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Der männlichkeitszentrierte Beitrag von Martin Kandzia gilt einem deutschsprachigen Erzähltext aus den 1970er Jahren und trägt den Titel „Männlichkeit, Risiko und Verunsicherung in Martin Walsers Novelle Ein fliehendes Pferd“. Theoretisch interdisziplinär fundiert, beleuchtet er noch einmal das schon von Froese und Vetter in den Blick genommene Entanglement von Gender, Risiko und literarischem Genre. Mit der Novelle als dritter traditionsmächtiger Gattung und Walsers rezeptionsstarkem Gegenwartstext kontextualisiert er es jedoch genre- und epochenspezifisch neu. Indem die Argumentation an dem kompakten Figurenarsenal der beiden Paare Halm und Buch die sinnkonstitutive Bedeutung der Geschlechterkonstruktionen und -stereotype verfolgt, belegt sie nicht nur die Leistungsfähigkeit eines genderwissenschaftlichen Interpretationszugangs. Sie erarbeitet auch literarische Parallelen und Korrespondenzen zu aktuellen soziologischen Konzepten, wie der ʻmännlichen Herrschaft‘ (Bourdieu), der konkurrenten ʻhegemonialen Männlichkeit‘ (Connell) oder, anhand von einigen erinnerten Wettbewerbs-Spielen des ErzählerProtagonisten Halm, des ʻRisikohandelns als Strukturübung des männlichen Geschlechtshabitus‘ (Meuser). Die ambivalente Figurenführung und die komplexen narrativen Beobachtungs- und Vermittlungsebenen der Novelle stellen, so der Verfasser, unter dem Stichwort der Verunsicherung oder Krise solche extraliterarischen theoretischen Konstruktionen jedoch zugleich auch dialogisch in Frage und insistieren so auf dem Eigenwert von ästhetischer Erkenntnis.

In Caroline Enges Analyse von Weiblichkeit im Kontext der Entfremdungserfahrung am Beispiel von Christoph Heins Novelle Der fremde Freund (1982) liegt der Fokus primär auf dem persönlichen Diskurs der Ich-Erzählerin, in dem sich durch eine Gegenüberstellung von Verdrängen und Begehren die Widersprüche zwischen erzähltem und erzählendem Ich manifestieren. Caroline Enge arbeitet heraus, wie durch die Einbettung dieses Monologs in den Kontext der DDR das Spannungsverhältnis zwischen politischem System und dem eigenen Empfinden von Entfremdung deutlich wird und wie die Problematik anhand der Auseinandersetzung mit einem traditionellen Frauenbild zugespitzt wird; mit einem Frauenbild, das auch im sozialistischen Staat keine Alternativen für individuelle Bestimmungen des Frau-Seins bietet und so die Konstitution einer eigenen Subjektivität der Protagonistin unmöglich macht. Der Beitrag analysiert das Scheitern dieser weiblichen Selbstidentifikation mithilfe feministischer und psychoanalytischer Literaturtheorie und zeigt, dass die Identitätsproblematik dabei nicht allein als Folge individuell-biographischer Erlebnisse zu verstehen ist, sondern dass die stillschweigende Anpassung der Ich-Erzählerin an patriarchale Herrschaftsverhältnisse in Zusammenwirkung mit den (Gewalt-)Erfahrungen in der funktionalen Gesellschaft erfolgt.

In this novella the main character, David Crumm, is getting older and decides not to wait around and die on his frozen ranch, but to retire to warmer climates. He leaves everything with his daughter, gets in his truck and drives south with his dog. In Florida, he accidentally hits and kills a migrant woman on her bicycle. The woman has a young son who survives the accident and, through a number of converging factors, David is compelled to personally take the boy back to his relatives in Nicaragua. The book then deals with David's experiences as he heads farther south, picking up more passengers along the way including his old friend Tom, on the run from the law; Frank, a strange American ex-patriot; and a beautiful tourist in Acapulco named Sheila.

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Aim of this diploma thesis is to compare different forms of narrating of the holocaust through Children's eyes. Pure child's narration has much bigger impact on reader than narration of an adult, enriched with metaphors and attributes. In this way child's point of view extends the ethical dimension of holocaust narration. We will examine the discourse of child's narration in three diaries (The Diary of David Sierakowiak, The Diary of Mary Berg, The Beautiful Days of My Youth by Ana Novac), one Fictional diary (The Unloved. From the Diary of Perla S. by Arnošt Lustig) and a novella (Child of the Shadows by Henryk Grynberg). Children's narrators of the holocaust are characterized by psychological maturity, which contrasts with their official age. On the other hand they reveal childishness, while growing up, because of their unfinished childhood. In those books we will examine changing of the narrators discourse and his depiction of space (ghetto, concentration camp, shelter) and persons (family, friend, Nazis). We will also focus on distinct motives that form these books (e.g.: hunger, guilt, comic, Paradise, game).

Le point de départ de notre recherche a été la compréhension du phénomène Wang Xiaobo, de sa genèse, de son amplification et de ses échos dans l’histoire de la littérature chinoise. La thèse rappelle le contexte de la société chinoise et du monde littéraire des années 1990, indispensable pour saisir ce phénomène. Sa naissance est en effet étroitement liée à l’essor de la mouvance libérale chinoise et au développement rapide du pouvoir des médias et notamment d’Internet. Plusieurs personnages ont contribué à sa genèse, parmi lesquels on trouve notamment des chercheurs en sciences sociales tels que Li Yinhe, Qin Hui et Xu Jilin. Ce phénomène a été par la suite amplifié par les médias, qui ont étiqueté l’auteur comme « martyr sur l’autel de la littérature », « intellectuel libéral », « intellectuel public », etc. Ironie du sort, c’est l’appellation octroyée par Le Quotidien du peuple, « génie en dehors du système », qui résume le mieux l’identité controversée de l’auteur. L’étude des discours souvent impressifs sur le phénomène Wang Xiaobo nous a conduite d’abord à mener des analyses textuelles afin de sonder de manière approfondie l’art romanesque de l’auteur, insuffisamment exploré malgré sa notoriété posthume durable. Son art est caractérisé par des jeux à la fois subversifs et ludiques ; il démontre aussi comment le sujet pensant qui transforme les mots se voit lui-même métamorphosé par la société et la vie. Le corpus des textes étudiés couvre les trois périodes de l’auteur : avant 1984 (« l’âge fabuleux »), entre 1984 et 1992 (« l’âge de la maturité et l’âge d’or ») et enfin après 1992 (« réécriture et renouvellement »). Ensuite, à travers l’analyse comparée des textes de l’auteur et de ceux de ses successeurs, nous avons abouti à la thèse suivante : les jeux d’écriture de Wang Xiaobo affichent les caractéristiques de l’art de la postmodernité, et ce avant même que celui-ci s’installe progressivement en Chine ; ils illustrent comment l’esprit chevaleresque des lettrés chinois s’est progressivement transformé en un esprit de « voyous », terme évolutif, polysémique mais symptomatique de notre temps. / The starting point of our research was to understand the "Wang Xiaobo phenomenon". The paper describes the context of Chinese society and the literary world of the 1990s; some scholars’ liberal speeches and the growing power of media namely the Internet are parts of the reasons accounting for this phenomenon. The media put on the disappeared author new labels such as "martyr on the altar of literature", "liberal intellectual", "public intellectual". Ironically the name of "Genius outside the system", granted by the People's Daily to Wang Xiaobo, has stuck as the best way to encompass the author’s questionable identity. The impressive talks about the "Wang Xiaobo phenomenon" pushes us first to conduct deeper textual analysis to probe thoroughly the novellas’ art of the author, insufficiently explored despite his lasting posthumous fame. His art is characterized by subversive and playful language games; it also demonstrates how thinking subject who transforms words sees himself transformed by society and life. The corpus of the studied texts covers three periods of the author: before 1984, between 1984 and 1992, and finally after 1992. Then, through the comparative analysis of the author’s texts and those of his successors, we came up with the following thesis: The writing games of Wang Xiaobo display the characteristics of postmodern art, and even before it develops gradually in China; they illustrate how the chivalrous spirit of the Chinese intellectuals has evolved into a spirit of roguery, which in itself should be interpreted as an evolutionary term, both polysemic and symptomatic of our time.

Le point de départ de notre recherche a été la compréhension du phénomène Wang Xiaobo, de sa genèse, de son amplification et de ses échos dans l’histoire de la littérature chinoise. La thèse rappelle le contexte de la société chinoise et du monde littéraire des années 1990, indispensable pour saisir ce phénomène. Sa naissance est en effet étroitement liée à l’essor de la mouvance libérale chinoise et au développement rapide du pouvoir des médias et notamment d’Internet. Plusieurs personnages ont contribué à sa genèse, parmi lesquels on trouve notamment des chercheurs en sciences sociales tels que Li Yinhe, Qin Hui et Xu Jilin. Ce phénomène a été par la suite amplifié par les médias, qui ont étiqueté l’auteur comme « martyr sur l’autel de la littérature », « intellectuel libéral », « intellectuel public », etc. Ironie du sort, c’est l’appellation octroyée par Le Quotidien du peuple, « génie en dehors du système », qui résume le mieux l’identité controversée de l’auteur. L’étude des discours souvent impressifs sur le phénomène Wang Xiaobo nous a conduite d’abord à mener des analyses textuelles afin de sonder de manière approfondie l’art romanesque de l’auteur, insuffisamment exploré malgré sa notoriété posthume durable. Son art est caractérisé par des jeux à la fois subversifs et ludiques ; il démontre aussi comment le sujet pensant qui transforme les mots se voit lui-même métamorphosé par la société et la vie. Le corpus des textes étudiés couvre les trois périodes de l’auteur : avant 1984 (« l’âge fabuleux »), entre 1984 et 1992 (« l’âge de la maturité et l’âge d’or ») et enfin après 1992 (« réécriture et renouvellement »). Ensuite, à travers l’analyse comparée des textes de l’auteur et de ceux de ses successeurs, nous avons abouti à la thèse suivante : les jeux d’écriture de Wang Xiaobo affichent les caractéristiques de l’art de la postmodernité, et ce avant même que celui-ci s’installe progressivement en Chine ; ils illustrent comment l’esprit chevaleresque des lettrés chinois s’est progressivement transformé en un esprit de « voyous », terme évolutif, polysémique mais symptomatique de notre temps. / The starting point of our research was to understand the "Wang Xiaobo phenomenon". The paper describes the context of Chinese society and the literary world of the 1990s; some scholars’ liberal speeches and the growing power of media namely the Internet are parts of the reasons accounting for this phenomenon. The media put on the disappeared author new labels such as "martyr on the altar of literature", "liberal intellectual", "public intellectual". Ironically the name of "Genius outside the system", granted by the People's Daily to Wang Xiaobo, has stuck as the best way to encompass the author’s questionable identity. The impressive talks about the "Wang Xiaobo phenomenon" pushes us first to conduct deeper textual analysis to probe thoroughly the novellas’ art of the author, insufficiently explored despite his lasting posthumous fame. His art is characterized by subversive and playful language games; it also demonstrates how thinking subject who transforms words sees himself transformed by society and life. The corpus of the studied texts covers three periods of the author: before 1984, between 1984 and 1992, and finally after 1992. Then, through the comparative analysis of the author’s texts and those of his successors, we came up with the following thesis: The writing games of Wang Xiaobo display the characteristics of postmodern art, and even before it develops gradually in China; they illustrate how the chivalrous spirit of the Chinese intellectuals has evolved into a spirit of roguery, which in itself should be interpreted as an evolutionary term, both polysemic and symptomatic of our time.

Le point de départ de notre recherche a été la compréhension du phénomène Wang Xiaobo, de sa genèse, de son amplification et de ses échos dans l’histoire de la littérature chinoise. La thèse rappelle le contexte de la société chinoise et du monde littéraire des années 1990, indispensable pour saisir ce phénomène. Sa naissance est en effet étroitement liée à l’essor de la mouvance libérale chinoise et au développement rapide du pouvoir des médias et notamment d’Internet. Plusieurs personnages ont contribué à sa genèse, parmi lesquels on trouve notamment des chercheurs en sciences sociales tels que Li Yinhe, Qin Hui et Xu Jilin. Ce phénomène a été par la suite amplifié par les médias, qui ont étiqueté l’auteur comme « martyr sur l’autel de la littérature », « intellectuel libéral », « intellectuel public », etc. Ironie du sort, c’est l’appellation octroyée par Le Quotidien du peuple, « génie en dehors du système », qui résume le mieux l’identité controversée de l’auteur. L’étude des discours souvent impressifs sur le phénomène Wang Xiaobo nous a conduite d’abord à mener des analyses textuelles afin de sonder de manière approfondie l’art romanesque de l’auteur, insuffisamment exploré malgré sa notoriété posthume durable. Son art est caractérisé par des jeux à la fois subversifs et ludiques ; il démontre aussi comment le sujet pensant qui transforme les mots se voit lui-même métamorphosé par la société et la vie. Le corpus des textes étudiés couvre les trois périodes de l’auteur : avant 1984 (« l’âge fabuleux »), entre 1984 et 1992 (« l’âge de la maturité et l’âge d’or ») et enfin après 1992 (« réécriture et renouvellement »). Ensuite, à travers l’analyse comparée des textes de l’auteur et de ceux de ses successeurs, nous avons abouti à la thèse suivante : les jeux d’écriture de Wang Xiaobo affichent les caractéristiques de l’art de la postmodernité, et ce avant même que celui-ci s’installe progressivement en Chine ; ils illustrent comment l’esprit chevaleresque des lettrés chinois s’est progressivement transformé en un esprit de « voyous », terme évolutif, polysémique mais symptomatique de notre temps. / The starting point of our research was to understand the "Wang Xiaobo phenomenon". The paper describes the context of Chinese society and the literary world of the 1990s; some scholars’ liberal speeches and the growing power of media namely the Internet are parts of the reasons accounting for this phenomenon. The media put on the disappeared author new labels such as "martyr on the altar of literature", "liberal intellectual", "public intellectual". Ironically the name of "Genius outside the system", granted by the People's Daily to Wang Xiaobo, has stuck as the best way to encompass the author’s questionable identity. The impressive talks about the "Wang Xiaobo phenomenon" pushes us first to conduct deeper textual analysis to probe thoroughly the novellas’ art of the author, insufficiently explored despite his lasting posthumous fame. His art is characterized by subversive and playful language games; it also demonstrates how thinking subject who transforms words sees himself transformed by society and life. The corpus of the studied texts covers three periods of the author: before 1984, between 1984 and 1992, and finally after 1992. Then, through the comparative analysis of the author’s texts and those of his successors, we came up with the following thesis: The writing games of Wang Xiaobo display the characteristics of postmodern art, and even before it develops gradually in China; they illustrate how the chivalrous spirit of the Chinese intellectuals has evolved into a spirit of roguery, which in itself should be interpreted as an evolutionary term, both polysemic and symptomatic of our time.