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Le discours du fou dans le récit romantique européen : (Allemagne, France, Russie) / The speech of the Madman in the European Romantic Narrative‎ : (Germany, France, Russia)

Tellier, Virginie 07 June 2012 (has links)
La thèse étudie les caractéristiques linguistiques, philosophiques et esthétiques du langage littéraire du fou à l'époque romantique. Elle porte sur Les Élixirs du Diable (Hoffmann, 1815), La Fée aux Miettes (Nodier, 1832), le Journal d'un fou (Gogol, 1835), La Sylphide (Odoïevski, 1837) et Aurélia (Nerval, 1855). D'autres récits sont convoqués plus ponctuellement, comme Les Veilles (Bonaventura, 1804) ou Louis Lambert (Balzac, 1832). Le fou est un être problématique : il est à la fois inférieur à l'homme sain et habité par une inspiration divine. Ce paradoxe trouve une actualité nouvelle dans la première moitié du XIXe siècle. D'une part, le développement de l'aliénisme tend à définir médicalement les pathologies mentales. D'autre part, la naissance de la littérature fantastique promeut la figure de l'artiste fou. Le fou, lorsqu'il prend la parole, interroge l'écriture autobiographique et redéfinit le moi, l'espace et le temps. Son discours présente des enjeux pragmatiques : le fou cherche à démontrer qu'il n'est pas fou, face à une société qui le condamne. Il cherche également à transmettre une vérité. Sa langue sert alors à décrire les forces mythiques qui traversent le monde et, peut-être, à le recréer. La notion de création est essentielle. L'âge romantique modifie la définition de la littérature, qui perd sa fonction représentative au profit d'une fonction purement langagière. Le discours du fou participe à la fondation de cette nouvelle esthétique : il l'instaure dans un geste critique qui interroge sa légitimité. Impossible et impensable, il incarne la « parole muette » (J. Rancière) que devient la littérature moderne. / The thesis studies the linguistics, philosophy and aesthetics of literary language of the madman in the Romantic era. It focuses on The Devil's Elixirs (Hoffmann, 1815), The Crumb Fairy (Nodier, 1832), The Diary of a Madman (Gogol, 1835), The Sylph (Odoevsky, 1837) and Aurelia (Nerval, 1855). Other narratives are more promptly summoned, as The Night Watches (Bonaventura, 1804) or Louis Lambert (Balzac, 1832). The madman is a problematic being: he is both unhealthy and inhabited by a divine inspiration. This paradox finds a new relevance in the first half of the nineteenth century. On the one hand, the development of Alienism tends to define mental pathologies from a medical point of view. On the other hand, the birth of the Fantastic promotes the figure of the mad artist. The Madman, when he speaks, questions autobiographical writing and redefines the Self, Space and Time. His speech has pragmatic issues: the madman seeks to demonstrate that he is not mad, in a society which condemns him. He also endeavours to convey a truth. His language is then used to describe the mythical forces that travel the world and, perhaps, to recreate it. The notion of creation is essential. The Romantic era modifies the definition of literature, which loses its representative function in favour of a purely linguistic function. The speech of the madman takes part in the founding of new aesthetics: it creates it in a critical gesture that questions its legitimacy. Impossible and unthinkable, it embodies the "silent speech" (J. Rancière) that becomes modern literature.
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Nerval fantaisiste / Nerval fantaisiste

Kekus, Filip 18 December 2015 (has links)
La postérité a considéré de manière privilégiée l’œuvre de Gérard de Nerval comme celle d’un poète sinon fou, du moins irrémédiablement mélancolique, en faisant peu de cas de son inspiration fantaisiste. Bien que parfois évoquée, cette facette de l’œuvre n’a à ce jour jamais fait l’objet d’une synthèse d’envergure. C’est à cette lacune quelque peu surprenante que notre étude ambitionne de répondre. Remettre à l’honneur la fantaisie de l’auteur des « Chimères » et d’Aurélia ne revient nullement à nier la folie nervalienne, mais plutôt à penser cette dernière en relation avec une fantaisie investie des aspirations romantiques les plus hautes, à remettre en question des traditions de lecture qui ont conclu à un isolement de l’œuvre au détriment d’une volonté de lucidité sans cesse réaffirmée par l’écrivain. Interroger la fantaisie nervalienne, c’est interroger les enjeux esthétiques, socio-politiques et éthiques d’une œuvre empreinte d’un enjouement fantasque qui s’est toujours voulue en prise directe sur l’actualité et soucieuse de refonder une communication littéraire alors en crise. / The works of Gérard de Nerval have mainly been regarded as the output of an irremediably melancholic, if not insane poet. However strongly established by his contemporaries, his fanciful inspiration, though occasionally mentioned, has never been subjected to thorough investigation. The ambition of this study is to rectify this rather intriguing omission. Delving into the fancy of the author of « Les Chimères » and of Aurélia, rather than denying Nerval’s madness, consists in assessing its connection with a fancy expressive of the highest romantic aspirations, as well as challenging customary interpretations that concluded in the isolation of an author’s writings, in spite of his own repeated assertions of lucidity. Probing Nerval’s fancy amounts to questioning the aesthetic, socio-political and ethical stakes of works imbued with whimsical cheerfulness, always bent on facing reality and eager to re-establish a literary communication that was then going through a critical period.
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Le sujet infini face au miroir de l’autobiographie onirique. La narration fragmentaire dans Król-duch de Juliusz Słowacki et dans Aurélia de Gérard de Nerval / The infinite subject in the mirror of oneiric autobiography. Fragmentary narrative in Juliusz Słowacki’s Król-Duch and Gérard de Nerval’s Aurélia

Harsany, Katarzyna 31 January 2011 (has links)
Le parallèle entre Król-Duch de Juliusz Słowacki et Aurélia de Gérard de Nerval est une comparaison narratologique des deux œuvres (en dehors de l’étude d'influences réciproques, comme de l’étude de sources). Le rapprochement des deux auteurs (enrichi par l’apparition, en arrière-fond, de Novalis - toujours dans la perspective d'un parallèle) se construit autour du thème de l’écriture de la révélation onirique. Elle laisse apparaître une rupture fondamentale entre le contenu de la révélation – une existence continue du moi - et la forme discontinue et inachevée sous laquelle elle s’exprime. L’autobiographie onirique qui raconte l’expérience indicible d’une « seconde vie » infinie, entrevue en rêve, apparaît ainsi comme un seuil narratif qui s’interpose entre le fragment et la totalité. Dans les trois parties de l’étude comparée, consacrées respectivement aux modèles de composition, aux modalités de l’inachèvement et aux profils narratifs des deux textes, est posée la question de la limite entre les images mentales d’une extrême subjectivité et leur avatar textuel. Le rapport entre l’invisible et sa représentation y apparaît au travers du rapport entre le rêve du moi infini et le récit de ce rêve, qui se construit comme une perpétuelle réincarnation du « je » en tant que sujet. / « Dream is a second life », Gérard de Nerval writes. « I have never been able to cross through those gates of ivory or horn which separate us from the invisible world without a sense of dread ». He sees dream and real life as asunder though parallel compartments, while Juliusz Słowacki sees them a continuum, without precise boundary where one ends and the other begins. But they do agree on one point: poetry and dream are intimately united.Juliusz Słowacki’s Król-Duch and Nerval’s Aurélia have in common to be oneiric biographies, i.e. written from naked truth as revealed in dreams, where « life is free of space and time ». The outcome is well-nigh as disconnected and incoherent as dream itself. Words cannot represent adequately heavens opened. It is somewhat uncanny that, in both cases, the fragments of the « infeasible book » look like an initiation into sacred mysteries.
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Fin de l’idylle ? : étude sur les formes et les significations de l’idylle dans la littérature française du dix-neuvième siècle / End of the idyll ? : forms and significations of the idyll in the French litterature during the nineteenth century

Boneu, Violaine 13 March 2010 (has links)
Au carrefour de la théorie des genres, de l’histoire littéraire et de l’herméneutique, ce travail entreprend de repenser le statut de l’idylle dans la littérature française du XIXe siècle. Allant à l’encontre du lieu commun selon lequel l’idylle ne serait plus, après André Chénier, qu’un genre figé dans des clichés définitivement anachroniques, il propose quelques outils conceptuels permettant d’analyser la dynamique actuelle des formes et des significations de l’idylle. La notion articule, au XIXe siècle, trois logiques majeures : une logique rhétorique, qui inscrit l’idylle dans une poétique des genres ; une logique historico-philosophique, qui, depuis le XVIIIe siècle, envisage l’idylle comme un mythe de l’origine et une figuration de l’Idéal ; une logique psychologique, enfin, issue de la révolution Romantique, qui définit l’idylle en termes d’illusion, de fantasme ou de rêve. Du fait même de cette complexité, l’idylle est un point d’observation privilégié des grandes mutations de la modernité. En brossant un panorama général des évolutions du genre au XIXe siècle et en interrogeant les références explicites à l’idylle dans certaines œuvres poétiques et romanesques majeures de Nerval, Hugo, Baudelaire, Mallarmé, Balzac et Zola, cet ouvrage propose un point de vue nouveau sur la crise de la subjectivité, sur la crise de la représentation littéraire et sur la redéfinition du traditionnel partage entre prose et poésie. / This work aims to re-think the status of the idyll in the French literature during the 19th century by combining theory of literary genres, literary history and hermeneutics. Objecting to the common-sensical idea that the idyll has evolved into a frozen genre full of anachronical clichés after André Chénier, it provides some conceptual ressources to analyze the actual dynamics of the idyll, both in terms of form and signification. The notion follows three main logics : a rhetorical one, which places the idyll into the poetic of literary genres, an historical and philosophical one, which, since the 18th century, considers the idyll as a cue of a mythical origin and an image of the Ideal, and lastly, a psychological one, born with the romantic revolution, which understands the idyll in terms of illusion, fantasies or dreams. Because of its intrinsic complexity, the idyll provides a priviliged point of view to examine the most important changes of the modern times. This work gives an overview of the evolution of the genre during the 19th century and examines the explicit references to the idyll made by Nerval, Hugo, Baudelaire, Mallarmé, Balzac and Zola in some of their major poetical works and novels. In doing so, it develops a new perspective on the crisis of the subjectivity, the crisis of literary representation and the redrawing of the traditional distinction between prose and poetry.
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Traumtext und Traumdiskurs Nerval, Breton, Leiris

Goumegou, Susanne January 2004 (has links)
Zugl.: Berlin, Humboldt-Univ., Diss., 2004
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Traumtext und Traumdiskurs Nerval, Breton, Leiris /

Goumegou, Susanne. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Humboldt-Universität, Berlin, 2004. / Includes bibliographical references (p. [507]-525).
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Le rêve littéraire et le projet de la modernité Nerval, Proust, Breton /

Varsanyi, Monika, January 2009 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Rutgers University, 2009. / "Graduate Program in French." Includes bibliographical references (p. 439-442).
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Littérature et drogues au XIXe siècle. De Rabbe à Baudelaire / Literature and Drugs in the 19th Century France. From Rabbe to Baudelaire

Yogo, Takenori 10 December 2010 (has links)
Homère, Hérodote et Pline avaient déjà décrit les effets merveilleux de la drogue. Abordé par Rabelais, Mme de Sévigné et Chardin, le motif du stupéfiant dans la littérature a connu un âge d’or dès la première moitié du XIXe siècle. Poussés par une aspiration à fuir vers l’infini, sinon par une simple curiosité pour un univers inconnu, les écrivains romantiques se mettent à consommer de l’opium et du haschisch, et commencent à les introduire dans leurs œuvres comme motif littéraire dans des circonstances historiques et culturelles. La présente thèse analyse l’évolution de l’emploi littéraire de la drogue qui implique divers contextes, à savoir médical, social et anthropologique, au travers des textes de Rabbe, Musset, Balzac, Gautier, Dumas, Nerval et Baudelaire, et de certains phénomènes culturels tels que la légende de l’Ordre des Assassins et le club des haschischins à l’hôtel Pimodan. / Broached by Rabelais, Madame de Sévigné and Chardin, the motif of narcotics in literature enjoyed a golden age as early as the first half of the 19th Century, although Homer, Herodotus and Pliny had already described their wonderful effects. Driven by an aspiration to escape to the infinite, or by simple curiosity for an unknown universe, the Romantics started to consume opium and hashish, and started to introduce them into their work as a literary motif in historic and cultural circumstances. This thesis analyses the evolution of the use of drugs in literature, in a wide range of contexts, namely medical, social and anthropological, through the texts of Rabbe, Musset, Balzac, Gautier, Dumas, Nerval, and Baudelaire, and certain cultural phenomena such as the legend of the Order of Assassins and the club des Haschischins at hôtel Pimodan.
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Le récit de soi : poétique et politique de la dissemblance : Jean Paul, Ugo Foscolo, Stendhal, Gérard de Nerval / Narrating the self : poetics and politics of dissemblance

Moioli, Aurélie 29 November 2013 (has links)
Il s’agit de reprendre la question autobiographique à l’époque où le genre se constitue en Europe, au premier XIXe siècle, en déplaçant le regard vers les marges du genre. Les œuvres de Jean Paul, d’Ugo Foscolo, de Stendhal et de Gérard de Nerval sont d’abord étudiées sous l’angle de la poétique des genres dont elles déstabilisent les catégories. La thèse déplace la question générique en soulevant les enjeux éthiques et politiques du récit de soi qui sont liés à l’expérience du sujet et du temps. À côté de ce qui deviendra le canon en matière d’autobiographie se dessine une autre ligne autobiographique qui, en souvenir de Laurence Sterne, se place sous le signe de l’imagination et de l’arabesque. Les œuvres du corpus mettent en évidence la ligne de poésie de la vie et du sujet. Ces poétiques autobiographiques excentriques manifestent une dissemblance de soi, du temps et de l’histoire. Elles mettent en crise l’identité pensée comme « mêmeté » et l’idée d’un temps homogène. Le soi n’est pas un ; l’autobiographe n’est seul ni dans sa peau, ni dans sa langue, ni dans sa plume ; il se déplace entre les lieux et entre les langues, ne trouvant pas d’assise. La figure de l’auteur est plurielle et collective, en rupture avec le mythe du génie. Aux transfigurations de soi s’ajoutent les transfigurations de la mémoire qui ressaisit le passé au présent et pour l’avenir. Expérience mélancolique de revenance, le récit de soi multiplie les fantômes qui sont le signe d’un deuil personnel et des disjonctions de l’histoire. Témoignant des révolutions du siècle, l’autobiographe ouvre aussi l’histoire individuelle et collective : le récit de soi est prospectif. C’est une mémoire au futur. / The thesis takes up the question of autobiography by focusing on works at the margins of the genre during the early 19th century, the period in which autobiographical writing in Europe came into its own. The works of Jean Paul, Ugo Foscolo, Stendhal and Gérard de Nerval destabilize established generic and canonic categories. They do so by pointing to the ethical and political issues at stake in the narration of the self, which are in turn linked to the experience of the subject and of time. The thesis thereby identifies and explores another autobiographical “line” emerging alongside canonical forms of the genre, a “line” which recalls Laurence Sterne through the use of arabesques and the reliance upon imagination in life narratives. These works emphasize the “line of poetry” which constitutes life and the subject. The poetics of these eccentric autobiographical works explores dissemblance in writing the self, time, and history. They question reductive understandings of identity as ‘sameness’ and conceptions of time as homogenous. The self is not ‘one’; the autobiographer is alone neither in his body, nor in his language, nor in the act of writing. Rather, he is in constant movement between places and languages, unable to establish a stable grounding for his narrative. The author’s persona is multiple and collective, inverting the myth of the romantic genius. Such transfigurations of the self are tied to transfigurations of memory, which allow for the past to be reenacted in the present and for the future. This melancholic experience is also one of haunting, for narratives of the self draw on the figure of the phantom as a sign of mourning for both personal and historical disjunctions. As witnesses of recent or contemporary revolutions, the autobiographers stress the incomplete nature of both individual and collective history, that is, the potential that such history contains. Narrating the self is therefore prospective; it is memory addressing the future.
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Le traitement poétique de l'irréel dans Aurélia de Nerval et Les fleurs du mal de Baudelaire.

Du Plessis, Donatella. January 2011 (has links)
No abstract available. / Thesis (M.A.)-University of KwaZulu-Natal, Durban, 2011.

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