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La reproduction du scepticisme quotidien dans l'art cinématographique selon Stanley CavellRose, Martin January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise porte sur le scepticisme inhérent au langage quotidien et la reproduction de ce scepticisme dans l'art cinématographique. Plus précisément, nous examinons les thèses du philosophe américain Stanley Cavell qui propose une analyse du scepticisme du langage -autant un scepticisme face au monde extérieur qu'un scepticisme face à autrui -par le cinéma. Nous cherchons à définir à la fois les scepticismes cavelliens et la reproduction particulière qu'en fait le cinéma. Ceci nous permettra d'établir l'utilité sociale du scepticisme quotidien, de même que le rôle indispensable du cinéma pour sa recouvrance.
L'hypothèse générale tirée de cette étude est que la communication sociale est basée sur une reconnaissance mutuelle et un rapport au monde extérieur dont le scepticisme est une composante inhérente. Le cinéma peut jouer un important rôle dans notre perception de cette condition en nous fournissant des exemples d'individus outrepassant les risques du scepticisme qui nous empêchent de reconnaître autrui. Nous établissons l'utilité sociologique et philosophique du cinéma dans sa reproduction des formes de scepticisme traversant le langage quotidien et découvrons la signification et les impacts du scepticisme quotidien dans nos relations sociales et notre rapport au monde extérieur. Cette étude permet aussi de parfaire notre connaissance de philosophes peu abordés au Québec, des auteurs de tradition anglaise et américaine exerçant une philosophie proche des considérations communes et quotidiennes ; Cavell souhaite la renaissance d'une philosophie américaine accessible et traitant de conditions quotidiennes. Une philosophie proche de la sociologie: le scepticisme quotidien origine du partage social du langage, toutes les questions qui lui sont liées relèvent de la sociologie. Cavell aspire aussi à rectifier notre compréhension de la philosophie d'Austin et de Wittgenstein; des philosophes peu étudiés par la francophonie nord-américaine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Stanley Cavell, Scepticisme, Langage, Wittgenstein, Cinéma, Art.
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Pour une logique chorégraphique de la sensation : document d'accompagnement de l'essai scénique Certaines scènes peuvent ne pas convenirFilion, Nicolas January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une réflexion sur le processus de création chorégraphique que nous avons élaboré à partir des concepts philosophiques proposés par Gilles Deleuze, dans l'ouvrage Francis Bacon. Logique de La sensation. Au sein de l'essai chorégraphique Certaines scènes peuvent ne pas convenir, nous avons cherché à entrer en dialogue avec la pensée de Deleuze et le monde, et surtout à « faire rhizome », afin d'ouvrir la danse à des pistes de sens et des territoires sensibles inattendus. Dans le présent document, nous cherchons d'abord à définir les modalités de notre recherche création autour du concept de « rhizome », puis à dégager de notre processus créatif une Logique de La sensation qui serait proprement chorégraphique, tout en maintenant un lien étroit avec la philosophie de Deleuze et l'oeuvre picturale de Francis Bacon. La notion d'un devenir du corps tient lieu, dans cette logique, de dynamique centrale.
Nous abordons ensuite l'usage particulier que nous avons fait du corps dansant, où ce dernier devient « matériau de la Figure ». En procédant à ce que Deleuze nomme la « capture des forces », nous cherchons à découvrir dans la danse le
« fait du corps », au-delà de tout effet narratif ou figuratif. Par la suite, nous cherchons à identifier, à partir des concepts deleuziens de territoire, de rythme et de structure, ce qui participe à générer la cohérence de l'oeuvre, en dépit de nos tactiques visant à déjouer et à multiplier les développements possibles du sens. L'oeuvre devient alors la cartographie d'un territoire que l'on arpente et que l'on découvre au fil de son développement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Création chorégraphique, Rhizome, Sensation, Figuration, Corps, Rythme, Philosophie.
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Le plaisir de créer : élaborer des stratégies pour engager un dialogue philosophique interactif sur la notion de plaisir dans la création artistique chez les étudiants en arts plastiques au collégialMartinez, Eloy January 2009 (has links) (PDF)
L'outil pédagogique développé dans le cadre de cette recherche appliquée se veut une stratégie pour favoriser l'engagement des étudiants en arts visuels au collégial et ainsi contrer le décrochage scolaire. Il prend la forme d'une vidéo présentant les entretiens de neuf participants issus des milieux artistiques, de l'enseignement et du milieu étudiant (cégep). La vidéo s'inspire des principes du dialogue philosophique pour diriger et approfondir la réflexion sur la notion de plaisir dans la création artistique. Le premier chapitre de ce mémoire explore le concept à la base de cette recherche: le plaisir. Différentes définitions et approches du plaisir sont présentées ainsi que l'apport du plaisir à l'enseignement des arts plastiques sur le plan de la motivation, de l'apprentissage et de la création artistique. Le concept de conscience s'articule ensuite à celui du plaisir. Le second chapitre présente donc les différents niveaux de la conscience, ses causes et fonctions et met l'accent sur l'application pédagogique en lien avec la prise de conscience et la métacognition. Ce texte accompagnateur se termine par la présentation de l'outil pédagogique (vidéo destinée aux étudiants). La sélection des participants s'est effectuée par un échantillonnage de type « boule de neige ». Les questionnaires ouverts et les entrevues semi-dirigées ont permis de recueillir les opinions des participants qui ont été analysées en les comparant aux concepts de plaisir et de conscience. Enfin, une présentation des pistes d'exploitation de l'outil pédagogique clôt le dernier chapitre. Cette analyse permet de constater l'utilisation d'une grande variété dans les définitions du plaisir chez les participants. Le plaisir est aussi associé à une source de motivation dans la création artistique, à l'amélioration de la qualité du travail et à la réalisation de soi. En favorisant la prise de conscience du plaisir dans la création artistique, cet outil pédagogique offre une arme supplémentaire dans la lutte au décrochage scolaire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Plaisir, Création artistique, Dialogue philosophique, Collégial, Prise de conscience, Motivation, Outil pédagogique, DVD, Vidéo.
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La philosophie des formes symboliques dans le champ des sciences de la culture : principes de conceptualisation et d'interprétation chez Ernst CassirerPugliese, Maude January 2010 (has links) (PDF)
L'objectif principal de ce mémoire est de proposer une interprétation du système conceptuel développé par Ernst Cassirer dans sa Philosophie des formes symboliques, de manière à en relever la fonction et la valeur pour les sciences de la culture. Pour y arriver une approche comparative est employée. La conception de Cassirer à propos de la fonction et de la valeur du concept -en particulier des concepts mathématiques -en sciences de la nature est d'abord analysée et ensuite prise comme représentant le positionnement épistémologique général de Cassirer, valide pour tous les types de connaissance proprement scientifique. Par la suite, ce positionnement épistémologique est mobilisé comme point d'appui et hypothèse pour analyser les fonctions ainsi que la valeur qu'ont les concepts de formes symboliques pour une connaissance scientifique des phénomènes de culture, c'est-à-dire des phénomènes de constitution de signification. La conclusion tirée de cette étude est que le système cassirerien des formes symboliques, couplé à une méthode d'interprétation appropriée que Cassirer développe en s'inspirant des théories de la mesure, consiste en une méthode d'analyse de la culture, mais ne parvient pas à expliciter adéquatement les relations qui font le mouvement historique de la culture. Suite à ce constat, quelques axes futurs de recherches pouvant permettre de compléter le système des formes symboliques de façon à combler cette lacune sont identifiés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Ernst Cassirer, Formes symboliques, Épistémologie, Sciences de la culture, Sociologie de la culture, Constitution des significations.
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Qu'est-ce que la laïcité? : le Québec laïque a-t-il fait le choix de la "laïcité ouverte"?Parent, Jocelyn 10 1900 (has links) (PDF)
Il s'est amorcé dans la société québécoise un débat portant sur la laïcité, sur sa laïcité. Beaucoup de gens se sont fait entendre, dans les instances étatiques, d'autres au sein des divers médias, se prononçant pour une forme ou une autre de laïcité. Cela a participé à complexifier ce qu'est un État laïque. À l'heure où des gens parlent de « laïcité ouverte », de « laïcité séparatiste », etc., il y a lieu de répondre à une question fort simple : qu'est-ce que la laïcité? C'est à cela que veut d'abord répondre la présente recherche. Elle veut y répondre en fournissant les éléments constitutifs de la laïcité, et aussi savoir comment ils s'organisent et s'agencent entre eux. La laïcité s'articule autour de quatre principes. Ce sont les suivants : - la séparation de l'État et des Églises, - la neutralité de l'État, - la liberté d'expression, incluant les libertés de conscience et de conviction (croyances), ainsi que - l'égalité des citoyens. La laïcité permet un vivre-ensemble pacifique où les diverses conceptions (idéologiques et religieuses) se tolèrent et se côtoient dans la société (l'espace public et la sphère privée), sans toutefois se croiser dans les institutions de l'État, ni le dominer par leur idéologie; ce dernier étant « neutre ». Par une typologie des États laïques, nous verrons comment la laïcité a été articulée. Le constat est le suivant : la laïcité a une définition et elle a revêtu plusieurs applications de ses principes, pour diverses raisons. Ces divergences entre les États laïques sont le reflet de leur histoire et des rapports de force entre les divers groupes sociaux. La laïcité n'est pas un cadre rigide, non évolutif et incapable d'adaptations. À propos du Québec, la laïcisation de ses institutions s'est faite progressivement. Cette laïcité a aussi été le résultat de rapports de force, et de nécessités politiques à certaines occasions dans la vie de la province; il ne faudra pas s'en étonner. La présente recherche se terminera par la réponse à la sous-question. Le constat est tout autre que ce que certaines personnes (Charles Taylor, Jocelyn Maclure et Gérard Bouchard) en disent; aucun projet de loi ni aucune loi ne corroborent l'allégation que la « laïcité ouverte » ait été adoptée par l'Assemblée nationale du Québec. Autre constat : la laïcité n'a pas besoin d'adjectif pour être définie. Par ses quatre principes, la laïcité se trouve, de facto, « fermée » à la présence du religieux dans les institutions étatiques, leur organisation et dans leur fonctionnement. Donc, que d'avoir une « laïcité ouverte » n'apporte rien à l'État.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : laïcité, laïcité ouverte, séparation État-Église, neutralité de l'État, liberté de croyance, liberté de conscience, liberté de conviction, liberté d'expression, égalité, Québec, Canada, commission Bouchard-Taylor, accommodement raisonnable, Révolution tranquille, Maurice Duplessis, Jean Lesage, Jean Charest, athéisme.
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L'ennui : autopsie d'une affliction moderne : autour de l'oeuvre de Walter BenjaminLussier, Étienne 01 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire propose d'analyser la thématique de l'ennui dans l'œuvre de Walter Benjamin. Les bouleversements et le choc (Simmel), liés au double processus d'industrialisation et d'urbanisation du XIXe siècle, provoquèrent nombre de malaises qui trouvèrent un fort écho dans les champs littéraire et philosophique. Dans un premier temps, l'objectif poursuivi par notre mémoire est de capter cet écho et de le systématiser pour la pensée sociologique. Il s'agit de démontrer que l'expérience de l'ennui se doit d'être saisie comme symptôme d'une conception du monde (Weltanschauung) particulière, c'est-à-dire d'une structure mentale collective, qui prend comme trame de fond la modernité. Le second objectif établi vise à appréhender l'ennui comme une humeur, c'est-à-dire non-pas comme un mal strictement subjectif ou objectif, mais bien comme un hybride qui demeure toujours dépendant de son contexte social, spatial et temporel. Cet effort de contextualisation de l'ennui, nous avons décidé de l'expliciter et de l'illustrer en nous servant de l'œuvre du philosophe et critique littéraire allemand Walter Benjamin (1892-1940). L'éclectisme et la multidisciplinarité de la pensée benjaminienne, située au carrefour de la littérature, de la philosophie de l'histoire, des études urbaines et de l'architecture, nous offre un terrain idéal pour débusquer l'ennui dans sa plénitude. Pour ce faire, il s'agira de procéder dans un premier temps à une « archéologie » conceptuelle de l'ennui comme une humeur caractéristique de la modernité, porteuse d'un sens - ou de l'absence de sens - qui différerait de toutes les autres afflictions « existentielles » l'ayant précédée. Par la suite, la thématique de l'ennui sera abordée dans son « horizon » dit temporel. Par l'entremise des écrits de Benjamin (entre autres ses écrits sur le drame baroque allemand, sur Baudelaire et sur le Paris du Second Empire), il sera possible de fournir une appréhension spécifiquement moderne du temps historique à laquelle nous pouvons lier l'ennui. Les troisième et quatrième chapitres seront, quant à eux, consacrés respectivement à un horizon spatial, mettant en scène ces lieux typiquement modernes susceptibles de laisser l'ennui se développer, et à un horizon dialectique, visant à donner un corps et une personnalité à l'ennui. Tant le Paris du Second Empire et son architecture « de fer et de verre » que la figure du flâneur seront alors portés à l'examen. Le regard de l'ennuyé, de celui qui fait l'expérience du choc de la modernité, suggérons-nous, serait en mesure d'offrir un regard ambivalent sur le temps historique ainsi que sur l'appréhension de la réalité urbaine en proie à la fragmentation.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : ennui, expérience, flânerie, histoire, image dialectique, mélancolie, modernité, oisiveté, répétition, ville, Walter Benjamin.
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Opérationnalisation de la notion de transcendance pour le langage visuel : des éléments conceptuels à l'analyse des imagesDelage, Karine 02 1900 (has links) (PDF)
Ce projet est un essai d'herméneutique critique, ayant pour objet la notion de transcendance. Celle-ci appartient bien sûr à une longue tradition de théorisation tant religieuse que philosophique. Le principal objectif visé par ce mémoire est de rendre opératoire la notion de transcendance pour l'analyse des images en arts visuels contemporains. On ne peut nier le caractère hautement problématique de la notion de transcendance - son lien à la « gênante » question du religieux (Schmuel Trigano), ou encore le rapport trouble de l'Occident à toute forme d'extériorité et d'argument d'autorité (Luc Ferry, Marcel Gauchet), pour ne pointer que deux considérations typiques du débat contemporain. Pourtant, en regard des questions fondamentales de l'existence humaine - l'origine, l'éthique et la finitude (salut) - d'une part, qui toujours nécessairement conduisent sur sa piste et, d'autre part, de son rapport intrinsèque à l'espace, la limite et l'horizon, la notion de transcendance nous est apparue comme un outil potentiel pour la lecture des images, des productions artistiques et culturelles. À la manière d'une cheville, l'élaboration d'une grille d'analyse de la notion de transcendance pour la lecture des images constitue l'axe central de ce mémoire : il s'agit d'un exercice de traduction des données théoriques recueillies sur la notion de transcendance en vue d'en faire un outil d'interprétation en sémiotique du langage visuel. Le mémoire comprend trois parties. Les deux premiers chapitres présentent - c'est-à-dire expliquent, ordonnent, relient et agencent - les référents interprétatifs initiaux de notre recherche en vue de les articuler en grille d'analyse. Nous abordons, dans un premier temps, les grandes lignes du débat actuel sur la notion de transcendance et quelques considérations sur son caractère plurivoque; nous proposons ensuite une définition de la transcendance. Puis, nous nous efforçons de rappeler les distinctions qu'il y a entre la notion de transcendance et trois notions avec lesquelles on tend souvent à la confondre : Dieu, le sacré et le sublime. La seconde partie compte un seul chapitre, le troisième, dans lequel nous élaborons une grille d'analyse et présentons la méthode pour l'interprétation des images. La dernière partie du mémoire est consacrée à l'application de cette grille à un corpus de trois œuvres. Dans le quatrième chapitre, nous montrons la valeur discriminante de cette grille par le biais d'une analyse comparée menée sur les portraits photographiques de Kate O'Brien, Sans titre (2008) et de Rineke Dijkstra, Julie, La Haye, Pays-Bas, 29 février 1994 (1994). Dans le dernier chapitre, nous illustrons un cas de concordances conceptuelles entre une image et un texte théorique. La rencontre féconde entre le vidéoclip My Girls du groupe Animal Collective, réalisé par Jon Vermilyea (2008) et l'essai Du sens de la vie du philosophe Jean Grondin (2003), s'est révélée un cas de figure exemplaire pour présenter ce troisième niveau d'analyse singulier à notre recherche et qui s'ajoute aux niveaux d'analyse habituels de la sémiotique du langage visuel (les analyses formelle et iconique). En s'inscrivant dans une démarche sémiotique aussi bien qu'anthropologique, ce mémoire se fonde sur l'idée que les représentations contemporaines de la transcendance dans les productions visuelles artistiques et culturelles constituent un objet de recherche susceptible de contribuer à une réflexion sur une réalité socioculturelle singulière, héritière de la pensée moderne, qui serait en redéfinition de ses repères et de ses valeurs. En effet, la notion de transcendance nous paraît la mieux à même de rendre compte de l'ensemble des préoccupations artistiques et sociales qui touchent les limites de l'individu et les horizons vers lesquels il tend et se projette.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Transcendance, arts visuels contemporains, imaginaire du 21e siècle, production de sens, sémiotique du langage visuel.
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Die Erziehung des Wilden von Aveyron : ein Experiment auf der Schwelle zur Moderne /Werner, Birgitt, January 1900 (has links)
Diss.--Oldenburg, 2003. / Bibliogr. p. 349-371.
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Eriugenas negative Ontologie /Weiner, Sebastian Florian. January 1900 (has links)
Diss.--Universität Erlangen - Nürnberg, 2005. / Bibliogr. p. 209-222.
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Lucien Lévy-Bruhl : entre philosophie et anthropologie, contradiction et participation /Keck, Frédéric. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Philosophie--Lille 3, 2003. / Bibliogr. p. 257-270. L'ISSN exact est : 1292-430X.
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