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Analyse syntaxique automatique du français écrit : applications à l'indexation automatique

Lallich-Boidin, Geneviève 08 October 1986 (has links) (PDF)
L'analyse syntaxique d'une langue naturelle consiste à définir une grammaire de cette langue, grammaire nécessairement ambiguë, à choisir un algorithme d'analyse non déterministe et à élaborer une stratégie d'analyse afin d'éviter la construction de structures syntaxiques parasites. Dans le cadre de ce travail, nous définissons une grammaire du syntagme nominal du français écrit. Nous étudions les analyseurs hors contexte et non déterministes de Cocke-Younger-Kosomi et d'Earley, et retenons ce dernier. Puis, au dessus de cet analyseur, nous élaborons une stratégie d'analyse qui, à partir des données linguistiques portées par le texte à analyser, permet de prédire localement la structure juste et qui limite de ce fait le nombre de solutions parasites. L'indexation automatique de documents à partir des syntagmes nominaux contenus dans leur résumé est une application de l'analyseur construit
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Le défini, l’indéfini et le générique en anglais contemporain / Definiteness, indefiniteness and generics in contemporary English

Parent, Héloïse 10 December 2011 (has links)
Cette thèse étudie le fonctionnement des déterminations définie et indéfinie au sein des syntagmes nominaux génériques en anglais contemporain à partir d’un corpus essentiellement composé de textes encyclopédiques et scientifiques. La catégorisation générique peut relever de processus cognitifs et de niveaux d’abstraction distincts signifiés par les déterminations définie et indéfinie. La première partie décrit successivement le cadre référentiel de cette étude, la formalisation morphosyntaxique de la généricité nominale, la spécification dont sont porteurs les articles définis et indéfinis, ainsi que les contraintes déterminatives liées à la classe lexico-grammaticale des substantifs et au contexte prédicatif. La deuxième partie étudie les possibilités et impossibilités déterminatives au regard des contextes prédicatifs lorsque le syntagme nominal est associé à un prédicat d’espèce. Nous considérons plus spécifiquement l’interaction entre la classification des espèces, le nombre singulier ou pluriel et la détermination définie ou indéfinie en nous intéressant aux espèces conçues dans leur pluralité interne. La troisième partie examine le fonctionnement de l’article défini comme opérateur d’abstraction. L’étude des spécialisations de the montre qu’il est lié à une visée référentielle externalisante et synthétique. La quatrième partie traite du fonctionnement des syntagmes nominaux génériques définis et indéfinis au sein des textes génériques eu égard à la structuration du discours. L’article défini sous-tend une dimension anaphorique au générique également, et reste la marque de la saillance cognitive du référent. / This dissertation deals with the use of definite and indefinite determiners in generic noun phrases in contemporary English, using a corpus based on encyclopedic and scientific texts mainly. The categorization which genericity is based on results from various cognitive processes and levels of abstraction which are signified in the use of definite and indefinite determiners. The first part successively describes the referential framework of our study, the morphosyntactical forms of generic noun phrases, the values of definite and indefinite articles, as well as the pattern of constraints on definite and indefinite articles established by the lexico-grammatical features of nouns and the predicative context. The second part examines determiner possibilities and impossibilities with regard to the predicative context when a generic noun phrase is combined with a kind-predicate. More specifically, we correlate species classification, singular/plural number marking and definite/indefinite determination as we examine the plural structure of generic referents. The third part studies the use of the definite article as an abstraction operator. As we consider cases in which the use of definite noun phrases is favored, we show that its reference involves an externalizing and synthetic dimension. The fourth part deals with the way generic definite and indefinite noun phrases combine in generic texts with regard to the discourse structure. The use of the definite article presupposes an anaphoric dimension in generic reference also and indicates that the referent is salient in a cognitive perspective.
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L'acquisition de la définitude en français langue étrangère par les apprenants malais

Ahmad, Ashrafiqin 18 April 2018 (has links)
Cette étude a pour objectif d'analyser l'acquisition de la définitude dans les compléments du nom en français LE par les apprenants malais. 46 étudiants de différents niveaux de compétence ont passé un test de jugement de grammaticalité qui s'est composé de 32 items. L'instrument mesure l'emploi des marqueurs de définitude à l'intérieur du SP dans les compléments de types possessif (ex. la voiture des voisins), [de SN] (ex. une histoire de fille) et prépositionnel (ex. une école avec (un) jardin), et dans les noms propres (ex. le discours du Président Obama). Les résultats ont montré que indépendamment de leur niveau de compétence, l'acquisition de la définitude des possessifs s'avère la moindre problématique chez ces apprenants, alors que celle des compléments de type [de SN] semble être la plus problématique. Nous prétendons que le SD est disponible dans la grammaire des apprenants malais, malgré l'absence du système d'articles dans cette langue.
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Structure nominale et expression du temps, du mode et de l'aspect en saramaka : analyse synchronique et diachronique

Bally, Anne-Sophie 05 1900 (has links) (PDF)
La curiosité des linguistes à l'égard des langues créoles repose sur la façon dont celles-ci ont été créées, puisque ce sont des langues que l'on a vu émerger dans des intervalles de temps très brefs et souvent dans des conditions sociohistoriques très particulières, comme l'esclavage dans les Antilles au XVIIe siècle. Les langues créoles sont le fruit d'un contact de plusieurs langues et elles sont par conséquent dans leur structure le reflet des langues en présence lors de ce contact. Dans cette thèse, nous nous intéresserons particulièrement à une de ces langues créoles : le saramaka, une langue créole à base lexicale anglaise et portugaise parlée au Suriname et en Guyane française par environ 30 000 locuteurs. Cette langue sera traitée sous deux angles différents, mais complémentaires. Le premier angle est une description synchronique fine de la structure nominale et de la structure verbale et plus spécifiquement, les catégories dites « fonctionnelles » qui y apparaissent. Le second angle est une recherche approfondie de l'origine et de la création de ces deux structures, en comparaison avec les structures équivalentes dans les langues en présence au moment de sa création. Le cadre théorique dans lequel s'inscrit cette recherche est résolument saussurien, puisqu'il fait appel à la notion du signe linguistique tel que développé par Saussure (1916) comprenant un signifiant (une image acoustique) et un signifié (un concept). Les deux propriétés fondamentales du signe sont son caractère radicalement arbitraire et sa linéarité, imposée par la modalité orale. Nous reprenons les travaux de Bouchard (2002, 2005, à paraître) pour l'aspect combinatoire de ces signes linguistiques, c'est-à-dire pour l'aspect syntaxique de notre cadre théorique. Faire le choix d'un tel cadre théorique pour parler des langues créoles est en soi novateur, puisque beaucoup des recherches actuelles se déroulent au sein du cadre théorique de la grammaire générative. Dans le premier chapitre, nous verrons quels sont les problèmes liés aux hypothèses actuelles sur la genèse des langues créoles, en particulier quand celles-ci s'ancrent dans le cadre théorique de la grammaire générative. Il sera proposé plutôt de prendre comme point de départ à la genèse des langues créoles le fait que celles-ci sont des cas particuliers d'acquisition d'une langue seconde. Les agents de formation d'une langue créole ne recevant pas un enseignement explicite de la langue-cible, le système de signes linguistiques de la langue en cours d'acquisition est purement fondé sur les perceptions que ses apprenants en avaient. Ainsi, les signifiants de la langue-cible étant sonores, donc directement accessibles, ceux-ci ont été relativement bien acquis. Les signifiés de la langue-cible étant moins accessibles, puisqu'il n'y a pas eu d'enseignement explicite de la langue-cible, ceux-ci ont été moins bien acquis et souvent amalgamés avec les signifiés des signes équivalents dans la langue maternelle des apprenants. On a affaire à un mécanisme de transfert négatif dans ce cas, comme cela est abondamment documenté dans le domaine de l'acquisition des langues secondes. Dans le second chapitre, nous présentons dans les grandes lignes les caractéristiques de la langue saramaka, ainsi que la façon dont nous avons recueilli les données et quelle est la méthodologie employée pour les traiter. Les chapitres trois et quatre sont l'application directe du cadre théorique que nous développons dans le premier chapitre. Ils cherchent à comprendre et à expliquer l'origine de la structure nominale et de la structure verbale, des signes qui les composent et de l'ordre de ceux-ci. Nous voyons dans ces chapitres, au fil des démonstrations, que notre cadre théorique basé sur les perceptions des apprenants du système de signes linguistique des langues-cibles explique adéquatement la formation de ces structures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : saramaccan, signe linguistique, Saussure, langues créoles, anglais, portugais, langues gbe, syntagme nominal, marqueurs de TMA.
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Elaboration de ressources électroniques pour les noms composés de type N (E+DET=G) N=G du grec moderne

Kyriakopoulou, Anthoula 25 March 2011 (has links) (PDF)
L'objectif de cette recherche est la construction manuelle de ressources lexicales pour les noms composés grecs qui sont définis par la structure morphosyntaxique : Nom (E+Déterminant au génitif) Nom au génitif, notés N (E+DET:G) N:G (e.g. ζώνη ασφαλείας/ceinture de sécurité). Les ressources élaborées peuvent être utilisées pour leur reconnaissance lexicale automatique dans les textes écrits et dans d'autres applications du TAL. Notre travail s'inscrit dans la perspective de l'élaboration du lexique-grammaire général du grec moderne en vue de l'analyse automatique des textes écrits. Le cadre théorique et méthodologique de cette étude est celui du lexique-grammaire (M. Gross 1975, 1977), qui s'appuie sur la grammaire transformationnelle harisienne.Notre travail s'organise en cinq parties. Dans la première partie, nous délimitons l'objet de notre travail tout en essayant de définir la notion fondamentale qui régit notre étude, à savoir celle de figement. Dans la deuxième partie, nous présentons la méthodologie utilisée pour le recensement de nos données lexicales et nous étudions les phénomènes de variation observés au sein des noms composés de type N (E+DET:G) N:G. La troisième partie est consacrée à la présentation des différentes sous-catégories des N (E+DET:G) N:G identifiées lors de l'étape du recensement et à l'étude de leur structure lexicale interne. La quatrième partie porte sur l'étude syntaxico-sémantique des N (E+DET:G) N:G. Enfin, dans la cinquième partie, nous présentons les différentes méthodes de représentation formalisée que nous proposons pour nos données lexicales en vue de leur reconnaissance lexicale automatique dans les textes écrits. Des échantillons représentatifs des ressources élaborées sont présentés en Annexe
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Le syntagme verbal isolé à l'impératif en français (XIIe-XVIIe siècle) - Etude morphologique, lexico-sémantique et syntaxique.

Dufeu, Pierre-Yves 27 November 2000 (has links) (PDF)
Le mode impératif existe-t-il en français ? Une première étude morphologique analytique du verbe impératif montre que, dans la diachronie considérée, la langue retrouve le même type de claires oppositions morphématiques modales qui avaient cours en latin. Une deuxième partie de sémantique lexicale formelle nous permet, à partir du même corpus, de mettre au jour un continuum de la phrase nucléaire, au sein duquel le mode impératif occuperait la position médiane, entre l'interjection et la prédication. Nous montrons enfin que cette identité modale médiane trouve aussi ses marques propres à l'échelle syntagmatique, à travers notamment la syntaxe clitique ou la conception d'adverbes spécifiques, comme donc.
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Le syntagme nominal en créole guyanais. : Une étude synchronique et diachronique du marqueur LA / The Noun Phrase in French Guianese Creole. : A synchronic and diachronic study of the noun marker LA

Wiesinger, Evelyn 17 July 2015 (has links)
Notre travail est consacré à l’élément LA (< fr. là) en guyanais, langue créole française pour laquelle il n’existe que peu de données linguistiques accessibles. Nous fournissons un nouveau corpus du guyanais qui inclut une vaste gamme de textes anciens de 1799 à 1893 et des données du guyanais parlé. En nous basant sur notre corpus, nous proposons une analyse diachronique et synchronique de LA, élément extrêmement polyfonctionnel en guyanais. Nous commençons notre étude par distinguer ses différentes fonctions : adverbe/marqueur de discours, élément du pronom déictique-démonstratif, LA en fin de proposition subordonnée ou interrogative, ainsi que LA marqueur postnominal. Pour l’analyse du dernier, nous proposons une approche théorique de la référence nominale qui tient compte de l’usage de l’élément en question en discours, et donc aussi des fonctions interactionnelles et sociales du langage. Notre analyse de corpus nous permet de classer LA comme marqueur dont l’emploi est non seulement incomplètement généralisé dans les contextes définis, mais dont l’usage dépend d’une interaction complexe de différents facteurs d’ordre sémantico-pragmatique, ontologico-cognitif et informationnel-syntaxique. LA dénote en outre une certaine variation graduelle en fonction de la tradition discursive, ou bien des conditions/intentions communicatives respectives. LA est enfin un élément qui laisse toujours entrevoir à un certain degré son enracinement initial dans la deixis et l’oralité. De ce lien témoigne également le rôle joué par là/LA non seulement dans les autres créoles français, mais également dans les variétés orales du français en Afrique ou au Canada. / Die vorliegende Arbeit widmet sich dem Element LA (< fr. là) im Guayanakreol, einer französischen Kreolsprache für die bisher kaum Untersuchungen vorliegen. Unsere Arbeit legt ein neues Korpus vor, das sich aus Texten von 1799-1893 sowie aus eigenen Sprachaufnahmen zusammensetzt. Das Hauptaugenmerk der Untersuchung liegt auf einer detaillierten synchronen und diachronen Beschreibung der Verwendungskontexte des im Guayanakreol stark polyfunktionalen LAs. Hierfür nehmen wir zunächst eine Abgrenzung zwischen LA als Adverb/Diskursmarker, LA als Teil des Demonstrativpronomens, LA am Ende von Neben- oder Fragesätzen sowie dem postnominalen Marker LA vor. Für die Analyse des postnominalen LAs entwickeln wir anschließend einen umfangreichen theoretischen Unterbau zur Nominalreferenz, wobei ein semantisch-pragmatischer und kognitiver Ansatz verfolgt wird. Die Korpusanalyse zeigt schließlich, dass das postnominale LA allenfalls als definiter Marker auf einer niedrigen Grammatikalisierungsstufe eingeordnet werden kann, dessen Auftreten durch ein komplexes Zusammenspiel semantisch-pragmatischer, ontologisch-kognitiver sowie informationell-syntaktischer Faktoren bestimmt wird. Unsere diachrone Analyse zeigt zudem, dass in unserem Korpus der Gebrauch von LA weitgehend stabil bleibt, dass aber eine gewisse graduelle Variation je nach Diskurstradition und Kommunikationsintentionen vorliegt. Die Funktionalität von LA zeugt außerdem bis heute von einer gewissen Verankerung in der Deixis und in der Nähesprache, die auch in anderen Frankokreols sowie in gesprochenen Varietäten des Französischen, wie etwa in Afrika oder Kanada, zutage tritt.
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L'adjectif en Bantu

Baka, Jean R. January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.

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