• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 11
  • 1
  • Tagged with
  • 12
  • 12
  • 12
  • 11
  • 11
  • 8
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Les protestants évangéliques et leurs alliés aux Etats-Unis : quelle influence sur la politique étrangère américaine ? / Evangelicals and their allies in United States : how influent are they over American foreign policy?

Rabner, Joëlle 29 September 2014 (has links)
Quelle est l’influence du protestantisme évangélique américain, acteur non étatique -Et transnational en pleine expansion- sur la politique étrangère américaine? La constitution des protestants évangéliques en force de pression politique, à l’initiative de certains pasteurs évangéliques, remonte au début des années 70, peu après le passage du Civil Rights Act. Les protestants évangéliques traditionnellement acquis à la cause démocrate, ont alors choisi d’accorder leurs voix au camp républicain. Si R Reagan, proche des néo-Conservateurs, leur a entre-Ouvert les portes de la Maison Blanche, George W. Bush sera le président qui gouvernera en tenant compte de considérations morales et religieuses chères aux protestants évangéliques. Le vote évangélique est ainsi très disputé lors des échéances électorales. En quelques décennies, les protestants évangéliques ont acquis une place de choix dans la politique américaine nouant des alliances fructueuses avec les néo- conservateurs ainsi qu’avec le lobby pro-Israélien, tous les deux à la manœuvre en ce qui concerne la définition des politiques. Au niveau international, les protestants évangéliques ainsi que leurs alliés néo-Conservateurs défendent d’une même voix Israël. Si les néo-Conservateurs et le lobby pro-Israélien définissent une politique commune, les protestants évangéliques mobilisent leur électorat. L’alliance est ainsi très efficace ce dont atteste entre autres l’adoption de la loi International Religious Freedom Act ( Irfa). / How influent is the evangelical protestantism over american foreign policy? Evangelicals have established a lobby, in behalf of some well known evangelical pastors, not long after the enactment of the Civil Rights Act at the beginning of the seventies. Evangelicals traditionally more supportive of the democrats, chose therefore to give their votes to the republican party. Ronald Reagan, in close partnership with the neoconservatives, opened a space to the evangelicals while G.W. Bush while ruling the country, took into account their moral and religious considerations. Evangelical vote is a real issue for both parties in an election time. In the last decades, evangelicals have acquired an influent position in American politics along with their close allies, the neo-Conservatives and the Israël lobby, both of them defining a shared policy. On an international level, evangelicals along with neo-Conservatives are harsh defenders of Israel. Their partnership proved to be efficient, particularly concerning the enactment of the law International Religious Freedom Act ( Irfa) concerning religious freedom worldwide.
2

La politique étrangère des États-Unis à l'égard de l'Iran de la candidature à la présidence de Barack Obama

Millette, Charles-Antoine January 2012 (has links)
Ce mémoire propose l'analyse de l'approche du candidat présidentiel Barack Obama à l'égard du dossier nucléaire iranien. Plus particulièrement, nous cherchons à déterminer s'il y a cohérence entre les promesses électorales de Barack Obama concernant l'Iran et la politique étrangère des États-Unis à l'égard de l'Iran mise en oeuvre durant la première moitié de son mandat à la Maison-Blanche (2009-2011). Menace à la sécurité nationale étatsunienne, l'Iran représente un enjeu capital lors de la campagne présidentielle américaine de 2008 en raison de son programme nucléaire. Contrairement au candidat républicain John McCain, le candidat démocrate Barack Obama préconise le dialogue et le multilatéralisme. Malgré l'impossibilité pour les Américains de rétablir les relations diplomatiques avec les Iraniens, en rupture depuis la crise des otages de 1980, il tend la main à cet ennemi des États-Unis. Durant la campagne, Obama s'est engagé à prévenir l'acquisition de l'arme nucléaire par l'Iran, principalement en conduisant une diplomatie agressive sans toutefois écarter l'option militaire.Ce mémoire conclut qu'il y a bel et bien cohérence entre les promesses électorales et la politique étrangère du président Obama, car celui-ci a respecté la presque totalité de ses engagements électoraux concernant l'Iran. Dans les deux premières années de son mandat, il s'est par exemple adressé directement aux leaders iraniens dans l'espoir d'ouvrir un dialogue avec ceux-ci, il a révisé la posture nucléaire américaine et a conclut [i.e. conclu] un nouveau traité avec la Russie en matière de désarmement nucléaire, et il a été en mesure de mobiliser une coalition internationale afin d'imposer de nouvelles sanctions au régime iranien.
3

Propagande, information et diplomatie publique pendant la guerre froide : les stratégies de l'USIA en Europe d'Eisenhower à Reagan / Propaganda, Information and Public Diplomacy : The Strategies of the United States Information Agency in Europe from Eisenhower to Reagan

Quessard-Salvaing, Maud 19 November 2009 (has links)
Pendant plus de quarante cinq ans l’atout maître de la diplomatie publique américaine a été l’Agence d’information des Etats-Unis (l’USIA, United States Information Agency), établie en 1953 à l’apogée de la guerre froide pour répondre à la propagande soviétique anti-américaine et coordonner les programmes culturels et d’information à l’étranger. En privilégiant une approche comparative, notre thèse se propose d’apporter un éclairage sur le rôle longtemps ignoré de la diplomatie publique au sein de la machine de la politique étrangère américaine en se concentrant sur trois Administrations présidentielles, Eisenhower, Kennedy et Reagan qui se distinguent comme des périodes charnières. Dans ce cadre, notre étude tente de déterminer le rôle qu’ont pu jouer les stratégies de la diplomatie publique américaine élaborées depuis Washington telles qu’elles furent pratiquées par les agents des services d’information (USIS) dans les pays de « la zone cruciale » (France, Italie et Allemagne) en Europe de l’Ouest, ou dans les nations captives. Notre thèse démontre que des premières campagnes de propagande des combattants de la guerre psychologique, dans les années 1950, aux émissions high-tech des champions de l’information et de la désinformation des années 1980, l’USIA fut au cœur des stratégies de persuasion de la puissance américaine en Europe. Au regard des succès et des échecs des activités officielles et officieuses pour lesquelles l’USIA a œuvré, nous abordons la délicate question de la réception des programmes d’information officiels et de l’efficacité des stratégies d’influence américaines dans les batailles européennes pour la liberté. / For 46 years, the centrepiece of U.S. public diplomacy was the United States Information Agency (USIA) established in 1953 at the height of the Cold War to counter anti-American propaganda from the Soviet Union and coordinate foreign information dissemination programs. The purpose of my dissertation - a comparative study - is to try to shed a new light on the too long neglected role of public diplomacy in the American foreign policy process over the course of three key presidential Administrations- Eisenhower, Kennedy and Reagan. Therefore in the course of my dissertation, through field centered case studies, I investigate the strategies set up by the USIA in Washington and by the USIS [United States Information Services] in the field for “the crucial zone” (defined as France, Italy and Germany), and for key “captive nations” (such as Poland, Romania, Czechoslovakia and Hungary). In my dissertation I argue that since the first propag! anda campaigns of the cold warriors to the high-tech broadcastings of the champions of information and disinformation, USIA was at the core of the American strategies of persuasion and power in Europe. Indeed, in the field, between 1953 and 1991 the psychological warfare between the US and the USSR turned into a cultural Cold War and a war of information in which both public and private networks were involved. Considering the success and failures of the covert and overt activities of the USIA I may tackle the tricky issue of the effectiveness of American strategies of influence in the European battle for freedom.
4

La politique de l’administration républicaine du Président Bush au Moyen-Orient, à travers les conceptions et les réseaux des hommes politiques, des entrepreneurs, et des militaires [2000-2008] / The Policy of President Bush’s Republican Administration in the Middle East

Karoui, Hichem 16 June 2009 (has links)
Pendant huit ans [de 2000 à 2008], on nous a dit et répété que tout ce que l’administration Bush a prétendu et fait [de la lutte contre « l’axe du mal » à la campagne anti-terroriste internationale, et de la guerre préemptive ou préventive à la « démocratisation » du Moyen-Orient par tous les moyens…etc.,] trouve sa source dans l’idéologie morale des néoconservateurs qui cherchent à « rendre le monde meilleur », et à « moraliser » la vie politique nationale et internationale, notamment par une rénovation des valeurs [conservatrices] américaines et par un engagement plus actif vis-à-vis des problèmes internationaux.Mais à la lumière des constats que nous avons été amenés à faire lors de notre investigation, il devient clair que : contrairement à ce qui est largement répandu, ce n’est ni l’idéologie morale des néoconservateurs ni le bloc religieux et messianique allié du Président Bush qui guident son action au Moyen-Orient et ailleurs, mais l’économie. En effet, les clés de la politique Bush au Moyen-Orient ne sont idéologiques qu’en apparence. En réalité, elles sont à découvrir dans les intérêts économiques et financiers que cette administration a cherché à défendre, à protéger, et à acquérir. Ces clés sont à trouver dans l’argent des contributions qui financent les campagnes électorales. Elles sont également celles du grand Capital, de l’Amérique des corporations industrielles et financières, des multinationales, des lobbies et autres groupes de pression qui dominent la vie politique aux Etats-Unis et influencent sa politique au Moyen-Orient jusqu’à la colorer de leurs propres couleurs. / For eight years [from 2000 through 2008], we were told repeatedly that what the Bush administration did and claimed [from the fight against the “axis of evil” to the campaign against international terrorism, and from the pre-emptive or preventive war to the “democratization” of the Middle East by any means, etc.], has its roots in the Neoconservative moral ideology seeking to “make the world better”, and “moralize” national and international politics, including a renewal of [conservative] American values and more an active commitment towards international issues. But in the light of the findings that we have been led to from our investigation, it becomes clear that contrary to what is widespread, it is neither moral ideology of the Neoconservatives nor the religious and messianic bloc allied to President Bush that guided his actions in the Middle East and elsewhere, but the economy. Indeed, the keys to the Bush policy in the ! Middle East are ideological only in appearance. In fact, they are to be discovered in the economic and financial interests that the administration has sought to defend, protect and acquire. These keys are to be found in money contributions that finance political campaigns. They are also those of big business, the American industrial and financial corporations, multinationals, lobbies and other pressure groups that dominate political life in the United States and the influence they exert on the Middle East policy.
5

Isolement du secrétaire d’État Colin Powell : regard sur les dynamiques de groupes au sein du cabinet de guerre de George W. Bush (2000-2004)

Darveau Routhier, Florence January 2017 (has links)
Ce mémoire se penche sur les raisons ayant mené à l’isolement du secrétaire d’État Colin Powell au sein du processus décisionnel de politique étrangère de l’administration de George W. Bush entre 2000 et 2004. Plus précisément, cette recherche mobilise le concept de dynamiques de groupes afin d’expliquer l’isolement de Powell dans le processus décisionnel ayant mené aux interventions en Afghanistan (2001) et en Irak (2003). Ce mémoire se veut une contribution à la littérature sur le processus décisionnel de politique étrangère ayant mené à ces deux interventions militaires. Cette littérature est abondante et témoigne d’un consensus au sujet de l’isolement de Powell au sein de cette administration. Toutefois, aucune contribution, à notre connaissance, ne s’était concentrée jusqu’ici à fournir une explication concernant cet isolement. Dans un premier temps, ce mémoire démontre que l’isolement de Powell ne peut être simplement attribué à la nature de la fonction qu’il occupait au sein de l’administration Bush. Par la description des dynamiques de groupes au sein du cabinet de guerre, il établit qu’une série d’indicateurs cognitifs et bureaucratiques permettent plutôt d’expliquer, du moins en partie, cet isolement. La présence d’un sous-groupe décisionnel déterminé utilisant des manœuvres bureaucratiques afin de marginaliser Powell, l’omniprésence de l’idéologie néoconservatrice et l’importante polarisation au sein du cabinet de guerre ainsi que la distribution inégales des ressources bureaucratiques sont des facteurs explicatifs développés dans ce mémoire. / Abstract: This master thesis focuses on the factors that led to the marginalization of the Secretary of State Colin Powell inside the foreign policy decision-making process of the George W. Bush administration (2000-2004). More precisely, this research uses the concept of small group dynamics to explain Powell’s isolation in the decision-making process that led to military interventions in Afghanistan (2001) and Iraq (2003). This thesis is a contribution to the literature relating to the decision-making process that led to those military interventions. This literature is plenteous and testifies to the consensus about Powell’s marginalization inside this administration. So far, to our knowledge, no contribution has focused on providing an explanation for this marginalization. In the first place, this research reveals that Powell’s marginalization cannot be attributed to the function he occupied in the Bush administration. By describing the small group dynamics within the war cabinet, it establishes that a series of cognitive and bureaucratic indicators are more explanatory of this isolation. The presence of a determined subgroup using bureaucratic strategies to marginalize Powell, the omnipresence of neoconservative ideology that led to important polarization within the war cabinet, and the unequal distribution of bureaucratic resources are some explanatory factors developed in this research.
6

Est-il l’un des leurs ? Francis Fukuyama et le néoconservatisme américain / Is He One of Them? Francis Fukuyama and American Neoconservatism

Bourgois, Pierre 28 November 2018 (has links)
Francis Fukuyama s’est fait connaître aux yeux du grand public à la fin des années 1980 et au début des années 1990, suite à sa célèbre thèse controversée de « la fin de l’histoire ». Érigé comme un parfait défenseur du modèle politique et économique libéral occidental, le politologue fut régulièrement associé au néoconservatisme américain, cela jusqu’à sa rupture clairement affichée au milieu des années 2000. Si Fukuyama dénonce alors la vision « agressive » de la génération post-Guerre froide du mouvement en politique étrangère, on s’aperçoit par ailleurs également, avant cette période, de l’existence de certaines divergences avec les premiers néoconservateurs, notamment en politique intérieure. Dès lors, on peut s’interroger sur la place réelle qu’occupe l’auteur de « la fin de l’histoire » au sein du néoconservatisme américain. À ce titre, nous défendons la thèse selon laquelle l’œuvre fukuyamienne, loin d’être marginale, incarne au contraire pleinement le socle intellectuel du néoconservatisme. Preuve, au-delà de la diversité indéniable, d’une unité idéologique plus large au sein du courant. / Francis Fukuyama became known in the eyes of the general public in the late 1980s and early 1990s, following his famous controversial “End of History” thesis. Perceived as a perfect defender of the Western liberal political and economic model, the political scientist was regularly associated with American neoconservatism, until its break clearly displayed in the mid-2000s. If Fukuyama denounces the “aggressive” vision of the post-Cold War generation in foreign policy, we also notice, before this period, the existence of some divergences with the first neoconservatives, particularly in domestic policy. Consequently, one may question the real place occupied by the author of “The End of History” in American neoconservatism. As such, we defend the thesis that the Fukuyamian work, far from being marginal, fully embodies the intellectual base of neoconservatism. This is proof, beyond the undeniable diversity, of a broader ideological unity within the current.
7

La mission évangélique américaine et le monde arabo-musulman : une histoire géopolitique de la rencontre islamo-chrétienne du XIXe siècle à nos jours / The American evangelical mission and the Arab-Muslim world : a geopolitical history of the Islamo-Christian encounter, from the 19th century to the present

Hage-Ali, Chady 22 September 2017 (has links)
L’histoire de la mission évangélique américaine et de son influence sur la politique américaine au Moyen-Orient depuis le début du XIXe siècle demeure largement méconnue du grand public. Pourtant, les missionnaires ont fortement contribué à l’ouverture de leur pays au monde et à son positionnement comme acteur majeur de la scène internationale. Dans les provinces ottomanes, leurs apports en matière d’éducation, de santé, de culture et d’action sociale furent souvent plus significatifs que leurs résultats en matière d’évangélisation. En partant du postulat que l’influence des missions chrétiennes sur les choix politiques reste relative au cours de l’histoire, notre thèse entend distinguer la responsabilité des missionnaires et des leaders religieux du rôle joué par Washington dans l’apparition des crises et des conflits qui secouent le Moyen-Orient et le monde arabo-musulman. Elle examine les causes de l’échec à évangéliser massivement et à implanter les valeurs laïques et démocratiques. Elle souligne également les ambivalences et les divergences qui traversent le protestantisme américain, les attitudes, les représentations et les pratiques des évangéliques et du gouvernement américain à l’égard de l’islam, d’Israël, des nations arabes et musulmanes. / The history of the American Evangelical Mission and its influence on American policy in the Middle East, since the beginning of the nineteenth century, remains largely unknown to the general public. However, protestant missionaries have greatly contributed to the opening of their country to the world and to its status as a major player on the international scene. In the Ottoman provinces, their contributions to education, health, culture and social action were often more significant than their results in terms of evangelization. On the assumption that the influence of Christian missions on political choices remains relative in the course of history, our thesis seeks to distinguish the responsibility of missionaries from the political role played by Washington in the emergence of crises and conflicts that shake up the Middle East and the Arab-Muslim World. It examines the reasons for the failure of massive evangelization and implementation of democratic and secular values. It also highlights the ambivalences and divergences that cross American Protestantism, the attitudes, representations and practices of Evangelicals and American government towards Islam, Israel, the Arab and Muslim nations.
8

Le Code Opérationnel : la transition unilatéraliste à multilatéraliste dans la politique étrangère de Bush et d'Obama

Lalancette, Reane 09 1900 (has links)
Les approches psychologiques connaissent un essor dans l’étude des relations internationales. Elles sont essentielles dans l’étude du processus cognitif des leaders, qui est central à la prise de décisions en politique étrangère. Notre recherche porte sur l’axe d’engagement choisi par les États-Unis envers les alliés, de l’unilatéralisme au multilatéralisme, dans l’adoption des politiques étrangères et s’il est déterminé par la vision du monde des présidents. Parmi les politiques étrangères américaines adoptées entre 2001 et 2013, nous retenons les plus significatives en termes de multilatéralisme, afin de construire la variable dépendante. Le cadre théorique utilisé, le code opérationnel, propose l’analyse du schéma cognitif de leaders à l’aide d’une étude de contenu de leurs écrits et de leurs discours. Cette théorie énonce que la vision du monde inhérente à un leader influence le comportement et les décisions du gouvernement dans les relations internationales. Cette étude examinera les discours relatifs à la politique étrangère américaine prononcés lors des mandats de George W. Bush et lors du premier mandat de Barack Obama en tentant de comparer empiriquement les résultats de leur code opérationnel à leur degré de multilatéralisme avéré dans leurs décisions. Nos résultats ne montrent pas de liens directs entre la vision du monde des présidents et l’axe d’engagement adopté en politique extérieure. Nous en concluons que la méthode d’analyse quantitative ne nous permet pas de déceler de changements concrets entre les mandats des présidents. Nous proposons alors d'autres explications concurrentes comme la théorie des élites ou l’ordre international libéral qui pourraient mieux répondre à notre problématique. / Cognitive theories are increasingly recognized in international relations studies. They are necessary in the study of a leader's cognitive process which is central to foreign policy decision-making. This study focuses on the axis of commitment the United States has adopted towards allies, from unilateralist to multilateralist, and analyzes if it is influenced by the president’s worldview. American foreign policies adopted between 2001-2013 are selected according to their relevance to multilateralism to construct the dependent variable. Our theoretical framework is the operational code, which allows an evaluation of the cognitive scheme according to public and private content discourse analysis. This theory suggests that the president’s worldview has an impact on government's behaviour and decisions making within international relations. This research is based on George W. Bush’s foreign policy speeches during his two mandates and on Barack Obama’s first mandate speeches, seeking to empirically compare their operational codes to the levels of multilateralism resulting from their decisions. Our findings cannot establish a direct link between the president's worldview and their position on the foreign policy commitment axis. We conclude that our quantitative analysis method is not adapted to illustrate a tangible change between the president's mandates. Therefore, we suggest alternative explanations such as the elite theory and the liberal international order which could better answer our research question.
9

Politiques canadienne et soviétique lors de la seconde crise de Berlin 1958-1961

Rheault-Campeau, Alexis 04 1900 (has links)
La seconde crise de Berlin (1958-1961) est un évènement majeur de la guerre froide. L'hypothèse de notre recherche remet en question le rôle du Canada et les perceptions négatives de l'Occident envers l'URSS durant cette crise. La recherche se divise en trois volets : premièrement, une revue de l'historiographie de la politique canadienne; deuxièmement, une présentation de la chronologie des évènements de la crise de Berlin, l'importance de la diplomatie multilatérale canadienne et la politique nucléaire de Diefenbaker; enfin, un examen de la politique étrangère soviétique. À partir de sources primaires et d'un bilan historiographique,il fut démontré que, durant la crise de Berlin, le Canada a réussi à influencer l'OTAN et à ménager les gouvernements américains et soviétiques. Quant à l'URSS, contrairement à l'image négative que l'Occident en avait, celle-ci a manifesté durant cette crise des intentions pacifiques envers l'Occident, contredisant les interprétations orthodoxes de la guerre froide. / The second Berlin crisis(1958-1961)is a major event of the Cold War. The hypothesis of our research revises the role of Canada and the negative perception of the occidental countries toward USSR during this crisis. This study is divided in three parts : firstly, a historiographical review of the canadian policy toward NATO; secondly, a presentation of the events in regard to the implication of the canadian governement during the Berlin crisis, the importance of the the multilateral canadian diplomacy and the nuclear policy during the Diefenbaker's governement; at last, an examination of the soviet foreign policy. With the help of canadian primary sources, it will be demonstrated firstly that : while the tensions are to their peaks, Canada succeeded to influence NATO and american policy and tried to spare both soviet and american governements. Secondly, soviet and east-german archives showed that the soviet governement manifested during this crisis his pacific intentions, contradicting the most often supported orthodox interpretation of the Cold War.
10

Politiques canadienne et soviétique lors de la seconde crise de Berlin 1958-1961

Rheault-Campeau, Alexis 04 1900 (has links)
La seconde crise de Berlin (1958-1961) est un évènement majeur de la guerre froide. L'hypothèse de notre recherche remet en question le rôle du Canada et les perceptions négatives de l'Occident envers l'URSS durant cette crise. La recherche se divise en trois volets : premièrement, une revue de l'historiographie de la politique canadienne; deuxièmement, une présentation de la chronologie des évènements de la crise de Berlin, l'importance de la diplomatie multilatérale canadienne et la politique nucléaire de Diefenbaker; enfin, un examen de la politique étrangère soviétique. À partir de sources primaires et d'un bilan historiographique,il fut démontré que, durant la crise de Berlin, le Canada a réussi à influencer l'OTAN et à ménager les gouvernements américains et soviétiques. Quant à l'URSS, contrairement à l'image négative que l'Occident en avait, celle-ci a manifesté durant cette crise des intentions pacifiques envers l'Occident, contredisant les interprétations orthodoxes de la guerre froide. / The second Berlin crisis(1958-1961)is a major event of the Cold War. The hypothesis of our research revises the role of Canada and the negative perception of the occidental countries toward USSR during this crisis. This study is divided in three parts : firstly, a historiographical review of the canadian policy toward NATO; secondly, a presentation of the events in regard to the implication of the canadian governement during the Berlin crisis, the importance of the the multilateral canadian diplomacy and the nuclear policy during the Diefenbaker's governement; at last, an examination of the soviet foreign policy. With the help of canadian primary sources, it will be demonstrated firstly that : while the tensions are to their peaks, Canada succeeded to influence NATO and american policy and tried to spare both soviet and american governements. Secondly, soviet and east-german archives showed that the soviet governement manifested during this crisis his pacific intentions, contradicting the most often supported orthodox interpretation of the Cold War.

Page generated in 0.117 seconds