la multimorbidité ont été trouvées. La relation était statistiquement significative pour tous les niveaux faibles des différents facteurs utilisés pour estimer le SSE. Ainsi, les patients avec un statut socio-économique faible étaient plus atteints de multimorbidité que ceux bénéficiant d’un statut socio-économique élevé. Le faible niveau de scolarité manque d’occupation, des revenus faibles et une perception négative de sa situation financière ou la combinaison de ces facteurs devraient être pris en compte dans l’élaboration et la mise en œuvre des stratégies de prévention de la multimorbidité.
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Prévalence de la multimorbidité auto-rapportée : une comparaison entre la population générale et la population des salles d'attente de cliniques de médecine familiale / Prevalence of multimorbidity: a comparison between the general population and the population of the waiting rooms of family medicine clinics.

Mokraoui, Nadjib Mohamed January 2013 (has links)
Résumé: Objectifs : Comparer la prévalence de la multimorbidité selon trois définitions opérationnelles de multimorbidité avec un même mode de collecte de données entre la population générale et la population des salies d'attente de cliniques de médecine familiale, et entre les milieux ruraux et urbains en tenant compte de l'âge et du sexe. Approche : Nous avons utilisé la première collecte de données d'une étude de cohorte dont le but est d'examiner l'effet des soins de première ligne sur l'évolution de l'état de santé dans la population. L'étude a été effectuée dans quatre réseaux locaux de services du Québec. Au total, 3 449 participants ont été recrutés, soit 2 409 personnes pour constituer la cohorte populationnelle et 1 040 personnes pour la cohorte clinique (taux de réponse 71,35 % en population vs 75,67 % en clinique). Un questionnaire auto administré a été utilisé. Nous avons utilisé trois définitions opérationnelles de multimorbidité en accord avec la littérature pour estimer les prévalences. Résultats : La prévalence d'avoir deux maladies ou plus chez les 25-44 ans, 45-59 ans et 60-75 ans est, respectivement, 38,7 %, 64,2 % et 80,5 % dans la cohorte populationnelle, et 48,5 %, 69,9 % et 88,4 % dans la cohorte clinique. En utilisant la définition de trois maladies ou plus, les prévalences sont pour ces mêmes groupes de 19,8 %, 48,1 % et 66,3 % vs 33,8 %, 55,9 % et 76,8 % respectivement. En utilisant la troisième définition avec score DiseaseBurdenMobidityAssessment de 10 ou plus les prévalences sont de 6,6 %, 19,6 % et 29,3 % vs 16,7 % 19,6 % et 29,3 %. Les différences entre les cohortes selon l'âge sont moindres que celles retrouvées dans la littérature. Une différence significative a été observée dans la population générale entre les milieux rural et urbain pour les définitions deux maladies ou plus et trois maladies ou plus. On n'a pas retrouvé de différences entre les sexes. Conclusions : La prévalence de la muitimorbidité augmente avec l'âge selon les trois définitions utilisées. Le fait d'avoir utilisé les mêmes méthodes de collectes de données a réduit les différences de prévalence observées dans la littérature entre les cohortes clinique et populationnelle.||Abstract: Objectives: To compare the estimated prevalence of multimorbidity, using three operational definitions of multimorbidity with the same mode of data collection, among the general population and the population of the waiting rooms of family medicine clinics, and between urban and rural areas taking into account age and sex. Approach: We used the first data set of a cohort study that aims to examine the effect of primary core on the evolution of health status in the population. The study was conducted in four local health networks in Quebec. In total, 3 449 participants were recruited, 2 409 for the population-based cohort and 1 040 individuals for the clinical cohort (response rate 71.35% in the population vs. 75.67% in clinics). The self-administered Disease Burden Morbidity Assessment (DBMA) instrument was used. We used three operational definitions of multimorbidity commonly used in the literature to estimate the prevalence. Results: The prevalence of having two or more diseases among the 25-44 year olds, 45-59 year olds and 60-75 year olds is 38.7 %, 64.2% and 80.5 %, respectively, in population-based cohort, and 48.5 %, 69.9 % and 88.4 % in the clinical cohort. Using the definition of three diseases or more. prevalence for those same groups is 19.8 %, 48.1 % and 66.3 % vs. 33.8 %, 55.9 % and 76,8 % respectively. Using the third definition with a DBMA score of 10 or more, prevalence is 6.6 %, 19.6 % and 29.3 % vs 16.7 % and 19.6 % 29.3 %. The differences between age cohorts are lower than that found in the literature. A significant difference was observed in the general population between rural and urban definitions for two or more diseases and three or more diseases. No gender-related differences were found. Conclusions: Prevalence of multimorbidity increases with age according to three definitions. Having used the same methods of data collection reduced the differences in the prevalence between clinical and population cohorts observed in the literature.
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Résultats d'une intervention multidisciplinaire randomisée contrôlé chez des patients avec multimorbidité et impact du statut socioéconomique sur les résultats / Results of a randomized controlled multidisciplinary intervention in patients with multimorbidity and effect of the socioeconomic status on the results

Contant, Éric January 2018 (has links)
Contexte : Les interventions cliniques pour les patients avec multimorbidité sont complexes et l'effet du statut socioéconomique sur ces interventions est limité. Nous avons analyser l'effet d'une intervention multidisciplinaire chez des patients avec multimorbidité et l'effet du statut socioéconomique (SSÉ) sur les résultats de l'intervention. Méthodologie : Analyse secondaire de données d'une intervention multidisciplinaire pragmatique randomisée-contrôlée de patients avec maladies chroniques. Patients recrutés dans 8 cliniques médicales de première ligne. Les patients avec trois maladies chroniques et plus ou leurs facteurs de risques ont été analysés. Issu primaire : changement substantiel dans un des huit domaines du Health Education Impact Questionnaire (heiQ). Le statut socioéconomique (SSÉ) des participants a été mesuré au début de l'intervention. Une collecte de données additionnelles a été faite pour mesurer l'autoappréciation de la situation financière des participants. Des régressions logistiques univariées et multivariées ont été utilisées. Résultats : 281 participants ont été analysés, avec une moyenne de 5,5 maladies chroniques. 13.5% avaient un revenu annuel de moins de 20,000$ et 51% avaient un diplôme d'études secondaires ou moins. En analyses univariées, l'intervention a amélioré le heiQ dans 6 domaines (RC : 1.96-2.91, p<0,05). En contrôlant pour le SSÉ, le OR de quatre domaines a augmenté incluant un domaine qui est devenu statistiquement significatif (Positive and active engagement in life). Conclusion : L'intervention a été efficace pour améliorer les résultats du heiQ chez des patients avec multimorbidité. Après avoir corrigé pour le SSÉ, quatre domaines se sont améliorés, suggérant que le SSÉ avait un effet négatif sur les résultats. / Abstract : Background : Successful interventions for patients with multimorbidity are complex and the known impact of the socioeconomic status (SES) on these interventions is limited. We analyzed the effect of a multidisciplinary intervention on patients with multimorbidity and the effect of the SES on the results of the intervention. Methods : Secondary data analysis of a pragmatic randomized controlled trial relating to a multidisciplinary intervention on patients with chronic diseases in 8 primary care practices in Quebec, Canada. Participants with three or more chronic conditions or risk factors were included in the analysis. Primary outcome: self-management improvement assessed by a substantial change in one of the eight domains of the Health Education Impact Questionnaire (heiQ). Socioeconomic Status (SES) of participants was measured at baseline. Self-perceived financial status was also collected. Univariate and multivariate logistic regression were used. Results : 281 participants were included in the analysis, with a mean 5.5 chronic conditions or risk factors. 13.5% had an annual income <20,000$ and 51% had an high school degree or less. In the univariate analysis, the intervention improved 6 domains of the heiQ (RC : 1.96-2.91, p<0,05). After controlling for SES, the OR of 4 domains improved, including a domain that became statistically significant (Positive and active engagement in life). Interpretation : The intervention was effective at improving self-management of patients with multimorbidity. After correction for SES, the OR of domains improved, suggesting the SES had a negative effect on the results.
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Association entre détresse psychologique et expérience de soins de première ligne chez des patients avec multimorbidité

Maltais, Marie-Ève January 2016 (has links)
Objectif principal: Vérifier dans quelle mesure la détresse psychologique est associée à l’expérience de soins des patients avec multimorbidité. Objectifs spécifiques : (a) décrire l’expérience de soins des patients avec ou sans multimorbidité, (b) décrire l’expérience de soins des patients avec ou sans détresse psychologique, (c) explorer l'effet modérateur de la détresse psychologique sur l'expérience de soins des patients avec multimorbidité. Devis : Étude corrélationnelle descriptive basée sur une analyse secondaire des données du deu-xième temps de mesure du programme PRÉCISE, une étude de cohorte portant sur l’effet des soins de première ligne sur la santé dans trois régions du Québec. Échantillon : 1511 utilisateurs de soins de première ligne formant la cohorte populationnelle de PRÉCISE (59,8 % de femmes, 24,2 % avec multimorbidité, 40,8 % avec détresse psychologique.) Résultats : Les individus avec multimorbidité ont une moins bonne perception de la conti-nuité informationnelle (p<0,01), mais tendent à avoir une meilleure perception de l’accessibilité que ceux sans multimorbidité (p=0,07). En ajustant pour le sexe et l’âge, la multimorbidité est associée à la continuité informationnelle (B=-0,66, IC -0,87, -0,45, p<0,01). Les individus avec détresse psychologique perçoivent plus négativement l’accessibilité organisationnelle que ceux sans détresse psychologique (p<0,01), et leur per-ception de la continuité informationnelle (p<0,01) est également moins bonne. En ajustant pour l’âge, la détresse psychologique est associée à une moins bonne perception de l’accessibilité organisationnelle (B=-0,16, IC -0,25, -0,05, p<0,01). En ajustant pour le sexe et l’âge, la détresse psychologique est associée à une moins bonne perception de la conti-nuité informationnelle (B=-0,74, IC -0,91, -0,57, p<0,01). Aucun rôle modérateur de la détresse psychologique n’a pu être identifié. Discussion : Les patients avec détresse psy-chologique ont une moins bonne perception de leur expérience de soins que ceux sans cette caractéristique, et ceux avec multimorbidité ont une moins bonne perception de la continuité informationnelle, mais une meilleure perception d’accessibilité organisationnelle. Les faibles écarts observés entre les groupes quant à l’expérience de soins incitent à la prudence dans l’interprétation puisqu’elles ne reflètent pas nécessairement une différence significative sur le plan clinique entre les groupes. Conclusion : Cette étude illustre certaines pistes à explorer en lien avec les distinctions entre les utilisateurs ayant certaines caractéristiques de vulnérabilité quand vient le moment de sonder leur expérience de soins, particulièrement en ce qui concerne les patients avec une composante de détresse psychologique.
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Étude du suivi conjoint par un médecin spécialiste chez les adultes avec maladies chroniques suivis en première ligne

Larochelle, Jean-Louis 01 1900 (has links)
Contexte : Les médecins spécialistes peuvent participer aux soins ambulatoires des personnes atteintes de maladies chroniques (MCs) et comorbidité comme co-gestionnaire ou consultant selon qu’ils sont responsables ou non du suivi du patient. Il y a un manque d’évidences sur les déterminants et l’impact du type d’implication du médecin spécialiste, ainsi que sur la façon optimale de mesurer la comorbidité pour recueillir ces évidences. Objectifs : 1) déterminer chez les patients atteints de MCs les facteurs associés à la cogestion en spécialité, dont les caractéristiques des organisations de première ligne et la comorbidité; 2) évaluer si le type d’implication du spécialiste influence le recours à l’urgence; 3) identifier et critiquer les méthodes de sélection d’un indice de comorbidité pour la recherche sur l’implication des spécialistes dans le suivi des patients. Méthodologie : 709 adultes (65 +/- 11 ans) atteints de diabète, d’arthrite, de maladie pulmonaire obstructive chronique ou d’insuffisance cardiaque furent recrutés dans 33 cliniques de première ligne. Des enquêtes standardisées ont permis de mesurer les caractéristiques des patients (sociodémographiques, comorbidité et qualité de vie) et des cliniques (modèle, ressources). L’utilisation des services de spécialistes et de l’urgence fut mesurée avec une base de données médico-administratives. Des régressions logistiques multivariées furent utilisées pour modéliser les variables associées à la cogestion et comparer le recours à l’urgence selon le type d’implication du spécialiste. Une revue systématique des études sur l’utilisation des services de spécialistes, ainsi que des revues sur les indices de comorbidité fut réalisée pour identifier les méthodes de sélection d’un indice de comorbidité utilisées et recommandées. Résultats : Le tiers des sujets a utilisé les services de spécialistes, dont 62% pour de la cogestion. La cogestion était associée avec une augmentation de la gravité de la maladie, du niveau d’éducation et du revenu. La cogestion diminuait avec l’âge et la réception de soins dans les cliniques avec infirmière ayant un rôle innovateur. Le recours à l’urgence n’était pas influencé par l’implication du spécialiste, en tant que co-gestionnaire (OR ajusté = 1.06, 95%CI = 0.61-1.85) ou consultant (OR ajusté = 0.97, 95%CI = 0.63-1.50). Le nombre de comorbidités n’était pas associé avec la cogestion, ni l’impact du spécialiste sur le recours à l’urgence. Les revues systématiques ont révélé qu’il n’y avait pas standardisation des procédures recommandées pour sélectionner un indice de comorbidité, mais que 10 critères concernant principalement la justesse et l’applicabilité des instruments de mesure pouvaient être utilisés. Les études sur l’utilisation des services de spécialistes utilisent majoritairement l’indice de Charlson, mais n’en expliquent pas les raisons. Conclusion : L’implication du spécialiste dans le suivi des patients atteints de MCs et de comorbidité pourrait se faire essentiellement à titre de consultant plutôt que de co-gestionnaire. Les organisations avec infirmières ayant un rôle innovateur pourraient réduire le besoin pour la cogestion en spécialité. Une méthode structurée, basée sur des critères standardisés devrait être utilisée pour sélectionner l’indice de comorbidité le plus approprié en recherche sur les services de spécialistes. Les indices incluant la gravité des comorbidités seraient les plus pertinents à utiliser. / Background: Medical specialist physicians can be involved either as comanagers (responsible for follow-up of patients) or consultants (provide advice/specialized interventions) in the care of patients with chronic diseases (CDs) managed in a primary health care (PHC) setting. Evidences concerning determinants and impact of type of specialist involvement are currently lacking, in particular the influence of comorbidity and how best to measure this factor. Objectives: The objectives were 1) to determine clinical, patient and PHC organizational characteristics associated with type of specialist involvement in patients with CDs; 2) to assess whether type of specialist involvement is associated with emergency department (ED) use and; 3) to identify methods for selecting a comorbidity index for specialist services research. Methods: 709 adults (65 +/- 11 years) with diabetes, heart failure, arthritis, or chronic obstructive pulmonary disease were recruited in 33 PHC practices. Standardized surveys were used to measure patient (gender, age, education, income, comorbidity, quality of life) and practice characteristics (model, remuneration mode, resources, role of nurse). Information on specialist services and ED use was procured from the Quebec physician claims database. We used multivariate logistic regression to 1) model variables associated with being comanaged and 2) compare ED use among persons with different types of specialist involvement. We conducted two systematic reviews: 1) review articles on comorbidity indices to identify proposed selection procedures and 2) studies on specialist services utilization to identify selection processes actually used. Results: One third of our sample saw a specialist; the majority (62%) was as a comanager. Comanagement was associated with higher disease severity, younger age, higher education level and income and primary care management in practices without a nurse in advanced practice role. There was no difference in rates of ED use over one year between patients with or without specialist involvement, either as a comanager (adjusted OR = 1.06, 95%CI = 0.61-1.85) or as a consultant (adjusted OR = 0.97, 95%CI = 0.63-1.50). Quantity of comorbidity was not associated with either comanagement or impact of specialist involvement on ED use. Our systematic review revealed no standardized selection process of a comorbidity index. However, 10 distinct criteria related to accuracy and applicability of a measurement scale or validity of reported studies were compiled. Studies on specialist services utilization mostly used the Charlson comorbidity index, but none justified their choice. Conclusion: Specialist support in the management of patients with CDs and comorbidity should be provided on a consultant basis. The PHC practice model with a nurse in an advanced practice role may reduce the need for specialist comanagement. When adjusting for comorbidity, researchers should use a structured process to select the appropriate index based on standard criteria such as validity and applicability. Indices considering severity of comorbidities may be more useful than sole disease count in specialist services research.
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Étude du suivi conjoint par un médecin spécialiste chez les adultes avec maladies chroniques suivis en première ligne

Larochelle, Jean-Louis 01 1900 (has links)
Contexte : Les médecins spécialistes peuvent participer aux soins ambulatoires des personnes atteintes de maladies chroniques (MCs) et comorbidité comme co-gestionnaire ou consultant selon qu’ils sont responsables ou non du suivi du patient. Il y a un manque d’évidences sur les déterminants et l’impact du type d’implication du médecin spécialiste, ainsi que sur la façon optimale de mesurer la comorbidité pour recueillir ces évidences. Objectifs : 1) déterminer chez les patients atteints de MCs les facteurs associés à la cogestion en spécialité, dont les caractéristiques des organisations de première ligne et la comorbidité; 2) évaluer si le type d’implication du spécialiste influence le recours à l’urgence; 3) identifier et critiquer les méthodes de sélection d’un indice de comorbidité pour la recherche sur l’implication des spécialistes dans le suivi des patients. Méthodologie : 709 adultes (65 +/- 11 ans) atteints de diabète, d’arthrite, de maladie pulmonaire obstructive chronique ou d’insuffisance cardiaque furent recrutés dans 33 cliniques de première ligne. Des enquêtes standardisées ont permis de mesurer les caractéristiques des patients (sociodémographiques, comorbidité et qualité de vie) et des cliniques (modèle, ressources). L’utilisation des services de spécialistes et de l’urgence fut mesurée avec une base de données médico-administratives. Des régressions logistiques multivariées furent utilisées pour modéliser les variables associées à la cogestion et comparer le recours à l’urgence selon le type d’implication du spécialiste. Une revue systématique des études sur l’utilisation des services de spécialistes, ainsi que des revues sur les indices de comorbidité fut réalisée pour identifier les méthodes de sélection d’un indice de comorbidité utilisées et recommandées. Résultats : Le tiers des sujets a utilisé les services de spécialistes, dont 62% pour de la cogestion. La cogestion était associée avec une augmentation de la gravité de la maladie, du niveau d’éducation et du revenu. La cogestion diminuait avec l’âge et la réception de soins dans les cliniques avec infirmière ayant un rôle innovateur. Le recours à l’urgence n’était pas influencé par l’implication du spécialiste, en tant que co-gestionnaire (OR ajusté = 1.06, 95%CI = 0.61-1.85) ou consultant (OR ajusté = 0.97, 95%CI = 0.63-1.50). Le nombre de comorbidités n’était pas associé avec la cogestion, ni l’impact du spécialiste sur le recours à l’urgence. Les revues systématiques ont révélé qu’il n’y avait pas standardisation des procédures recommandées pour sélectionner un indice de comorbidité, mais que 10 critères concernant principalement la justesse et l’applicabilité des instruments de mesure pouvaient être utilisés. Les études sur l’utilisation des services de spécialistes utilisent majoritairement l’indice de Charlson, mais n’en expliquent pas les raisons. Conclusion : L’implication du spécialiste dans le suivi des patients atteints de MCs et de comorbidité pourrait se faire essentiellement à titre de consultant plutôt que de co-gestionnaire. Les organisations avec infirmières ayant un rôle innovateur pourraient réduire le besoin pour la cogestion en spécialité. Une méthode structurée, basée sur des critères standardisés devrait être utilisée pour sélectionner l’indice de comorbidité le plus approprié en recherche sur les services de spécialistes. Les indices incluant la gravité des comorbidités seraient les plus pertinents à utiliser. / Background: Medical specialist physicians can be involved either as comanagers (responsible for follow-up of patients) or consultants (provide advice/specialized interventions) in the care of patients with chronic diseases (CDs) managed in a primary health care (PHC) setting. Evidences concerning determinants and impact of type of specialist involvement are currently lacking, in particular the influence of comorbidity and how best to measure this factor. Objectives: The objectives were 1) to determine clinical, patient and PHC organizational characteristics associated with type of specialist involvement in patients with CDs; 2) to assess whether type of specialist involvement is associated with emergency department (ED) use and; 3) to identify methods for selecting a comorbidity index for specialist services research. Methods: 709 adults (65 +/- 11 years) with diabetes, heart failure, arthritis, or chronic obstructive pulmonary disease were recruited in 33 PHC practices. Standardized surveys were used to measure patient (gender, age, education, income, comorbidity, quality of life) and practice characteristics (model, remuneration mode, resources, role of nurse). Information on specialist services and ED use was procured from the Quebec physician claims database. We used multivariate logistic regression to 1) model variables associated with being comanaged and 2) compare ED use among persons with different types of specialist involvement. We conducted two systematic reviews: 1) review articles on comorbidity indices to identify proposed selection procedures and 2) studies on specialist services utilization to identify selection processes actually used. Results: One third of our sample saw a specialist; the majority (62%) was as a comanager. Comanagement was associated with higher disease severity, younger age, higher education level and income and primary care management in practices without a nurse in advanced practice role. There was no difference in rates of ED use over one year between patients with or without specialist involvement, either as a comanager (adjusted OR = 1.06, 95%CI = 0.61-1.85) or as a consultant (adjusted OR = 0.97, 95%CI = 0.63-1.50). Quantity of comorbidity was not associated with either comanagement or impact of specialist involvement on ED use. Our systematic review revealed no standardized selection process of a comorbidity index. However, 10 distinct criteria related to accuracy and applicability of a measurement scale or validity of reported studies were compiled. Studies on specialist services utilization mostly used the Charlson comorbidity index, but none justified their choice. Conclusion: Specialist support in the management of patients with CDs and comorbidity should be provided on a consultant basis. The PHC practice model with a nurse in an advanced practice role may reduce the need for specialist comanagement. When adjusting for comorbidity, researchers should use a structured process to select the appropriate index based on standard criteria such as validity and applicability. Indices considering severity of comorbidities may be more useful than sole disease count in specialist services research.
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The influence of primary care clinic characteristics on the quality of care for depression in patients with different comorbidity profiles

Menear, Matthew 06 1900 (has links)
Dans les services de première ligne, la majorité des personnes atteintes de dépression souffrent également d’autres maladies chroniques comorbides. Offrir des soins de haute qualité à ces patients représente un défi important pour les intervenants en première ligne ainsi que pour le système de santé. Il y a des raisons de croire que les contextes organisationnels dans lesquels les intervenants pratiquent ont une influence importante sur les soins. Cependant, peu d’études ont examiné directement la façon dont les caractéristiques des cliniques facilitent ou entravent les soins offerts aux patients atteints de dépression et de différents types de maladies chroniques comorbides. L’objectif général de ce projet de recherche était donc de mieux comprendre comment différentes caractéristiques des cliniques de première ligne influencent la qualité des soins pour la dépression chez des patients ayant différents profils de comorbidité. La thèse comporte deux études. Tout d'abord, nous avons effectué une revue systématique examinant les relations entre la comorbidité physique chronique et la qualité des soins pour la dépression dans les services de première ligne afin de clarifier la nature de ces relations et d’identifier les facteurs qui pourraient influer sur ces relations. Ensuite, nous avons effectué une étude aux méthodes mixtes ayant deux volets : (a) un volet quantitatif examinant les relations entre la qualité des soins pour la dépression, les profils de comorbidité des patients, et les caractéristiques des cliniques de première ligne par le biais d’analyses de régression multiniveaux de données issues de deux enquêtes, et (b) un volet qualitatif basé sur une étude de cas explorant les perceptions des professionnels des services de première ligne sur les facteurs organisationnels pouvant influencer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de dépression et d’autres maladies chroniques comorbides. Les résultats de ces études ont montré que, bien que la qualité des soins de la dépression en soins primaires soit sous-optimale, certains sous-groupes de patients dépressifs sont plus à risque que d’autres de recevoir des soins pour la dépression inadéquats, notamment des patients ayant uniquement des comorbidités chroniques physiques. Cependant, plusieurs caractéristiques des cliniques de première ligne semblent faciliter l’offre de soins de qualité aux patients atteints de dépression et de maladies chroniques comorbides : les normes et les valeurs liées au travail d'équipe et le soutien mutuel, l'accès au soutien des professionnels ayant une expertise en santé mentale, l’utilisation des algorithmes de traitement et d’autres outils d’aide à la décision pour la dépression, et l’absence d’obstacles liés aux modèles de rémunération inadéquats. Une des façons dont ces caractéristiques favorisent la qualité est en facilitant la circulation des connaissances dans les cliniques de première ligne. Nos résultats suggèrent que des interventions organisationnelles ciblées sont nécessaires pour améliorer la qualité des soins pour la dépression que reçoivent les patients ayant des maladies chroniques comorbides. Ces interventions peuvent viser différents domaines organisationnels (ex : caractéristiques structurelles/stratégiques, sociales, technologies et épistémiques) mais doivent aussi prendre en compte comment les éléments de chaque domaine interagissent et comment ils pourraient influencer les soins pour des patients ayant des profils de comorbidité différents. / In primary care settings, most patients presenting with major depression also suffer from comorbid chronic mental and/or physical conditions. Delivering high quality depression care to these patients represents an important challenge for primary care providers and for health care systems. There are reasons to believe that the organizational contexts in which providers practice have an important influence on the care they provide to patients with depression and comorbid chronic conditions. However, few studies have directly examined how primary care organizational characteristics facilitate or impede care for these patients. The main objective of this thesis was to better understand how different primary care organizational characteristics influence the quality of depression care provided to patients with different profiles of comorbid chronic conditions. The thesis has two components. First, we conducted a systematic review examining relationships between chronic physical comorbidity and the quality of depression recognition and treatment in primary care in order to clarify the nature of these relationships and identify factors associated with observed differences in these relationships across studies. Next, we carried out a mixed-methods study conducted in two sequential phases: (a) a quantitative phase examining relationships between depression care quality, patients’ comorbidity profiles, and primary care clinic characteristics using multilevel regression analyses of data collected from two inter-related surveys, and (b) a qualitative phase relying on a case study approach that examines primary care professionals’ perceptions of the organizational factors that influence the quality of care they provide to patients living with depression and other comorbid chronic diseases. Results of these studies revealed that while the quality of depression care in primary care is suboptimal, some patient subgroups are more at risk of receiving low quality of care than others. Specifically, depressed patients with chronic physical comorbidity only were more at risk of receiving suboptimal care than patients presenting only with psychiatric comorbidity. However, several characteristics of primary care organizations facilitated the delivery of high quality care to patients with depression and comorbid chronic conditions. These included norms and values related to teamwork and mutual support, access to supports from professionals with expertise in mental health, use of decision support tools for depression treatment, and a lack of barriers due to inadequate payment models. One of the ways these characteristics support quality is by facilitating the flow of knowledge in primary care organizations. Our findings suggest that targeted organizational interventions are needed to improve the quality of depression care delivered to patients with depression and comorbid chronic conditions. Interventions could target multiple organizational domains (e.g. structural/strategic, social, informational and epistemic characteristics) and should consider how elements in each domain interact and how they might impact patients with different comorbidity profiles.
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Changing chronic disease primary care patients' participation through web training : does it make a difference?

Glaser, Emma 04 1900 (has links)
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