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La liberté et la puissance de l’intuition chez Bergson : À travers le temps qui « agit » et la force de négation / Freedom and the power of the intuition

Hirano, Kazuhiko 23 August 2012 (has links)
Les réflexions au point de départ de Bergson nous donnent une forte impression. Maintenant, nous pouvons dire qu’il y a là la puissance intuitive de négation et le temps qui « agit ». Et quand nous promenons nos yeux sur les œuvres de Bergson, il nous semble qu’on ne peut pas les négliger. En premier lieu, Bergson aboutit déjà à une méthode de la connaissance autre que l’intelligence. Comme l’intuition est une méthode de la connaissance propre à Bergson, l’intuition qui porte la puissance de négation est une découverte qui fait époque. En deuxième lieu, cette intuition incite elle-même à se rendre vers l’intuition immédiate. Elle soutient l’intuition de la durée. En troisième lieu, le temps qui « agit » est une appréhension originelle de l’expérience. Un des fondements et un des contenus de la liberté proviennent de ce temps qui « agit » et de cette intuition. En quatrième lieu, Bergson souligne que l’illusion du « possible » fait méconnaître « la nouveauté radicale ». Et cette appréhension montre que l’acte libre et l’univers sont la création du nouveau. L’idée d’illusion du « possible » qui s’établit dans les dernières années de sa vie provient des réflexions au point de départ. Enfin, obtenir une appréhension originale par la puissance intuitive de négation, semble être une façon d’étudier chez Bergson. Il recueille les faits scientifiques ou académiques qui font l’objet de son étude. Et il trouve un problème par la puissance intuitive de négation. Il semble que nous pouvions imaginer que ce qui est profond chez Bergson revient à ces deux points. Dès lors, nous pensons que les réflexions au point de départ sont dignes d’être pris comme objet de réflexion. / We can say that the action of time and the intuitive power of negation are important aspects in Bergson’s reflections on his point of departure. And when we survey his works, it seems to us that they cannot be neglected. First, Bergson arrives already at a method of acquiring knowledge which differs from the intelligence. As intuition is a method of the knowlege proper to Bergson, intuition that has the power of negation is an important discovery. Second, this intuition urges itself to proceed to an intuition of the duration. And the former supports the latter. Third, his notion of the action of time is an original understanding of its experience. One of the foundations of the freedom and one of the contents of the freedom are derived from the action of time and this previously mentioned intuition. Fourth, Bergson emphasizes that the illusion of the « possible » leads us to misunderstand « the radical novelty ». And this understanding shows that the free act and the universe are both creations of novelty. The notion of the illusion of the « possible » that is established in his later years has its origin in his reflections on his point of de departure. Finally, it seems that to obtain an original understanding through the intuitive power of the negation is a Bergson’s way of studying his subject. He gathers scientific or academic facts. He identifies problems through the use of the intuitive power of the negation. In short, it seems that we can imagine that what is profound in Bergson’s thought comes from the action of time and the intuitive power of negation. So we think that the reflections on the point of departure is worthy of in-depth consideration.
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Traitement de requêtes conjonctives avec négation : algorithmes et expérimentations / Processing of conjunctive queries with negation : algorithms and experiments

Ben Mohamed, Khalil 08 December 2010 (has links)
Dans cette thèse, nous nous intéressons à des problèmes à la croisée de deux domaines, les bases de données et les bases de connaissances. Nous considérons deux problèmes équivalents concernant les requêtes conjonctives avec négation : l'inclusion de requêtes et l'évaluation d'une requête booléenne sous l'hypothèse du monde ouvert. Nous reformulons ces problèmes sous la forme d'un problème de déduction dans un fragment de la logique du premier ordre. Puis nous raffinons des schémas d'algorithmes déjà existants et proposons de nouveaux algorithmes. Pour les étudier et les comparer expérimentalement, nous proposons un générateur aléatoire et analysons l'influence des différents paramètres sur la difficulté des instances du problème étudié. Finalement, à l'aide de cette méthodologie expérimentale, nous comparons les apports des différents raffinements et les algorithmes entre eux. / In this thesis, we consider problems at the intersection of two areas: databases and knowledge bases. We focus on two equivalent problems on conjunctive queries with negation : query containment and query answering with boolean queries while making the open-world assumption. We reformulate these problems as a problem of deduction in a first order logic fragment. Then we refine existing algorithm schemes and propose new algorithms. To study and compare them experimentally, we propose a random generator and we analyze the influence of parameters on problem instances difficulty. Finally, we analyse the contributions of the different refinements and we compare experimentally the algorithms.
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Ambivalence et énantiosémie

Larue-Tondeur, Josette 18 June 2009 (has links) (PDF)
L'ambivalence psychique, ou coprésence de tendances ou de désirs opposés, se reflète dans la langue par l'énantiosémie, qui est la coprésence des contraires. Freud en avait eu l'intuition en prenant connaissance des travaux du linguiste Abel. L'apprentissage du langage s'opère au moment de l'ambivalence entre fusion et séparation d'avec la mère et la langue en porte la marque profonde. Le désir est ambivalent et la sublimation s'effectue sur le mode ambivalent. L'énantiosémie de la langue s'avance masquée, comme l'Inconscient, mais reste sous-jacente dans le lexique, la syntaxe et la sémantique -en particulier dans le domaine de la négation- , dans la prosodie et la phonologie, ainsi que dans les figures de style. Elle est liée à la plasticité de la langue qui peut dire à la fois quelque chose et son inverse. Enfin, elle est au fondement de la pensée et de l'imaginaire. La poésie la magnifie dans l'harmonie des contraires, ce que révèlent quelques analyses textuelles.
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Sur l’écriture : la question de l’innommable chez Maurice Blanchot / The writing : the question unspeakable of Maurice Blanchot

Pan, Yi-fan 09 October 2013 (has links)
L’écriture de Maurice Blanchot est-elle dirigée par sa pensée philosophique ou par sa pensée littéraire ? Du fait de son double rôle, le critique et le romancier, son écriture nous paraît pouvoir présenter ces deux genres de pensées, philosophique et littéraire. La pensée philosophique vise le but de dévoiler la vérité et, avec elle, l’écriture devient la représentation qui met en œuvre la pensée dialectique ; à ce titre, chaque mot doit correspondre au propos d’un penseur afin que le lecteur puisse le suivre. La pensée littéraire repose sur la transformation de ce qui était et, avec elle, ce qui est écrit n’est pas encore écrit mais à écrire ; un romancier demande au lecteur de chercher le deuxième sens dans son écriture, autrement dit, ce qu’il dit peut ne pas être ce qu’il veut dire. C’est de là que viennent deux sortes d’écritures : l’une dit le vrai, l’autre ment. Comment le lecteur distingue-t-il la réalité de la littérature de Blanchot ? En lisant la critique de Blanchot, le lecteur parvient-il à croire en son auteur qui est aussi un romancier ayant une écriture détournée ? Nous nous demandons si, en écrivant, Blanchot ne se trompe jamais entre ses deux rôles. En ce sens, notre thèse interroge sur l’indétermination de l’écriture de Maurice Blanchot. / Is the writing of Maurice Blanchot determined by its philosophical thought or literary thought? Because of his dual roles, critic and novelist, Blanchot’s writing seems to display two possible thoughts: philosophical and literary thoughts. Philosophical thought is the aim on uncovering the truth. As a result, the writing becomes an implement to represent the dialectical thinking. Every chosen word must correspond to what the thinker stated so that the reader can follow it. Literary thought bases on transforming the original fact. A novelist asks the reader to look for the second meaning in his writing, in other words, what he wrote is not equal to what he meant. Thus what is written (by the author) is not yet written, but is waiting for written (by readers). There are two kinds of writing: one tells the truth, the other tells the lie. How can readers distinguish the reality from the writing of Blanchot? Can readers believe Blanchot’s literary criticism while he is also a novelist along with those rhetorical writing skills? One questing would Blanchot never confuse between his double roles. Accordingly, this thesis will discuss the indeterminacy within the writing of Maurice Blanchot.
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Religião e Paradoxo em Emil Cioran

Sousa, José Rodrigo Gomes de 21 June 2016 (has links)
Submitted by Maike Costa (maiksebas@gmail.com) on 2017-01-24T13:28:38Z No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 938717 bytes, checksum: ba222d54e6bc1f2021c7f3ffac57ccc2 (MD5) / Made available in DSpace on 2017-01-24T13:28:38Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 938717 bytes, checksum: ba222d54e6bc1f2021c7f3ffac57ccc2 (MD5) Previous issue date: 2016-06-21 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / La présente recherche, Religion et paradoxe dans Emil Cioran, vise à étudier la religion à la lumière de la pensée philosophique de Emil Cioran. Dans un premier temps, a l'intention d'examiner quelle est la religion pour le philosophe roumain, pour cela, vise à exposer ce que l'on pourrait considérer avec une théologie négative, pour autant, qu'il est possible d'identifier l'avertissement que le philosophe roumain fait en ce qui concerne le genre et affirmant que Dieu n'était pas le Dieu vénéré par les religions judéo-chrétienne qui a créé le monde ou même de l'univers mais le mauvais démiurge. En revanche, il tente de déconstruire cette propension que l'homme est un Dieu et, par conséquent, annihiler l'idée humaine,en bref, est le moyen par lequel l'homme crée ses dieux et leurs idéologies. Je regarde pour cette optique, Dieu serait une idée humaine tragique. Sur cette photo, se rapproche d'imaginer ce que serait la religion dans la pensée du philosophe roumain, une illusion. Partir pour un autre biais, pénètre dans ce qu'on peut considérer comme au sein de la mystique pensée de cet auteur, dans un primier olan examine la possibilité de Cioran être un mystique à travers la musique, à travers la musique, ussi bien, à travers si vous pouvez obtenir l'extase, et aussi à travers les larmes, vous atteindrez un ascétisme, c'est-à-dire un éclairage. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire est insérée dans une religion pour arriver à une extase ou l'éclairage, mais seulemete ar vous-même à travers les extrêmes. Enfin, revenir à ce que l’on pourrait appeler un antiprophétie qui se subdivise en una prophétie contre l’homme qui cherche á exposer l’accusation avant que l’homme conçoit et tisse l’histoire pas plus que les événements qui ne viennent pas sans fin. Ainsi qu’une prophétie contre Dieu,n qui est d’analyser la révolte de cioraniana contre ce Dieu cráateur, contre ce Dieu qui n’a aucune autre intention mais de jouer avec l’humanité et la réponse avant que l’attitude de ce Dieu frauduleux est prière, mais la prière cioraniana et plein d’amertume et de haine, est une prière blaphématoire. En revanche, l’antiprophétie se référe à conclure qu’il fait con cernant le passage du paganisme au christianisme, mais qu’une nouvelle transition que Cioran est la dissimulation d’un « vrai Dieu » et votre se désagrège en plusieurs dieux. Ainsi, le christianisme avec ses saints serait un polythéisme déguisé et, par coséquent, il est possible de voir que trop dans un protestantisme il y a plusieurs facettes d’un Dieu écartelé. Dans ce cas, tout le chemin fait conduit á la négation. / A presente pesquisa, Religião e paradoxo em Emil Cioran, tem por finalidade analisar a religião à luz do pensamento filosófico de Emil Cioran. A princípio, tem-se a intenção de ponderar o que é a religião para o filósofo romeno, para isto, procura-se expor o que pode ser considerado com uma teologia negativa, para tanto, é possível identificar a negação que o filósofo franco-romeno faz com relação ao Deus bondoso e afirmando que não foi o Deus cultuado pelas religiões judaico-cristãs que criou o mundo ou mesmo o universo, mas o mau demiurgo. Por outro lado, Cioran tenta desconstruir essa propensão que o homem tem por um Deus e, consequentemente, aniquilar a ideia humana que, em suma, corresponde o meio pelo qual o homem cria seus deuses e suas ideologias. Observando por essa ótica, Deus seria uma trágica ideia humana. Diante desse quadro, chega-se próximo a conceituar o que seria a religião dentro do pensamento do filósofo romeno, uma ilusão. Partindo por outro viés, adentra-se ao que pode ser considerado como mística dentro do pensamento do presente autor, em um primeiro plano se discorre sobre a possibilidade de Cioran ser um místico por meio da música, assim, através da música também se pode chegar a um êxtase e, como é possível através das lágrimas chegar a uma ascese, a um deslumbramento, ou seja, a uma iluminação. Neste caso, não é necessário estar inserido em uma religião para chegar a um êxtase ou a uma iluminação, mas apenas por si mesmo através dos extremos. Por fim, chegar ao que pode ser chamado de uma antiprofecia que está subdividida em uma contra o homem, que visa expor a acusação tece perante os projetos humanos e a história que não passam de acontecimentos que não chegam a nenhum fim. Como também de uma profecia contra deus, que consiste em analisar a revolta cioraciana contra esse deus criador, contra esse deus que não tem outra intenção senão a de brincar com a humanidade e a resposta perante a atitude desse deus fraudulento é a oração, porém a oração cioraniana é carregada de rancor e ódio, é uma oração blasfematória. Quanto ao antiprofeta, tem-se a intenção de apontar Cioran como um antiprofeta que está revoltado contra as atitudes de Deus, do homem e perante a existência. Por outro lado, a antiprofecia remete a uma constatação que Cioran faz com relação a transição do paganismo ao cristianismo, mas o que Cioran uma nova transição que é o ocultamento de um “deus verdadeiro” e seu esfacelamento em vários deuses. Desse modo, o cristianismo com os seus santos seria um politeísmo disfarçado e, consequentemente, é possível entrever que também dentro do protestantismo há várias facetas de um deus esquartejado. Neste caso, todo o percurso feito desemboca na negação.
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Non- dans le paradigme des préfixes de négation en français : étude synchronique et diachronique / Non- in the paradigm of negative prefixes in French : a synchronic and diachronic study

Dugas, Edwige 02 December 2016 (has links)
Cette thèse porte sur les constructions nominales et adjectivales en non- ([non-N] et [non-Adj])en français d’un point de vue synchronique et diachronique dans le cadre de la grammaire de constructions. À partir d’un corpus constitué d’occurrences de [non-N] et de [non-Adj] issues de la base de données Frantext, de la Base de Français Médiéval, de dictionnaires, de la presse écrite et de la Toile, je montre que le patron [non-N] est une construction morphologique dans laquelle non- est un préfixe, tandis que le patron [non-Adj] est une construction syntaxique où non est un adverbe. Les [non-N] peuvent prendre trois interprétations (que j’appelle ontologique,complémentaire et contraire) selon le type de nom base et les informations pragmatiques fournies par le contexte. Les [non-Adj] sont comparés aux [in-Adj], avec lesquels ils partagent un sémantisme négatif mais dont ils se différencient sur plusieurs points (préférence pour les bases apparentées à des verbes, absence d’intégrité lexicale, expression de la négation contradictoire ou contraire). Je montre que les [non-N] et les [non-Adj] ont en commun des propriétés formelles et sémantiques et je propose de représenter ces constructions comme l’instanciation d’une construction plus générale qui maintient la distinction entre morphologie et syntaxe tout en tenant compte de la proximité entre ces deux constructions. Enfin, je montre que les [non-N] et les [non-Adj] ont émergé à la fin du moyen français à partir d’emplois syntaxiques de non, à la faveur de changements opérés dans le système de la négation verbale du français. / This dissertation deals with nominal and adjectival constructions in non- ([non-N] and [non-Adj])in French from a synchronic and diachronic perspective within the framework of constructiongrammar. On the basis of a corpus of [non-N] and [non-Adj] drawn from the Frantext database,the Base de Français Médiéval, dictionaries, the written press and the internet, I show thatthe [non-N] pattern is a morphological construction in which non- is a prefix, whereas the[non-Adj] is a syntactic construction in which non- is an adverb. [Non-N] can have three differentinterpretations (which I call ontological, complementary and contrary), depending on the basenoun and pragmatic information provided in the contex. [Non-Adj] are compared to [in-Adj], withwhich they share a negative meaning but from which they differ in several respects (preferencefor bases related to verbs, no lexical integrity, expression of contradictory or contrary negation).I show that [non-N] and [non-Adj] have common formal and semantic properties and I proposean analysis whereby they are represented as instantiations of a more general construction. Thisanalysis maintains the distinction between morphology and syntax and at the same time takesinto account the similarities between the two constructions. Finally, I show that [non-N] and[non-Adj] have emerged from syntactic uses of non at the end of the Middle French period as aresult of changes in the system of verbal negation in French.375
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Espinosa: uma filosofia materialista do infinito positivo / Espinosa: une philosophie matérialiste de l\'infini positif

Gainza, Mariana Cecilia de 06 February 2009 (has links)
A leitura que Hegel fez da ontologia espinosana teve uma influência maiúscula em gerações inteiras de leitores, que leram Espinosa a partir da representação hegeliana de suas supostas virtudes e defeitos. O efeito mais evidente da força que teve essa interpretação foi a difundida tendência a classificar Espinosa como um filósofo idealista. E isso, por sua vez, derivou em que importantes expoentes do pensamento crítico do século XX ignorassem seus aportes, por julgá-lo parte de uma tradição alheia às aspirações de emancipação com as quais se identificaram diversas filosofias logo da fundação teórica que a obra de Marx significou. Pretendendo abrir diálogos, a partir de Espinosa, com autores mais ou menos associados com a tradição dialética, defendemos a legitimidade de uma leitura da Ética sob uma perspectiva materialista. Como pensar a singularidade e a história no interior de uma filosofia da imanência que se sustenta sobre a afirmação da existência eterna de uma única substância infinita? Enquanto a ontologia espinosana coloca, em primeiro lugar, a existência de uma única substância absolutamente infinita, toda uma tradição de leituras da qual Hegel formou parte fez da questão relativa à determinação dos seres finitos o eixo da crítica ao espinosismo. A dificuldade para compreender a peculiar concepção espinosana da totalidade (enquanto substância), da efetividade que realiza (causalidade imanente), e das formas diversas de realidade, de produção e de determinação que a constituem (atributos, modos infinitos e modos finitos) foi, então, uma fonte prolífica de polêmicas em torno a um problema que poderíamos sintetizar assim: qual é a forma mais apropriada de pensar a determinação no interior de uma totalidade infinita? Uma leitura materialista da concepção espinosana do infinito positivo é necessária para responder essa questão. / La lecture qu\'Hegel fit de l\'ontologie spinozienne a eu une influence majeure sur des générations entières de lecteurs, qui ont lu Spinoza à partir de la représentation hégélienne des supposées vertus et défauts de celui-ci. L\'effet le plus évident de la force qu\'a eue cette interprétation fut la tendance commune à classifier Spinoza comme étant un philosophe idéaliste. Tendance qui a dérivé au point que des figures clefs de la pensée critique du vingtième siècle finirent par ignorer ses apports. Et cela parce qu\'il était jugé comme faisant partie d\'une tradition étrangère aux aspirations d\'émancipation avec lesquelles diverses philosophies se sont identifiées, à partir des nouvelles fondations instituées par l\'oeuvre de Marx. En prétendant ouvrir des dialogues, à partir de Spinoza, avec des auteurs plus ou moins associés à la tradition dialectique, nous défendons la légitimité d\'une lecture de l\'Éthique dans une perspective matérialiste. Comment peut-on penser la singularité et l\'histoire au sein d\'une philosophie de l\'immanence qui s\'appuie sur l\'affirmation de l\'existence éternelle d\'une unique substance infinie? Tandis que l\'ontologie spinozienne pose, en premier lieu, l\'existence d\'une unique substance absolument infinie, toute une tradition de lecteurs dont fit partie Hegel a fait de la question relative à la détermination des êtres finis l\'axe de la critique au spinozisme. La difficulté à comprendre la conception spinozienne, assez particulière, de la totalité (en tant que substance), celle de l\'effectivité qui réalise (la causalité immanente), ainsi que celle des différentes formes de réalité, de production et de détermination qui la constituent (les attributs, les modes infinis et les modes finis) fut alors une source prolifique de polémiques autour d\'un problème que nous pourrions résumer ainsi: quelle serait la manière la plus appropriée de penser la détermination au sein d\'une totalité infinie? Une lecture matérialiste de la pensée spinozienne de l\'infini positif s\'avère nécessaire afin de tenter de répondre à cette question.
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La négation simple et la négation composée en français préclassique / Simple negation and compound negation in pre-classical French

Lafond-Zine, Claire 22 November 2014 (has links)
La question du système des morphèmes de la négation simple ou composée en français suscite depuis toujours l’intérêt de la linguistique mais reste traitée de manière fluctuante par la linguistique diachronique qui l’étudie de façon inégale selon les périodes de l’histoire du français. En effet, concernant la période préclassique (1550-1630), si cette question est régulièrement abordée, aucune étude approfondie et détaillée du système de la négation n’existe à ce jour. Ainsi, ce travail s’inscrit au croisement d’une double visée de la recherche en linguistique : d’une part, celle d’un éclairage nouveau sur la question des marques grammaticales de la négation en français ; d’autre part, celle d’une réactualisation des questionnements sur la langue préclassique qui, longtemps négligée, jouit depuis une vingtaine d’années d’un regain d’intérêt croissant. La finalité de cette étude est de proposer une description précise de l’organisation et du fonctionnement du système des signes grammaticaux de la négation simple et de la négation composée (non, ne, ne…pas, ne…point, ne…jamais, etc.) à travers leurs divers emplois et leurs jeux de concurrence, tels qu’ils apparaissent dans un vaste corpus de textes de la période préclassique (1550-1630). Les méthodes de la morphosyntaxe et de la sémantique se sont avérées ici tout à fait adéquates, tout comme le cadre théorique de la psychomécanique du langage dont les postulats permettent de traiter en profondeur les enjeux et les subtilités impliqués par cette recherche. / The issue of simple and compound negation morphemes system in French language has always attracted a lot of interest. However, diachronic linguistics tackles this question in an uneven way according to different periods of French language’s history. Thus, although it is regularly mentioned, no detailed study about system of negation in pre-Classical French (1550-1630) exists so far.Therefore, this work has dual benefits for linguistics research: on the one hand it sheds a new light on the question of grammatical markers of negation in French; on the other hand it renews questions on the pre-Classical French language, which has been a topic of growing interest over the last two decades.The goal of this research is first to offer a detailed description of the organisation and operation of the system of simple and compound negation grammatical markers (non, ne, ne…pas, ne…point, ne…jamais, etc.) according to their different usages as they appear in a large text corpus of pre-Classical period (1550-1630). Their competition is also investigated. Morphosyntax and semantic methods turned out to be very efficient, as well as the theoretical framework of language psychomecanics whose postulates allow an in depth analysis of the issues and intricacies involved in this research.
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La liberté et la puissance de l'intuition chez Bergson : À travers le temps qui " agit " et la force de négation

Hirano, Kazuhiko 23 August 2012 (has links) (PDF)
Les réflexions au point de départ de Bergson nous donnent une forte impression. Maintenant, nous pouvons dire qu'il y a là la puissance intuitive de négation et le temps qui " agit ". Et quand nous promenons nos yeux sur les œuvres de Bergson, il nous semble qu'on ne peut pas les négliger. En premier lieu, Bergson aboutit déjà à une méthode de la connaissance autre que l'intelligence. Comme l'intuition est une méthode de la connaissance propre à Bergson, l'intuition qui porte la puissance de négation est une découverte qui fait époque. En deuxième lieu, cette intuition incite elle-même à se rendre vers l'intuition immédiate. Elle soutient l'intuition de la durée. En troisième lieu, le temps qui " agit " est une appréhension originelle de l'expérience. Un des fondements et un des contenus de la liberté proviennent de ce temps qui " agit " et de cette intuition. En quatrième lieu, Bergson souligne que l'illusion du " possible " fait méconnaître " la nouveauté radicale ". Et cette appréhension montre que l'acte libre et l'univers sont la création du nouveau. L'idée d'illusion du " possible " qui s'établit dans les dernières années de sa vie provient des réflexions au point de départ. Enfin, obtenir une appréhension originale par la puissance intuitive de négation, semble être une façon d'étudier chez Bergson. Il recueille les faits scientifiques ou académiques qui font l'objet de son étude. Et il trouve un problème par la puissance intuitive de négation. Il semble que nous pouvions imaginer que ce qui est profond chez Bergson revient à ces deux points. Dès lors, nous pensons que les réflexions au point de départ sont dignes d'être pris comme objet de réflexion.
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Détermination et indétermination dans la pensée de Martin Heidegger. Essai d’une relecture du traité Sein und Zeit / Determination and indetermination in Heidegger’s thought. An attempt of a new reading of the treatise “Sein und Zeit”

Villevieille, Laurent 29 September 2012 (has links)
Sein und Zeit est une Abhandlung, un « traité ». Si à aucun moment il ne donne de ce statut, qu’il revendique pourtant explicitement, une définition expresse, Sein und Zeit le fonde cependant dans sa propre structure méréologique, c’est-à-dire dans l’articulation, en lui, d’un tout et de parties. Cette structure ne se limite pas à la division textuelle de l’ouvrage en parties, sections, chapitres et paragraphes. Mais elle implique plus profondément la concordance de ces divisions textuelles et de celles de la chose même, c’est-à-dire du Dasein, dont la structure : l’être-au-monde, fait elle-même l’objet d’une tripartition. Il en résulte un risque, conjointement textuel et ontologique, de fragmentation, qui s’avère en définitive inhérent à l’acte même de détermination. Ce serait donc l’acte problématique de déterminer le Dasein qui, s’approfondissant en problème méréologique, confèrerait à Sein und Zeit sa structure de traité. Notre propos est alors de montrer que le traité de 1927 permet d’interpréter son inachèvement précisément à partir de sa structure de traité – c’est-à- dire à partir d’un projet méréologique de détermination qui, parce qu’il culmine dans la découverte d’une indétermination constitutive, n’autorise plus aucune articulation du tout et des parties, et qui, pourtant, ne peut ou ne veut abandonner la structure de traité qu’il avait initialement adoptée. / “Sein und Zeit” is a Abhandlung, a “treatise”. Even though it never gives an express definition of this status, which it claims yet explicitly, “Sein und Zeit” founds it nevertheless on its own mereological structure, in other words on the articulation of a whole and its parts. This structure isn’t limited to a textual division of the work into parts, sections, chapters and paragraphs. At a deeper level, it implies the concordance of these textual divisions and those of the thing itself, that is to say those of the Dasein, whose structure: being-in-the-world, is itself the object of a tripartition. As a result, there’s a risk of fragmentation, both textual and ontological, which turns out to be inherent in the very act of determination. Thus, it would be the problematic act of determining the Dasein, which, by going deeper into the mereological problem, would give to “Sein und Zeit” its treatise structure. Consequently, our purpose is to show that the treatise of 1927 allows to interpret its incompletion precisely on the basis of its treatise structure – that is to say on the basis of a merelogical project of determination which doesn’t authorize an articulation of a whole and of its parts because it reaches its highest point with the discovery of a constituent indetermination, and which nevertheless can’t or doesn’t want to abandon the treatise structure it had initially adopted.

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