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Faire jardin à la française : l'instauration du discours analytique chez Jacques Lacan

Pelletier, Étienne 12 1900 (has links)
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Les implications normatives de la conceptualisation de l'anorexia nervosa

Sills-Néron, Maude 02 1900 (has links)
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Constructivisme moral : la question de l’objectivité des faits moraux

Soucy, Guillaume 01 1900 (has links)
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L'institution policière et la notion d'égale protection du citoyen

Belzile, Frédéric 04 1900 (has links)
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Philosophie de la conscience : libre arbitre, improvisation musicale et neurosciences

Noël-Guéry, Alix 05 1900 (has links)
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Se convertir à l'épicurisme : ou comment devenir pieux

Gauvreau, Olivier 08 1900 (has links)
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Les injustices épistémiques en démocratie : comment nuisent-elles aux objectifs de justice et d’inclusion?

Dick, Geneviève 02 1900 (has links)
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L'imaginaire de l'arbre dans le Zhuangzi

Avarguès, Marion 05 1900 (has links)
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Philosophie du point de vue au cinéma : Gilles Deleuze et le renversement des notions d'objectivité et de subjectivité

Paquin, Clyde 08 1900 (has links)
Ce mémoire aborde la question du point de vue dans la philosophie du cinéma de Gilles Deleuze. Dans Cinéma 1 : L’image-mouvement, en reprenant les définitions de l’objectivité et de la subjectivité de Bergson, Deleuze effectue comme une espèce de « renversement » de ce qu’on entend communément au cinéma en ces termes. Cette étude vise à comprendre ce renversement. Nous voyons d’abord que Deleuze rejette les conceptions narratives du point de vue puisqu’elles ne donnent pas à l’image la primauté ontologique. Nous exposons de quelle façon Deleuze retourne Bergson contre lui-même en accordant à la perception cinématographique un degré d’objectivité supérieur à la perception naturelle, et nous demandons ensuite comment Deleuze pourrait concevoir l’expérience du spectateur. En adressant les notions d’objectivité et de subjectivité du 5e chapitre de L’image-mouvement, nous décrivons le processus à travers lequel Deleuze en arrive à reprendre les définitions de Bergson, puis de quelle façon se produit le renversement explicite. Nous découvrons à ce stade que, suivant l’influence de Vertov, c’est par un « œil non-humain » que s’effectue le renversement. Cela nous mène au passage entre l’image-mouvement et l’image-temps, où nous trouvons que la notion de point de vue a subi une sorte de « réflexion ». Dans un engrenage composite avec les mouvements aberrants, le point de vue se révèle être un élément important de la transition entre les deux régimes d’images. Nous rejoignons ensuite l’absolu de Bergson, la « durée » de l’image-temps, qui vient à signifier le dépassement même de la notion de point de vue. Nous remarquons plus généralement que nos conclusions ont en commun une entreprise sous-jacente de désubjectivation, qui traverse une grande partie de la philosophie deleuzienne. Nous en venons enfin au constat selon lequel le point de vue chez Deleuze est un élément crucial de son propre dépassement. / This thesis addresses the question of the point of view in the philosophy of the cinema of Gilles Deleuze. In Cinema 1: The Movement-Image, taking Bergson’s definitions of objectivity and subjectivity, Deleuze performs a kind of “reversal” of what is commonly understood in cinema in these terms. This study aims to understand this reversal. We first see that Deleuze rejects the narrative conceptions of the point of view since they do not give the image ontological primacy. We show how Deleuze turns Bergson against himself by attributing cinematographic perception a degree of objectivity superior to natural perception, and then see how Deleuze could conceive the spectator’s experience. In discussing the notions of objectivity and subjectivity of the 5th chapter of The Movement-Image, we describe the process through which Deleuze arrives at Bergson’s definitions, and then how the explicit reversal takes place. We discover at this stage that, following the influence of Vertov, it is through a “non-human eye” that the reversal occurs. This leads us to the transition from the movement-image to the time-image, where we find that the notion of point of view has undergone a kind of “reflection”. In a composite assembly with aberrant movements, the point of view proves to be an important element of the transition between the two regimes of images. We then reach the absolute of Bergson, the “durée” of the time-image, which comes to signify the very surpassing of the notion of point of view. We observe more generally that our conclusions share an underlying process of desubjectivization, which appears across much of the Deleuzian philosophy. Finally, we come to the conclusion that, for Deleuze, the point of view is a crucial element of its own overcoming.
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Système de la nature et connaissance historique à l’âge classique : autour de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert

Chabout-Combaz, Babette 07 1900 (has links)
Ce mémoire propose d’explorer trois « expérience de pensée » décrites dans les œuvres de Diderot, en particulier dans la Promenade du sceptique, l’Encyclopédie et le Rêve de D’Alembert, qui laissent entrevoir par leur forme même l’image de l’activité de la pensée. Le but de cette recherche est de tester la possibilité d’une connaissance historique (prise au sens large) au travers de l’expérience de sens que constituent ces œuvres de Diderot conçues comme « fictions », dans le statut ontologique des objets engagés dans l’expérience et la fonction de l’histoire dans ces expériences. La première partie présente une nature fixe et désordonnée, de laquelle l’observateur fait une expérience spatiale et temporelle dont il rend compte dans un discours analogique qui l’interprète, c’est-à-dire la calque. Diderot critique ainsi le cogito de Descartes, uniquement tourné vers le présent de l’énonciation. L’histoire, comme genre littéraire, est pratiquée de manière subversive pour critiquer l’érudition. La deuxième partie présente la complexité de la structure de l’Encyclopédie et son mode de fonctionnement interne qui rend compte d’une conception historicisée de l’expérience (par accumulation de données et redéfinition processuelle des frontières de la connaissance). L’ouvrage a un rapport ambigu avec l’histoire et plusieurs pratiques historiennes se côtoient. La troisième partie, quant à elle, présente une forme de connaissance historique interne à l’expérience du soi dans la mémoire dont il est constitué et fait signe vers une « métaphysique » de la poésie, conçue dans sa possibilité d’accès à la pensée des liaisons nécessaires du monde. / The purpose of this research is to explore three « experiences of thought » described in Diderot’s oeuvres, in particular in the Promenade du sceptique, the Encyclopédie and the Rêve de D’Alembert, each of which reveal in themselves the image of thought’s activity. It proposes to elucidate a kind of historical knowledge (of history in general) by examining the experience of meaning that constitutes these works of “fiction”, in which one uncovers the ontological status for objects supplied by experience, as well as the role that history plays in these experiences. The first chapter presents nature as both a fixed and disordered, something which the observer interprets and even outlines via an analogical narrative. Diderot also criticizes Descartes’ cogito, which is orientated in particular towards to the present, or the moment of enunciation. History, as a literary genre, is practiced subversively and aimed at criticizing intellectual erudition. The second chapter deals with the complexity of the structure of the Encyclopédie as well as its internal operation, which presents a historicist conception of experience in and through the accumulation of facts and successive redefinitions of the limits of knowledge. His work as a whole has an ambiguous relationship with history and entails several historical practices. The third chapter explicates a form of historical knowledge internal to the experience of the self in the memory that constitutes it, and points to a “metaphysics” of poetry. This poetry opens up the possibility of thinking the necessary relations that make up the world.

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