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La pratique discursive post-péroniste, au fondement d'une nouvelle identité partisane ou nationale. Les cas de Carlos Menem (1989-1995) et de Nestor Kirchner (2003-2007) / Post-peronist discursive practice at the foundations of the new partisan or national identity. The cases of Carlos Menem (1989-1995) and Néstor Kirchner (2003-2007)

Donot, Morgan 28 November 2014 (has links)
Le péronisme reste la première force politique de l’Argentine. Ce mouvement politique, qui se caractérise par l’absence d’une idéologie propre et une faible institutionnalisation, ne peut se comprendre, s’analyser qu’au regard des trajectoires des leaders qui l’ont incarné au cours du temps, chacun le transformant et le personnalisant de telle sorte que chaque courant qui a représenté le Parti justicialiste est aujourd’hui caractérisé par le nom de son leader du moment ; ainsi en est-il du péronisme, du ménémisme, du duhaldisme, du kirchnérisme et dorénavant du cristinisme. L’objectif de ce travail est de dresser un portrait des deux post-péronistes qui se sont succédé depuis la transition à la démocratie en 1983, à travers une comparaison de l’usage de la parole politique par ses principales figures représentatives que sont Carlos Menem (1989-1995) et Néstor Kirchner (2003-2007). Les thématiques clés des discours de ces deux hommes politiques, ainsi que leurs formes spécifiques de mise en discours, doivent être étudiées conjointement, afin de pouvoir comprendre le processus de légitimation énonciative qui leur a permis de se positionner en tant que leader, dans une certaine conjoncture, de la scène politique argentine. Ainsi, l’objet de cette recherche correspond à une analyse des discours de Carlos Menem et de Néstor Kirchner en tant que discours antagonistes en lutte pour la définition d’un même objet, d’une même réalité : la nation argentine. Quelles sont les valeurs de l’argentinité que ces deux figures politiques ont cherché à incarner ? Quels sont les modèles et les projets de société qu’ils ont proposés et tenté de construire discursivement afin de consolider leur légitimité et de fonder une identité, proprement ménémiste ou kirchnériste ? Quelles sont les valeurs qu’ils ont prônées et qu’ils ont réussi à instituer comme garantes et représentatives d’un nouvel ordre politique ? En se basant sur des antagonismes fondateurs, ces deux présidents ont donné naissance à de nouveaux imaginaires qui sont aujourd’hui liés et investis du sens qui leur a été attribué lors de leur émergence dans l’espace discursif post-péroniste et dont les multiples significations ne peuvent être abordées en dehors d’une analyse approfondie de la parole politique de ces deux leaders. Le discours de Carlos Menem et le discours de Néstor Kirchner se présentent donc comme des espaces énonciatifs concurrents, en lutte pour le sens de la réalité et de l’histoire argentines. / The Peronism remains the first political force in Argentina. Characterised by a lack of a proper ideology and a weak institutionalisation, this political movement can only be understood and analysed in the light of the political trajectory of its leaders. Each of its leaders transformed and personalised it in such a way that each mainstream within the Justicialist Party is today characterised by the name of the then-leader: Peronism, Menemism, Duhaldism, Kirchnerisms and henceforth Cristinism. The goal of this work is to produce a clear picture of the two post-peronists, who succeeded since the democratic transition in 1983, by comparing the use of political speech of its main leading figures: Carlos Menem (1989-1995) and Néstor Kirchner (2003-2007). The main themes as well as the specific structure of the speeches of both politicians need to be examined jointly in order to understand the enunciative legitimation process that allowed them to position themselves as leaders on the political scene in Argentina. Therefore, the objective of this research corresponds to a discourse analysis of the speeches of Carlos Menem and Néstor Kirchner as antagonistic ones struggling for a definition of the same object, the same reality: the Argentinian nation. What were the values of the Argentinian nation those two politicians were seeking to incarnate? What are the models and projects of society they proposed and tried to construct through their speeches in order to consolidate their legitimacy and create a menemist or kirchnerist identity? What are the values they praised and they succeeded in establishing as pillars and representatives of a new political order? Starting from the founding antagonisms, those two presidents gave rise to new collective imaginations which are nowadays linked and filled with the sense they were given during their emergence in the post-peronist discursive space. Their multiple meanings can only be addressed in a sound analysis of the political speech of these two leaders. The discourse of Carlos Menem and the one of Néstor Kirchner thus come across as competing enunciative spaces struggling for the sense of reality and of the Argentinian history.
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Le pacte introuvable. Sport, péronisme et société en Argentine 1946-1955 / The Lost Pact. Sport, Peronism and Society in Argentina 1946-1955 / El pacto inalcanzable. Deporte, peronismo y sociedad en la Argentina 1946-1955

Hemeury, Lucie 11 December 2018 (has links)
Entre 1946 et 1955, Juan Perón déclare à maintes reprises sa volonté de « forger une nation de sportifs ». Le président argentin, rapidement surnommé le « Premier Sportif de la Nation », estime que le sport doit désormais relever des domaines d’intervention de l’État. À partir de sources institutionnelles, administratives, sportives et diplomatiques, cette recherche s’attache à retracer les objectifs de la politique sportive péroniste et les moyens mis en œuvre pour les atteindre. En suivant une démarche relevant de l’histoire sociale et de la micro-histoire, ce travail examine la mise en pratique concrète des mesures adoptées par le régime péroniste au sein des clubs et des fédérations sportives et en repère les contradictions et les limites. Cette thèse analyse également la nature des relations établies entre les acteurs du milieu sportif et le pouvoir péroniste. Celles-ci se définissent par des logiques clientélistes, en partie héritées, par une quête du consensus et des formes de compromis, nourries par les intérêts communs partagés entre le monde sportif et les responsables politiques. Mais elles se sont aussi traduites par des résistances et des rapports conflictuels, renforcés par la polarisation politique croissante de la société argentine et l’autoritarisme grandissant du régime péroniste. / Between 1946 and 1955, Juan Perón repeatedly stated his desire to “forge a nation of sportsmen” Soon called “Nation’s First Sportsman”, the Argentinian President reckoned that sport was now to be counted among the State’s domains of intervention This research draws on institutional, administrative, diplomatic and sports sources in order to trace the goals and means of Peronist sports policy Adopting an approach pertaining to social history as well as micro-history, this work examines the concrete implementation within sports clubs and federations of measures taken by the Peronist regime, and points out its contradictions and limits. This thesis also provides an analysis of the nature of relationships established between the sports world and the Peronist power. These relationships are characterized by partly inherited crony strategies, by a quest for consensus and by forms of compromise fueled by common interests shared between the sports world and political leaders. But they are also marked by forms of resistance and confrontation, reinforced by the increasing political polarization of the Argentinian society and the growing authoritarianism of the Peronist regime. / Durante los años 1946-1955, Juan Perón declaró públicamente su voluntad de « forjar una nación de deportistas ». Rápidamente apodado el « Primer Deportista de la Nación », el presidente argentino considera que el deporte debe integrar el área de responsabilidades del Estado nacional. A partir de fuentes institucionales, administrativas, deportivas y diplomáticas, esta investigación rastrea los objetivos de la política deportiva peronista y los recursos implementados para alcanzarlos. Siguiendo una perspectiva de historia social y microhistoria, este trabajo examina la aplicación concreta en el seno de los clubes y de las federaciones deportivas de las medidas adoptadas por el régimen peronista, sus contradicciones y sus límites. Esta tesis también analiza la naturaleza de las relaciones establecidas entre los actores deportivos y el poder peronista. Estas se definen por su diversidad y su complejidad, caracterizadas por lógicas clientelistas, parcialmente heredadas, una busca del consenso y formas de acuerdo, nutridas por intereses compartidos entre el medio deportivo y los mandatarios políticos. Sin embargo, estos vínculos fueron marcados también por formas de resistencia y conflictividad, reforzadas por la polarización de la sociedad argentina y el autoritarismo creciente del régimen peronista al final del periodo.
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Entre ethnicité, immigration et identité nationale : du péronisme justicialiste au ménémisme néo-libéral : l’immigration limitrophe et les frontières ethniques en Argentine (1943-1999) / Between ethnicity, immigration and national identity : from justicialist peronism of the neoliberal menemism : immigration borders and ethnic boundaries in Argentina (1943-1999)

Otheguy, Martin Pablo 07 December 2016 (has links)
Les courants migratoires outre-atlantiques à la charnière du XIXe et du XXe siècle consolidèrent la représentation de la nation argentine comme « un pays d’immigration ». Mais, derrière l’assimilation réussie de centaines de milliers d’étrangers se cache un complexe rapport entre la nation et la diversité qui compose sa population. Nous avons placé au coeur de notre recherche l’étude de l’ethnicité en Argentine et son rapport avec la nation et les phénomènes migratoires internes et externes. Les élites du XIXe siècle mirent en place des politiques de population qui visaient l’édification d’une société homogène, blanche et d’origine européenne. Celles-ci provoquèrent un « processus d’effacement » de l’ethnicité argentine qui fut achevé durant le XXe siècle avec l’avènement du péronisme. Ce ne fut qu’au cours des gouvernements de Carlos Menem durant les années 1990 que l’ethnicité subit une nouvelle fois de profondes transformations, notamment à cause de la montée de la xénophobie ciblant les immigrants limitrophes. Notre recherche propose une étude de l’évolution du rapport entre le péronisme et l’ethnicité. Pour ce faire, nous avons choisi de suivre l’approche barthienne de l’ethnicité et de placer au centre de notre analyse le concept de frontière ethnique. Notre recherche s’achève avec l’analyse d’entretiens semi-dirigés effectués lors d’un travail de terrain réalisé auprès de la communauté bolivienne à Buenos Aires. Nous tenterons de montrer que les changements de l’ethnicité durant les années 1990 sont à mettre en rapport avec la désarticulation des identités politiques traditionnelles et le rétrécissement de la citoyenneté qui caractérisèrent cette période. / Migratory movements across the Atlantic at the turn of the nineteenth and twentieth centuries consolidated the representation of the Argentine nation as "a country of immigration". But behind the successful assimilation of hundreds of thousands of foreigners, lies a complex relationship between the nation and the diversity that makes up its population. We have placed at the heart of our research the study of ethnicity in Argentina and its relationship with the nation and internal and external migratory phenomena. The nineteenth-century elites set up population policies aiming at building a homogeneous, white and european origin for the society. These policies provoked a "process of erasing" argentinian ethnicity which was completed during the 20th century with the advent of peronism. It was only during the governments of Carlos Menem during the 1990s that ethnicity underwent profound changes, notably because of the rise of xenophobia targeting neighboring immigrants. Our research proposes a study of the evolution of the relationship between Peronism and ethnicity. To do this, we chose to follow the Barthian approach to ethnicity and to place the concept of ethnic frontier at the center of our analysis. Our research ends with the analysis of semi-directed interviews accomplished during a field work carried out with the Bolivian community in Buenos Aires. We will try to show that the changes in ethnicity during the 1990s are related to the phenomenon of disarticulation of traditional political identities and shrinking citizenship that characterized this period.
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Néstor Kirchner (2003-2007) : rupture ou continuité du péronisme ? : Les mutations du populisme en Argentine / Néstor Kirchner (2003-2007) : a breach or a continuity with peronism ? : Mutations of populism in Argentina.

Doz, Emilie 15 November 2013 (has links)
Le 25 mai 2003, le peuple argentin assistait à l’investiture présidentielle du candidat du Frente Para la Victoria, Néstor Kirchner. Suite à la défection de Carlos Menem pendant l’entre-deux tours, il est élu avec 22% des suffrages. Malgré cette faible légitimité, il réussit à insuffler un changement certain dans la politique argentine. L’objectif de ce travail de thèse est de montrer comment Néstor Kirchner est arrivé à imposer un nouveau système de référence et à tourner la page du passé néolibéral qui a conduit le pays à l’effondrement. Pour cela, notre travail se concentre d’abord sur la présentation nécessaire du contexte économique et politique antérieur aux élections de 2003. Cette contextualisation permet de mieux cerner les conditions dans lesquelles Néstor Kirchner est porté au pouvoir. Ensuite, nous étudions la lutte idéologique qui se met en place, notamment à l’intérieur même du péronisme, afin d’identifier les processus qui permettent au discours kirchnériste de devenir discours dominant. Enfin, il s’agira d’étudier les points de ruptures ou de convergences du kirchnérisme avec le populisme et le péronisme afin de mieux le caractériser. De plus, le décès de Néstor Kirchner survenu le 27 Octobre 2010 a provoqué un véritable choc. Aussi, l’étude de la figure post mortem de Kirchner permet de prendre la mesure du phénomène K, dans le sens où il symbolise à la fois une réhabilitation du politique, une reconstruction de la nation argentine et une refondation du péronisme au XXIème siècle. / On 25 May 2003, argentinian population attended the presidential nomination of the "Frente Para la Victoria" party candidate, Néstor Kirchner. Thanks to the defection of Carlos Menem between the two rounds, he was elected with 22% of votes. Despite this weak legitimacy, he succeeded in impulsing changes in Argentina political agenda. The purpose of this thesis is to show how Néstor Kirchner managed to impose a new system as a new reference, and to move on from a neoliberal past which led the country to collapse. Therefore, our work first focuses on a necessary presentation of economic and political background prior to 2003' elections. Such contextualisation allows us to have a better understanding of the conditions in which Néstor Kirchner reached the presidency. Then, we study the ideological struggle taking place afterwards, particularly within peronism itself, in order to identify the processes allowing the kirchnerist line to become a dominant speech. Finally, we will focus on Kirchnerism’s breakpoints or convergences with Peronist populism for a better characterization. In addition, the death of Néstor Kirchner the 27th of october 2010 caused a real shock. Also, the study of the postmortem figure of Kirchner allows us to estimate the "K" phenomenon, in the sense it symbolizes as well a rehabilitation of politics as a reconstruction of the argentinian nation, or an overhaul of peronism in the XXIst century.

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