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L'internationalisation des chaînes de valeur dans l'industrie de défense : le cas du naval / Value chains internationalization in the defense industry : focus on the naval industry

Hérault, Paul 13 February 2018 (has links)
L’internationalisation des chaînes de valeur fait l’objet de nombreuses recherches macroéconomiques ou ciblées sur des secteurs majoritairement civils. En se concentrant sur l’industrie de défense, cette thèse évalue comment ce processus de fragmentation fonctionnelle et géographique peut s’appliquer à un secteur hautement régulé par les Etats et dont les échanges internationaux sont très strictement encadrés.Cette recherche apporte plusieurs estimations du niveau d’internationalisation de l’industrie navale de défense française, à partir de données originales de Naval Group. Si les programmes relatifs à la dissuasion nucléaire sont très peu internationalisés, de nombreux facteurs concourent à l’internationalisation de la filière : exigences de contenu local et transferts de technologie des clients étrangers, intégration de technologies civiles ou duales, stratégies d’internationalisation. Enfin, le recours au concept de modularité permet de montrer que l’évolution du processus productif s’accompagne souvent d’une évolution de l’architecture des produits. / Many research works have already been dedicated to the internationalization of value chains. Whereas this research is often performed through macroeconomics or focused on civilian sectors, this thesis examines how the process of functional and geographic unbundling can apply to such a regulated sector as the defense industry, where exports are strictly controlled by states.Based on original data provided by Naval Group, this dissertation set out several estimates of the internationalization level of French navy programs. Although programs related to nuclear deterrence remain almost exclusively « made in France », many factors contribute to the internationalization of value chains in the naval industry: transfer of technology, local content requirements, integration of commercial or dual-use technologies, internationalization corporate strategies. Referring to the concept of modularity, this thesis reveals that changes in production process can foster innovation in product architecture.
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Le rôle des Grecs d'origine phocéenne dans la première guerre punique

Monaci, Jordan 12 November 2023 (has links)
Guerres puniques, guerres romaines. Les différentes terminologies des conflits ayant vu s'opposer Rome et Carthage, de même que les études synthétiques traitant du sujet, minimisent voire oublient le rôle qu'ont pu avoir des acteurs tiers. Les Grecs, présents en Méditerranée occidentale depuis le VIIIe siècle a.C., n'étaient pas étrangers aux événements impliquant la métropole punique et l'Urbs. Les cités d'origine phocéenne, situées dans le sud de la Gaule et de l'Italie ainsi qu'en Ibérie, avec Massalia en tête de liste, sont présentées dans les sources comme « les plus fidèles alliées » des Romains (Cicéron, Pro Fonteio, V, 13). À l'inverse, l'historiographie au sujet de ces cités met l'accent sur les relations conflictuelles et empreintes de rivalité avec les Carthaginois. Malgré l'absence de mentions significatives pour la première guerre punique, il n'est pas impossible qu'elles aient pris part au conflit, en participant à certaines batailles navales, même si cela reste hypothétique. Par ailleurs, la première guerre punique constitua un tournant dans l'histoire militaire romaine puisque, pour la première fois, la cité du Latium se dota d'une flotte de guerre d'ampleur, malgré l'inexpérience des Romains pour les affaires maritimes. Les Grecs d'origine phocéenne, vantés pour leur habileté dans la construction navale, ont pu fournir l'aide nécessaire pour aider leurs alliés et affaiblir leurs rivaux. La confection de navires pour Rome, ainsi que la présence d'ingénieurs d'origine phocéenne sur les chantiers navals romains, constituent les principales hypothèses dans l'historiographie. La production, fabrication et la commercialisation, par les cités d'origine phocéenne, de ressources propres à la construction navale, qui faisaient défaut à Rome, sont également envisageables.
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Le rattachement des engins à l'Etat en droit international public (navires, aéronefs, objets spatiaux) / The connection between craft / vessels and States in public international law (ships, aircraft, space objects)

Aloupi, Niki 27 April 2011 (has links)
Contrairement aux autres biens meubles, les navires, les aéronefs et les objets spatiaux affectés à la navigation internationale sont rattachés à un Etat. Le lien de droit public établi entre ces engins et l’Etat est communément appelé « nationalité ». Mais ce terme n’exprime pas à leur propos une institution à tous égards identique à la nationalité des personnes. Le rattachement examiné ne repose en effet pas sur des éléments de fait (naissance, ascendance etc.), mais uniquement sur un acte administratif interne, l’immatriculation. L’étude de la pratique, notamment des conventions internationales et des législations nationales, montre clairement que – contrairement à ce qu’on soutient souvent – il n’y a pas lieu de subordonner ce rattachement à un lien effectif. Ce qui importe, compte tenu notamment du fait que ces engins évoluent dans des espaces soustraits à toute compétence territoriale, est d’identifier l’Etat qui est seul compétent à l’égard de l’« ensemble organisé » formé par le véhicule, les personnes et la cargaison à bord, et qui est responsable de ses activités. Le droit international interdit dès lors la double immatriculation, mais il laisse aux Etats le pouvoir discrétionnaire de déterminer les conditions d’attribution de leur « nationalité », sans subordonner l’opposabilité internationale de celle-ci à quelque autre exigence que ce soit. Le danger est toutefois que cela favorise un certain laxisme de l’Etat d’immatriculation, ce qui exposerait au risque que des dommages graves soient causés aux personnes impliquées dans les activités de ces engins et – surtout – aux tiers. Mais ce sont les obligations internationales imposées et les droits corrélatifs reconnus dans le chef de l’Etat d’immatriculation qui sont déterminants à cet égard et non quelque mystérieuse « effectivité » du rattachement. Autrement dit, s’il n’est pas nécessaire d’imposer à l’Etat d’immatriculation des conditions internationales limitant sa liberté dans l’attribution de sa « nationalité » aux engins, il est indispensable d’exiger que celui-ci respecte ses obligations, c’est-à-dire exerce effectivement son contrôle et sa juridiction. Cette constatation se vérifie quel que soit l’engin en cause. Le rattachement créé par l’immatriculation constitue donc une institution "sui generis", commune aux navires, aéronefs et objets spatiaux et dont le régime juridique est encadré par le droit international. / Unlike any other movable property, ships, aircraft and space objects that are engaged in international navigation are linked to a State. The legal connection established between these craft/vessels and the State is commonly referred to as “nationality”. However, in this case the term does not represent an institution identical in all respects to the nationality of persons. With regard to vessels, the legal connection to a State is not based on factual elements (such as birth, descent etc.), but merely on the internal administrative act of registration. The study of State practice, notably international conventions and national laws, clearly shows that – contrary to what is often argued – there is no need to make this connection dependent on a pre-existing effective link. What matters most, given that these craft navigate in international space beyond the territorial jurisdiction of sovereign States, is to identify the State that holds sole jurisdiction over said “organized entity” consisting of the vehicle, the persons and the cargo on board and that is responsible for its activities. Public international law therefore prohibits dual registration, but leaves States free to determine the conditions under which they will confer their “nationality”, without imposing any other requirement for the opposability of this legal bond to third States. The danger is that this situation encourages laxity on the part of the States of registry and therefore creates the potential for serious damage incurred by persons involved in these vessels’ activities and – mostly – by third persons. In this regard, it is the international obligations and corresponding rights of the States of registry which are critical, and not a mysterious “effectiveness” of the legal bond. In other words, it is not necessary to impose on the State of registry any international conditions which would limit its freedom with regard to the conferral of its “nationality” upon vessels. It is however indispensable to require that said State complies with its obligations, meaning that it has to effectively exercise its jurisdiction and control over those craft. This statement holds true regardless of the craft concerned. The legal bond created by the registration therefore constitutes a "sui generis" institution, common to ships, aircraft and space objects, and whose legal regime is governed by international law.

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