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Les traditions taoïstes dans le développement des arts martiaux chinois : un processus de légitimation à travers la quête d'une origine spirituelle

Larochelle, Dominic 20 April 2021 (has links)
Les arts martiaux chinois, pratiqués en Chine mais également partout dans le monde, constituent un art regroupant plusieurs aspects : une méthode de combat, une activité sportive, une recherche d’auto-défense, un loisir. Mais les arts martiaux sont également souvent présentés comme une manière de vivre une certaine spiritualité orientale, ou du moins un mode de vie basé sur une philosophie et une morale bien précise. Ce mémoire se veut une analyse anthropologique et historique des rapports entre des arts de combat chinois et une spiritualité taoïste. À. travers l’étude d’un discours spirituel, on peut voir comment les adeptes d’arts martiaux se sont construit toute une « tradition taoïste des arts martiaux », c’est-à-dire une tradition d’arts de combat qui insère la pratique martiale dans le cadre plus large de la spiritualité taoïste. C’est une quête d’origine qui s’incarne en amalgamant différents éléments (généralement mythiques) tirés des traditions taoïstes « classiques » pour ainsi créer un nouveau discours qui viendra légitimer la pratique des arts martiaux. Dans cette quête d’origine spirituelle, c’est une quête de sens que l’adepte entreprend.
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Healing beliefs and practices of the "Way of Celestial Masters" during the Eastern Han Dynasty (25-220 a.d.)

Meng, Qing January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Une philosophie de l’expérience : Pierre Hadot et les chapitres intérieurs du Zhuangzi

Drouin-Trempe, Victor 09 1900 (has links)
Pierre Hadot, dans Qu’est-ce que la philosophie antique? et dans Exercices spirituels et philosophie antique, propose une relecture des textes fondateurs de la philosophie occidentale afin de démontrer qu’originellement, les philosophes de l’Antiquité avaient pour but non seulement d’élaborer une systématisation rationnelle du monde, mais également de modifier concrètement, grâce à certains exercices, leur manière de vivre. Aujourd’hui, cette conception de la philosophie n’est plus privilégiée : l’aspect intellectuel à pris le dessus sur l’aspect expérientiel, ce qui incite à considérer la philosophie avant tout comme un discours rationnel et objectif. Pour cette raison, la pensée métaphorique, imagée et poétique de Zhuangzi, ne peut pour certains être considérée comme véritablement philosophique puisqu’elle ne cherche pas à élaborer une conception systématique de la réalité. Elle propose plutôt des moyens de s’ouvrir à l’expérience, grâce à certaines pratiques concrètes, afin de devenir plus sage. Ce mémoire cherchera à réhabiliter l’aspect expérientiel de la philosophie privilégié notamment par les penseurs grecs de l’antiquité, afin de démontrer la valeur proprement philosophique de l’oeuvre de Zhuangzi. / Pierre Hadot, in Qu’est-ce que la philosophie antique? and Exercices spirituels et philosophie antique, suggests a new interpretation of texts from ancient philosophers which show that originally, the goal of those philosophers was not only to elaborate a rational systematization of the world, but also to change concretely their way of life. Today, this conception of philosophy is no longer promoted: the intellectual aspect has overcome the experiential aspect, which results in the general conception that philosophy is mainly a rational and objective discourse. Thus, for some, the metaphorical and poetical writings of Zhuangzi cannot be considered truly philosophical because they do not search for a systematic conception of reality. They rather suggest approaches for new experiences of reality, made possible by certain exercises, and show how to gain more wisdom. This work will try to rehabilitate the experiential aspect of philosophy, in order to show the philosophical value of the Zhuangzi.
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Rituels, divinités et société locale : une étude sur la tradition des maîtres rituels du Lingying-tang à l’ouest du Fujian / Rituals, gods and local society : a study of the tradition of the ritual masters of Lingying-tang in western Fujian

Wu, Nengchang 06 July 2015 (has links)
Prenant principalement appui sur des matériaux de terrain et des documents historiques, la présente étude examine la tradition des maîtres rituels taoïstes. Celle-ci a été une des traditions religieuses les plus vivantes en Chine méridionale, depuis la dynastie des Song (960-1279). Il s’agit d’une tradition d’exorcisme qui a emprunté beaucoup d’éléments au tantrisme. Elle s’est bien intégrée au taoïsme tout en révélant des relations subtiles entre le taoïsme et la religion populaire. D’un point de vue ethnographique, les maîtres rituels constituent un groupe important de spécialistes de rituels à l’ouest du Fujian, au sud-est de la Chine. D’un point de vue historique, chez les maîtres rituels contemporains se trouvent des éléments qui remontent à l’antiquité. Ainsi, la céation et la maîtrise de soldats du monde invisible pour conjurer les êtres malfaisants en faveur du peuple constituent un trait caractéristique. La tradition des maîtres rituels a joué un rôle important non seulement dans la vie quotidienne du peuple, mais aussi dans les processus socio-culturels régionaux. Le présent travail étudie notamment un mythe de « batailles de méthodes » entre des maîtres rituels et des mauvais esprits qui a trouvé sa place dans un contexte de conflits ethniques à l’ouest du Fujian. Il examine aussi un culte des maîtres rituels qui a donné l’occasion aux différents groupes sociaux d’exprimer leurs compréhensions de leur légitimité, ainsi que des rituels d’ordination et des rituels servant à cacher les âmes humaines des mauvais esprits, rites de vie qui contribuent aussi à la construction de la communauté. / Relying mainly on field materials and historical documents, this study examines the tradition of Daoist ritual masters; one of the liveliest religious traditions in South China since the Song Dynasty (960-1279). It is a tradition of exorcism which borrowed many elements from Tantrism; but it is also well integrated into Daoism while revealing subtle relations between Daoism and popular religion. From an ethnographic perspective, ritual masters are an important group of ritual specialists in western Fujian in Southeast China. From a historical point of view, among contemporary ritual masters, we can find many elements that date back to antiquity. Thus the making and mastery of soldiers of the invisible world for exorcising evil beings to save the people is a characteristic feature. The tradition of ritual masters has played an important role not only in the daily life of the people, but also in regional socio-cultural processes. In this regard, the present work studies a myth of “magic warfare” between ritual masters and evil spirits that has found its place in a context of ethnic conflict in western Fujian. It also examines a cult of ritual masters which gave the opportunity for different groups to express their understandings regarding legitimacy, as well as ordination rituals and rituals to hide human souls from evil spirits, that is, life rites which contribute also to the construction of community life.
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Une philosophie de l’expérience : Pierre Hadot et les chapitres intérieurs du Zhuangzi

Drouin-Trempe, Victor 09 1900 (has links)
Pierre Hadot, dans Qu’est-ce que la philosophie antique? et dans Exercices spirituels et philosophie antique, propose une relecture des textes fondateurs de la philosophie occidentale afin de démontrer qu’originellement, les philosophes de l’Antiquité avaient pour but non seulement d’élaborer une systématisation rationnelle du monde, mais également de modifier concrètement, grâce à certains exercices, leur manière de vivre. Aujourd’hui, cette conception de la philosophie n’est plus privilégiée : l’aspect intellectuel à pris le dessus sur l’aspect expérientiel, ce qui incite à considérer la philosophie avant tout comme un discours rationnel et objectif. Pour cette raison, la pensée métaphorique, imagée et poétique de Zhuangzi, ne peut pour certains être considérée comme véritablement philosophique puisqu’elle ne cherche pas à élaborer une conception systématique de la réalité. Elle propose plutôt des moyens de s’ouvrir à l’expérience, grâce à certaines pratiques concrètes, afin de devenir plus sage. Ce mémoire cherchera à réhabiliter l’aspect expérientiel de la philosophie privilégié notamment par les penseurs grecs de l’antiquité, afin de démontrer la valeur proprement philosophique de l’oeuvre de Zhuangzi. / Pierre Hadot, in Qu’est-ce que la philosophie antique? and Exercices spirituels et philosophie antique, suggests a new interpretation of texts from ancient philosophers which show that originally, the goal of those philosophers was not only to elaborate a rational systematization of the world, but also to change concretely their way of life. Today, this conception of philosophy is no longer promoted: the intellectual aspect has overcome the experiential aspect, which results in the general conception that philosophy is mainly a rational and objective discourse. Thus, for some, the metaphorical and poetical writings of Zhuangzi cannot be considered truly philosophical because they do not search for a systematic conception of reality. They rather suggest approaches for new experiences of reality, made possible by certain exercises, and show how to gain more wisdom. This work will try to rehabilitate the experiential aspect of philosophy, in order to show the philosophical value of the Zhuangzi.
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L'Articulation humain/ciel (ren 人 / tian 天) dans la quête de la sagesse selon le Zhuangzi

Jean-Bressani, Antoine 01 1900 (has links)
Les plus anciens passages du Zhuangzi (datés de la fin du 4e s. AEC) méritent une attention particulière pour leur profonde originalité. La sagesse qu’ils illustrent semble se résumer ainsi: il faut s’accorder au « ciel » (tian 天, ce qui est spontané) et se défaire de l’« humain » (ren 人, ce qui est délibéré). Si, cependant, de s’accorder au ciel signifie de ne plus prendre de partis et de ne pas écarter ce qui s’offre à soi, un problème surgit tout de suite: comment prendre le parti du ciel et écarter l’humain? Comment même admettre une distinction fondamentale entre ce qui est céleste et ce qui est humain? Le Zhuangzi prétend justement dépasser toute distinction établie. Peut-être faudra-t-il dire que ce par quoi la sagesse se définit, i.e. l’opposition du ciel et de l’humain, n’en est qu’une définition « extérieure », une approximation étrangère à la sagesse même, qui est imprescriptible. Une alternative se présente alors: soit (1) la sagesse est inabordable, et il faudra un prodige (et peut-être quelques techniques préparatoires indirectes) pour qu’elle puisse advenir; soit (2) la sagesse est inévitable, et il n’y a rien à faire. Cette seconde option resterait peut-être invisible si elle ne nous était pas signalée par Guo Xiang (252-312 EC), commentateur canonique du Zhuangzi. De ne rien faire, de ne pas résister à ce qui se passe déjà, fait partie de l’idéal original du sage en tant que personne céleste, où le « ciel » est compris comme le cours même des choses, la spontanéité profonde de l’existence, sa transformation constante, l’émergence et l’évanouissement de toute chose. Pour éviter la contradiction, l’activité humaine doit être, fondamentalement et finalement, spontanée. Pensées, jugements, désirs et décisions naissent d’eux-mêmes. Il faudra dire, en fin de compte, qu’aucun être, être humain y compris, ne peut éviter la « sagesse » du cours des choses. / The core wisdom of the Zhuangzi is commonly epitomized along such lines: one ought to follow “heaven” (tian 天, the spontaneous) and break free from the “human” (ren 人, the deliberate). The present essay questions this abbreviation via an exploration of the oldest sections of the Zhuangzi (dated to the end of the 4th century BCE). If “following heaven” entails not to take sides, and not to shun whatever presents itself, a problem arises: how should I take the side of heaven and discard the human? How could I even allow a fundamental distinction between the heavenly and the human? Eventually, we may be tempted to concede that the definition of wisdom which generates an opposition between heaven and the human is ‘extrinsic’ to wisdom, which itself must remain imprescriptible. An alternative then emerges: either (1) wisdom is inaccessible, and it would take a kind of miracle (prepared, as it may be, by some indirect techniques) for wisdom to turn up; or (2) wisdom is inevitable. This second option would perhaps go unnoticed were it not signaled by Guo Xiang (252-312 EC) in his canonical commentary of the Zhuangzi. The idea that wisdom makes no requirement of us – leaving us open to whatever is going on – in fact corresponds to the ideal of the sage as the heavenly person, where “heaven” is identified with the very run of things, i.e. the original spontaneity of existence and its constant transformation, the emergence and fading away of each and every thing. Thereupon, we are gradually led to the conclusion that our situation (‘whatever is going on’) includes human activity, so that even “the human” must be recognized as fundamentally spontaneous: thoughts, judgments, desires, decisions and intentions are born of themselves. Nothing, in the end, avoids the “wisdom” that belongs with the course of events.
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Cosmologie et trifonctionnalité dans l'idéologie du Livre de la Grande paix (Taiping jing 太平經)

Espesset, Grégoire 28 May 2002 (has links) (PDF)
Malgré une histoire textuelle problématique, le " Livre de la Grande paix " (Taiping jing) transmis par le Canon taoïste des Ming reflète incontestablement des idées enracinées dans la vision du monde de l'époque des Han (206 av. J.-C.-220 ap. J.-C.). La cohérence de son contenu en apparence hétérogène réside dans l'idéologie tripartite qui sous-tend son substrat cosmologique et dépeint l'univers tout entier en une structure arborescente dérivant du modèle de base Ciel-Terre-Homme. Deux logiques triadiques s'opposent dans cette idéologie : un processus ternaire de déclin dans lequel l'Homme est déchu de la perfection originelle et un processus synthétique de retour à l'Unité dans lequel l'Homme incarne la réunion harmonieuse des pôles de la binarité. La trifonctionnalité vitaliste du dispositif varie en conséquence.
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Littérature narrative et religions chinoises du XIIe au XIXe siècles : Un surnaturel bien de ce monde.

Durand-Dastès, Vincent 02 July 2011 (has links) (PDF)
Synthèse de l'activité scientifique (2000-2010) en vue de l'obtention de l'habilitation à diriger des recherches
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L'espace méditatif dans l'installation contemporaine et son inspiration extrême-orientale : étude de quelques exemples représentatifs / Meditative Space in Contemporary Installation and its Far-Eastern Inspiration : a study of some representative cases

Park, Hye-Jun 15 December 2017 (has links)
Cette recherche vise à éclairer le phénomène, dans l’art contemporain, de la création d'« espaces méditatifs » destinés à induire un certain état d’esprit fait d’intériorisation paisible. Nous l’étudions chez des artistes dont la plupart sont inspirés par la pensée extrême-orientale. Il s'agit des Coréens Kim Ho-deuk, Kim Kichul, Kimsooja, Kim Sung-bae, Yee Sookyung, des Japonais Miyanaga Aiko et Yamamoto Motoi, de l'Allemand Wolfgang Laib et de la Française Tania Mouraud. L'espace méditatif est réalisé au moyen de l’élaboration de divers genres d’environnements sensoriels, souvent poly-sensoriels, qui incitent le spectateur à s’y plonger et le conduisent ainsi à une certaine méditation. Dans la création de cet espace particulier, ce qui est essentiel, ce n’est pas seulement l’idée et le concept de l’artiste, mais aussi le soin qu’il met à réaliser son oeuvre. Soin dans la manipulation et l’exécution, recourant tantôt à des techniques artisanales traditionnelles, tantôt à d’autres, complètement inédites. Toujours l’attention est première : on la voit dans leurs actes lents, répétitifs, ascétiques, qui ressemblent même parfois à un rite. Ils ouvrent à une autre dimension de l’art, que l’on peut qualifier de spirituelle. On passe ainsi de la réflexion à la méditation, et parfois on rejoindra l’artiste dans l’intuition d’où est née l’oeuvre. Des questions fondamentales sont ainsi soulevées, sur la vie, la mort, le temps. Églises et temples sont aujourd'hui moins fréquentés, mais beaucoup cherchent une sorte d’espace ouvert « vers le haut », ou « vers le profond », un « espace méditatif ». Trouveront-ils cet espace à la galerie ou au musée ? / This study attempts to shed some light on the creation of what might be called “meditative spaces” in Contemporary Art, spaces which seem to engender a special state of mind induced by peaceful interiorization. Most of the artists we study are inspired by Far Eastern thought: Kim Ho-deuk, Kim Kichul, Kimsooja, Kim Sung-bae, Yee Sookyung from Korea, Miyanaga Aiko and Yamamoto Motoi from Japan, Wolfgang Laib from Germany, and Tania Mouraud, from France. This meditative space is created by the elaboration of different kinds of sensory environments, often poly-sensory ones, which incite the spectator to immerse themself, leading them thereby to some kind of meditation. What matters here is not only the artist’s idea or concept, but also the care the artist takes to create their work. Care in the creation and performance which, sometimes, uses traditional craft techniques, sometimes wholly different, very original ones. The quality of attention always comes first: it can be seen in their way of proceeding, using slow, repetitive, ascetic movements, which sometimes even look like a ritual. Thus they open Art to a new dimension that could well be called spiritual. From reflection one slowly moves to meditation, and perhaps even—when the spectator joins the artist in his/her intuition—to the very source which gave birth to the work. Fundamental questions are thereby raised, about Life, Death, and Time. Churches and temples are less and less attended today, but many people still look for a kind of place, an “uplifting” open space, or an “inward” one: a meditative space. Will they be able to find it at the gallery or in the museum ?
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La communauté villageoise de Litang, et ses transmissions généalogiques et rituelles dans la construction de la modernité chinoise (du XIXe siècle à nos jours) / The village community of Litang, and its genealogical and ritual transmissions in the building of Modern China (from the 19th century to nowadays)

Favraud, Georges 24 January 2013 (has links)
Comment une communauté locale chinoise, structurée à la fois par ses transmissions patrilinéaires et taoïstes, participe-t-elle à la construction de la « modernité » ? Cette thèse montre la manière dont s’articulent et se transforment ces deux structures sociales communautaires fondamentales, afin de s’élaborer, de s’adapter et de participer au changement social de leur temps. Ce travail monographique porte en outre un regard ethnologique de plus grande échelle sur la société et l’histoire du bassin de la Xiang et de la province du Hunan : des cultes confucéens et patrilignagers rendus aux ancêtres agnatiques, du Pic du Sud (Nanyue) et des anciennes traditions rituelles, martiales et médicales taoïstes (Chunyang etQuanzhen), à leur recomposition actuelle dans le « socialisme de marché à la chinoise », après avoir traverséles premiers mouvements paysans communistes asiatiques (1927) orchestrés par Mao Zedong dans sa région natale, et la Révolution culturelle (1966-76).L’étude des mutations contemporaines du patrilignage des Chen du village de Litang, autour duquel se nouent les enjeux de pouvoir et la hiérarchisation des rôles des hommes et des femmes, ainsi que le système économique et écologique local, nous conduisentà repenser les bases mêmes sur lesquelles se construisent aujourd’hui les groupes de parenté chinois. L’analyse des mutations et des métissages entre parenté et rituel, qui se sont opérés dans le cadre du sanctuaire local des Transformations croissantes (ZenghuaGuan), institution en charge de l’organisation de la vie rituelle villageoise, montre quant à elle que la communauté de culte reste l’une des structures les plus fluides et durables de la société chinoise. / How does a local Chinese community, structured on the basis of both patrilineal and Daoist transmissions, participate in the building of “modernity”? This dissertation describes the way in which these two fundamental communal social structures are articulatedwith respect to each other, and the way in which they transform themselves in order to adapt to, and participate in, the social changes of their time. This monographic work also proposes, on a larger scale, an anthropological analysis of the society and history of the Xiang basin and Hunan province: from Confucian and patrilineal cults to agnatic kinship, as well as from ancient ritual, martial and medical Daoist traditions (Chunyang and Quanzhen), to their actual rearrangements in the “Chinese market socialism”, after having undergonethe first Communist peasant movements (1927) lead by Mao Zedong in his native region, and the Cultural Revolution (1966-76). The study of the contemporary mutations of the Chen lineage of Litang - an institution at the center of local power struggles, the hierarchization of sexual roles, and the village economy and ecology – leads us to reassert the very basison which Chinese parenthood groups elaborate themselves today. The analysisof the changes and the intermixturebetween parenthood and rituals, whichtake place in the local sanctuary of Increasing Transformations (Zenghua Guan) – an institution in charge of the local ritual life – shows that cult communitiesare one of the more fluid and sustainable structures of Chinese society.

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