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Portos de vista : o si mesmo e o cinemaAlmansa, Sandra Espinosa January 2017 (has links)
La présente thèse traite du sujet de la formation de soi-même, coûteux pour l'éducation, en mettant l'accent sur la figure du spectateur du cinéma. Sa création prend pour intercesseurs des témoignages de spectateurs, dont les récits, organisés autour de la mémoire d’oeuvres frappantes, exposent une cathégorie particulière de films : les films d’une vie. Il s’agit de films qui, à l’insu de leur importance dans l’histoire du cinéma, ont eu une importance dans «l’histoire individuelle » de chaqu’un, films dont l’élection se fait à partir d’une intimité première avec le corps de celui qui le regarde, en fait l’expérience, et est prêt à raconter son expérience, ou, plus exactement, les souvenirs qu’en demeurent. Extraits de la collection de livres intitulée Les films de ma vie, dont l’organisation a été entreprise par Leon Cakoff à l’occasion du 32ème Festival Internacional de Cinéma de São Paulo, les récits, tissés avec les images qui sont «emportées avec soi », indiquent qu’il y a quelque chose d’une vie qui se passe dans l’acte de réminiscence des films lesquels, pour quelque raison, sont «portés » pour la vie. Quelque chose qui concerne le passage et l’invention du temps, les différentes postures du corps et de l’âme, les expériences du monde et de l’être. Par conséquent, les questions proposées par la thèse au sujet de ce qu’elle suppose être un mouvement ontologique, poussé par l’expérimentation cinématographique vers le soi-même, résultent d’une conversation avec les récits et de la rencontre avec les « choses » qu’ils donnent à voir. En outre, à côté des témoignages, compose aussi la thèse l’attitude esthétique de la chercheuse elle-même qui, dans la condition de spectatrice et aimante du cinéma, prend pour intercesseurs aussi les films de sa propre collection pour, en mouvant les choses d’un côté à l’autre, exercer l’écriture. La necessité de la relation avec la parole d’autrui pour la composition de sa propre écriture exprime, ainsi, une certaine inscription benjaminienne dans la téssiture théorique et méthodologique de la tâche. On n’entend pas reconstituer, à partir de vestiges de l’expérience, aucune totalité : on vise plutôt ruminer et problématiser le thème à partir du choix de textes qui, déplacés de son origine textuelle, s’engagent à composer poétiquement le texte autre de la thèse. Dans ce chemin de rencontres et passages se mobilise la question : comment, de «l’ouverture au monde » immanente au cinéma, peut devenir l’ouverture au monde du soimême, relative au plan ontologique, dans la sphère de la réception – dans la mesure où cette réception est si proche du sujet de la formation de soi-même, dans les pratiques éducatives? / Esta tese trata do tema da formação de si, caro à educação, com foco na figura do espectador do cinema. Parto dos depoimentos de alguns espectadores, cujas narrativas foram organizadas em torno de sua memória, em relação a um tipo particular de filmes: os filmes de uma vida. Trata-se de filmes que, a despeito de sua importância para a história do cinema, tiveram importância para a “história individual” de cada um, filmes cuja eleição sucede a partir de uma intimidade primeira com o corpo daquele que olha, experimenta, e se dispõe a narrar sua experiência, ou, mais propriamente, as lembranças do que dela resta. Tais narrativas foram selecionadas a partir da coleção de livros intitulada Os filmes da minha vida, cuja organização foi iniciada por Leon Cakoff, à ocasião da 32ª Mostra Internacional de Cinema de São Paulo. Os depoimentos, tecidos por entre imagens que alguém “leva consigo”, indicam que qualquer coisa de uma vida se passa no ato de reminiscência de filmes, os quais, por alguma razão, são “carregados” pela vida afora. A tese, portanto, trata do tema da passagem e da invenção do tempo, também de diferentes posturas do corpo e da alma, sobre as experiências do mundo e do ser. Assim, as questões propostas pela pesquisa, relativamente ao que suspeita tratar-se de um movimento ontológico, impulsionado pela experimentação cinematográfica em direção ao si mesmo, surgem de uma conversa com as narrativas e do encontro com as “coisas” que elas trazem à vista. Além disso, ao lado dos depoimentos, integra a tese a atitude estética da própria pesquisadora que, na condição de espectadora e amante do cinema, toma como intercessores também os filmes de seu próprio acervo para, movendo as coisas de um lado a outro, ensaiar a escrita. A necessidade da relação com a palavra de outrem para a composição da própria escritura exprime, assim, certa inscrição benjaminiana na contextura teórica e metodológica do trabalho. Não há intenção de reconstituir, a partir dos resquícios da experiência, qualquer totalidade: busca-se antes problematizar o tema a partir da escolha de excertos que, deslocados de sua origem textual, passam a compor poeticamente o texto outro da tese. Por esse caminho de encontros e passagens, mobiliza-se a pergunta que move a tese: como, da “abertura para o mundo” imanente no cinema, pode devir a própria “abertura do mundo”, referente ao plano ontológico, na esfera da recepção – na medida em que tal recepção se encontra tão próxima do tema da formação de si, nas práticas educacionais? / This thesis deals with the subject of the self formation, expensive to the education, with focus on the figure of the spectator of the cinema. Its creation dialogues with statements made by spectators, whose narratives, organized around the memory of meaningful oeuvres, cover a specific category of films: the films of a life. It refers to films that, despite their importance to cinema history, were important in each one’s “individual history”, films which choice starts at a first intimacy with the watcher’s body, who experiments and is willing to tell their experience or, more exactly, its remaining memories. Selected from the book collection entitled The films of my life, which organization was started by Leon Cakoff at the 32nd International Film Festival of São Paulo, the narratives, sewed between images “taken with oneself”, indicate the happening of something of a lifetime in the act of reminiscing films that, for some reason, are “carried” throughout life. Something that speaks of the passage and invention of time, about different postures of body and soul, about experiencing the world and being. Therefore, the questions this thesis proposes relatively to what, it suspects, refers to an ontological movement, driven towards the self by cinematic experience, emerge from confronting these narratives and encountering the “things” they bring into view. Furthermore, composing the thesis alongside with the testimonies, the researcher’s own esthetic attitude, as a spectator and film lover herself, integrates her own collection of movies to, moving things from side to side, engage in the writing experience. The necessity of relating to others’ writing for composing her own expresses a certain benjaminian inscription in the work’s theoretical and methodological construction. The intention is not to recreate, from the debris of experience, any totality: the aim is to ruminate and problematize the theme leaning on excerpts which, dislodged from their textual origin, begin to compose poetically the text other of the thesis. Along this path of encounters and passages moves the question: how, from the “opening to the world” immanent in cinema, can take place one’s own “opening to the world”, relative to the ontological plan, in the sphere of reception – as such reception is so close to the subject of self formation, in educational practices?
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Portos de vista : o si mesmo e o cinemaAlmansa, Sandra Espinosa January 2017 (has links)
La présente thèse traite du sujet de la formation de soi-même, coûteux pour l'éducation, en mettant l'accent sur la figure du spectateur du cinéma. Sa création prend pour intercesseurs des témoignages de spectateurs, dont les récits, organisés autour de la mémoire d’oeuvres frappantes, exposent une cathégorie particulière de films : les films d’une vie. Il s’agit de films qui, à l’insu de leur importance dans l’histoire du cinéma, ont eu une importance dans «l’histoire individuelle » de chaqu’un, films dont l’élection se fait à partir d’une intimité première avec le corps de celui qui le regarde, en fait l’expérience, et est prêt à raconter son expérience, ou, plus exactement, les souvenirs qu’en demeurent. Extraits de la collection de livres intitulée Les films de ma vie, dont l’organisation a été entreprise par Leon Cakoff à l’occasion du 32ème Festival Internacional de Cinéma de São Paulo, les récits, tissés avec les images qui sont «emportées avec soi », indiquent qu’il y a quelque chose d’une vie qui se passe dans l’acte de réminiscence des films lesquels, pour quelque raison, sont «portés » pour la vie. Quelque chose qui concerne le passage et l’invention du temps, les différentes postures du corps et de l’âme, les expériences du monde et de l’être. Par conséquent, les questions proposées par la thèse au sujet de ce qu’elle suppose être un mouvement ontologique, poussé par l’expérimentation cinématographique vers le soi-même, résultent d’une conversation avec les récits et de la rencontre avec les « choses » qu’ils donnent à voir. En outre, à côté des témoignages, compose aussi la thèse l’attitude esthétique de la chercheuse elle-même qui, dans la condition de spectatrice et aimante du cinéma, prend pour intercesseurs aussi les films de sa propre collection pour, en mouvant les choses d’un côté à l’autre, exercer l’écriture. La necessité de la relation avec la parole d’autrui pour la composition de sa propre écriture exprime, ainsi, une certaine inscription benjaminienne dans la téssiture théorique et méthodologique de la tâche. On n’entend pas reconstituer, à partir de vestiges de l’expérience, aucune totalité : on vise plutôt ruminer et problématiser le thème à partir du choix de textes qui, déplacés de son origine textuelle, s’engagent à composer poétiquement le texte autre de la thèse. Dans ce chemin de rencontres et passages se mobilise la question : comment, de «l’ouverture au monde » immanente au cinéma, peut devenir l’ouverture au monde du soimême, relative au plan ontologique, dans la sphère de la réception – dans la mesure où cette réception est si proche du sujet de la formation de soi-même, dans les pratiques éducatives? / Esta tese trata do tema da formação de si, caro à educação, com foco na figura do espectador do cinema. Parto dos depoimentos de alguns espectadores, cujas narrativas foram organizadas em torno de sua memória, em relação a um tipo particular de filmes: os filmes de uma vida. Trata-se de filmes que, a despeito de sua importância para a história do cinema, tiveram importância para a “história individual” de cada um, filmes cuja eleição sucede a partir de uma intimidade primeira com o corpo daquele que olha, experimenta, e se dispõe a narrar sua experiência, ou, mais propriamente, as lembranças do que dela resta. Tais narrativas foram selecionadas a partir da coleção de livros intitulada Os filmes da minha vida, cuja organização foi iniciada por Leon Cakoff, à ocasião da 32ª Mostra Internacional de Cinema de São Paulo. Os depoimentos, tecidos por entre imagens que alguém “leva consigo”, indicam que qualquer coisa de uma vida se passa no ato de reminiscência de filmes, os quais, por alguma razão, são “carregados” pela vida afora. A tese, portanto, trata do tema da passagem e da invenção do tempo, também de diferentes posturas do corpo e da alma, sobre as experiências do mundo e do ser. Assim, as questões propostas pela pesquisa, relativamente ao que suspeita tratar-se de um movimento ontológico, impulsionado pela experimentação cinematográfica em direção ao si mesmo, surgem de uma conversa com as narrativas e do encontro com as “coisas” que elas trazem à vista. Além disso, ao lado dos depoimentos, integra a tese a atitude estética da própria pesquisadora que, na condição de espectadora e amante do cinema, toma como intercessores também os filmes de seu próprio acervo para, movendo as coisas de um lado a outro, ensaiar a escrita. A necessidade da relação com a palavra de outrem para a composição da própria escritura exprime, assim, certa inscrição benjaminiana na contextura teórica e metodológica do trabalho. Não há intenção de reconstituir, a partir dos resquícios da experiência, qualquer totalidade: busca-se antes problematizar o tema a partir da escolha de excertos que, deslocados de sua origem textual, passam a compor poeticamente o texto outro da tese. Por esse caminho de encontros e passagens, mobiliza-se a pergunta que move a tese: como, da “abertura para o mundo” imanente no cinema, pode devir a própria “abertura do mundo”, referente ao plano ontológico, na esfera da recepção – na medida em que tal recepção se encontra tão próxima do tema da formação de si, nas práticas educacionais? / This thesis deals with the subject of the self formation, expensive to the education, with focus on the figure of the spectator of the cinema. Its creation dialogues with statements made by spectators, whose narratives, organized around the memory of meaningful oeuvres, cover a specific category of films: the films of a life. It refers to films that, despite their importance to cinema history, were important in each one’s “individual history”, films which choice starts at a first intimacy with the watcher’s body, who experiments and is willing to tell their experience or, more exactly, its remaining memories. Selected from the book collection entitled The films of my life, which organization was started by Leon Cakoff at the 32nd International Film Festival of São Paulo, the narratives, sewed between images “taken with oneself”, indicate the happening of something of a lifetime in the act of reminiscing films that, for some reason, are “carried” throughout life. Something that speaks of the passage and invention of time, about different postures of body and soul, about experiencing the world and being. Therefore, the questions this thesis proposes relatively to what, it suspects, refers to an ontological movement, driven towards the self by cinematic experience, emerge from confronting these narratives and encountering the “things” they bring into view. Furthermore, composing the thesis alongside with the testimonies, the researcher’s own esthetic attitude, as a spectator and film lover herself, integrates her own collection of movies to, moving things from side to side, engage in the writing experience. The necessity of relating to others’ writing for composing her own expresses a certain benjaminian inscription in the work’s theoretical and methodological construction. The intention is not to recreate, from the debris of experience, any totality: the aim is to ruminate and problematize the theme leaning on excerpts which, dislodged from their textual origin, begin to compose poetically the text other of the thesis. Along this path of encounters and passages moves the question: how, from the “opening to the world” immanent in cinema, can take place one’s own “opening to the world”, relative to the ontological plan, in the sphere of reception – as such reception is so close to the subject of self formation, in educational practices?
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Portos de vista : o si mesmo e o cinemaAlmansa, Sandra Espinosa January 2017 (has links)
La présente thèse traite du sujet de la formation de soi-même, coûteux pour l'éducation, en mettant l'accent sur la figure du spectateur du cinéma. Sa création prend pour intercesseurs des témoignages de spectateurs, dont les récits, organisés autour de la mémoire d’oeuvres frappantes, exposent une cathégorie particulière de films : les films d’une vie. Il s’agit de films qui, à l’insu de leur importance dans l’histoire du cinéma, ont eu une importance dans «l’histoire individuelle » de chaqu’un, films dont l’élection se fait à partir d’une intimité première avec le corps de celui qui le regarde, en fait l’expérience, et est prêt à raconter son expérience, ou, plus exactement, les souvenirs qu’en demeurent. Extraits de la collection de livres intitulée Les films de ma vie, dont l’organisation a été entreprise par Leon Cakoff à l’occasion du 32ème Festival Internacional de Cinéma de São Paulo, les récits, tissés avec les images qui sont «emportées avec soi », indiquent qu’il y a quelque chose d’une vie qui se passe dans l’acte de réminiscence des films lesquels, pour quelque raison, sont «portés » pour la vie. Quelque chose qui concerne le passage et l’invention du temps, les différentes postures du corps et de l’âme, les expériences du monde et de l’être. Par conséquent, les questions proposées par la thèse au sujet de ce qu’elle suppose être un mouvement ontologique, poussé par l’expérimentation cinématographique vers le soi-même, résultent d’une conversation avec les récits et de la rencontre avec les « choses » qu’ils donnent à voir. En outre, à côté des témoignages, compose aussi la thèse l’attitude esthétique de la chercheuse elle-même qui, dans la condition de spectatrice et aimante du cinéma, prend pour intercesseurs aussi les films de sa propre collection pour, en mouvant les choses d’un côté à l’autre, exercer l’écriture. La necessité de la relation avec la parole d’autrui pour la composition de sa propre écriture exprime, ainsi, une certaine inscription benjaminienne dans la téssiture théorique et méthodologique de la tâche. On n’entend pas reconstituer, à partir de vestiges de l’expérience, aucune totalité : on vise plutôt ruminer et problématiser le thème à partir du choix de textes qui, déplacés de son origine textuelle, s’engagent à composer poétiquement le texte autre de la thèse. Dans ce chemin de rencontres et passages se mobilise la question : comment, de «l’ouverture au monde » immanente au cinéma, peut devenir l’ouverture au monde du soimême, relative au plan ontologique, dans la sphère de la réception – dans la mesure où cette réception est si proche du sujet de la formation de soi-même, dans les pratiques éducatives? / Esta tese trata do tema da formação de si, caro à educação, com foco na figura do espectador do cinema. Parto dos depoimentos de alguns espectadores, cujas narrativas foram organizadas em torno de sua memória, em relação a um tipo particular de filmes: os filmes de uma vida. Trata-se de filmes que, a despeito de sua importância para a história do cinema, tiveram importância para a “história individual” de cada um, filmes cuja eleição sucede a partir de uma intimidade primeira com o corpo daquele que olha, experimenta, e se dispõe a narrar sua experiência, ou, mais propriamente, as lembranças do que dela resta. Tais narrativas foram selecionadas a partir da coleção de livros intitulada Os filmes da minha vida, cuja organização foi iniciada por Leon Cakoff, à ocasião da 32ª Mostra Internacional de Cinema de São Paulo. Os depoimentos, tecidos por entre imagens que alguém “leva consigo”, indicam que qualquer coisa de uma vida se passa no ato de reminiscência de filmes, os quais, por alguma razão, são “carregados” pela vida afora. A tese, portanto, trata do tema da passagem e da invenção do tempo, também de diferentes posturas do corpo e da alma, sobre as experiências do mundo e do ser. Assim, as questões propostas pela pesquisa, relativamente ao que suspeita tratar-se de um movimento ontológico, impulsionado pela experimentação cinematográfica em direção ao si mesmo, surgem de uma conversa com as narrativas e do encontro com as “coisas” que elas trazem à vista. Além disso, ao lado dos depoimentos, integra a tese a atitude estética da própria pesquisadora que, na condição de espectadora e amante do cinema, toma como intercessores também os filmes de seu próprio acervo para, movendo as coisas de um lado a outro, ensaiar a escrita. A necessidade da relação com a palavra de outrem para a composição da própria escritura exprime, assim, certa inscrição benjaminiana na contextura teórica e metodológica do trabalho. Não há intenção de reconstituir, a partir dos resquícios da experiência, qualquer totalidade: busca-se antes problematizar o tema a partir da escolha de excertos que, deslocados de sua origem textual, passam a compor poeticamente o texto outro da tese. Por esse caminho de encontros e passagens, mobiliza-se a pergunta que move a tese: como, da “abertura para o mundo” imanente no cinema, pode devir a própria “abertura do mundo”, referente ao plano ontológico, na esfera da recepção – na medida em que tal recepção se encontra tão próxima do tema da formação de si, nas práticas educacionais? / This thesis deals with the subject of the self formation, expensive to the education, with focus on the figure of the spectator of the cinema. Its creation dialogues with statements made by spectators, whose narratives, organized around the memory of meaningful oeuvres, cover a specific category of films: the films of a life. It refers to films that, despite their importance to cinema history, were important in each one’s “individual history”, films which choice starts at a first intimacy with the watcher’s body, who experiments and is willing to tell their experience or, more exactly, its remaining memories. Selected from the book collection entitled The films of my life, which organization was started by Leon Cakoff at the 32nd International Film Festival of São Paulo, the narratives, sewed between images “taken with oneself”, indicate the happening of something of a lifetime in the act of reminiscing films that, for some reason, are “carried” throughout life. Something that speaks of the passage and invention of time, about different postures of body and soul, about experiencing the world and being. Therefore, the questions this thesis proposes relatively to what, it suspects, refers to an ontological movement, driven towards the self by cinematic experience, emerge from confronting these narratives and encountering the “things” they bring into view. Furthermore, composing the thesis alongside with the testimonies, the researcher’s own esthetic attitude, as a spectator and film lover herself, integrates her own collection of movies to, moving things from side to side, engage in the writing experience. The necessity of relating to others’ writing for composing her own expresses a certain benjaminian inscription in the work’s theoretical and methodological construction. The intention is not to recreate, from the debris of experience, any totality: the aim is to ruminate and problematize the theme leaning on excerpts which, dislodged from their textual origin, begin to compose poetically the text other of the thesis. Along this path of encounters and passages moves the question: how, from the “opening to the world” immanent in cinema, can take place one’s own “opening to the world”, relative to the ontological plan, in the sphere of reception – as such reception is so close to the subject of self formation, in educational practices?
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O si-mesmo e a singularidade da presençaCosta, Denise Magalhaes da January 2007 (has links)
129f. / Submitted by Suelen Reis (suziy.ellen@gmail.com) on 2013-04-16T15:51:51Z
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Previous issue date: 2007 / O objetivo do nosso trabalho é delinear o caráter do si-mesmo e o seu nexo com a singularidade da presença (Dasein). Primeiramente, trataremos da caracterização do impessoalmente-si-mesmo como modo predominante da presença na cotidianidade, para mostrar seu caráter ontológico de abertura enquanto possibilidade, o qual lhe confere o caráter de poder-ser. Como possibilidade, a presença abre-se propriamente a si mesma em sua singularidade na disposição da angústia, determinando-se na decisão antecipadora. Pretendemos esclarecer que a singularidade do si-mesmo não é uma subjetividade, um eu fechado e isolado do mundo, mas um si-mesmo enquanto ser-no-mundo, aberto a modos de ser, que se determinam em mundo, no movimento de velamento e desvelamento, no jogo de propriedade e impropriedade. / Salvador
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O caráter formativo da noção socrática de \"cuidado da alma\" no Alcibíades Primeiro de Platão / Le caractere formatif de la notion socratique de soin de soi dans Álcibiade Majeur de PlatonAfonso, Edson da Silva 19 October 2016 (has links)
No Alcibíades Primeiro, Sócrates diz que o conhecimento de si (gnôthi seauton) corresponde à sabedoria. Esse conhecimento é entendido como condição essencial para o engajamento na vida pública, e está ligado ao discernimento do bem e do mal, podendo ser entendido como uma das condições para o cuidado de si(epiméleia heautou). O gnôthi seauton, na filosofia platônica, diz respeito a um processo de formação. Neste trabalho, trataremos desse processo, sobremaneira, a partir da relação entre as noções de cuidado de si e conhecimento de si. Platão entende que não cabe aos mestres de virtude ou aos dirigentes políticos o papel formativo. Nem mesmo os retóricos, os parentes, o oráculo, os pedagogos competentes podem ensinar aos jovens o que eles realmente são. Se um governo de si é possível, o jovem deve ser o sujeito. A virtude não é aprendida da mesma maneira que se dá a transmissão de um conteúdo pedagógico. Ela só pode ser alcançada de outro modo: a partir de um exercício de si sobre si mesmo. Dessa maneira, a verdadeira função do mestre de virtude, função de Sócrates nos diálogos platônicos, não é a transmissão de um saber, e sim convencer cada um a cuidar da virtude, a aperfeiçoar-se. Dito de outro modo, no Primeiro Alcibíades, o processo formativo não consiste na transmissão de um conteúdo. A educação resulta da nova disposição alcançada pelo interlocutor por intermédio de Sócrates. / Dans l\'Alcibiade Majeur Socrate dit que «la connaissance de soi» (gnôthi seautón) correspond à la sagesse. Cette connaissance est comprise comme condition essentielle pour la participation dans la vie publique, et est lié au discernement du bien et du mal, elle peut être considéré comme l\'une des conditions pour \"soin de soi\" (epimeleia heautou). Gnôthi seautón se rapporte à un processus de formation. Dans ce travail, nous allons traiter ce processus, particulièrement, de la relation entre les notions de «soin de soi» et «connaissance de soi». Platon estime qu\'il n\'incombe pas aux maîtres de la vertu ou aux dirigeants politiques le rôle formateur. Pas même les rhéteurs, les parents, l\'oracle, les pédagogues compétents peuvent enseigner aux jeunes ce qu\'ils sont réellement. Si un gouvernement de soi est possible, le jeune doit être le sujet. La vertu n\'est pas apprise de la même manière que se donne la transmission d\'un contenu éducatif. Elle ne peut être atteinte d\'une autre manière: à partir d\'un exercice de soi sur soi-même. Ainsi, la véritable fonction du maître de vertu, fonction de Socrate dans les dialogues platoniciens, n\'est pas la transmission du savoir, mais pour convaincre chacun de prendre soin de la vertu, à l\'améliorer. En d\'autres termes, dans l\' Alcibiade, le processus de formation ne consiste pas à la transmission du contenu. L\'éducation résulte de la nouvelle disposition atteinte par l\'interlocuteur par l\'intermédiaire de Socrate.
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O problema da identidade pessoal em Paul Ricoeur: dimensão ética da ipseidade / Le problème de l'identité personnelle dans Paul Ricoeur: dimension éthique de l'ipséitéSilva, Jeferson Flores Portela da 02 March 2017 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Research désignant le nom ci-dessus rejoint par l'objectif de la cartographie et de re-discuter des thèses que Paul Ricoeur travaille en Soi-même comme un Autre non (1990). Parmi les problèmes développés par Ricoeur et pris en charge par nous, d'un autre point de vue, est la notion de soi et l'identité personnelle d'eux-mêmes, leur dimension éthique et morale traversée en restant dans le temps de l'ipséité. Dans un premier temps, nous allons faire appel à l'exaltation des discussions de "I" (surestimation du Cogito) sa désintégration (anti-Cogito) une chance de se penser loin de ces extrêmes herméneutique philosophique, pour elle, est introduite de sens de l'auto -même et avec elle, entre en jeu deux nouveaux éléments qui seront au coeur de toute discussion, même si elle ne semble clairement, sont des hypothèses: la nature fragmentaire de l'auto et de certification. Dans une deuxième étape, le problème, nous sommes confrontés à la notion d'identité personnelle et identité narrative, dans l'intervalle, des notions telles que la mêmeté et ipséité seront discutés. Ces deux notions, nous avons deux nouveaux concepts: pour avoir le caractère mêmeté comme une marque stable de la personne et pour l'ipséité, sera le concept de promesse, résistance aux intempéries marque pour se maintenir en raison d'une promesse qui est faite à un autre et lui-même. Cette promesse sera réalisée l'éthique se réveillent. Ce même problème de l'ipséité, la question se pose de parler d'une personne par le ipse rester et que la question qui est cette suite? comme un moyen dans lequel Ricoeur justifie la référence à l'auto d'une manière qui ne règle pas votre identité en question par les orbites de mêmeté (quoi?). De la question qui est le moi? Nous aurons un dialogue entre Heidegger et Arendt sur la question qui guide l'ipséité, mais simplement la question de savoir qui? Dans le dernier chapitre, nous avons une confrontation de deux héritages (éthique et la morale). D'une part le «bon» prédicat, le prédicat d'autres «obligatoires», à la fois la peine d'examiner la capacité de l'autre à faire une action avec la sérénité et le respect des autres. Ainsi, nous étudions la dimension éthique de vous-même, votre retour vous pour garder votre promesse à l'autre. / A investigação que designa acima ingressou pelo objetivo de mapear e rediscutir algumas teses das quais Paul Ricoeur trabalha em Soi-même comme un autre (1990). Dentre as problemáticas desenvolvidas por Ricoeur e retomadas por nós, está a noção de si-mesmo e de identidade pessoal do si, sua dimensão ética e moral atravessada pela permanência no tempo da ipseidade. Num primeiro momento, estaremos extraindo das discussões da exaltação do “eu” (superestimação do Cogito) a sua decadência (anti-Cogito) uma possibilidade de pensar o si longe de tais extremos filosóficos, para tal, se introduz a noção de hermenêutica do si-mesmo e, com ela, entram em jogo dois novos elementos que serão centrais em toda a discussão, mesmo que não apareçam de forma clara, estarão sendo pressupostos: caráter fragmentário do si e atestação. Num segundo passo da problemática, estaremos em confronto com a noção de identidade pessoal e identidade narrativa, nesse interim, noções tais como mesmidade e ipseidade serão melhor discutidas. Destas duas noções, se têm dois novos conceitos: para mesmidade teremos o caráter como marca estável da pessoa e, para a ipseidade, teremos o conceito de promessa, marca de resistência ao tempo pela manutenção de si devida a uma promessa que se faz ao outro e a si mesmo. Tal promessa, será conduzida à esteira ética. Nesse mesmo problema da ipseidade, surge a questão de falar de uma pessoa pela permanência ipse e, temos nessa esteira a interrogação quem? como maneira pela qual Ricoeur justifica a referência ao si-mesmo de uma forma que não sedimente sua identidade numa pergunta pela órbita da mesmidade (quê?). À partir da pergunta pelo Quem é o si-mesmo? Teremos um diálogo entre Heidegger e Arendt acerca da questão que norteia a ipseidade, mas, tão somente pela interrogação do quem? Num último capítulo, temos uma confrontação de duas heranças (ética e moral). De um lado o predicado “bom”, de outro o predicado “obrigatório”, ambos, a trabalho de examinar a capacidade do si em efetuar uma ação com serenidade e respeito ao outro. Assim, estaremos investigando a dimensão ética do si, seu retorno a si mesmo pela manutenção de sua promessa para com o outro.
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IDENTIDADE PESSOAL EM PAUL RICOEUR / Titre de la dissertation: L identité personnelle chez Paul RicoeurNascimento, Cláudio Reichert do 28 August 2009 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Le présent travaille a l objectif de réaliser la reconstruction du argument de Ricoeur autour de l identité personnel. En ayant son point de départ dans la notion primitive de la personne comme l entité à laquelle on attribue [l ascription] les prédicats physiques que la personne a en commun avec les corps et les prédicats psychiques qui la distinguent des corps. Pourtant, la personne encore est celui dont on parle il/elle . Elle ne designe pas lui-même. Alors il faut l enjeu de la pragmatique de langage afin de qui la personne puisse dire à soi-même quand elle dit je et on ait par son interlocuteur le tu , second personne du discours. Mais la question n a pas résolue, parce que chaque fois que le pronom personnel je est utilisé, il désigne une seule personne, mais il peux aussi désigner quelconque personne qui dise je . Comment dire une et unique personne, quand on dise je ? Ou: Comment dire à soimême au contraire de dire je dis que , un acte de discours? La réponse de Ricoeur est que la personne qui dit à soi-même, auteur de l énonciation, et la personne objet de l identification, par la référance identifiante, elles sont la même, en raison du triple acte de inscription dont est realisé par le appellation de la personne dans les registres public. Après cettes considerations, on pose la question sur le problème de l identité personnel. D une part, l identité s exprime dans le code génétique, à la permanence dans le temps d un système combinatoire que présente changement
sans perte l organisation. Ceci est appellé la identité-idem ou mêmeté? D autre part, on demande par qui suis-je? Comment dire l identité d un individu dans le temps
dont ne se réduit pas à la mêmeté. Alors, répondre la question qui c est dire qui est l agent, l auteur de l action . Ainsi l agent la personne qu il agit c est laquelle nous attestons l action, c est à dire, l ascription de l action. Autrement, l action est la
possession de celui qui l a faite. Conséquemment, pour Ricoeur, dire qui est l auteur de l action c est raconter l histoire d une vie. Au fin, la identité-ipse ou l identité de soi-même l ipseité c est sa identité narrative. Mais il ne s agit pas de imposer une histoire au dehors , mais il s agit de composer une histoire d une vie par la activité
de configuration narrative. / O presente trabalho tem como objetivo promover a reconstrução do argumento de Ricoeur em torno da identidade pessoal. Partiu-se da noção primitiva de pessoa enquanto a entidade que se adscreve os predicados físicos que a pessoa tem em comum com os corpos e os predicados psíquicos que a distinguem dos corpos. No entanto, a pessoa ainda é aquilo do que falamos, ele/ela . Ela não se designa a si mesma. Então é preciso recorrer à pragmática da linguagem a fim de que a pessoa possa dizer a simesma, quando ela diz eu e tenha como interlocutor o tu , segunda pessoa do discurso. Porém a questão não está resolvida, porque a cada vez que o pronome pessoal eu é empregado ele designa uma única pessoa, mas ele pode designar também a qualquer pessoa que diga eu . Como expressar uma e única pessoa, quando se diz eu ? Ou: Como dizer a si mesmo ao invés de dizer eu
digo que , um ato de discurso? A resposta dada por Ricoeur é que a pessoa que diz a si mesma, autor da enunciação, e a pessoa objeto da identificação pela referência identificante são a mesma, em razão do triplo ato de inscrição que é realizado pela nomeação da pessoa no registro público. Após essas considerações, coloca-se a questão acerca do problema da identidade pessoal. Por um lado, a identidade exibe-se no código genético, na permanência no tempo de um sistema combinatório que apresenta mudanças, mas sem perder a organização. Isto é chamado de identidadeidem
ou mesmidade. Por outro lado, pergunta-se por quem sou eu? Como expressar a identidade do indivíduo no tempo que não se reduza à mesmidade? Portanto, responder a questão quem é dizer quem é o agente, o autor da ação .
Assim o agente a pessoa que age é a quem nós atestamos a ação, isto é, a adscrição da ação. De outro modo, a ação é a possessão daquele que a faz. Por
conseguinte, para Ricoeur, dizer quem é o autor da ação é contar a história de uma vida. Ao fim disto, a identidade-ipse ou a identidade de si mesmo a ipseidade é sua identidade narrativa. Mas não se trata de impor uma historia de fora , mas se trata de compor uma história de uma vida pela atividade de configuração narrativa.
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O CARÁTER E A PROMESSA EM PAUL RICOEUR: UMA PERSPECTIVA NARRATIVA / Titre de la dissertation: Le caractère et la promesse dans Paul Ricoeur : une perspective narrativeBotton, João Batista 20 August 2010 (has links)
Cette travail a pour objectif de reconstruire et de discuter l'argument général ricoeurien conduisent à la formulation de la notion d'identité narrative. En tant que tel, il étudie le débat promu par Paul Ricoeur entre leur propre point de vue sur l'identité et le soutenu pour Derek Parfit qui prétend faire de la question une question vide de sens pour vouloir supprimer la notion de personne de la discussion sur l'identité. De cette confrontation est extraite l'appareil conceptuel vers lequel Ricoeur vise à surmonter l'effondrement du sens d'identité lorsqu'il est attaché à la personne. La distinction entre l'identité-idem et l‟identité-ipse délimitant les différentes formes de la permanence de la personne dans le temps est au service pour cela. Là-dessus, suit l'examen de la relation entre le récit et la temporalité, en l'hypothèse ricoeurienne qui fait le récit une manière privilégiée d'articulation et de compréhension de l'expérience de l'homme au fil du temps, puisque c'est précisément la confusion au sujet de la temporalité qui fait Parfit prétendre épuiser tout le sens de la notion d'identité personnelle. Grâce à la distinction du sens impliqué dans le concept de l'identité et la contribution que le récit offre la temporalité, pouvons scruter la formulation ricoeurienne du concept d'identité personnelle en termes d'identité narrative. Ce qui nous permet de comprendre comment il est composé d'une façon dialectique à pertir des deux formes de permanence dans le temps qui sont attribué à la personne, selon le sens de l'identité-idem et de l'identité-ipse. Faisant connaître que la formulation de la notion narrative de l'identité personnelle implique une refonte de la notion de personne, qui oscille allors entre deux extrêmes d'une polarité existentiel : parmi d'un extrême dans laquelle se recouvrent le sens de la permanence de l‟idem et de l'ipse et un autre dans lequel les deux sont tout à fait différente. Les pôles de cet axe sont les notions de caractère et de promesses. / A presente dissertação tem como objetivo geral reconstruir e discutir a argumentação ricoeuriana que conduz à formulação do conceito de identidade narrativa. Nessa medida, ela investiga o debate promovido por Paul Ricoeur entre sua própria perspectiva sobre a identidade e a de Derek Parfit que pretende fazer do problema uma questão sem sentido ao eliminar a noção de pessoa das discussões sobre a identidade. Desse confronto é extraído o aparato conceitual pelo qual Ricoeur pretende superar a derrocada do sentido do conceito de identidade quando atribuído à pessoa. A distinção entre identidade-idem e identidade-ipse, delimitando as diferentes formas de permanência da pessoa no tempo, é o que serve para tal. A isso se segue o exame das relações entre narratividade e temporalidade, a partir da hipótese Ricoeuriana de que a narração é uma maneira privilegiada de articulação e compreensão da experiência do homem com o tempo. Isso porque é precisamente a confusão acerca da temporalidade o que faz Parfit pretender exaurir todo o significado da noção de identidade pessoal. Através da distinção de sentidos envolvida no conceito de identidade e do aporte que a narratividade oferece à temporalidade, é possível perscrutar a formulação ricoeuriana do conceito de identidade pessoal em termos de identidade narrativa. O que permite compreender como ela se compõe de modo dialético a partir das duas formas de permanência no tempo que se atribui à pessoa, de acordo com o sentido da identidade-idem e da identidade-ipse. Dando a conhecer que a formulação narrativa do conceito de identidade pessoal implica em um aprimoramento do conceito de pessoa, oscilante agora entre dois extremos de uma polaridade existencial: entre um extremo no qual se recobrem os sentidos de permanência do idem e do ipse e outro em que ambos se distinguem completamente. Os pólos desse eixo são as noções de caráter e de promessa.
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La théorie kantienne du mal comme manière de penser : la gravité du mensonge à soi-mêmeRamirez Giraldo, Juan Pablo 09 1900 (has links)
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Antonio Tabucchi. : Le temps de l'être. Le temps d'être. / Antonio Tabucchi. : The time of the being. The time of being.Pastore, Elda 10 September 2015 (has links)
Le terme « temporalité » définit la question de l’être comme la primauté de l'Être-vers-la-mort (le temps de l’être depuis la naissance jusqu’à sa mort) et la nécessité de l'Être-tendant-vers-le-possible (le temps d’être, de faire). Avant que la mort ne soit absence et donc sentiment de manque, de perte, qui pousse les personnages à aller au-delà des confins avec les morts, l’être est confronté à ses obsessions, ses échecs et ses rêves, ses cauchemars et ses désirs. C’est une souffrance existentielle se manifestant par l’incertitude, le regret, le remords et, surtout, des crises d’identité dues à l’impossibilité pour l’homme de se connaître soi-même. De sa fragmentation, sa division et cet immense désir d’unité qui le possède découle la forte présence de la pluralité, de la recherche du double, cet autre, peut-être vraiment autre, différent, ou frère, ou miroir, qui ne se laissera jamais rattraper. Pourtant, c’est dans ce sens qu’il lui faut chercher si l’homme veut recueillir de minuscules pièces de son puzzle intérieur. C’est la pensée douloureuse (élément pour comprendre le monde) du temps d’un être qui, après avoir constaté que le vide immense a désormais pénétré tous les domaines de l’existence humaine et du monde, trouve sa propre marche à suivre pour se sortir de sa caverne intérieure dans la constitution fondamentale de l'Être-Soi-même tabucchien, à savoir un Être-tendant-vers-le-possible au quotidien. Parce qu’il n’y a pas d'être-au-monde possible sans la préoccupation de tout ce qui est à-portée-de-la-main, notre auteur s’interroge sans cesse, intervient sur tous les fronts et à tous les niveaux de son vécu. / The term temporality defines the question of the human being as the primacy of the being-going-towards-death (the time span of the human being from birth to death) and the necessity of the-being-going-towards-the-possible (the time of being/doing). Before death becomes absence and thus a feeling of lack, of loss, which drives people to go beyond the limits with the dead, the human being is confronted with his obsessions, his failures and his dreams, his nightmares and his desires. It's an existential suffering shown through incertitude, regret, remorse and, above all, identity crises, because it is impossible for man to know himself. From its fragmentation, division, and the immense desire for unity which possesses him, results the strong presence of plurality, the search for one's double, this other, perhaps really other, different, or brother, or mirror, which can never be caught. Nevertheless it is in this direction that man must search if he is to gather the tiny pieces of his interior puzzle. It is painful reflection (element for understanding the world) on the time span of a being who after observing that the great emptiness has penetrated all areas of human existence and the world, finds his own path to follow out of his interior cave in the fundamental constitution of the Tabucchian being-oneself, that is to say a being-tending-towards-the-possible every day. Because there is no being possible in the world without concerning oneself with what is close at hand, our author questions himself from all angles and at all levels of his existence.
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