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La performance académique des étudiants en première année universitaire : influence des capacités cognitives et de la motivation

Lambert-Le Mener, Marielle 07 December 2012 (has links) (PDF)
La question de la réussite des étudiants en première année universitaire est présente dans les préoccupations politiques actuelles au regard de l'échec massif la caractérisant. L'enjeu de cette thèse réside dans la compréhension des mécanismes qui régissent la réussite universitaire, en adoptant une démarche quantitative et intégrative. A cette fin, des données ont été récoltées sur un peu plus de 700 étudiants en première année de Licence de trois filières (AES, Droit et Psychologie) à l'Université de Bourgogne. Les informations recueillies permettent de contrôler un ensemble de facteurs relatifs aux caractéristiques socio-démographiques et scolaires des étudiants. Deux focus plus spécifiques caractérisent cette thèse : une mesure fine des capacités cognitives des étudiants à leur entrée à l'université et une mesure de leur motivation en cours d'année. Il ressort que le passé scolaire des étudiants est un déterminant particulièrement fort dans la prédiction de la réussite universitaire. Ce déterminisme scolaire est cependant nuancé par l'effet indirect de l'origine sociale, établissant la persistance d'inégalités sociales de réussite au niveau universitaire. Les capacités cognitives exercent elles aussi un effet médiatisé par le parcours scolaire, jouant positivement sur la réussite. A ces facteurs déterminés préalablement à l'entrée à l'université, s'ajoute le projet personnel de l'étudiant. Un choix établi par intérêt pour la discipline augure de meilleures chances de réussite. Les capacités motivationnelles de l'étudiant se répercutent quant à elles plus directement sur la réussite. Mesurée dans le cadre de la théorie de l'autodétermination, la motivation intrinsèque exerce une influence positive tandis que l'amotivation se traduit par de moins bonnes performances. Par ailleurs, la motivation est un atout pour les bons étudiants, mais ne joue qu'un rôle plus modéré pour les étudiants moyens et même nul pour les plus faibles. Ce résultat est éclairé par l'effet positif du sentiment de compétence sur la réussite, médiatisé par une motivation intrinsèque plus élevée.
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L’intégration sociale étudiante : relations et effets au sein des parcours de réussite en Licence / Social integration of college students : links and effects within “Licence” course achievement

Berthaud, Julien 08 December 2017 (has links)
Depuis les années 70-80, avec les travaux de Tinto (1975) notamment, la recherche en éducation révèle l’importance des processus interactionnels dans l’explication des parcours étudiants, démontrant l’influence significative de l’intégration sociale sur la persévérance à l’université. Les effets sur la réussite académique des étudiants sont à l’inverse peu explorés. De plus, la conceptualisation de ce facteur explicatif ne fait pas consensus, donnant à voir différentes dimensions de l’intégration sociale. A partir d’une collecte de données réalisée auprès de 1365 étudiants inscrits en 1ère, 2ème et 3ème année de Licences généralistes, cette recherche propose ainsi, dans un premier temps, une mesure affinée de l’intégration sociale étudiante rendant compte de son caractère multidimensionnel. Puis, dans un deuxième temps, les sources et conditions de cette intégration sont interrogées à travers l’influence de facteurs contextuels, institutionnels et individuels, parmi lesquels sont considérées les compétences transversales qui illustrent, entre autres, les aptitudes sociales des étudiants. Les analyses montrent ainsi que des besoins différents en matière de sociabilité étudiante s’expriment notamment en fonction de l’âge, du genre et des raisons d’étudier, alors que le contexte de formation détermine en premier lieu les opportunités offertes aux étudiants pour s’intégrer socialement. Il apparaît en outre que certaines compétences relatives à la gestion des émotions et à la collaboration constituent des ressources favorisant l’intégration sociale. Nos résultats permettent ainsi de dégager quatre profils distincts de la sociabilité étudiante en Licence. En dernier lieu, la place occupée par l’intégration sociale et les compétences transversales étudiantes au sein des parcours étudiants et des déterminants de leur réussite académique est questionnée. Les analyses révèlent à ce titre que l’intégration sociale étudiante présente des effets bruts et positifs sur la probabilité de réussir les examens et sur les notes obtenues par les étudiants, au travers des interactions studieuses et du sentiment d’intégration. En tenant compte des déterminants classiques de la réussite étudiante, l’influence « toutes choses égales par ailleurs » de ce facteur apparaît en revanche faible sur la réussite académique, bien que le sentiment d’intégration diminue les risques d’abandon chez les étudiants. A l’inverse, les compétences transversales renvoyant au goût de l’effort et à la confiance en soi se révèlent être de puissants prédicteurs de la réussite et des performances des étudiants. Si l’intégration sociale étudiante ne semble pas être un facteur clé et médiateur de la réussite académique, elle s’ajoute néanmoins, sous certaines formes, aux facteurs caractérisant les profils de réussite à l’université. En outre, elle influe de manière indirecte sur les performances des étudiants au travers de leur investissement académique. / Since 1970’s and 1980’s, educational research reveals the importance of interactional process in the explanation of student careers, especially with Tinto’s work (1975), by demonstrating the significant influence of social integration on student persistence in university. However, the effects on students’ academic success are rarely explored. Moreover, there is no consensus on the conceptualization of this explanatory factor since it shows different dimensions of social integration. From data collected from 1365 students enrolled in 1st, 2nd and 3rd grade of common “Licence”, this research proposes firstly to improve measurement of student social integration as a multidimensional concept. Then the sources and conditions of social integration are examined through the influence of contextual, institutional and individual factors. In this context, the transversal skills are considered as an illustration of student social abilities, among others. Statistical analyses show that students have different needs for social integration, depending on their age, gender and reasons for study. First, the academic context defines the opportunities offered to students for social integration. Moreover, it appears that some skills related to emotional management and collaboration turn into resources that promote social integration. Results lead to identify four different profiles of student social integration in “Licence” course. Lastly, questions arise about the role of social integration and transversal skills in student careers and factors of student achievement. Our results reveal that student social integration has a raw and positive effect on the probability of success and performances, through academic interactions and feeling of integrating. When the classical factors of student achievement are taking into account, the influence of social integration appears to be weak or lost. Only the feeling of integrating reduces the risk of student drop-outs. On the other hand, the transversal skills including the taste for work and the self-confidence prove to be powerful predictors of students' success and performances. While student social integration doesn’t seem to be a key factor with mediating effects on academic achievement, it appears to be another feature of student success profiles. Moreover, student social integration produces indirect effect on performances through academic commitment.
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La diversité à l'université<br />Analyse sociolinguistique de copies et de discours d'étudiants entrant à la faculté de Lettres et sciences humaines de Rouen

Mortamet, Clara 26 November 2003 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche est parti d'une opportunité, celle de recueillir toutes les copies des étudiants de lettres et sciences humaines de Rouen à un test d'entrée en langue. Cette expérience nous a donné l'occasion de revenir sur les questions d'hétérogénéité et sur le lien entre hétérogénéité linguistique et échec universitaire. Mais cela nous a permis aussi de mener une enquête sociolinguistique à grande échelle, en analysant l'ensemble des copies d'une promotion d'étudiants et en recherchant dans certaines de leurs caractéristiques sociales une explication de la variation. Nous avons ajouté à cette approche quantitative une analyse plus qualitative de la variation, analyse qui tient compte de notre préoccupation très forte pour les questions d'altérité.<br />Dans une seconde partie, nous avons travaillé sur la diversité des représentations de ces étudiants, en exploitant les résultats d'une enquête par questionnaire, ainsi qu'une série d'entretiens menés tout au long de leur première année de faculté. Là encore, nous avons cherché à expliquer la variation rencontrée à partir des données sociales des étudiants.<br />A travers l'analyse de ces deux formes de diversité des étudiants –leurs pratiques linguistiques, leurs représentations–, nous avons voulu saisir le lien entre l'hétérogénéité des étudiants à l'entrée, leurs caractéristiques sociales et leurs chances de réussite, d'échec ou d'abandon en fin d'année.
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Étude micro-économétrique de l'impact du travail salarié étudiant sur la réussite à l'université / Micro-econometric study of the student employee work's impact on their achievement at university

Body, Kady Marie-Danielle 28 November 2014 (has links)
L'emploi salarié hors cursus durant l'année universitaire peut-il affecter les résultats universitaires ? A partir des données tirées d'enquêtes nationales (les enquêtes « Conditions de Vie » de l'Observatoire national de la Vie Etudiante (OVE) et Panel 1995 du Ministère de l'Education National), cette thèse a pour ambition d'analyser à l'échelle de la France, le travail salarié des étudiants sous toutes ses formes et de relever les différents impacts qu'il pourrait avoir sur la réussite universitaire. Il ressort de l'analyse que le travail salarié a une influence négative et significative sur les résultats académiques. Cependant, ce n'est pas le travail en lui-même qui porte préjudice aux étudiants mais plutôt tout un ensemble de caractéristiques propres à l'emploi telles que l'intensité du temps accordée à l'emploi et le secteur d'embauche. De plus, il semblerait que ce soient les meilleurs étudiants qui font le choix de travailler pendant les études tandis que les étudiants non-salariés n'auraient pas intérêt à cumuler emploi et études. En somme, l'exercice d'une activité professionnelle pendant les études peut constituer une première expérience professionnelle utile, à condition qu'elle n'empiète pas trop sur le temps d'études et qu'elle soit liée aux études. Une politique publique qui inciterait les étudiants à ne pas travailler au-delà du temps partiel pourrait leur être favorable. Enfin, l'étude particulière des étudiants de première année de Licence nous montre que la majorité des étudiants-travailleurs inscrits en L1 et ayant abandonné leur année universitaire ne travaillait pas de manière intensive. L'activité professionnelle hors cursus n'est donc pas le seul élément qui peut justifier du taux d'échec alarmant des L1. / Students' employment during the academic year can it affect academic performance? Using data from national surveys (surveys "Living Conditions" of the National Observatory of Student Life (OVE) and Panel 1995 of the Ministry of National Education), this thesis aims to analyze, at the scale of France, students' employment in all its forms and to identify the different impacts it could have on academic achievement. This analysis shows that students' employment has a negative and significant influence on academic achievement. However, it's not the employment itself that is detrimental to students but some characteristics of these activities, such as the job intensity and the hiring sector. Moreover, it seems that they are the best students who work while studying, whereas unemployed students would have no incentive to combine jobs and education. In short, combine study and job can become a first professional experience useful for students, provided that job is linked to studies and does not interfere too much on school time. Public policy that would encourage students not to work beyond the part-time could be favorable to them. Finally, the particular study on students in university first year shows that the majority of students-workers enrolled in L1 who have abandoned their academic year not working intensively. Employment outside the curriculum is not the only factor that can justify the alarming failure rate of L1.
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Les facteurs qui influencent la réussite académique dans la filière technologique de l'université française. / Factor influencing students' academic achievement in the technological stream of French university

Lardy, Laurent 12 July 2017 (has links)
L'objet de ce travail de thèse est l'exploration des facteurs qui influencent la réussite académique des étudiants (n= 1447) dans les Instituts Universitaires de Technologie (IUT) tout au long des deux années que dure la préparation du diplôme universitaire de technologie (DUT). La réussite dans l'enseignement supérieur en France semble très liée au baccalauréat obtenu et à son niveau deréussite (Duru-Bellat & Kieffer, 2008), les IUT présentent de ce point de vue une double singularité intéressante pour explorer cette question. Comparés aux autres filières de l'Université française, les bacheliers technologiques y sont proportionnellement plus nombreux et y réussissent mieux. Ces instituts sont en cela fidèles à leur rôle institutionnel. Néanmoins, la proportion des bachelierstechnologiques décroît sur le long terme et ils y réussissent moins bien que leurs homologues des baccalauréats généraux.Cette exploration des facteurs de réussite passe par une modélisation statistique de la moyenne de fin de semestre, à la fois intégrative et longitudinale. L'objectif est alors de discerner les facteurs ayant le plus d'influence sur la performance et la progression durant un semestre. Le cadre théorique retenu contient quatre familles de variables. La première rassemble les caractéristiques personnelles des individus lors de leur entrée à l'IUT, la deuxième porte sur leur perception du contexte académique, la troisième et la quatrième sont respectivement constituées de leur motivation et de leur engagement dans l'apprentissage. Ces familles de variables sont introduites par bloc pour la première année suivant un schéma global préétabli.Cette spécification a mis en évidence l'importance du passé scolaire parmi les caractéristiques personnelles en début d'IUT. Dans le contexte académique, l'implication enseignante perçue est la variable la plus influente. Pour la motivation, le Sentiment d'Efficacité Personnel possèdel'influence la plus marquée. Enfin, les dimensions cognitives et comportementales de l'engagement ont émergé avec l'apprentissage en surface et la régulation des ressources disponibles respectivement. Exception faite de l'implication enseignante, les dimensions psychosociales perdent de leur influence au fur et à mesure que le temps passe, phénomène assimilable à une élasticité décroissante de la moyenne avec le temps. Enfin, le constat le plus massif est l'effet des variables du passé scolaire, notamment le type de baccalauréat et la mention. Ces variables ne sont quasiment pas médiatisées par les autres variables sauf s'il s'agit d'indicateurs de la performance académique comme la moyenne d'un semestre par exemple. L'écart en fin de première année entre bacheliers technologiques et scientifiques est très important, il équivaut à environ deux niveaux de mention au baccalauréat. De plus, la progression des bacheliers technologiques s'avère plus difficile que celle des scientifiques au second semestre et l'écart entre ces types de bacheliers tend à diminuer en fin de deuxième année. Même si un surcroît de motivation, une meilleure orientation de l'engagement sont des leviers pour favoriser la réussite des bacheliers technologiques, la grandeur des effets attendus ne permet pas de penser qu'il s'agit de solutions suffisantes pour combler le fossé observé. Cette explication des différences par l'amont, bien que convaincante, n'est toutefois pas suffisante pour expliquer les observations conditionnées aux différents cursus : il semble bien exister des établissements ou des cursus plus ou moins favorables aux bacheliers technologiques. / This thesis aims to explore factors influencing students' (n=1447) academic achievement in the technological stream of French university (IUT) during the two years preparation of their technological university degree. French students' achievement seems to be strongly tied with thetype of their high school diploma (technological vs scientific) (Duru-Bellat & Kieffer, 2008), the IUTs present two interesting singularities to examine this question. Compared to Students from other French university streams, IUTs' students with technological background are proportionally more numerous and obtain better results. IUTs are thus assumed their institutional role. Nevertheless, proportions of students with technological background decrease from year to year and these students are less successful than the scientific ones. The exploration of factors influencing achievement goes through a statistic model of average of bi-annual grades. The aim is to discern the most significant factors affecting results and progression during academic terms. To this end, the framework contains four families of variables. The first onebrings together student personal background information when they enter the IUT. The second one is about the students' perception of academic context. The third and the fourth families are respectively motivation and engagement in learning. These families of variables are graduallyintroduced according to a predetermined pattern. This specification highlights the predominance of academic past among personal background. It reveals that perceived involvement of teachers is the most influential variable in the perception of academic context. Self-Efficacy has the most remarkable influence on progress and academic results. The cognitive and behavioral dimensions of engagement have finally arisen with surface approach of learning, and regulation of available resources respectively. Except for the perceived involvement of teachers, all the psychosocial factors impact less academic terms' averages asstudents continue their studies . This phenomenon can be compared to a decrease of elasticity of average over time. Finally, to notice that despite the introduction of those psychosocial variables, the past academic story remains the strongest and the most significant predictor of academic termsaverages. The academic past is barely mediated by variables introduced in the model, except if these variables are academic performance indicators like intermediate academic terms averages. The gap between students with technological high school diploma and students with scientific one, in termof average at the end of the first year, can be considered as being very large. This gap can be indeed estimated as a high school diploma with distinction or one with merit only. Furthermore, it's more difficult to improve for technological high school graduates than for the scientific ones during thefirst year. Nevertheless, the difference in terms of averages between technological and scientific high school graduates tends to decrease after two years. A better motivation and an increased engagement are positive means to foster the tech high school graduates’ achievement but the importance of the expected effects is too small to think it could be enough to fill the gap. Although this explanation of differences of academic terms averages and of academic progress by the past academic story is convincing, it is not enough to explain the observations depending on the different curricula. These observations show that the domain or curriculum has an impact on the success ofthe technological high school graduate.
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Les pratiques pédagogiques en première année universitaire : description et analyse de leurs implications sur la scolarité des étudiants / Teaching practices in first-year university : description and analysis of their implications on student studies

Duguet, Amélie 05 December 2014 (has links)
En France, les travaux portant sur la pédagogie universitaire et se focalisant plus particulièrement sur les pratiques pédagogiques des enseignants sont peu nombreux. Aussi ce travail se propose-t-il d’approfondir ce concept sous deux aspects. Le premier axe s’articule autour de la description des pratiques mises en œuvre par les enseignants lors des cours magistraux en première année universitaire. A l’appui de l’observation in situ des pratiques de 49 enseignants issus de cinq filières, il est montré que celles-ci reposent en grande majorité sur les méthodes « traditionnelles ». Néanmoins, les résultats permettent également de mettre en lumière une variété des pratiques. Le second axe a trait à la mise au jour des implications de ces pratiques sur la scolarité des étudiants. Pour cela, ont été interrogés par questionnaires 734 étudiants de première année issus de ces mêmes filières. Il est d’abord montré que les « pratiques déclarées » par les étudiants, autrement dit l’opinion qu’ils portent à l’égard des pratiques des enseignants, influent particulièrement sur leur motivation, tandis que l’effet sur les manières d’étudier est toutes choses égales par ailleurs non significatif. Elles exercent de surcroît un impact modéré sur la réussite. La motivation apparaît néanmoins comme une variable médiatrice de l’effet des pratiques « déclarées » sur les manières d’étudier et la réussite. Parallèlement à ces analyses, est examiné l’effet des pratiques « observées » sur la scolarité des étudiants. Celles-ci jouent un rôle direct significatif dans l’explication des manières d’étudier et de la réussite des étudiants, tandis qu’aucun effet significatif sur la motivation n’est mis au jour. / In France, there is little research on university teaching and focusing specifically on teaching practices. This present research aims to explore this concept in two different ways. The first part focuses on the description of the practices implemented by teachers during first-year university lectures. Using in situ observation of lecture practices of 49 teachers from five programmes, we first show that teachers’ practices mostly rely on traditional methods as defined by Bru (2006). However, we show a variety of practices among teachers. The second part of this research updates our knowledge of the implications of these practices on student studies. 734 freshmen from these sectors were interviewed by questionnaire. We see first that the " declared practices " by the students, or in other words the opinion that they have of teaching practices, particularly affect their motivation, while the effect on ways of studying is nonexistent all things being equal. In comparison to other variables, such as those related to educational background of the individual, they have in addition a relatively moderate impact on the average score of the exam first and second semester and the likelihood of passing the year. However, the motivation appears to be a mediator of the effect of "declared" on study practices and success. In addition, we look at the effect of "observed" practices, ie effectively implemented by teachers on student studies. These play a significant direct role in explaining study practices and student success, but they have no effect on motivation.
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La performance académique des étudiants en première année universitaire : influence des capacités cognitives et de la motivation / The academic performance of university students in their first-year : influence of cognitive abilities and motivation

Lambert-Le Mener, Marielle 07 December 2012 (has links)
La question de la réussite des étudiants en première année universitaire est présente dans les préoccupations politiques actuelles au regard de l’échec massif la caractérisant. L’enjeu de cette thèse réside dans la compréhension des mécanismes qui régissent la réussite universitaire, en adoptant une démarche quantitative et intégrative. A cette fin, des données ont été récoltées sur un peu plus de 700 étudiants en première année de Licence de trois filières (AES, Droit et Psychologie) à l’Université de Bourgogne. Les informations recueillies permettent de contrôler un ensemble de facteurs relatifs aux caractéristiques socio-démographiques et scolaires des étudiants. Deux focus plus spécifiques caractérisent cette thèse : une mesure fine des capacités cognitives des étudiants à leur entrée à l’université et une mesure de leur motivation en cours d’année. Il ressort que le passé scolaire des étudiants est un déterminant particulièrement fort dans la prédiction de la réussite universitaire. Ce déterminisme scolaire est cependant nuancé par l’effet indirect de l’origine sociale, établissant la persistance d’inégalités sociales de réussite au niveau universitaire. Les capacités cognitives exercent elles aussi un effet médiatisé par le parcours scolaire, jouant positivement sur la réussite. A ces facteurs déterminés préalablement à l’entrée à l’université, s’ajoute le projet personnel de l’étudiant. Un choix établi par intérêt pour la discipline augure de meilleures chances de réussite. Les capacités motivationnelles de l’étudiant se répercutent quant à elles plus directement sur la réussite. Mesurée dans le cadre de la théorie de l’autodétermination, la motivation intrinsèque exerce une influence positive tandis que l’amotivation se traduit par de moins bonnes performances. Par ailleurs, la motivation est un atout pour les bons étudiants, mais ne joue qu’un rôle plus modéré pour les étudiants moyens et même nul pour les plus faibles. Ce résultat est éclairé par l’effet positif du sentiment de compétence sur la réussite, médiatisé par une motivation intrinsèque plus élevée. / Today, academic failure is closely monitored, especially when first year students are concerned. The aim of this dissertation is the comprehension of the mechanism that builds academic success. The approach is both quantitative and integrative. For this purpose, data have been collected from 700 first year students in social administration, law and psychology areas in the university of Burgundy. Collected information allows to control academic and demographic factors. This dissertation focuses on two aspects : a measure of the student’s cognitive abilities at their entry in the university and a measure of their motivation during the course of the year. The results show that the school background of students plays a crucial role in the prediction of their university success. This school determinism, however, is tempered with the indirect effect of social origin, establishing the persistence of social inequalities in success at the university level. Cognitive abilities also have an effect mediated by the school career, playing positively on success. To these factors determined prior to university entrance, shall be added the personal project of the student. Choices made by interest in the discipline augur better chances of success. Motivational abilities of the student impact most directly on their success. Measured in the context of the self-determination theory, intrinsic motivation has a positive influence while amotivation results in worse performance. Moreover, motivation is an asset for good students, but plays only a moderate role for average students and even none for the weakest. This result is highlighted by the positive effect of perceived competence on achievement, mediated by a higher intrinsic motivation.
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L'accompagnement en contexte de formation universitaire: Etude de la direction de mémoire comme facteur de réussite en Master

Gerard, Laetitia 06 November 2009 (has links) (PDF)
La direction de mémoire constitue l'une des caractéristiques de la structure formative du deuxième cycle universitaire (Master) qui la font différer de la structure formative du premier cycle (Licence). Elle représente pour les étudiants une nouvelle relation pédagogique, et il s'agit en cela d'une variable importante de leur réussite à ce niveau universitaire. La réussite de l'étudiant « masterant » semble être liée à sa capacité à se familiariser à sa direction de mémoire, c'est-à-dire sa capacité à faire évoluer son métier d'étudiant (Coulon, 1997), par la découverte du nouveau contrat pédagogique qui s'instaure au sein du binôme qu'il va constituer avec son directeur de mémoire. Le travail présenté cherche à mettre en évidence les liens entre la direction de mémoire et la réussite de l'étudiant en analysant la relation pédagogique de direction de mémoire en Master autour de trois dimensions : la dimension scientifique, la dimension institutionnelle et la dimension relationnelle. Pour cette recherche, des entretiens semi-directifs ont été menés afin de recueillir des données sur la perception qu'ont les acteurs (masterants et directeurs de mémoire) de la direction de mémoire. Ce travail permet de mettre en relief les décalages qui existent entre la perception que se font les directeurs de mémoire et les étudiants quant à leurs rôles réciproques dans la direction de mémoire au niveau des trois dimensions scientifique, institutionnelle et relationnelle. Les résultats obtenus mettent en évidence que ces décalages sont à l'origine de ruptures du contrat, initiées soit par l'étudiant (abandon temporaire ou définitif), soit par son directeur (difficulté ou arrêt de la direction). Parallèlement, les résultats montrent les éléments moteurs du processus de familiarisation des étudiants, et pointent également les difficultés qu'ils éprouvent dans ce processus. Ce travail permet d'aboutir à une réflexion sur les conditions que l'institution universitaire peut mettre en place (en particulier via les enseignants directeurs) pour faciliter le processus de familiarisation des étudiants à la structure pédagogique spécifique au Master, et in fine, favoriser leur réussite.
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La fabrique de l’évaluation à l’aune d’une perspective resocialisante : une négociation entre enseignants et étudiants au premier cycle universitaire

Segueda, Saïdou 11 1900 (has links)
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