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Démocratie et environnement : une comparaison des procédures d'évaluation des impacts environnementaux dans 15 pays de l'OCDE

Cantin, Bernard January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Evaluating representation from citizens’ perspective : concepts of congruence, context and Europeans’ representational judgments / L’évaluation de la représentation politique du point de vue citoyen : congruence, contexte et jugements sur la représentation en Europe

Dageförde, Mirjam 03 November 2017 (has links)
Dans cette thèse, nous proposons d’évaluer la représentation politique en Europe, tout en insistant sur la nécessité de considérer le point de vue individuel du citoyen. Nous développons ainsi une perspective nouvelle et originale sur la congruence entre les citoyens et les partis politiques. De plus, nous analysons la manière dont le système partisan affecte cette congruence au niveau micro et macro et, par conséquent, la manière dont celle-ci influence la satisfaction des citoyens envers le système politique. Nous nous appuyons tout d’abord sur le concept de représentation chez Pitkin, ainsi que les théories récentes sur le rôle des représentants. Ce faisant, l’importance des partis politiques, en particulier dans le contexte européen, est rappelée. Nous abordons ensuite la recherche sur l’opinion publique et la façon dont cette dernière analyse la relation entre les citoyens et l’Etat. Dans un troisième temps, nous revenons sur les approches qui combinent la recherche sur les partis politiques et l’opinion publique, en nous concentrant en particulier sur le concept de congruence. Toutefois, ces recherches présentent des lacunes, auxquelles nous proposons de remédier en développant une nouvelle approche de la relation entre les citoyens et les partis politiques. A partir d’une compréhension normative différenciée de la qualité de la représentation, des nouvelles normes pour juger la représentation du point de vue des citoyens sont présentées et de nouveaux concepts de congruence au niveau micro sont développés. Ce faisant, nous élaborons une typologie innovante de la congruence entre les citoyens et les partis politiques, reposant sur neuf concepts différents, introduits à travers (1) l'identification des critères d'évaluation de la représentation et (2) la formulation des normes pour l'évaluation de la représentation. Ces normes sont alors concrétisées en des indicateurs empiriques. Nous commençons par décrire, dans une optique comparative, la congruence entre les États membres de l'UE pour l'année 2014. Nous explorons ensuite la relation entre le système partisan et la congruence au niveau micro et macro, mettant ainsi en lumière l’impact du système partisan sur la congruence en fonction des divers concepts utilisés. Au niveau micro, l’analyse montre que la relation entre un concept de la congruence et le système partisan est stable et ne diffère pas, quel que soit l’enjeu. Au niveau macro, en revanche, les effets ne sont pas systématiques, mais varient en fonction des enjeux. Ces résultats éclairent sous un nouveau jour la relation entre le système partisan et la représentation, et contribuent ainsi à sa meilleure compréhension. Enfin, les effets de la congruence sont analysés à l'aide de modèles multi-niveaux, de façon à démontrer comment la congruence influence les jugements des citoyens sur la représentation politique. Il est démontré qu’au niveau micro, cette influence est systématique ; toutefois, l’intensité de cet effet varie selon l’enjeu. De ce point de vue, les enjeux qui importent le plus sont l’intégration européenne, la redistribution et la politique fiscale. En conclusion, notre recherche enrichit le débat théorique sur les partis politiques ; nos résultats permettent une meilleure compréhension de la représentation et expliquent la présumée « crise de la représentation », ouvrant de nouvelles pistes de recherches pour le futur. / The thesis aims at evaluating representation in Europe while emphasizing the need to consider the individual citizen’s perspective. It develops a new and original perspective on how congruence between citizens and parties affects systemic satisfaction. It draws on Pitkin’s theory on representation and the most recent theoretical advancements which focus mainly on representatives. The thesis highlights the important role of political parties, especially in the European context. After elaborating the “supply” side of the representational link (political parties), it demonstrates how the relation of citizens and the state is analyzed in public opinion research – the “demand”-side. In a next step, the dissertation refers to approaches which combine the supply and the demand-side of the representational link. In particular, it focuses on the concept of congruence. Building up on these lines in research, the thesis reveals gaps in existing research and develops an innovative insight into the representational link. Based on a differentiated normative understanding of “good” representation, the dissertation develops new standards for judging representation from citizens’ perspective. It develops new conceptualizations of congruence on the micro-level and suggests a typology of congruence between citizens and parliamentary parties, including micro- and macro-measures, resulting in nine different conceptualizations. The new concepts are introduced through (1) identifying the criteria for evaluating representation that every perspective suggests and (2) the formulation of the implicit standard for evaluating representation. These standards are transformed into empirical indicators. Based on this new, nuanced understanding of “good” representation, the dissertation explains how the characteristics of party-systems impact on different types of congruence. Further, the thesis contributes to the explanation of citizens’ political attitudes. It formulates nuanced assumptions about the relation between congruence and perceived responsiveness, yet highlighting the need to distinguish between an aggregate and an individual perspective on representation. The empirical analysis is based on an own original dataset which integrates EES-and CHES-data. First, the descriptive part of the empirical analysis compares congruence within the EU-member-states for the year 2014. We explore congruence on the micro- and on the macro-level with reference to multiple issue-dimensions that relate to societal cleavages or dimensions on which parties compete. The empirical analysis reveals a differentiated judgment about the functioning of representation in the EU- member-states, depending on the respective understanding of “good” representation. Second, we explain the relation of party-systems and congruence and provide greater insight into the relation of context and the quality of representation. The study refers – again – to multiple issue-dimensions and systematically compares the results of the dissertation with findings offered by the conventional macro-perspective on congruence. Third, the thesis tests how congruence influences citizens’ representational judgments via multi-level models. The analysis accounts for the nuanced conceptualization of congruence and is conducted for multiple issue-dimensions. The results provide new insights into the relevance of different standards for evaluating representation for citizen’s attitudes and accounts for differences between issue-dimensions. Concluding, the thesis illustrates how these results impact on our understanding of good representation, relates the findings to the presumed “crisis of representation” and highlights how this dissertation might inspire future research.
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Organisation partisane et exercice du pouvoir dans la Russie de Poutine : les paradoxes de la fabrication de Russie Unie (2001-2012) / Partisan organization and exercise of power in Putin's Russia : the paradoxes of the fabric of United Russia (2001-2012)

Fauconnier, Clémentine 22 January 2015 (has links)
Cette thèse vise à interroger les enjeux et les modalités de la construction d’une majorité politique en Russie à partir des années 2000, après une décennie marquée par la faiblesse de l’exécutif central et l’éclatement de l’offre politique. Créé en 2001 pour soutenir Vladimir Poutine, la situation du parti politique Russie unie dans le paysage politique peut sembler paradoxale. Dominant à tous les échelons du pouvoir depuis 2003, il demeure néanmoins un instrument entre les mains des dirigeants de l’exécutif, sans réelle autonomie ou influence. Fort officiellement de 2 millions d’adhérents, Russie unie est peu ancré dans la société russe et compte très peu de militants. L’analyse de la tension créée entre la dynamique d’institutionnalisation du parti et, en même temps, son maintien sous le contrôle de l’Etat se présente comme un point d’entrée privilégié pour envisager, dans une perspective comparative, la production des mécanismes d’assujettissement d’une partie du personnel politique russe. Cela implique de s’intéresser à la mise en place et aux modalités concrètes de fonctionnement de Russie unie, d’observer les pratiques des acteurs engagés dans ces activités et de s’interroger sur les significations qu’ils leur donnent. Cette démarche suggère alors de montrer comment l’étude de ce processus spécifique de fabrication partisane est susceptible de nourrir une réflexion plus générale et comparative sur la façon dont les dynamiques de différenciation ou de rapprochement entre les partis et l’Etat contribuent à produire différentes formes d’investissements politiques. Pour cela l’étude des partis en tant qu’institution ainsi que de la sociologie historique comparative permet de montrer les tensions créées par le processus de différenciation sous contrôle de Russie unie et la façon dont celui-ci accompagne la mise en place de nouveaux mécanismes de domination. / This thesis aims to examine the issues and modalities of building a political majority in Russia from the 2000s, after a decade marked by the weakness of the Central Executive and party system fragmentation. Created in 2001 to support Vladimir Putin, the situation of the political party United Russia in the political landscape may seem paradoxical. Dominant at all levels of power since 2003, it still remains a tool in the hands of leaders of the Executive, without any real autonomy or influence. United Russia, including officially 2 million members, is not rooted in Russian society and has very few militants. The analysis of the tension between the dynamics of the party’s institutionalization and, at the same time, its maintaining under control of the State appears as a privileged entry point for analyzing, in a comparative perspective, the production of mechanisms of subjections of Russian elected officials. This implies to study the establishment of United Russia and its concrete functioning, the practices of the actors involved in these activities and the meaning they give to these practices. Thus this approach suggests to show how the study of this specific process of party construction is likely to feed a more general and comparative reflection on how the dynamics of differentiation or reconciliation between parties and the State contribute to produce various forms of political investments. For this purpose, studying the party as an institution as well as the comparative historical sociology can show the tensions created by the process of differentiation under the control of United Russia and also how it supports the establishment of new domination mechanisms.
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Fondements théoriques et origines de l’Union européenne : la récursivité de l’élargissement comme principe ordonnateur du modèle communautaire

Bélanger, Marie-Ève 14 January 2014 (has links)
Cette thèse suggère que l’avènement d’un discours proprement européen au milieu du XXe siècle a pour corollaire la genèse d’un espace dénationalisé : la communauté politique européenne. L’Union européenne est donc envisagée comme la performance et le produit de l’européanité. Définie comme « les Européens en train de parler Europe », l’européanité est l’acte de langage (Austin, 1970) qui associe le « nous » au territoire communautaire, suscitant ainsi les conditions de possibilité de son existence. Cas tout à fait particulier dans le monde interétatique contemporain, cet espace, fondé de manière intersubjective par les Européens en train de discuter collectivement des modalités du vivre ensemble, n’est pas délimité par la ligne de partage des souverainetés (Raffestin, 1986). À l’image d’une communauté européenne jamais stabilisée et existant toujours dans un devenir politique (Deleuze, 1975), le territoire européen est en constante expansion, systématiquement plus étendu dans le discours que dans ses frontières administratives temporaires. Depuis la Déclaration Schuman (1950) proclamant la communauté « ouverte à la participation des autres pays d’Europe » jusqu’aux négociations d’adhésion en cours avec les États de l’ex-Yougoslavie, l’européanité déborde littéralement des frontières étatiques. Ce surplus (Derrida 1979) est périodiquement cristallisé, mais jamais endigué, par l’élargissement. L’analyse synchronique du discours (Saussure, 1972) montre que plus l’européanité est partagée, plus elle crée de sens et plus elle s’étend de manière à la fois verticale (approfondissement) et horizontale (élargissement). Cet excédent permet la récursivité de l’élargissement pacifique des frontières de l’européanité, causant une rupture dans le cycle de la nécessité de répondre à la violence par la violence, caractéristique du fondement de l’État (Benjamin, 2012). La construction européenne est fondée dans la performance politique de la communauté européenne. L’ordre européen qui en découle repose sur la construction du premier « nous » politique moderne débarrassé de sa contrainte étatique. Cette recherche se veut une contribution à la réflexion sur l’élaboration d’une théorie fondamentale de l’UE. Grâce à l’étude approfondie des élargissements de l’espace politique européen entre 1972 et 2012, c’est un cadre pour l’étude de la nature de la construction européenne qui est développé à travers la démonstration que l’analyse du discours n’est pas un simple outil méthodologique, mais qu’elle constitue une véritable théorie de la construction du politique, et, partant, de l’intégration européenne.
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Fondements théoriques et origines de l’Union européenne : la récursivité de l’élargissement comme principe ordonnateur du modèle communautaire

Bélanger, Marie-Ève January 2014 (has links)
Cette thèse suggère que l’avènement d’un discours proprement européen au milieu du XXe siècle a pour corollaire la genèse d’un espace dénationalisé : la communauté politique européenne. L’Union européenne est donc envisagée comme la performance et le produit de l’européanité. Définie comme « les Européens en train de parler Europe », l’européanité est l’acte de langage (Austin, 1970) qui associe le « nous » au territoire communautaire, suscitant ainsi les conditions de possibilité de son existence. Cas tout à fait particulier dans le monde interétatique contemporain, cet espace, fondé de manière intersubjective par les Européens en train de discuter collectivement des modalités du vivre ensemble, n’est pas délimité par la ligne de partage des souverainetés (Raffestin, 1986). À l’image d’une communauté européenne jamais stabilisée et existant toujours dans un devenir politique (Deleuze, 1975), le territoire européen est en constante expansion, systématiquement plus étendu dans le discours que dans ses frontières administratives temporaires. Depuis la Déclaration Schuman (1950) proclamant la communauté « ouverte à la participation des autres pays d’Europe » jusqu’aux négociations d’adhésion en cours avec les États de l’ex-Yougoslavie, l’européanité déborde littéralement des frontières étatiques. Ce surplus (Derrida 1979) est périodiquement cristallisé, mais jamais endigué, par l’élargissement. L’analyse synchronique du discours (Saussure, 1972) montre que plus l’européanité est partagée, plus elle crée de sens et plus elle s’étend de manière à la fois verticale (approfondissement) et horizontale (élargissement). Cet excédent permet la récursivité de l’élargissement pacifique des frontières de l’européanité, causant une rupture dans le cycle de la nécessité de répondre à la violence par la violence, caractéristique du fondement de l’État (Benjamin, 2012). La construction européenne est fondée dans la performance politique de la communauté européenne. L’ordre européen qui en découle repose sur la construction du premier « nous » politique moderne débarrassé de sa contrainte étatique. Cette recherche se veut une contribution à la réflexion sur l’élaboration d’une théorie fondamentale de l’UE. Grâce à l’étude approfondie des élargissements de l’espace politique européen entre 1972 et 2012, c’est un cadre pour l’étude de la nature de la construction européenne qui est développé à travers la démonstration que l’analyse du discours n’est pas un simple outil méthodologique, mais qu’elle constitue une véritable théorie de la construction du politique, et, partant, de l’intégration européenne.
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Les législations en matière de naturalisation : Vecteur de sécuritisation des politiques d’immigration en Allemagne, aux États-Unis et en France / Legislation regarding Naturalization : Securitization’s vectors of immigration in France, Germany and the US

Perret, Sarah 20 November 2015 (has links)
L’évolution manifeste du traitement politique du phénomène migratoire laisse apparaître qu’immigration et intégration seront des enjeux majeurs dans la future politique mondiale. En effet, l’immigration contemporaine diffère par bien des aspects de celles constatées lors des siècles antérieurs, du fait qu’elle soit de plus en plus visible, "dramatique" et "dysfonctionnelle". Le caractère imprévisible et incontrôlable du phénomène bouleverse aujourd’hui les schèmes traditionnels de l’état westphalien, et nourrit des peurs au sein des sociétés occidentales pouvant être ainsi source de déstabilisation. On assiste alors à un basculement du traitement politique de l’enjeu migratoire dans le champ sécuritaire. Ole Wæver nous aide à comprendre ce processus à travers son concept de « sécuritisation », grâce auquel il explique l’existence actuelle d’un processus discursif conduisant un fait social, comme l’immigration, à devenir un enjeu de « sécurité sociétale ». Cependant, cette vision, trop linguistique, nous apparaît insuffisante pour comprendre la mise en pratique d’une telle construction. Ainsi, les outils sociologiques proposés par Pierre Bourdieu, et notamment ses travaux effectués sur le langage et le pouvoir symbolique, nous aident à ne plus considérer la sécuritisation comme un processus purement discursif, mais potentiellement législatif.Une étude à la fois comparative et qualitative des législations sur la naturalisation en Allemagne, aux États-Unis et en France, permet alors d’ouvrir la discussion sur le rôle des lois de naturalisation comme pratique sécuritaire dans le processus de sécuritisation de l’immigration. / The evident evolution of political treatment of migration reveals that immigration and integration are becoming major issues in the future world politics. Indeed, contemporary immigration differs in many aspects from those witnessed during previous centuries, because it became more visible, "dramatic" and "dysfunctional". Today, the unpredictable and uncontrollable characteristic of this phenomenon deeply affect the traditional patterns of the Westphalian state and feeds fears in Western societies that can act as destabilization sources. We are then witnessing a shift in the political treatment of the migratory issue within the field of security. Ole Wæver helps us to understand this process through his concept of "securitization", by which he explains the current existence of a discursive process leading to a social fact, such as immigration, to become an issue of "societal security". However, his vision seems too narrow to be a relevant analytical tool in its own right. Thus, the contribution of some sociological tools provided by Bourdieu helps us in considering the "securitization" as a process not anymore being only discursive, but also potentially legislative. The use of a study both comparative and qualitative of naturalization’s legislations in France, the United States and Germany, allows thus to open a discussion on the role of naturalization as a security practice in the "securitization" of immigration.
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Mouvements des femmes et changements des régimes genrés de représentation politique au Québec et en France, 1965-2004

Giraud, Isabelle January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le nationalisme de contestation Le rôle des mouvements nationalistes dans la construction politique des identités wallonne et québécoise en Belgique et au Canada

Traisnel, Christophe January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Towards a political economy of radical parties / Vers une économie politique des parties de droite radicale

Cavallaro, Matteo 05 December 2017 (has links)
Cette thèse porte sur les impacts réels et potentiels des partis de droite radicale (PDR) sur l'économie et évalue ces impacts - quantitativement et qualitativement - en considérant la politique économique et les performances économiques de 27 pays européens.Nous commençons par discuter les définitions de pdr (chapitre 1) et leur position sur les questions économiques (chapitre 2). Nous en déduisons une taxonomie des positions de ces partis sur les questions économiques et confirmons l'hétérogénéité entre les PDR sur ces questions. Le chapitre 3 résume la littérature sur les déterminants politiques de l'économie, dont nous tirons nos hypothèses. Le chapitre 4 teste ces hypothèses à l’aide d’économétrie sur des données de panel. Nous montrons que la présence de PDR semble avoir des effets sur l’économie mais différent en europe de l’est et de l’ouest. En europe de l'est, les scores électoraux des PDR, ainsi que leur inclusion dans une coalition au pouvoir sont significativement liés à l'augmentation des importations et de la diminution des exportations. En europe de l’ouest, leur inclusion dans une coalition au pouvoir est lié à l’accroissement de l'écart entre les taux de chômage de la main-d'oeuvre autochtone et étrangère.Afin de comprendre les mécanismes qui sous-tendent nos résultats, le chapitre 5 propose une contribution originale à l'approche néo-réaliste d'amable et palombarini (2005). Nous soutenons que la politique économique est le résultat de la régulation politique des conflits sociaux et illustrons notre point de vue avec l'étude de cas de la ligue du nord italienne. / This PhD Thesis discusses the actual and potential impacts of Radical Right Parties (RRPs) on the economy and assesses these impacts – quantitatively and qualitatively – by considering the economic policy and performances of 27 European countries.We start discussing the different definitions of RRPs (Chapter 1) and their position on economic issues (Chapter 2 We derive an original taxonomy of RRPs’ positions on economic matters confirming the heterogeneity between RRPs. In Chapter 3, we critically review the literature on the political determinants of the economy and identify three conceptualisations of the ‘political’ in neo-classical economics: opportunistic, partisan, and institutional models. Chapter 4 tests our main hypotheses by using a dynamic panel data model. Results show no significant and robust evidence in support of an impact on authoritarian (e.g. security) and populist (e.g. deficits) indicators. We find evidence in support of a nativist impact, different in Eastern and Western European countries. In Eastern Europe, RRPs’ electoral scores, as well as their inclusion in a ruling coalition, are a significant predictor of increased imports and decreased exports. In Western Europe, RRPs’ strength and presence in a ruling coalition are a significant predictor of increasing gap in unemployment rates between native and foreign workforce.In order to understand the mechanisms behind our results, Chapter 5 proposes an original contribution to Amable and Palombarini (2005)’s neo-realist approach. We argue that economic policy is the result of the political regulation of social conflict and illustrate our framework with the case study of the Italian Lega Nord.
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Repenser le capitalisme d'État : l'économie politique chinoise en perspective comparée / Rethinking state capitalism : the Chinese political economy in comparative perspective

Sperber, Nathan 27 June 2017 (has links)
Ce travail propose un retour sur la notion de "capitalisme d'État" sur les plans à la fois théorique et empirique, comparatif et monographique, afin de renouveler notre compréhension du rôle économique des États dans la période actuelle. Il repose sur un examen critique de contributions théoriques passées au sujet des relations État-marché, y compris notamment des écrits ayant abordé explicitement le "capitalisme d'État" durant le siècle dernier ainsi que ces dernières années. Il s'agit, de plus, de formuler et d'appliquer un nouveau cadre conceptuel et méthodologique rendant possible d'évaluer les modalités, sites institutionnels et degrés d'intensité du contrôle et de l'influence étatiques sur la vie économique. Enfin, ce travail incorpore une investigation en profondeur des manifestations institutionnelles et des ramifications sociétales des prérogatives économiques du parti-État en République populaire de Chine, la formation nationale la plus souvent identifiée au capitalisme d'État aujourd'hui. Cette étude constitue donc une tentative de démontrer la pertinence d'un concept de capitalisme d'État reconstruit pour une économie politique critique, en particulier vis-à-vis du programme de recherches actuel sur le capitalisme comparé. Elle vise, de plus, à assumer et à retravailler la problématique des acteurs sociaux et de la formation des élites afin de mieux élucider l'organisation et l'action de l'État capitaliste. Dans la mesure où elle contribue à éclairer la trajectoire de développement chinoise et la configuration politico-économique actuelle du pays, cette étude représente aussi un effort en vue de mieux intégrer le cas chinois dans la recherche comparative en économie politique. / This study seeks to revisit the notion of "state capitalism", at once theoretically and empirically, comparatively and monographically, in view of renewing the critical understanding of the state's involvement in capitalist markets in the current period. This endeavour is premised on a critical examination of the extant theoretical literature on state-market relations, including past writings that have grappled explicitly with "state capitalism", both in the previous century and in recent years. It entails, further, the design and implementation of a novel conceptual-methodological framework for the comparative assessment of degrees, modalities, and institutional sites of state control and influence over the economic process. Finally, it features an in-depth investigation of the institutional instantiations and societal ramifications of the party-state's economic attributions in the People's Republic of China, the national formation most frequently identified with state capitalism today. Overall, this study embodies an attempt to vindicate the relevance of a reconstructed concept of state capitalism for critical political economy, and specifically for the research agenda on comparative capitalism. Additionally, it purports to reclaim the problematics of social agency and elite formation in relation to the elucidation of the capitalist state. In so far as it sheds light on China's development trajectory in the reform era and on its present-day political-economic configuration, this study also represents an effort to further the integration of China within comparative research in political economy.

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