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What's Love Got to Do with It? An Exploration of the Symposium and Plato's LovePinson, Remy P 01 January 2013 (has links)
To many people love is special, sacred even. Love plays a countless number of roles for a countless number of people. Contemporary ideas about love, however, are more in alignment with the philosophies of Aristotle, and not of Plato. Aristotle held that love could exist as many people see it today – wishing well for others purely for their own sake. But Plato disagreed. Plato claimed that love was a way by which one could better themselves and become wiser. In this thesis, I explain Plato’s theory of love put forth in the Symposium. I also explore the textual evidence for the selfish nature of Plato’s love.
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Elenchos et poésie : l'effet esthétique de Socrate dans le "Charmide" de PlatonMousseau, Fanie 11 1900 (has links)
Le Charmide de Platon s’inscrit légitimement dans ce qu’il est convenu de nommer les « dialogues de jeunesse », et nous y constatons la forte présence de ce qui caractérise traditionnellement l’activité philosophique de Socrate, soit la réfutation. Cependant, tandis que les réfutations effectuées directement sur le jeune Charmide ne produisent aucun effet, celui-ci réagit fortement aux réfutations que Socrate fait subir à son tuteur Critias et auxquelles il assiste passivement. Qu’est-ce qui, dans ce qui s’apparente vraisemblablement à une réfutation indirecte, produit l’ébranlement de Charmide? Nous voulons regarder en quoi la réfutation est ici un traitement purgatif non pas par l’usage d’affirmations propositionnelles contradictoires, mais par une certaine dialectique de l’image, celles de Critias et de Socrate devant Charmide. Cette dialectique de l’image en appelant à une réflexion sur la dimension mimétique du rapport qu’entretient le jeune garçon avec ces deux hommes, nous voulons ainsi regarder en quoi la réfutation indirecte de Charmide nous dresse les contours d’une possible activité poétique de Socrate. Cette poésie résisterait à la critique que celui-ci en fait plus tard dans la République par un usage de l’image qui vise non plus à proposer des modèles fixes de la vertu, mais à montrer le mouvement de la pensée, et donc à « sensibiliser » Charmide à l’élan intellectuel qui l’habite et l’anime lui-même. Ainsi, en nous penchant sur la présence dans le Charmide de ce que nous nommons une « réfutation poétique », ce mémoire explore la possibilité de penser ensemble ce qui semble assoir l’intellectualisme socratique des premiers dialogues et la poésie qui, par son absence de visée intellectuelle, est rejetée par le Socrate de la République à moins qu’elle ne prenne la forme d’un « éloge des hommes bons ». / Plato's Charmides is part of what we refer to as the «early dialogues», and we find in these dialogues a major feature of Socrates's philosophy, mainly refutation. However, while these refutations don't have any effects on the young Charmides, he still reacts to Socrates's refutation of Critias. We wonder how this indirect refutation produces such a reaction on Charmides. We look at how refutation represents here a purgative treatment not by using contradictory propositions, but with the use of a certain dialectic of the image, the ones of Critias and Socrates facing Charmides. Examining this dialectic, which refers to the study of the mimetic dimension that the young boy maintains with the two men, we wish to reflect on how the indirect refutation of Charmides draws the outline of Socrates's possible poetical activity. This poetry resists to the critics made later in the Republic pertaining to the use of images relating to certain models of virtue, by showing the motion of thought, and hence guiding Charmides in his own intellectual motion. By reflecting on the «poetical refutation» we find in Plato's Charmides, this thesis explores the possibility of linking what seems to ground Socrates's intellectualism in the early dialogues to the poetry that is rejected par Socrates in the Republic, besides the one that pertains to the «defense of good men».
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Le Banquet de Platon : l'apologie d'Alcibiade ou les paradoxes d'ÉrosFortin, Jérôme 04 1900 (has links)
Ce mémoire cherche à évaluer la culpabilité de Socrate face à l’échec et à la corruption d’Alcibiade, telle que la question se pose dans le Banquet de Platon. Il comprend quatre chapitres. Le premier démontre que le cadre dramatique lui-même fait occuper une place centrale à la vie et au déclin d’Alcibiade et au problème de la responsabilité de Socrate face aux accusations de corruption de la jeunesse qui ont pesé sur lui. Le deuxième chapitre interprète le discours d’Alcibiade comme une tentative de disculpation qui repose sur une critique acerbe du comportement de Socrate. Il se serait détourné de Socrate et de ses enseignements en raison de son ironie, de son arrogance et de son indifférence – de son hybris. Le troisième chapitre étudie le discours de Socrate sur l’accession à la beauté intelligible. Il expose la nature particulière de son éros, qui repose sur l’ironie et l’inversion des rôles comme moyens d’exhorter à la philosophie. Le quatrième chapitre pose la question de l’efficacité de ce type de pédagogie et de la responsabilité du philosophe vis-à-vis de ses disciples. L’étude conclut que l’amour et l’ironie de Socrate sont essentiellement des moyens d’inviter l’autre à se remettre lui-même en question et à prendre soin de son âme. Socrate n’est donc pas coupable d’avoir corrompu Alcibiade. La faute est entièrement celle du jeune homme. Il s’est montré incapable, par égocentrisme et fierté excessive, de réagir correctement à l’énigme posée par le comportement érotique de Socrate. / This essay on Plato’s Symposium assesses to what extent Socrates could be held guilty for Alcibiades’ failure and corruption. The first of the four chapters shows that Alcibiades’ life and decline and the accusation against Socrates of youth corruption are central to the dramatic structure. The second chapter interprets Alcibiades’ speech as a sharp criticism of Socrates’ behaviour meant to exculpate himself. Alcibiades justifies his walking away from Socrates and his teachings on the basis of the philosopher’s irony, arrogance and indifference – his hybris. The third chapter looks at Socrates’ speech, which sets out the path to the highest form of Beauty. It explores the particular nature of his eros, which relies especially on irony and role inversion to induce philosophical thinking. The fourth chapter asks how effective this kind of pedagogy is, and what is the responsibility of the philosopher to his students. It is concluded that Socratic love and irony are essentially to be conceived of as means of inciting followers to put themselves into question and take greater care of their souls. Socrates is thus not guilty of corrupting the young man. The fault is entirely Alcibiades’. His pride and selfishness are what prevented him from meeting the challenge that Socrates’ erotic behavior put before him.
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L'ironie kierkegaardienne : du mode de vie à l'herméneutiqueLemire-Cadieux, Roseline January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Nietzsche et le problème de SocrateDiotte, Etienne 10 1900 (has links)
Ce mémoire a pour but d’élucider l’analyse et l’évaluation nietzschéennes du sens et de la portée de la figure de Socrate dans les cultures antique et moderne. Pour ce faire, nous nous pencherons d’abord sur la question de l’identité de Socrate, ce qui permettra d’introduire une distinction centrale à l’analyse de Nietzsche, soit celle entre la doctrine et la personnalité du célèbre Athénien. En effet, Nietzsche isole la personnalité de Socrate, qu’il circonscrit à partir des notions d’instinct, de pulsion et d’affect, de sa doctrine, qu’il appelle le socratisme et qu’il définit à partir de l’équation socratique raison = vertu = bonheur. Ensuite, nous développerons les trois éléments sur lesquels il s’appuie pour expliquer que Socrate ait pu séduire les Grecs, soit le fait qu’il fut un grand érotique, qu’il introduisit une nouvelle forme de joute à Athènes et qu’il apparut comme étant un médecin pour ses contemporains. Cette question des raisons permettant d’expliquer que Socrate ait pu séduire les Grecs est déterminante pour Nietzsche, puisque c’est de là qu’il est amené à se demander qui est ce Socrate et quel a été son véritable impact sur la culture, soit les deux questions qui sont au cœur de ce qu’il appelle « le problème de Socrate ». Enfin, nous nous pencherons sur le diagnostic que le philosophe allemand pose sur le célèbre Athénien ainsi que sur son évaluation de l’impact du socratisme sur les cultures antique et moderne, après quoi nous présenterons l’inversion des valeurs que Nietzsche tente d’opérer dans sa propre culture. Nous verrons alors qu’il cherche entre autres par cette inversion des valeurs à nous libérer du socratisme, car il est d’avis que cette doctrine dévalorise toute forme d’agir puisant ses motifs dans ce qui relève de l’inconscient et survalorise une morale luttant contre les pulsions dominantes en nous. / The purpose of this thesis is to investigate Nietzsche’s analysis and assessment of the
meaning and the impact of Socrates’ character on the classical and modern culture. To
that effect, I will emphasize the question of Socrates’ identity, in order to introduce the crucial issue in Nietzsche’s analysis, namely the distinction between Socrates’ doctrine and his character. Nietzsche isolated Socrates’ character – which he defined through the categories of instinct, drive, and affect – from his doctrine, which he labelled socratism and defined through the Socratic equation reason = virtue = happiness. This thesis explores the three core elements Nietzsche used to explain how Socrates was able to seduce the Greeks: not only was Socrates a very erotic figure, he also introduced a new form of debate to Athens, and was considered an eminent physician by his contemporaries. Socrates’ appeal to the Greek is of fundamental importance to Nietzsche, since it prompted him to question Socrates’ inherent character, and his true impact on Athenian culture. It thus forms the crux of what he called “the problem of Socrates.” Nietzsche’s understanding of socratism as well as its impact on classical and modern culture allows him to revaluate all values within his own culture. To that effect, I reveal Nietzsche’s critiques of socratism – in particular, his belief that society needed to be liberated from socratism, since it denies all agency to individuals. Given that it was strongly motivated by the unconscious, socratism, according to Nietzsche, overemphasizes a certain morality in the struggle against our dominant impulses.
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Rethinking representative democracy : Representation beyond contestation & partisan politicsNazerian, Lua January 2019 (has links)
The current forms of representative democracy have come to face various fundamental challenges such as: decrease in political participation, distrust in partisan politics and politicians and perhaps increase of ideological polarization. To take solace in the belief that the current democratic tools are far from perfect yet the finest in modern societies, has not contributed to solution-oriented modifications of its efficacy. In this thesis Lua Nazerian intends to address the inadequacies and inherent limitations in the current form of representative democracy, by analyzing its underlying assumptions through a critical examination of the fundamental challenges in Classical pluralism, Agonist and Deliberative democratic theory. Furthermore, it proposes some modifications drawn from the Socratic idea of the non-pursuit of power, the bottom-up political approach and the learnings from the worldwide Baha’i community. The study is carried out within the field of international relations with a normative approach as well as it incorporates a case study of the Baha’i electoral and decision-making principle. Nevertheless, by using the Socratic idea together with the Baha’i principles in a bottom-up approach shifts then the paradigm from the inherent competitive culture of representative democracy to a more inclusive solution-oriented culture of learning.
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L’histoire ecclésiastique de Socrate de Constantinople : banque de données et autorité historiographiques pour la création d’œuvres originales au VIè. s. (Théodore le Lecteur, Cassiodore, la première version arménienne / The ecclesiastical history of Socrates of Constantinople : databank and historiographical authority for the creation of original works in the 6th. s. ( Theodore the Reader, Cassiodorus, the first Armenian version )Delacenserie, Emerance 09 September 2016 (has links)
Cette thèse doctorale a pour objet l’étude de la réception de l’Histoire Ecclésiastique de Socrate de Constantinople dans trois œuvres tardo-antiques : l’Histoire Tripartite (HT) de Théodore le Lecteur, composée en grec en 518, l’Histoire Tripartite (HT) de Cassiodore composée en latin (1re moitié du VIe s.), et la première version arménienne de Socrate (« Grand Socrate ») (VIe-VIIe s.). Les œuvres de Théodore et de Cassiodore sont traditionnellement considérées comme de simples compilations alors que le Grand Socrate n’est perçu que comme une traduction. Une double question a guidé notre recherche : comment et pourquoi les auteurs tardo-antiques ont-ils exploité l’Histoire Ecclésiastique de Socrate de Constantinople ? Pour répondre à ces questions, nous avons examiné quel rôle jouait l’œuvre de Socrate dans chacun des trois témoins ciblés, en déterminant préalablement la fonction de ces œuvres « réceptrices » à leur propre époque. Dans les trois témoins analysés, malgré les différences apparentes entre « compilation » et « traduction », l’auteur a procédé à une déconstruction de l’Histoire ecclésiastique de Socrate – son matériel historiographique est disséqué en notices ou en morceaux – et a ensuite arrangé ce matériel, l’a reconstruit selon des critères méthodologiques et historiographiques propres. L’œuvre de Socrate est avant tout une source d’informations sur l’histoire de l’Eglise dont se servent les trois « récepteurs » en vue de créer leur propre récit, original, des mêmes événements. L’entérinement de leur récit ne repose pas sur le respect de la signification historiographique de l’œuvre de Socrate mais sur l’autorité qui émane de l’invocation du nom de son auteur. / This Ph.D. thesis examines the reception of the Church History of Socrates of Constantinople in three late-antique historiographical texts: the Tripartite History (TH) of Theodorus Lector, composed in Greek in 518, the Tripartite History (TH) of Cassiodorus, written in Latin in the first half of the sixth century, and the first Armenian version of Socrates (the so-called « Great Socrates », 6th-7th c.). The works of Theodorus and Cassiodorus are traditionally considered to be mere compilations whereas the Great Socrates was considered a mere translation. The core research question of this thesis is a double one: how and why did these late-antique authors use the Church History of Socrates of Constantinople? In order to answer these questions, I examine the role of Socrates’ work in each of the three historiographical texts under examination in view of the function that each of these new texts fulfilled in their own context. Notwithstanding the differences between a “compilation” and a “translation”, or the clear differences between the HT of Cassiodorus and Theodore, each of our three witnesses has deconstructed the Ecclesiastical History of Socrates, divided it up in separate notices and pieces, then re-arranged the material to reconstruct it according to his own methodological and historiographical criteria. Socrates is above all a source of information for church history, used by all three witnesses with the aim of creating their own, original narrative of the same events. The validity of their narrative does not derive from a respect for the historiographical significance of the work of Socrates but on the authority evoked by his very name.
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O princípio da integridade como o princípio de potência na figura de Sócrates, segundo a obra de Xenofonte / The principle of integrity as the principle of potency in the figure of Socrates, according to Xenophons worksLeonetti, Flavio Luis Mestriner 01 October 2013 (has links)
A partir do referencial paradigmático e exemplar da figura e disciplina (eu zen) de Sócrates na obra de Xenofonte, desenvolvem-se a análise, a reflexão sobre o princípio reintegrador perante a inexorabilidade, o desconhecimento e a incerteza do real, com vistas à reconciliação proporcional, ao desenvolvimento satisfatório da integridade razoável, para que o homem possa adquirir não somente a compreensão filosófica, mas também condições de resistência, de flexibilidade estratégica - enfim, a capacidade suficiente de transformação e relacionamento com os problemas fundamentais da existência. / From the paradigmatic reference and example of socratic discipline (eu zen) in the Xenophons works, the reflections about the re-integrating principle facing the inexhaustible, uncertain and unknown reality can be developed, searching the proportional reconciliation, the satisfactory and reasonable integrity for the human being to acquire not only the philosophical understanding, but also the conditions of resistence, of strategic flexibility the sufficient capacity to deal with and transform the fundamental problems of existence.
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Xénophon et Athènes / Xenophon and AthensFinocchio, Erika 11 December 2009 (has links)
Cette étude a pour but d’analyser l’attitude de Xénophon vis-à-vis d’Athènes et de la démocratie. En retraçant les événements de l’histoire athénienne comme ils sont relatés dans les Helléniques et comme l’auteur les a vécus, le travail vise à démontrer : - que Xénophon ne condamne pas la démocratie comme une forme politique injuste, bien qu’il n’approuve pas ses choix politiques au cours du Ve siècle ; - que, grâce à la leçon tirée de l’expérience de l’échec subi au Ve siècle, Athènes est la seule cité capable, aux yeux de l’auteur, de résoudre le conflit entre Grecs et d’apporter la paix en Grèce au IVe siècle ; - que Xénophon essaie d’améliorer la démocratie sans apporter de réformes structurelles, mais à travers une réforme des mentalités politiques selon le modèle socratique. / The following study aims to analyse Xenophon’s attitude to Athens and democracy. By recounting the events of Athenian history as they are related in Hellenica and as the author experienced them, the work aims to demonstrate: - that Xenophon does not condemn democracy as an unfair form of politics, even though he does not agree with the political decisions made by Athens during the 5th century B.C. - that, due to the lessons it learnt from its defeat in the 5th century B.C., Athens is the only city capable, in the eyes of the author, of resolving the conflict between Greeks and bringing peace to Greece in the 4th century B.C. - that Xenophon would like to improve democracy, not through structural reforms but through a reform of political thinking based on the Socratic model.
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Mal, modernidade e pensamento em Hannah Arendt: Sócrates e Eichmann em perspectiva / Evil, modernity and thinking in Hannah Arendt: Socrates and Eichmann in perspectiveSilva, Thiago Dias da 02 July 2013 (has links)
Este trabalho pretende discutir alguns elementos presentes nas figuras de Sócrates e Adolf Eichmann tal como descritos por Hannah Arendt. A aparentemente indecorosa aproximação ganha sentido por meio da noção arendtiana de pensamento, que encontra em Sócrates seu modelo e cuja falta caracteriza Eichmann. Para tanto, reconstruímos a crítica arendtiana à modernidade por meio da ideia de alienação do mundo, que acompanha a modernidade desde seu nascimento passando pelo período do imperialismo e culminando na sociedade de massas, da qual Eichmann pode ser tomado como exemplo concreto. Em contraposição, discutimos Sócrates como exemplo de pensador ainda não marcado pela hostilidade que, segundo Arendt, nossa tradição filosófica estabeleceu contra a política. Por fim, discute-se a inacabada teoria arendtiana do juízo, atividade intimamente relacionada ao pensamento e que certamente permitiria a Eichmann uma resposta mais consistente à pergunta: por que não entrar para a SS? / This work intends to discuss some of the elements concerning Socrates and Adolf Eichmann as described by Hannah Arendt. The apparently inappropriate rapprochement reveals its sense through Arendts idea of thinking, to which Socrates provides a model and the lack of which marks Eichmann. In order to let our point clear, we reconstruct Arendts criticism against modernity focusing on the idea of world alienation, present in modernity since its beginning, through the whole period of imperialism and reaching its peak in modern mass societies, of which Eichmann can be seen as a concrete model. On the other hand, we discuss Socrates as an example of thinker whose activity is still free from the hostility that, according to Arendt, our tradition of political philosophy established against politics. At last, we discuss the Arendts unfinished theory of judgment, activity closely related to thinking and that certainly would provide Eichmann a more consistent answer to the question: Why not join the SS?
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