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L'économie politique du système d'immigration américain : une analyse des échecs des réformes de la politique d'immigration des Etats-Unis, 1994-2010.

Guidecoq, Simon 20 January 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une analyse de l'incapacité du gouvernement des Etats-Unis à modifier en profondeur sa politique d'immigration. Elle montre que son principal facteur explicatif est institutionnel : la résilience du régime d'immigration, entendu comme mode de régulation de l'admission d'immigrants, s'explique par sa capacité à s'appuyer sur une structuration de l'économie politique de l'immigration favorable au blocage des réformes. Pour démontrer cette proposition, notre étude est donc articulée en deux blocs : les facteurs engendrant une crise du régime, et ceux permettant son statu quo. Dans un premier temps, les facteurs structurels et conjoncturels de la crise du régime sont étudiés. Une analyse empirique de la régulation de l'immigration met en évidence ses deux dysfonctionnements structurels : d'une part un déséquilibre croissant entre le nombre de candidats à l'immigration et l'offre de visas et, d'autre part, la formation d'un stock de résidents en situation irrégulière. Néanmoins, l'analyse des représentations de la population américaine concernant cette régulation démontre que la volonté de réformer les conditions d'admission de l'immigration relève aussi de facteurs subjectifs. Une conjoncture économique dégradée intensifie la perception d'une crise du régime, et la préférence pour sa fermeture. Dans un second temps, les facteurs explicatifs de l'absence de fermeture du régime sont analysés. La validité de deux hypothèses explicatives de sa résilience est démontrée par une analyse des épisodes de réforme de 1994 à 2010. En premier lieu, la mise en œuvre politique d'une réforme donne la primauté aux préférences des groupes d'intérêts organisés (communautés immigrées, employeurs, syndicats, nativistes) par rapport à celles de l'opinion publique. En second lieu, les préférences antagonistes de ces groupes d'intérêts les rendent incapables de coopérer : malgré sa non-optimalité, le régime d'immigration correspond donc à une issue stable des négociations législatives, car il limite les pertes de l'ensemble des acteurs en présence.
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L'immigration des Azerbaïdjanais en France : histoire et perspectives

Asgarov, Vazeh 12 November 2012 (has links) (PDF)
Au cours du XXème siècle, l'étude de la politique répressive en URSS a été menée sans utilisation des sources statistiques et des données des organismes internationaux. Ces documents étaient tenus strictement secrets et donc inaccessibles. Avec la chute du mur de Berlin en 1989 et l'effondrement de l'URSS en 1991, le monde se trouve complètement modifié. Ce processus engendre la division de certains états en Europe, la création de nouvelles zones de conflit et aussi la proclamation de l'indépendance de certains pays comme l'Azerbaïdjan en octobre 1991. Ces modifications politiques provoquent des mouvements de population. Essentiellement liée à la sécurité, surtout en raison du conflit arrnéno azerbaïdjanais qui a influencé l'économie, les hommes émigrent et s'installent dans les pays de la CEl, particulièrement en Russie et en Ukraine, mais aussi en Allemagne, en Israël, et ailleurs. Aujourd'hui, les raisons de l'émigration du peuple azerbaïdjanais sont différentes. Notre problématique propose d'étudier, de façon historique et sociologique, l'ensemble des courants migratoires azerbaïdjanais vers la France à l'époque contemporaine, c'est-à-dire de la fin du XIXème siècle. au début du XXIème siècle. Cette question est éclairée par l'étude de mouvements migratoires des pays voisins. L'exemple azerbaïdjanais regroupe différents types d'immigration, c'est pourquoi il nous a paru pertinent et judicieux de l'analyser pour comprendre les enjeux actuels des mouvements de population. De plus, l'étude des flux migratoires azerbaïdjanais est intéressant de par ses caractéristiques culturelles, politiques et surtout économiques et permet d'accéder à une meilleure intelligibilité de nos sociétés.
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La liberté de l'art face à la protection des croyances religieuses : étude d'un conflit de valeurs sous le prisme du droit international.

Polymenopoulou, Eleni 16 September 2011 (has links) (PDF)
Notre projet de thèse suggère une lecture juridique, politique et sociale d'un conflit entre deux droits fondamentaux culturels. Plusieurs controverses existent aujourd'hui dans le monde occidental, dont l'objectif serait la légitimation éventuelle des restrictions de la liberté d'expression, et la liberté de l'art en particulier, au nom de la protection des croyances religieuses. Nous pourrions constater en effet un certain " paroxysme ", qui aboutit, en dernier essor, à un conflit juridique, voire, un conflit réel. Au plan international, les premières indications de ce conflit apparussent peu ou prou au même époque que la controverse autour les " Versets sataniques " de Salman Rushdie. Quinze ans après, déclencha une autre " crise mondiale ": l'affaire des caricatures danoises, suivie, jusqu'aujourd'hui, par des dizaines de résolution du Conseil des droits de l'Homme et de l'Assemblée Générale des Nations Unies sur la diffamation des religions. Si l'on associe ce prétendu 'conflit de valeurs' aux répercussions des attaques du 11 septembre et de la guerre contre le terrorisme, ainsi qu'aux politiques de discrimination constante à l'encontre des immigrés et les requérants d'asile en Europe, ou encore à la théorie de Huntington qui prône un supposé " conflit de civilisations ", nous comprenons bien que la discussion est loin de concerner uniquement la liberté d'expression, ni, a fortiori, la liberté de l'art. Notre but est de proposer des approches " alternatives " aux conflits de droits, basées sur l'analyse des valeurs qui sont en jeu, et ciblant plutôt à la prévention de tels " conflits culturels ", qu'à leur résolution formelle en faveur d'un droit ou d'un autre.
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Le discours américain sur le terrorisme : Constitution, évolution et contextes d'énonciation (1972-1992)

Brulin, Rémi 19 November 2011 (has links) (PDF)
Depuis les attaques du 11 septembre 2001 contre New York et Washington, D.C. le terme de " terrorisme " a pris une place prépondérante dans le discours politique américain. Profondément péjoratif et s'accompagnant indéfectiblement d'une forte condamnation morale, il a été utilisé afin d'expliquer et justifier le recours à la force armée dans de multiples régions de monde et l'imposition de limites aux libertés civiles des citoyens américains, et ce malgré l'absence de définition claire de ce concept au niveau américain comme au niveau international. Le discours américain sur le terrorisme fit son apparition sur la scène politique durant la dernière décennie de la Guerre froide, l'Union Soviétique et ses alliés " totalitaires " étant décrits par Ronald Reagan comme recourant au " terroriste international " afin d'assouvir leurs velléités hégémoniques et de mener une véritable guerre contre l'ensemble du monde civilisé, d'abord en Amérique centrale puis, de plus en plus souvent, au Moyen-Orient. Le président américain, s'exprimant dans un contexte d'énonciation protégé, n'eut jamais à proposer de définition explicite de ce terme. Les débats devant le Congrès, l'Assemblée Générale et le Conseil de sécurité des Nations Unies révèlent eux par contre que ce concept était à l'époque fortement contesté au sein du pouvoir américain tout comme au niveau international, et que les représentants du gouvernement américain défendirent non pas un mais de multiples discours très différents les uns des autres et adaptés aux contextes d'énonciation propre à chacun de ces forums. Grâce à cette compartimentation rendue possible par l'absence d'une définition claire et acceptée par tous du " terrorisme ", mais aussi au rôle joué par les experts et les médias, le discours américain put ainsi s'imposer malgré ses contradictions flagrantes, et après l'interlude des années 1990, faire son retour triomphant après le 11 septembre 2001.
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Le droit international à l'épreuve de la question palestinienne : quel état palestinien ?

Al Smadi, Morsee 09 July 2012 (has links) (PDF)
La question palestinienne est depuis un siècle sans solution. Les Palestiniens qui, tout comme les peuples arabes de la région, espéraient obtenir leur indépendance à l'issue de la 1ère Guerre mondiale se sont vus placés sous Mandat britannique octroyé par la Société des Nations. Depuis la Palestine est la terre d'un affrontement de deux nationalismes ; arabe palestinien d'un côté et juif sioniste de l'autre. L'intervention de l'ONU en vue de résoudre la question par le partage de la Palestine (un Etat arabe et un Etat juif) n'a pas apporté la solution. Au contraire, cela a aggravé la situation. Plusieurs guerres ont éclaté créant des situations humaines terribles notamment en ce qui concerne les réfugiés palestiniens et l'occupation des territoires palestiniens en 1967. De plus, le conflit israélo-arabe a pris un caractère durable. Depuis 1967 le Droit International dans son organisation actuelle se trouve tantôt inappliqué tantôt bloqué. En effet, Bien que les droits nationaux du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'indépendance étatique aient été reconnus et à mainte reprise rappelés fussent l'occupation israélienne perdure. L'échec du Droit International dans le règlement de la question a laissé place à des négociations politiques, entre Israël et les Palestiniens représentés par l'OLP, et qui se sont soldées par la mise en place d'un régime transitoire vers la formation d'un Etat palestinien souverain. La dynamique d'Oslo a consolidé le droit du peuple palestinien à l'autodétermination, notamment par la territorialisation de la direction palestinienne dans les Territoires Occupés et l'instauration des structures institutionnelles autonomes, pouvant servir de base à la construction étatique. Toutefois, forcé de constater une inertie dans les négociations, qui durent depuis dix-huit ans, et un non respect du calendrier établi par les Accords. Aussi, plusieurs éléments mettent en doute la possibilité d'un Etat souverain et indépendant sur les frontières de 1967 : le durcissement de la position israélienne sur la question territoriale ; la volonté manifeste d'Israël de conserver le contrôle sur une partie de la Cisjordanie ; le refus d'évacuer les territoires selon le calendrier ; la multiplication des faits accomplis ; la poursuite de la colonisation et la construction du mur de séparation dans les Territoires Occupés.
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Les relations de la Corée du Sud et les pays d'Asie du Sud-Est. Quelle stratégie pour une puissance moyenne ?

Leveau, Arnaud 22 June 2012 (has links) (PDF)
Au cours de cette étude, nous avons cherché à déterminer le niveau et les moyens de la puissance sud-coréenne. Nous nous sommes demandés si la Corée du Sud ne pourrait pas se présenter comme un État pivot capable de faire le lien entre des états ou des partenaires antagonistes, aussi bien en Asie du Nord-Est qu'en Asie du Sud-Est. Aussi après avoir examiné les moyens de la puissance sud-coréenne nous avons conclu que le pays était une puissance moyenne traditionnelle n'ayant pas encore acquis le statut de puissance régionale et qu'en ce sens elle constituait une puissance atypique. Confrontée aux trois grandes puissances que sont la Chine, les Etats-Unis et le Japon, la Corée du Sud ne dispose que d'une marge de manœuvre très étroite pour affirmer sa présence internationale. Le développement de sa présence en Asie du Sud-Est est donc devenu en l'espace de quelques années un impératif de sa politique étrangère du pays. A l'instar du Japon d'après-guerre, le Sud-Est asiatique constitue une aire d'apprentissage privilégiée pour la diplomatie sud-coréenne et pour son action extérieure.
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Politiques de la nature et nature de l'Etat : (re)déploiement de la souveraineté de l'Etat et action publique transnationale au Mozambique

Nakanabo Diallo, Rozenn 17 May 2013 (has links) (PDF)
Le Mozambique est un 'donor darling' depuis l'indépendance en 1975, et plus particulièrement depuis les Accords de paix en 1992. En matière de conservation de la nature, des bailleurs de fonds internationaux prennent une part active à l'action publique, depuis la conception de la réglementation jusqu'à la gestion quotidienne de parcs nationaux. L'action publique est de fait transnationale : elle est sous-tendue par des narrations, des financements et des acteurs exogènes. Ce travail étudie ce phénomène au sommet de l'Etat, c'est à dire à l'échelle des élites administratives du ministère du tourisme (en charge des questions de conservation) et de deux parcs nationaux (Gorongosa et Limpopo). Grâce à une lecture sociologique de l'action publique, nous montrons combien les élites mozambicaines se situent dans une zone grise : elles s'attachent à mettre en œuvre les feuilles de route de bailleurs qui les rémunèrent (telle la Banque mondiale), mais elles affichent dans le même temps une loyauté vis à vis du parti-Etat Frelimo, au pouvoir depuis l'indépendance. Ainsi, leur maîtrise voire leur partage des visions du monde des bailleurs en matière de conservation va de pair avec leur inscription nationale : la mise en œuvre d'agendas pour partie exogènes n'est pas incompatible avec l'affirmation d'un périmètre des compétences de l'Etat. En d'autres termes, notre hypothèse consiste à penser l'action de ces élites comme participant certes de la transnationalisation de l'action publique, mais également de l'affirmation de l'Etat qui reste au centre du jeu, malgré ses faibles capacités. De manière a priori contre-intuitive, le processus de domination étatique peut se poursuivre sous un régime d'aide, lequel peut même donner lieu à un (re)déploiement de la souveraineté de l'Etat.
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Le Burkina Faso depuis 1991 : entre stabilite politique et illusionnisme démocratique

Natielse, Kouléga Julien 01 July 2013 (has links) (PDF)
Le " Burkina Faso depuis 1991 : entre stabilité politique et illusionnisme démocratique " ambitionne de se projeter au cœur du régime de la IVème République. Les fondements de la domination de l'élite politique post-transition sont examinés à travers la stratégie de conquête du pouvoir politique et la légitimation électorale à travers l'organisation des premières élections pluralistes. Le président Blaise Compaoré progressivement met en place un système de domination verrouillé où les possibilités de changements démocratiques s'amenuisent pour ses adversaires politiques. Cette mainmise du régime de M. Blaise Compaoré nécessite des ressources qui se déclinent en ressources internes et en un répertoire de légitimation internationale qui fait aujourd'hui du président Blaise Compaoré un acteur majeur du jeu politique sous-régional.
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Le rôle de l'Université Ouverte al-Quds (UOQ) dans la formation de la nouvelle élite palestinienne

Hodali, Imad 04 December 2013 (has links) (PDF)
A partir de 1948 la société palestinienne est déstabilisée suite à la guerre qui voit la perte de la Palestine historique. La grande majorité des Palestiniens se retrouve dispersée dans les pays de la région et au-delà de la Méditerranée. Aussi l'élite ancienne construite à partir de fondements religieux, familiaux ou de richesses foncières se retrouve elle aussi expulsée de ses terres. Elle perd donc ses positions de privilèges, désemparée et désorientée, elle ne reviendra plus jamais au devant de la scène nationale palestinienne. Ce sont les hommes qui dirigeront la lutte pour la récupération de la Palestine de 1948, ensuite et à partir de 1967 contre l'occupation de la Cisjordanie et de la bande de Gaza (partie de la Palestine historique) d'abord sous forme de lutte armée ensuite par la diplomatie et la politique de négociations, qui deviennent les nouvelles figures sur la scène politique palestinienne. Ils sont originaires non de l'ancienne bourgeoisie religieuse et familiale mais de la classe moyenne des villes et des zones rurales qui vont recruter dans les camps de réfugiés les futurs combattants. Ce sont les nouveaux dirigeants. C'est un processus qui a commencé dès la moitié des années 1960 pour se consolider avec la création de partis et mouvements palestiniens opérant dans les divers pays d'accueil de la région. Cette nouvelle élite se conforme aux changements et aléas de la diplomatie internationale et d'un rapport de force inégal face à Israël tout au long du conflit israélo-palestinien. Pour comprendre l'évolution des élites palestiniennes il fallait donc adopter l'approche historique des événements et faits marquants touchant le peuple palestinien depuis 1948 jusqu'à l'après-Oslo (1993) ; vingt ans d'Autorité Nationale Palestinienne caractérisée par une souveraineté limitée aux principales villes de la Cisjordanie et de la bande de Gaza, au contraire de ce qu'avaient stipulé les Accords de 1993 : ceux-ci devaient progresser vers le statut définitif des Territoires occupés en 1967. C'est dans ces territoires occupés depuis 1967, en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, que se situe donc notre terrain de recherche. À partir de 1993 les dirigeants rapatriés de l'exil formant les membres dirigeants de l'Autorité nationale, vont favoriser les initiatives de palestiniens, en particulier, les figures proéminentes des villes, dans la création d'établissements universitaires. Ceci est entrepris non seulement pour répondre aux besoins d'éducation d'une population jeune dans un acte de résilience face à l'occupation, mais aussi pour répondre aux exigences du projet de construction des institutions du futur Etat à l'intérieur des Territoires de 1967. De nouvelles compétences, de nouveaux savoir-faire devenaient nécessaires dans cette nouvelle situation du post-Oslo où, en parallèle à la lutte politique, l'enseignement supérieur devenait un enjeu vital pour l'existence de la société palestinienne dont l'ambition est d'avoir une place à part entière parmi les nations modernes du monde. D'autres figures émergeront à partir de ces universités pour former une nouvelle et différente élite qui gouvernera dans un contexte de règles démocratiques où le pouvoir ne sera pas exclusivement dans la main de quelques dirigeants. L'OLP, dès 1990, va créer une Université pour tous, l'Université Ouverte Al-Quds (l'UOQ), se basant sur le mode ouvert et à distance. C'était un choix devenu urgent pour surmonter les difficultés et les entraves qu'imposait l'occupation. L'UOQ connaîtra un grand succès comme en témoigne le nombre grossissant de ses inscrits dans un contexte de tension. Plus tard et malgré son offre limitée dans les disciplines d'études, elle va attirer les jeunes à la recherche d'un métier, les adultes pour poursuivre des études inachevées, les femmes pour la proximité de ses centres d'études.
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Agenda politique et régime de genre : comparaison sociohistorique des évolutions en Russie et en France

Zhukova, Olga 28 May 2013 (has links) (PDF)
La thèse présente l'étude de deux cas nationaux, la Russie et la France, dont les contextes et les genèses des situations présentes sont spécifiques. On suppose que malgré un héritage historique et des institutions politiques différents, les ordres de genre en Russie et en France passent par des étapes semblables. De telles ressemblances sont conditionnées par le fait que la politique publique maintient un ordre de genre inégal et ceci trouve son application dans les structures politiques elle-mêmes, qui représentent une forme pyramidale. Le modèle de l'ordre de genre, propose un cadre théorique heuristique non seulement pour analyser les relations de genre dans les sociétés contemporaines et dans les institutions, mais aussi dans le cadre historique. La thèse a pour objectif d'explorer les différentes facettes de la construction des rapports de genre comme rapports politiques en fournissant à la fois des outils théoriques, une perspective historique, et des études de cas contemporains. La démarche comparative permet de porter un regard décentré sur la réalité propre nationale des rapports de genre, et de questionner des éléments qui peuvent paraître évidents d'un point de vue strictement interne.

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