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La création culturelle et les significations imaginaires sociales dans la société "démocratique" contemporaine : réflexion critique sur l'œuvre de Cornelius Castoriadis

Plante, Dominic 03 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est d'offrir une réflexion critique sur l'œuvre de Cornelius Castoriadis, plus précisément sur son concept de création humaine (psychique, sociale, culturelle et artistique) ainsi que sur son interprétation de la création culturelle dans la société « démocratique » contemporaine. Pour ce faire, nous confronterons la pensée de Castoriadis à deux auteurs liés à l'herméneutique contemporaine, soit Paul Ricoeur et Hans-Georg Gadamer. Le dialogue entre Castoriadis et Ricoeur mettra en lumière certaines lacunes dans la conception de la psyché humaine et de la création psychique chez Castoriadis. Nous remettrons donc en question l'idée de Castoriadis selon laquelle la psyché humaine, à l'origine (chez l'infans), est dans un état totalement clos (monadique) qui serait rompu seulement avec la socialisation de la psyché. Ce dialogue montrera aussi l'importance des termes de clôture et de rupture dans la pensée de Castoriadis. Dans un deuxième temps, nous mettrons en scène un dialogue entre Castoriadis et Gadamer concernant leur compréhension du monde humain. Nous verrons alors que Castoriadis, en insistant sur l'idée que la société est une création d'un monde singulier de significations imaginaires sociales, développe cependant très peu sur l'idée de l'humanité comme monde, ainsi que sur l'importance de l'intercompréhension dans la formation du sujet et de la société. Finalement, dans le dernier chapitre nous traiterons de l'interprétation que propose Castoriadis de la création culturelle dans la société « démocratique » contemporaine, en la confrontant à celle de Gadamer. Nous verrons alors que, chez Castoriadis, la création culturelle contemporaine est interprétée à partir de l'idée selon laquelle un projet politique (le projet d'autonomie) doit resurgir dans la société. Globalement, nous arrivons à la conclusion qu'il y a une certaine mécompréhension, chez Castoriadis, de la transmission du sens et de la tradition dans la création humaine. Cette mécompréhension de Castoriadis, selon nous, s'explique à partir de sa propre conception de la création humaine qui, en étant conçue comme ex nihilo, ne permet pas de comprendre la nouvelle création humaine autrement que comme une forme radicalement nouvelle, que comme ce qui crée une rupture ontologique avec les formes précédentes, faisant en sorte qu'il néglige les liens entre les formes anciennes et les nouvelles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Castoriadis, Gadamer, Ricoeur, culture, art contemporain, société contemporaine, herméneutique, socialisation, démocratie
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Philosophie de la psychologie et psychanalyse chez Freud : enjeux épistémologiques contemporains / Philosophy of psychology and Freudian psychoanalysis : contemporary epistemological stakes

Limikou Bikiela, Alpin Dieu-donné 13 October 2014 (has links)
Quels sont les principaux acquis de la psychologie médicale de l’époque de Freud qui ont contribué à l’émergence du mouvement psychanalytique ? Comment Freud les a-T-Il repris dans le cadre d’une construction originale ? Malgré l’abondante littérature consacrée à ces questions qui paraissent si simples, les réponses sont loin de faire l’unanimité. Cette difficulté n’est pas récente, elle est perceptible déjà chez Freud qui, en 1914 (dans Contribution à l’histoire du mouvement psychanalytique) et en 1925 (dans Ma vie et la psychanalyse), entreprit de retracer l’histoire de la psychanalyse, tout en évoquant les principaux acteurs qui ont, de manière directe ou indirecte, contribué à l’éclosion de ce corps de connaissances. Cependant, les découvertes faites par des chercheurs contemporains, dans les Archives des centres hospitaliers, où étaient internés certains patients de Freud, tout autant qu’une lecture attentive du contexte historique et des productions intellectuelles sur la maladie mentale, à la fin du XIX ème siècle, laissent planer des interrogations. Freud a-T-Il biaisé l’histoire de la psychanalyse pour en apparaitre comme le père fondateur ? Ces soupçons qui pèsent sur le travail d’historien entrepris d’abord par Freud, puis par ses collaborateurs, nous invite, en tant qu’historien des sciences, à réévaluer un certain nombre d’acquis en psychanalyse, au regard de l’abondance des découvertes récentes. En outre, les travaux de Freud n’entretiennent pas seulement des rapports avec les théories psychologiques de son temps. De nos jours, ils alimentent encore des discussions dans les « théories contemporaines de l’esprit », notamment dans les champs disciplinaires tels que la philosophie de l’esprit et les neurosciences cognitives. C’est ce que démontre la dernière partie de cette thèse qui, à titre de test, confronte la théorie freudienne de l’inconscient aux théories contemporaines. / What where the main types of psychological knowladge used by Freud which contributed to the emergence of psychoanalytic movement? How did Freud use these main types of psychological knowladge in the context of original construction? In spite of the abundant literature concerning these questions which appaer simple, the answers aren't uncontroversial. This difficulty isn't recent, Freud has been already studied this matter in Contribution to the History of Psychoanalysis movement (1914) and My life and Psychoanalysis (1925) retraced the history of psychoanalysis, mentioning the principal actors who have, directly or indirectly, contributed to the building this body of knowledge.However, the discoveries done by contemporary researchers, in the archives of hospitals, where some Freud’s patients were interned, with a careful reading of the historical context and the intellectual productions on mental illness, at the end of 19th century, raises important questions. Did Freud bias the psychoanalysis history in order to be considered as the real founding father? These suspicions have an impact on the historians working on the work of Freud and on his partisans as well. This invites us, as historians of sciences, to revaluate a certain number of hypotheses in psychoanalysis, according to recent discoveries.Besides, the work of Freud doesn’t not only have relationship with psychological theory of his time. In our days, Freud’s work enriches discussions as far it concerns “contemporary Theories of mind”, and in particular, in disciplinary fields such as Philosophy of mind and cognitive neuroscience. This is what the last part of this thesis demonstrates, as a test case, it interacts Freudian theory of unconsciousness with contemporary theories.
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Les causes de l’impuissance animique : la question du mal chez Freud et Spinoza / The Causes of the Powerlessness of Mind : Freud and Spinoza on Question of Evil

Ledoux, Isabelle 06 December 2014 (has links)
Spinoza, parce qu’il est à la pointe de la pensée scientifique de son époque, Freud, parce qu’il prétend fonder une nouvelle science de la nature sans se référer spécifiquement aux sciences humaines, adhèrent à un modèle épistémologique issu de la science déterministe classique. En étendant son application à l’âme humaine, tous deux ont, chacun à sa manière, bouleversé la conception de l’unité psychophysique de l’individu et proposé de nouveaux modèles de compréhension de ses rapports avec les autres et avec le monde.Or, partir de la question du corps pour remonter progressivement jusqu’à celle du mal, point névralgique de la pensée de la liberté, permet de mettre en évidence ce qui les rapproche et ce qui les sépare. Si, en situant la source de la destructivité à l’intérieur de la psychè et en dialectisant les différentes tendances qui la constituent, Freud adopte une perspective non spinoziste, sa conception de la mémoire, de la représentation, du langage, du rêve et du délire, se rapproche beaucoup de celle de Spinoza et permet d’éclairer aussi bien les virtualités que les points explicites de son système.Inversement, Spinoza, par les choix doctrinaux qui marquent l’évolution de sa pensée comme par les stratégies pédagogique et éthique qu’il met à l’œuvre dans ses textes, produit une illustration en acte de ce qui favorise la puissance de l’âme et de ce qui l’entrave. Sans créditer le mal d’une essence positive, il reconnaît néanmoins à ses principales figures : finitude, privation, crime, une efficience historique, dont la compréhension peut fonder une vigilance prophylactique. / Spinoza, at the top of the scientific thought of his time, and Freud, intending to found a new science of nature without specifically referring to human sciences, adhere to an epistemological model coming from the classical determinist science. Extending its application to the human mind, they both have, each in their own way, drastically changed the conception of the psychophysical unity of the individual and proposed new models of understanding his relationships with the others and the world.And yet, starting with the question of the body to progressively reach the question of evil so problematic for the thought of freedom makes it possible to reveal what separates and brings them closer. Setting sources of destructivity inside the psyche and giving a dialectical representation of its different constituent motions, Freud adopts a non-Spinozist perspective. But his conception of memory, representation, language, dream and delirium, gets closer to that of Spinoza and allows to throw light on potentialities as much as on the explicit points of his system. Conversely, Spinoza, marking the evolution of his thought by doctrinal choices and using pedagogical and ethical strategies in his texts, gives an acting illustration of what favours and hampers the power of the mind. Nevertheless without giving a positive essence to evil, he recognizes the historical efficiency of its main figures: finiteness, deprivation and crime whose understanding can found a prophylactic vigilance.

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