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Morphosyntaxe et sémantique grammaticale du salar et du tibétain de l'Amdo : analyse d'un contact de langues / Morphosyntax and grammatical semantics of the Salar and Amdo-Tibetan languages : analysis of a language contact

Simon, Camille 13 December 2016 (has links)
La présente étude s’inscrit dans le cadre plus vaste de la description des langues de l’aire linguistique Amdo. Cette région est caractérisée par la présence de langues sinitiques, mongoliques, tibétiques et turciques et, pour le salar et le tibétain, une situation de contact linguistique long d’environ sept siècles. Le salar est l’une des langues turciques les moins décrites et elle présente de nombreuses particularités dues à son isolement par rapport aux autres langues turciques. Il n’existe pas non plus de description des variétés de tibétain parlées dans la région salarophone, périphérique dans la tibétosphère. La perspective que nous adoptons ici est donc à la fois descriptive et comparative. Après un exposé des caractéristiques historiques et sociolinguistiques de cette situation de contact, nous analysons de façon détaillée des catégories grammaticales indexées dans le syntagme nominal et dans le prédicat. En particulier, nous proposons une nouvelle analyse des morphèmes de Temps-Aspect-Mode en salar et montrons que cette langue a copié en partie ses catégories évidentielles sur le modèle de celles du tibétain de l’Amdo. Nous nous intéressons ensuite aux problématiques liées à la valence verbale et aux effets du contact linguistique sur l’organisation accusative et ergative qui caractérisent respectivement le salar et le tibétain de l’Amdo. Nous analysons les marques casuelles à la fois comme relateurs, au sein du prédicat verbal, mais également comme converbe ou au sein des formes converbiales. Enfin, nous décrivons les catégories de voix grammaticalisées en salar et en tibétain, et montrons que celles-ci sont quasiment identiques dans les deux langues. / This study falls within the larger description of the languages of the Amdo linguistic area. This area is characterized by the coexistence of Sinitic, Mongolic, Tibetic and Turkic languages, and, regarding Salar and Tibetan, an approximately seven-century-long contact situation. Salar language remains one of the less described Turkic languages and, because of its isolation from the other Turkic languages, displays many specificities. There exists no description of the Amdo-Tibetan variety spoken in the Salar-speaking region either, this region being very peripheral in the Tibetosphere. The perspective taken in this study is thus both descriptive and comparative. After a depiction of the historical and sociolinguistic characteristics of this contact-situation, we analyse in detail the grammatical categories indexed in the nominal phrase and in the predicate. Notably, we suggest a new analysis of the Tense-Aspect-Mood morphemes in Salar and we show that the Amdo-Tibetan evidential categories have been partly copied in Salar. Then, the question of verb valency is addressed, and the effects of language contact on the Turkic accusative and on the Tibetic ergative organisation are explored. We analyze the case markers not only as markers of syntactic dependancy within the verb predicate, but also in their role as or in converbs. Finally, we describe the grammatical voices attested in Salar and in Amdo Tibetan, and show that the syntactic and semantic characteristics are almost identical in the two languages.
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Plate-forme d'analyse morpho-syntaxique pour l'indexation automatique et la recherche d'information : de l'écrit vers la gestion des connaissances

Sidhom, Sahbi 11 March 2002 (has links) (PDF)
La contribution de ce travail de thèse s'inscrit au sein d'un domaine multidisciplinaire regroupant le traitement automatique du langage naturel, l'indexation dans un système d'information documentaire et l'organisation des connaissances autour de l'information écrite. Sa particularité consiste en la mise à disposition d'outils pour le traitement automatique de l'information.<br />L'objectif est de construire une Plate-forme d'analyse morpho-syntaxique pour l'indexation automatique et la recherche d'information. Elle est composée d'un noyau d'indexation automatique (processus d'indexation) qui utilise le modèle des syntagmes nominaux comme descripteurs de l'information textuelle. Ces syntagmes sont organisés selon une approche Logique Intensionnelle/Extensionnelle (processus de classification des connaissances) qui permet d'ordonner les objets d'une classe et de distinguer les classes de connaissances. A la base de cette dernière propriété, nous construisons notre approche pour la recherche d'information (processus de recherche d'information). <br />Cette Plate-forme d'analyse dans sa logique de fonctionnement sera un outil d'investigation orienté vers l'organisation et la gestion des connaissances écrites.<br />Dans notre recherche, cet aspect sur l'organisation des connaissances a été conduit dans le but de faire émerger les propriétés linguistiques et le traitement du langage dans une pratique expérimentale sur l'indexation automatique documentaire. Nous avons montré la nécessité de coordonner d'autres sources et stratégies dans l'exploration de ces propriétés. Il s'agit du mode de raisonnement et de la technique d'exploitation des objets du discours spécifiques à la gestion des connaissances (comme étape préalable à la recherche d'information).<br />Ces deux derniers aspects (mode et technique) intégrés dans le processus de la présentation et de l'organisation du syntagme nominal offrent des scénarii pertinents pour la recherche d'informations.
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Contribution à l'étude de la terminologie grammaticale: la nomenclature des formes verbales

Bena, Jonas Makamina 19 December 2003 (has links)
Le 18 février 1949, Gustave Guillaume (1973 :107-108) brossait, dans sa leçon à l’Ecole pratique des Hautes Etudes, un tableau peu flatteur de la terminologie grammaticale :<p>La terminologie grammaticale – fixée par un long usage, par la tradition – est peu satisfaisante. Elle correspond à des vues qui sont pour une grande part étrangères au véritable mécanisme de la langue, ignoré de ceux qui ont établi cette terminologie, devenue celle de l’enseignement. A quoi il faut ajouter que la terminologie traditionnelle, de caractère philosophique, toute pénétrée de logique formelle, a eu cette infortune d’être retouchée inconsidérément par des esprits moins pénétrants que ceux qui l’avaient conçue. <p>Ce point de vue est, aujourd’hui comme hier, partagé par la plupart des grammairiens lato sensu. Le verdict des uns et des autres est à la fois sévère et amer :la terminologie grammaticale est incertaine, incohérente, inexacte, incomplète, contraire à la vérité, trompeuse, confuse, désordonnée, défectueuse, voire désastreuse (Nicolas Beauzée, 1767 :500-501 ;Antoine Meillet, 1936 :31 ;Holger Sten, 1952 :9) ;Robert-Léon Wagner, 1947 :59 ;Gustave Guillaume, 1973 [leçon du 18 fév. 1949] :108 ;Gérard Moignet, 1981 :163 ;Louis Holtz, 1981 :11). L’on ne pouvait faire meilleur état des lieux !<p>Ce travail s’est efforcé de répondre aux trois questions suivantes :1° une terminologie « parlante » est-elle possible et nécessaire en grammaire ?2° quelle(s) piste(s) les linguistes devraient-ils explorer pour rationaliser la nomenclature et la description des formes verbales ?3° comment les grammairiens ont-ils forgé, au fil des siècles, la nomenclature des formes verbales ?<p>Que conclure ?<p>Nous voudrions d’abord noter que la question terminologique constitue un casse-tête consécutif, pour une grande part, à la forte pression de la tradition sur les pratiques grammaticales. <p>Les concessions faites à l’usage sont telles que toute tentative d’innovation est suspecte .Les exemples sont légion :Girard, Lévizac, Sicard, Domergue, Butet ,etc. subirent tous, à tort ou à raison, les feux nourris de la critique à cause de leur engagement terminologique. Les détracteurs avaient pour noms :Voltaire, Du Marsais, Condillac, Roederer et Brunot.<p>Voltaire (cité par Brunot, 1905-1953, tome VI, 1e fascicule, p. 902) recommanda même le boycott de la nouvelle grammaire de Girard :<p>Je recommande, écrivit-il, sur-tout aux jeunes de ne pas lire la nouvelle grammaire de sieur abbé Girard ;elle ne feroit qu’embarrasser l’esprit, par les nouveautez difficiles dont elle est remplie ;et sur-tout elle serviroit à corrompre le stile.<p>Roederer ne fut pas plus tendre à l’endroit de Domergue. En somme, les attaques à l’endroit des « néologismes grammaticaux » constituent, dans l’histoire de la grammaire, une réalité permanente. <p>A la fin des années 60 et au début des années 70, Georges Galichet tournait en dérision la terminologie en usage en grammaire générative et transformationnelle, tandis que, plus près de nous, Marc Wilmet (1992) s’insurgeait contre ceux qui accusent les linguistes de « jargonner ».<p>En ce qui nous concerne, nous avons estimé dans cette thèse que la création terminologique est à la fois nécessaire et possible. Elle devrait conduire, comme nous l’avons postulé au § 3.2.2.1, à l’émergence d’une nomenclature explicative. D’ailleurs, des modèles de terminologie « parlante » existent :nous avons cité les travaux de Guillaume, Damourette et Pichon, Yvon, Wilmet. <p>Un métalangage grammatical explicatif devrait même, à notre avis, s’imposer et se généraliser pour les trois raisons suivantes :1° la terminologie joue le rôle « d’avant-science »; 2° contrairement aux autres sciences dont le vocabulaire technique renvoie à des objets, en grammaire, derrière les “mots” se profilent non pas des objets, mais des idées et d’autres “mots” dont l’ensemble constitue la science grammaticale. Autrement dit, le triptyque « terme (mot) –> concept –> référent » pourrait être réduit à une reformulation simplifiée où le concept se confondrait avec le référent; 3° contrairement à l’arbitraire consacré du signe linguistique, la création des expressions métalinguistiques est en général utilitaire et plus ou moins individuelle. <p>A la lumière de ce qui précède, toute nouvelle création d’expression métalinguistique devrait satisfaire à une condition :l’adéquation, même partielle, de la nouvelle dénomination avec le contenu morpho-sémantique qu’elle désigne. En effet, chaque terme en linguistique contiendrait de manière condensée tout un programme sémantique. Mais, le terme ainsi crée devrait aussi répondre à un besoin réel. <p>Par ailleurs, la principale piste à explorer dans l’entreprise de la rationalisation et de l’harmonisation de la terminologie grammaticale consisterait à homogénéiser les critères définitoires des classes grammaticales. Pour les modes verbaux, nous avons proposé d’associer judicieusement les critères sémantiques et morphologique. Le premier concerne l’actualité, le second la personne grammaticale. <p>Ces deux paramètres interviennent, d’après Moignet (1981 :57) et nous l’avons suivi dans son raisonnement, à part égale dans la faculté qu’a toute forme verbale de “signifier le “temps” en plus de sa signification propre”. <p>Grâce à l’exploitation de ces deux variables, nous avons, en nous inspirant largement de Gustave Guillaume et de Marc Wilmet, proposé à titre de simple hypothèse de travail, que les trois « chronothèses guillaumiennes » représentent effectivement, au niveau du discours grammatical, les trois modes verbaux auxquels elles correspondent: 1° le mode nominal (ou quasi nominal) = infinif + participe => mode virtualisatif impersonnel; 2° l’in fieri = subjonctif => mode virtualisatif personnel ;3° l’in esse = indicatif => mode actualisatif personnel. <p>La principale objection à cette proposition serait d’opposer au double principe de « virtualisation » et d’« actualisation », sur lequel repose notre argumentation, des emplois contraires à cette tripartition modale. Ne nous leurrons pas, c’est une difficulté réelle. La parade nous est fournie, fort heureusement, par Gérard Moignet (1959b :94-95) qui renvoie à l’enseignement de Gustave Guillaume: <p>Il [Guillaume] insiste dans son enseignement sur la prudence qui s’impose en linguistique de la parole :on y est toujours exposé à rencontrer un sens d’emploi de mot qui soit en contradiction avec la vue fondamentale que le mot apporte de lui-même.<p>Pour finir, nous avons suffisamment montré tout au long de notre dissertation que la nomenclature des formes verbales, comme d’ailleurs le reste de la grammaire, est dans ses grandes lignes constituée de l’héritage gréco-latin. A certaines époques, comme au XVIIe siècle, cet héritage est malheureusement « corrompu » :par ex. la suppression de toute trace référant à l’époque dans certaines étiquettes. C’est, malheureusement, encore le cas, aujourd’hui, dans la plupart des grammaires scolaires et dans les productions scientifiques des linguistes.<p>Il faudrait aussi mentionner, au passif des grammairiens du XVIIe siècle et certains de leurs successeurs du début du XVIIIe siècle, l’ignorance des formes verbales surcomposées, pourtant attestées au XVIe siècle.<p>Comme nous l’avons dit, la terminologie grammaticale est défaillante depuis l’antiquité gréco-romaine jusqu’à ce jour. Elle s’est formée, à travers les siècles, au gré des fantaisies personnelles greffées sur l’essentiel du génie grec et latin. A part quelques rares exceptions, les apports des grammairiens français n’ont amélioré ni les critères de description du verbe, ni la nomenclature des formes verbales.<p>Nous avons dans le corps de ce texte signalé les acquis de chaque époque retenue dans cette étude. Il serait donc superflu d’y revenir dans le détail. Nous allons cependant rappelé, au risque d’en faire une antienne, les quelques progrès réalisés dans l’étude du verbe entre le XVIIe siècle et le début du XXe siècle :<p>1° la distinction des temps simples et des temps composés selon la forme chez D’Aisy (1674, 1685), Régnier-Desmarais (1706), Buffier (1709), etc. <p>2° l’exclusion, déjà au XVIIIe siècle, de l’impératif de la liste des modes verbaux ;3° l’intégration, depuis ce même siècle, des formes en –rais dans le mode indicatif (p. ex. chez Buffier, 1709 ;Restaut, 1730 et Ayer, 1853) avant que le XIXe siècle ne revienne en force au mode conditionnel; <p>4° l’institution par Nicolas Beauzée (1767) du principe des « ordres relationnels » (époque de comparaison, terme de comparaison, repère, rapport d’existence, etc.) dans la description des temps du verbe ;5° l’exploitation de la série complète des formes simples vs formes composées (Buffier, 1709) ;<p>6° la tripartition des tiroirs en formes simples / composées / surcomposées chez Dangeau (cf. supra, § 6.3.1.2) :p. ex. prétérit simple je chante /prétérit composé j’ai chanté /prétérit surcomposé j’ai eu chanté, etc. <p>7° l’usage par Dangeau (1754), à la suite de Girard (1747), des quantifiants et caractérisants numéraux comme discriminants des formes verbales :p. ex. premier temps surcomposé que j’aie eu marché /second temps surcomposé que j’eusse eu marché / troisième temps surcomposé jaurois eu marché) ;<p>8° la mise sur pied des néologismes très producteurs :futur passé (Restaut, 1730 ;Lhomond, 1780 ;Girault-Duvivier, 1811), futur antérieur (De Wailly, 1754 ;Sicard, 1799 ;Noël et Chapsal, l823 ;Brachet et Dusouchet, 1888, 1889), futur du passé (Maquet et al. 1921), futur antérieur du passé (Clédat, 1896 ;Maquet et al. 1921).<p>De toutes ces innovations, la théorie des «ordres relationnels » est celle qui a eu le plus d’impact sur les linguistes du XXe siècle. Comme nous l’avons vu, Guillaume et Wilmet, pour ne prendre que ces deux exemples, s’en sont inspirés dans la mise sur pied de leurs théories respectives :celle de la « chronogénèse » et celle du « repère ».<p>Ces deux approches du système verbal ont conduit à une description intéressante des modes, des aspects et des tiroirs. C’est une véritable révolution. Un seul regret :la méfiance injustifiée des auteurs de manuels et livres de grammaire à l’égard de cet important renouveau terminologique. <p><p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La diathèse, des origines à l'aube de la grammaire française: contribution à l'histoire d'un objet linguistique

Evrard, Ivan January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.
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Elaboration de ressources électroniques pour les noms composés de type N (E+DET=G) N=G du grec moderne / The N (E + DET=G) N=G compound nouns in Modern Greek

Kyriakopoulou, Anthoula 25 March 2011 (has links)
L'objectif de cette recherche est la construction manuelle de ressources lexicales pour les noms composés grecs qui sont définis par la structure morphosyntaxique : Nom (E+Déterminant au génitif) Nom au génitif, notés N (E+DET:G) N:G (e.g. ζώνη ασφαλείας/ceinture de sécurité). Les ressources élaborées peuvent être utilisées pour leur reconnaissance lexicale automatique dans les textes écrits et dans d'autres applications du TAL. Notre travail s'inscrit dans la perspective de l'élaboration du lexique-grammaire général du grec moderne en vue de l'analyse automatique des textes écrits. Le cadre théorique et méthodologique de cette étude est celui du lexique-grammaire (M. Gross 1975, 1977), qui s'appuie sur la grammaire transformationnelle harisienne.Notre travail s'organise en cinq parties. Dans la première partie, nous délimitons l'objet de notre travail tout en essayant de définir la notion fondamentale qui régit notre étude, à savoir celle de figement. Dans la deuxième partie, nous présentons la méthodologie utilisée pour le recensement de nos données lexicales et nous étudions les phénomènes de variation observés au sein des noms composés de type N (E+DET:G) N:G. La troisième partie est consacrée à la présentation des différentes sous-catégories des N (E+DET:G) N:G identifiées lors de l'étape du recensement et à l'étude de leur structure lexicale interne. La quatrième partie porte sur l'étude syntaxico-sémantique des N (E+DET:G) N:G. Enfin, dans la cinquième partie, nous présentons les différentes méthodes de représentation formalisée que nous proposons pour nos données lexicales en vue de leur reconnaissance lexicale automatique dans les textes écrits. Des échantillons représentatifs des ressources élaborées sont présentés en Annexe / The object of this research is the manual construction of lexical resources for the Greek compound nouns defined by the following morphosyntactic structure : Noun (E+Determiner in genitive) Noun in genitive, (N (E+DET:G) N:G) (e.g. ζώνη ασφαλείας/safety belt). The elaborated resources may be used for their automatic recognition in written texts and other NLP applications. Our study is part of the general lexicon-grammar for Modern Greek in view of automatic processing of written texts. Our theoretical and methodological framework is that of lexicon-grammar (M. Gross 1975, 1977), based on the Transformational Grammar principles defined by Z. S. Harris. Our study is organised into five parts. In the first part, we give an overview of the core notion governing our research : the notions of (fixed) multiword expression (MWE). In the second part, we present the methodology used to collect our lexical data and we study the variation phenomena observed within the framework of the N (E+DET:G) N:G. The third part is dedicated to the presentation of the different N (E+DET:G) N:G categories identified in the listing phase qnd to the study of their lexical composition. The fourth concerns the syntactical and semantic study of the N (E+DET:G) N:G. Finally, the fifth part deals with the formal representation methods we propose for our lexical data in view of their lexical recognition in Greek written texts. Representative samples of the elaborated resources are illustrated in Appendix
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Structures et référence

Merle, Jean-Marie 22 November 2006 (has links) (PDF)
Synthèse des travaux de recherche effectués, sur will + BV, sur le conditionnel français, son invariant sémantique et sa traduction en anglais, sur les repères hypothétiques, l'opposition entre irréel et potentiel, le conditionnel journalistique et le discours indirect libre ; sur certaines constructions verbales (want, will) ; sur le sujet, la prédication, les constructions participiales, la qualification ; sur la focalisation (just ; l'exception) ; sur les prépositions ; sur les mots en wh. Présentation d'une réflexion actuelle qui porte entre autres sur la qualification, les structures résultatives, l'apposition, la coprédication, les nexus, les paradigmatiques, les structures de focalisation. L'auteur en est arrivé à essayer de rendre compte systématiquement dans ses travaux, entre autres, en relation avec la spécificité des phénomènes étudiés, de trois séries d'observables linguistiques dont les propriétés sont loin d'être entièrement explorées : trois modes de repérage - structurel, sémantico-référentiel, énonciatif ; trois incidences fondamentales - prédicative, co-prédicative, interne au syntagme ; trois types de constituants de base - syntagmes, nexus, propositions.
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Grammaire de l'infinitif injonctif / Grammar of the injunctive infinitive

Khodabocus, Nooreeda 09 December 2016 (has links)
L’infinitif est souvent présenté comme un mode qui ne présente ni les marques de temps, ni de personne, ni de nombre. De ce fait, la grammaire traditionnelle le classe parmi les formes non personnelles du verbe avec le gérondif et le participe. Cependant, l’infinitif sert à exprimer un ordre, un conseil, une interdiction, entre autres actes directifs. On le retrouve dans les modes d’emploi de divers produits, dans les recettes de cuisine, dans le code de la route, dans les libellés de conseil, pour ne citer que quelques exemples. Selon les grammaires, dans cet emploi, l’infinitif serait utilisé à la place de l’impératif, dont il serait l’équivalent. Au vu de ces affirmations, cette thèse se propose d’étudier les caractéristiques de l’infinitif injonctif. Pour ce faire, nous nous intéressons à la catégorisation de l’infinitif et aux propriétés de l’injonction. En effet, l’utilisation de l’infinitif injonctif soulève des questions. Le texte injonctif est associé à un acte d’intimation à l’action ; il s’agit d’un acte directif par lequel un locuteur veut agir sur le comportement de son destinataire. Alors comment expliquer qu’une forme qui serait non personnelle et intemporelle puisse être employée dans un genre qui s’inscrit résolument dans une situation de communication où la présence d’un locuteur ne fait pas de doute, et où le message est destiné à un public déterminé ? Notre recherche a permis de montrer que l’infinitif est une forme verbale à part entière, avec des particularités qui lui sont propres. Notre étude sur corpus vient confirmer cette position au vu de l’organisation des constituants très riche de l’infinitif injonctif / The infinitive is often described as a mood which does not possess time, person or number markers. Hence, traditional grammars classify it as impersonal, along with the gerund and the participial. However, the infinitive can express an order, an advice, and a prohibition, among other directive speech acts. It is used in instruction manuals, in cooking recipes, in traffic regulation texts, in advisory texts, to name a few. According to grammars, in such cases, the infinitive is used instead of the imperative. It would thus be similar to the imperative. On the basis of these statements, this thesis intends to study the characteristics of the injunctive infinitive. To do this, we consider the categorisation of the infinitive as well as the properties of the injunctive discourse. Indeed, the use of the injunctive infinitive raises questions. The injunctive text relates to a directive speech act through which the speaker attempts to get the addressee to perform the action described. How is it, then, that an impersonal and tenseless verb form can be used in a discourse which is clearly linked to a communication situation where there is no doubt as to the existence of a speaker and where the speech is directed towards a particular audience? Our research shows that the infinitive is a verb form in its own right, with its own unique features. Our corpus-based study confirms this fact, as shown by the rich syntactic possibilities with the injunctive infinitive.
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L'expression du temps dans les Chroniques de Froissart

Remy, Paul January 1953 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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