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Pratiques spatiales, identités sociales et processus d'individualisation. Etude sur la constitution des identités spatiales individuelles au sein des classes moyennes salariées du secteur public hospitalier dans une ville intermédiaire : l'exemple de Tours

Cailly, Laurent 17 December 2004 (has links) (PDF)
A partir d'une enquête qualitative portant sur les modes d'habiter, menée auprès de citadins situés à différents niveaux de la hiérarchie professionnelle hospitalière et résidants dans divers géotypes de résidence (centre, péricentre, banlieue, périurbain) au sein de l'aire urbaine de Tours (France), cette étude explore la relation complexe et protéiforme entre les dimensions spatiale et sociale de l'identité individuelle, en analysant les liens entre le capital spatial et les autres formes de capitaux. Ce travail interroge, plus particulièrement, la genèse et la dynamique des identités spatiales individuelles et tente de saisir la pluralité des contextes spatiaux, sociaux, économiques, culturels et biographiques qui les structure. Pour étudier ces contextes et leurs interférences, nous mobilisons le concept d'habitus dont nous proposons une lecture à la fois géographique et critique valorisant la pluralité et la dynamique des systèmes de dispositions intériorisées. La déconstruction des habitus socio-spatiaux (générateurs de pratiques et de représentations citadines) nous permet de mener une réflexion sur la stratification et la différenciation des classes moyennes, et d'y montrer la tension permanente entre les forces d'organisation collective et les logiques d'individualisation, structurant les modes d'habiter.
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Migration, réseaux transnationaux et identités locales : le cas des Colombiens à New York

Magnan Penuela, Marion 08 December 2009 (has links) (PDF)
A partir d'une ethnographie de la mobilité des travailleurs colombiens originaires de classes moyennes urbaines, cette recherche explore les recompositions spatiales, sociales et d'entraide, à la lumière d'une mondialisation qui prône la flexibilité tout en limitant la mobilité de certains. Les Colombiens font parti du groupe des indésirables au niveau de la mobilité internationale et passent par des formes de contournement et de dénationalisation; mais ils sont bien placés au sein de l'échelle des migrants aux Etats-Unis où ils reconstruisent des identités positives. Cette approche contribue aux études sur les latinos aux Etats-Unis en y positionnant le groupe des Colombiens qui bien que numériquement important est aujourd'hui invisible, mais aussi au débat sur le rôle des réseaux sociaux dans les mobilités. Ces migrants n'utilisent les réseaux d'origine nationale que comme une aide parmi d'autres et la méfiance joue un rôle récurrent dans les liens qu'ils développent. L'approche multi sites incluant le pays d'origine a permis de mieux interpréter les stratégies des personnes qui se construisent au sein d'un seul champ social. L'étude rend compte de la remise en question des hiérarchies et du rôle des femmes au sein des relations transnationales. Enfin, ce travail questionne la fonction de la ville globale et des quartiers multi ethniques non ségrégués dans l'accueil des migrants. En effet, loin des schémas des quartiers ethniques isolés, les Colombiens ont construit différents «espaces colombiens» dont Jackson Heights, dans le Queens, serait un nœud essentiel leur donnant accès à un capital social au niveau du «Grand New York», mais aussi de certains réseaux transnationaux.
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Vivre sur un espace en renouvellement urbain : l'exemple du projet d'aménagement de l'Ile de Nantes et de ses commerçants / Live on a urban regeneration space : the example of urban regeneration of Nantes's Island and his shopkeepers

Guerry, Marion 28 September 2009 (has links)
En s’inscrivant dans le champ de la sociologie urbaine, ce travail de thèse s’interroge sur les conditions d’émergence du changement social dans l’espace urbain. Comment passe-t-on d’un état sociétal à un autre ? L’espace urbain étant à la fois un cadre matériel et un cadre social en interaction, ce travail tente de montrer que l’action urbaine, en définissant un ensemble de démarches qui exercent un contrôle sur la physionomie des espaces, et en tentant de corriger leurs déséquilibres et leurs dysfonctionnements, est l’instrument de la mise en place d’un nouvel ordre social sur un territoire. En s’appuyant sur l’exemple d’une action urbaine, le renouvellement urbain, ce travail se propose d’en faire une lecture sociologique en observant et en analysant ce qu’il préconise pour changer le cadre spatial pour ensuite rendre compte de ses effets sur la réalité sociale. L’intérêt de la recherche est d’observer un processus, au moment même où il se développe, en mettant en exergue ses conditions d’apparition sur un territoire. La réflexion porte sur la manière dont l’espace conçu et pensé rencontre l’espace vécu et pratiqué. / This thesis, set in the field of urban sociology, explores the conditions favoring a modification of the social order in the urban space. How do new structures impose themselves thus transforming the social reality into a new one ? The urban space having at the same time a material and a social content interacting with each other. This work intends to demonstrate that urban action is an instrument which creates a new social order, because this process implies a control on the aspect of spaces by trying to correct their potential imbalances and defects. Following the example of a urban regeneration, this work sociologically observes and analyses the propositions made to change the urban space and the effects it has on the social reality. The interest of this research is to observe a process at the same time it is being developed. The aim of the study is to show how the space that has been conceived and thought beforehand meets the space where one lives.
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De l'école à la ville: analyse des relations entre carrières scolaires, hiérarchies d'établissements et mobilités spatiales à Bruxelles

Devleeshouwer, Perrine 11 December 2012 (has links)
Malgré la prise en compte grandissante des contextes de l’école, qu’ils soient institutionnels ou urbains, la sociologie de l’éducation donne relativement peu de réponses à la question des interactions entre ségrégations urbaines et ségrégations scolaires. La littérature scientifique concernant les interactions entre mondes urbains et mondes scolaires reste assez limitée :sociologie de l’éducation et sociologie urbaine restent deux champs relativement hermétiques l’un à l’autre. Il existe toutefois un point de rencontre entre ces deux domaines sociologiques. Ce croisement apparait autour de la littérature scientifique relative aux « effets de quartier ». Cette littérature prend pour objet l’étude des conséquences des quartiers ségrégués pour les populations qui y habitent et se focalise principalement sur l’enfermement local de ces populations. Cette focalisation peut mener à une vision dichotomique de la ville ainsi qu’à des visions normatives des pratiques de mobilité et d’ancrage territorial. En effet, les études relatives aux effets de quartier reposent, souvent implicitement, sur une valorisation positive de la mobilité spatiale et sur une connotation négative de l’ancrage territorial.<p>Tentant d’apporter une approche novatrice aux recherches relatives aux interactions entre mondes scolaires et mondes urbains et voulant éviter les limites des études relatives aux effets de quartier, notre thèse poursuit une démarche inductive basée sur ces lacunes théoriques. Le premier de ces objectifs est d’intégrer sociologie de l’éducation et sociologie urbaine dans une même approche afin d’appréhender de manière complète les questionnements liés aux recouvrements entre ségrégations scolaires et ségrégations urbaines. Notre deuxième objectif renvoie davantage au contexte de la recherche. Tant la sociologie de l’éducation que la sociologie urbaine ont tendance à se focaliser sur des contextes empiriques hautement ségrégués. Ces recherches montrent les logiques de hiérarchisation et de polarisation du système en opposant les écoles du haut et les écoles du bas de la hiérarchie scolaire. Les contextes scolaires favorisés sont très peu mis en avant en sociologie de l’éducation et les contextes intermédiaires ne le sont presque jamais. L’un des objectifs principaux de notre thèse consiste à investiguer le contexte des écoles dites « moyennes » dans les hiérarchies scolaires. L’objectif principal ici est de déterminer le profil de ces écoles du point de vue des populations scolaires, mais également du point de vue des politiques d’établissement et des vécus que cette position d’école « moyenne » suscite tant chez les élèves que chez les enseignants.<p>Concernant notre approche méthodologique, nous avons mis en place un dispositif de recherche très construit afin de sélectionner des écoles « moyennes ». Cette sélection s’opère par choix raisonné afin de définir clairement les situations étudiées. Deux critères ont été utilisés à cet effet concernant les deux principales formes de hiérarchisation de notre système scolaire :les filières d’enseignement et le niveau socioéconomique des établissements scolaires. Dans les établissements retenus, nous avons utilisé des méthodes mixtes de recueil de données :entretiens, questionnaire, données sur la géographie des lieux de résidence et cartes mentales. <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Vivre son quartier, vivre sa ville au cœur du XXe siècle : modes d'expression de la culture urbaine en milieu populaire québécois dans le quartier Saint-Sauveur de Québec, 1930-1980

Gilbert, Dale January 2011 (has links)
La culture urbaine en milieu populaire québécois se transforme au cours de la seconde moitié du XXe siècle. L’espace urbain et les modes de vie entrent, en effet, dans une période de mutations : développement des banlieues, opérations de rénovation urbaine à moyenne ou à grande échelle, apparition des grandes surfaces et des centres commerciaux, accroissement de la mobilité socioprofessionnelle et du pouvoir d’achat, amélioration du confort domestique, possession de plus en plus répandue d'une automobile, diffusion de nouvelles valeurs (individualisme grandissant, pratique religieuse et soumission à l'influence religieuse en déclin), etc. Cette thèse examine ces transformations de la culture urbaine en milieu populaire québécois dans le quartier Saint-Sauveur de Québec entre 1930 et 1980; plus précisément l’évolution de l’expérience du quartier et de la ville de ses résidants qui ne le quittèrent pas, du moins définitivement, ou qui vécurent ces changements en tout ou en partie avant de le faire. Une enquête orale menée auprès de trente hommes et femmes ayant demeuré dans ce quartier pendant la période étudiée est au cœur de la démarche méthodologique. Nous avons examiné quatre facettes d’une culture urbaine qui nous sont apparues les plus susceptibles de révéler l’essence de l’expérience du quartier et de la ville. Il s’agit des trajectoires résidentielles, des pratiques associées à la consommation et aux loisirs, aux divertissements et à la vie communautaire et associative, des sociabilités et finalement du rapport identitaire à l’espace vécu et des représentations sur le milieu de vie et sur les autres espaces urbains. L’évolution de cette expérience entre 1930 et 1980 révèle une part notable de libre choix dans les trajectoires résidentielles, une redéfinition des rapports à la proximité et à l’accessibilité physique, un étiolement des sociabilités et la place centrale que conserve la paroisse au cœur du rapport identitaire à l’espace vécu et des représentations sur le milieu de vie et sur d’autres espaces urbains. Des facteurs modelant cette expérience traversent plusieurs des quatre facettes étudiées, soit les revenus des ménages, l’homogénéité sociodémographique et socioéconomique du quartier Saint-Sauveur, la localisation de ce dernier dans la ville de même que l’institution paroissiale.
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Évolution des représentations du corps féminin et de la femme en milieu urbain africain : le cas de Bolgatanga (Ghana)

René, Marie-France 11 April 2018 (has links)
Le contenu de ce mémoire porte sur l'évolution des représentations du corps féminin et de la femme en milieu urbain africain. En me basant sur des récits de vie et des entrevues recueillis auprès de femmes adultes et adolescentes de la ville Bolgatanga au Ghana, j'ai tenté d'analyser les changements de mentalité en cours dans la ville à propos de la femme dite « légitime » et « illégitime », de son rôle dans la société, de ses rapports avec les hommes et de la possession ou de la dépossession de son corps, de sa sexualité. En effet, dans un contexte social où l'écart entre les générations devient de plus en plus important, où l'incompréhension entre les parents et leurs enfants est flagrante, l'étude des représentations devient de ce fait un excellent outil pouvant permettre de cibler les fondements idéologiques se trouvant à la base de cette fissure générationnelle. Cette étude amène de ce fait un nouvel éclairage sur l'évolution des mentalités chez les femmes catholiques par rapport à la vie des femmes, au corps féminin et à son utilisation comme valeur marchande, une stratégie qui se développe rapidement, qui change de forme et qui est perçue, selon les résultats obtenus, de manière différente à travers le temps. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Les Anciennes Halles et Places de marché au Québec : étude d'ethnologie appliquée

Bergeron, Yves 17 September 2020 (has links)
No description available.
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Les choses de la rue et leurs publics. Pour une connaissance ambulatoire de l'espace public objectal à Bruxelles.

Laki, Giulietta 24 September 2018 (has links) (PDF)
Que se passe-t-il si l’on considère que les objets sont partie prenante de la vie publique ?Cette hypothèse est explorée ici au départ d’une entrée spécifique, celle des objets qui peuplent les rues d’une ville, Bruxelles. Comment les objets participent-ils à l’espace public urbain ?La notion d’« espace public » a pour principal atout le fait de thématiser un lien entre le spatial et le sociétal, entre matérialité de la ville et vie publique, entre le quotidien et le politique ;mais rares sont les études qui analysent la nature de ce lien. C’est ce que nous allons faire ici, par le biais d’une ethnographie des choses déposées ou abandonnées dans les rues de Bruxelles et des interactions qu’elles génèrent et auxquelles elles prennent part. Autrement dit, il s’agit de jauger la portée politique d’une dimension de la production de l’espace public qui n’est usuellement pas considérée sous cet angle :le façonnement de la ville par les objets de petite taille et traces d’usage qui marquent l’espace urbain au quotidien. Une telle perspective intègre au titre de « producteurs » des espaces publics d’autres acteurs que les seuls concepteurs professionnels et acteurs politiques :elle met sur un pied d’égalité des acteurs aussi différents que pouvoirs publics, riverains, sans-abris, multinationales, etc. elle rassemble autant des objets explicitement politiques que des choses abandonnées dans la rue par mégarde.Cette thèse s’attache à ces choses de la rue en adoptant une approche « radicalement empirique » (William James), faisant l’hypothèse que leur prise en compte ouvre une dimension inexplorée de l’espace public – que je nomme « espace public objectal ». Comment ces objets naissent-ils ?Comment les interactions qui les impliquent fonctionnent-elles ?Qui prend place dans cet espace public formé par les objets ?Qui en tient compte ?L’hypothèse de l’« espace public objectal » est à la fois descriptive et spéculative. Pour faire ses preuves elle nécessite un cheminement non seulement empirique mais aussi théorique. La thèse se déploie ainsi en quatre opérations distinctes et liées :1. éclairer la dimension plus-que-discursive de la communication dans la rue, qui inclut les objets et espaces au même titre que les textes écrits ou parlés ;2. étendre la théorie des publics de John Dewey aux objets pour se donner les moyens d’évaluer la portée publique et politique des choses et traces qui prennent place dans la rue ;3. par le biais d’une « connaissance ambulatoire » (William James) suivre les réseaux de sens et de relations qui se nouent par et autour les choses de la rue pour explorer la portée des objets et la dimension spécifiquement « objectal » de l’espace public urbain ;4. rapporter les contributions objectales au façonnement de l’espace urbain pour évaluer ce que leur prise en compte fait aux théories de l’espace public, et plus spécifiquement à la notion de « participation urbaine ». Si les objets et traces qui constituent le corpus de cette thèse peuvent initialement sembler anecdotiques et anodins, l’enjeu est en réalité considérable :le décentrement du regard (prendre en compte ce qui passe généralement inaperçu) fait monter sur la scène publique et politique des acteurs et enjeux qui ne sont pas représentés dans les sphères publiques et médiatiques généralement considérées comme relevant de l’« espace public ». L’attention à la dimension objectale de l’espace public permet ainsi d’obtenir une vision plus globale des façons de participer à la sphère publique d’une société :les contributions n’y sont plus (que) des arguments rationnels et discursifs, mais également des actes et objets qui fonctionnent sur un registre émotionnel et esthétique ;elles n’y sont plus (que) des actes accomplis de façon délibérée, mais également les effets indésirés de ces mêmes actes, et les effets d’actions sans aucune visée politique. Je propose ainsi de reconnaitre ces objets et traces comme une forme spatiale et matérielle de participation urbaine, que je nomme « participation objectale ». / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les usagers des campus universitaires marseillais face à la délinquance et aux incivilités / University campuses users in Marseille confronting delinquency and incivility

Weiss, Pierre Olivier 03 December 2018 (has links)
La question de la sécurité et du sentiment d’insécurité à Marseille se résume trop souvent à la problématique des « cités » et à l’image des trafics de drogue et des règlements de compte qu’ils évoquent. Ces sujets sont certes réels et importants, mais ils ne doivent pas occulter les problèmes de « délinquance » et d’« incivilités » plus classiques et autrement plus nombreux qui se posent dans toutes les grandes villes, de multiples manières. Les années 1980, sous l’influence des recherches anglo-saxonnes, marquent justement un tournant majeur puisque, conscient des limites de la statistique administrative, on commence à mesurer ces phénomènes sociaux du point de vue de la victime. Alors que des enquêtes en population sont réalisées en France depuis plusieurs années, aucune d’entre elles ne s’intéresse aux usagers des campus universitaires quand bien même les effectifs d’étudiants explosent dans le dernier quart du 20e siècle. En effet, aujourd’hui, l’université représente un passage obligé pour une part importante de la jeunesse.Comment, les campus universitaires, des espaces sociaux similaires au premier regard, laissent-ils apparaître des différences en termes de victimation et de sentiment d’insécurité ? Quelle est le volume des victimations recensées et qui sont les victimes ? Peut-on comprendre l’origine des peurs éventuelles des étudiants et des personnels de l’université ? En quoi l’organisation de la sécurité, les problèmes de délinquance locale ainsi que les représentations sociales forment-ils un ensemble de phénomènes qui s’articulent et s’alimentent ? / The question of security and fear of crime in Marseille is all too often limited to the problem of "cités", the image of drug trafficking and the settling of accounts they evoke. These topics are certainly real and important, but they should not overshadow the more classic and numerous "delinquency" and "incivility" problems that arise in many ways, in all major cities. The 1980s, under the influence of Anglo-Saxon research, mark a turning point. Aware of the limits of administrative statistics, we began to measure these types of social phenomena from the point of view of the victim. While population surveys have been carried out in France for several years, none of them are interested in members of university campuses even though the student population exploded in the last quarter of the 20th century. Indeed, today, the university represents a necessary passage for a substantial part of the youth.How do social spaces, which are similar at first glance, reveal differences in terms of victimization and fear of crime? What is the intensity of victimization and who are the victims? Can we understand the origin of the fears of students and university staff? In what way are the security organizations, the problems of local delinquency as well as the social representations a set of phenomena that articulate and feed each other?This thesis, which is a part of the sociology of delinquency and urban sociology fields, does not resolutely lean towards spectacular crime incidents absent from the campus landscape, but rather, towards everyday life problems of members of 3 main Marseilles’ campuses.
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Migration, réseaux transnationaux et identités locales : le cas des Colombiens à New York / Migration, transnational networks and local identities : the case of Colombians in New York

Magnan Penuela, Marion 08 December 2009 (has links)
A partir d’une ethnographie de la mobilité des travailleurs colombiens originaires de classes moyennes urbaines, cette recherche explore les recompositions spatiales, sociales et d’entraide, à la lumière d’une mondialisation qui prône la flexibilité tout en limitant la mobilité de certains. Les Colombiens font parti du groupe des indésirables au niveau de la mobilité internationale et passent par des formes de contournement et de dénationalisation; mais ils sont bien placés au sein de l’échelle des migrants aux Etats-Unis où ils reconstruisent des identités positives. Cette approche contribue aux études sur les latinos aux Etats-Unis en y positionnant le groupe des Colombiens qui bien que numériquement important est aujourd’hui invisible, mais aussi au débat sur le rôle des réseaux sociaux dans les mobilités. Ces migrants n’utilisent les réseaux d’origine nationale que comme une aide parmi d’autres et la méfiance joue un rôle récurrent dans les liens qu’ils développent. L’approche multi sites incluant le pays d’origine a permis de mieux interpréter les stratégies des personnes qui se construisent au sein d’un seul champ social. L’étude rend compte de la remise en question des hiérarchies et du rôle des femmes au sein des relations transnationales. Enfin, ce travail questionne la fonction de la ville globale et des quartiers multi ethniques non ségrégués dans l’accueil des migrants. En effet, loin des schémas des quartiers ethniques isolés, les Colombiens ont construit différents «espaces colombiens» dont Jackson Heights, dans le Queens, serait un nœud essentiel leur donnant accès à un capital social au niveau du «Grand New York», mais aussi de certains réseaux transnationaux. / Based on the ethnography of the mobility of middle-class Colombian workers of urban origin, this research explores the spatial, social and solidarity reconstructions, amidst a globalization process which advocates for flexibility while restricting the mobility of certain individuals. Colombians belong to an undesirable group when it comes to international mobility and they go through certain forms of bypassing and citizenship denial; however they are well positioned when it comes to the social standing of migrants in the United States, finding ways to recreate positive identities. This approach contributes to the studies about Latinos in the United States, not only placing Colombians within this group, currently invisible in spite of their growing number, but also placing them in the debate of the roll of social networks in mobilities. These migrants only use the national origin networks as an aid among others and distrust plays a recurrent roll in the connections they develop. The multi city approach, including the country of origin, has allowed a better interpretation of the strategies of persons who grow in a unique social field. This study brings back the question of hierarchy and of the roll of women in transnational relationships. Finally, this study questions the function of the global city and of non segregated multi-ethnical neighbourhoods concerning the reception of migrants. In fact, far from the schemes of isolated ethnic neighbourhoods, Colombians have built different «Colombian spaces», Jackson Heights in Queens being an essential knot giving them access to a social capital, not only at a «Great New York» level, but also to certain transnational networks.

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