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Pour un syndicalisme de lutte de classe! les groupes marxistes-léninistes et le mouvement syndical au Québec, 1972-1983

Dubois-Campagna, Alexis January 2009 (has links)
Dès la fin des années 1960, se développe une nouvelle tendance socialiste au Québec dans un contexte marqué par l'épuisement de la Révolution tranquille et par une ébullition idéologique sur la scène internationale. Dans ce climat politique, des groupuscules marxistes-léninistes (m-l) de tendance maoïste voient le jour au Québec, principalement dans la deuxième moitié des années 1970. Au même moment, sur le front syndical québécois, la lutte est intense entre travailleurs et employeurs. Les fronts communs de 1972 et 1975 et d'importantes grèves en font foi. De plus, de nombreux chefs syndicaux n'hésitent pas à s'attaquer directement au patronat et à l'État dans des discours clairement nourris par l'idéologie socialiste. Le radicalisme politique, même s'il n'est pas homogène et généralisé dans les centrales québécoises, s'impose de plus en plus dans les syndicats locaux comme dans les instances supérieures. C'est précisément les liens entre ces deux mondes, celui des groupuscules marxistes-léninistes et celui des centrales syndicales, qui nous intéressent. L'originalité de notre travail tient au fait qu'il lie les historiographies du marxisme-léninisme et du syndicalisme, ce qui représente un angle intéressant afin de renouveler la réflexion dans ces deux champs de recherche, certes très proches, mais malheureusement trop souvent étanches. À l'aide de diverses sources écrites, notamment les publications des organisations m-l et les archives des mêmes groupes, mais aussi d'entrevues menées par l'auteur avec d'anciens militants syndicaux, nous observons les relations entre les deux principaux groupuscules marxistes-léninistes, à savoir En Lutte! et la Ligue communiste (marxiste-léniniste) du Canada, et les centrales syndicales québécoises entre 1972 et 1983. Effectivement, il nous semble pertinent de mieux comprendre la nature des liens et des influences réciproques entre ces acteurs sociaux. L'objectif premier de cette recherche est de mettre en relief le militantisme des marxistes-léninistes au sein de ces institutions syndicales. En effet, la structure ouverte des syndicats, c'est-à-dire démocratique et accessible à tous les travailleurs syndiqués, a permis à un grand nombre de membres et sympathisants m-l de s'y intégrer et d'y faire valoir des positions d'extrême gauche. Et c'est justement le militantisme soutenu des m-l qui, contrastant avec celui beaucoup plus passif de l'ensemble des membres syndiqués, leur a permis d'influencer les positions et les stratégies des centrales syndicales, du moins de s'y faire entendre et de susciter des débats, particulièrement entre 1975 et 1980. Notre recherche sur cet aspect du militantisme syndical des marxistes-léninistes québécois éclaire des zones d'ombre de l'histoire politique récente de la province. De plus, cette étude amène une connaissance plus profonde de la place du radicalisme dans la culture politique québécoise et une meilleure compréhension du militantisme et de ses rouages. Afin d'atteindre nos objectifs, nous analysons d'abord le discours des marxistes-léninistes au sujet du monde syndical. Il sera notamment question des critiques sévères lancées contre les chefs syndicaux, ainsi que de la lutte idéologique qui secoue les différents groupes marxistes. Nous étudions ensuite les stratégies et les actions des m-l face aux syndicats, comme la volonté de se présenter à des postes électifs. Finalement, ce mémoire tente de mettre en lumière le militantisme m-l dans les différentes instances de la Confédération des syndicats nationaux, tout particulièrement le Conseil central de Montréal.
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Le miroir chinois : les attitudes françaises face à la Chine dans les milieux politique, diplomatique, intellectuel et médiatique, de 1949 au milieu des années 1980 / The Chinese mirror : French attitudes towards China in political, diplomatic, intellectual and media spheres, from 1949 to the mid-1980s

Liu, Kaixuan 29 March 2019 (has links)
L’évolution des attitudes françaises face à la Chine entre 1949 et le milieu des années 1980 peut être divisée en trois phases. Entre l’établissement de la République populaire de Chine en 1949 et la rupture sino-soviétique au début des années 1960, la Chine est perçue par les observateurs français comme un pays communiste soviétisé, tant sur le plan intérieur que sur le plan diplomatique. L’attitude des Français vis-à-vis de cette Chine traduit leurs positionnements dans les confrontations de la guerre froide. La Chine est considérée selon les différents milieux comme un pilier du mouvement communiste international, une alternative plus humaine au communisme soviétique, ou une menace « jaune et rouge » pour l’Occident. Ensuite, pendant la période qui va de 1963 à la fin de la Révolution culturelle en 1976, la Chine n’est plus perçue comme un membre du camp communiste. La rupture sino-soviétique et la Révolution culturelle donnent naissance à l’idée d’un « modèle chinois », même si elle prend des formes différentes selon les observateurs. Pour les uns, la Chine représente l’espoir de la régénération du communisme ; pour les autres, elle applique un système opposé au monde industrialisé et nullement imitable ailleurs. La troisième phase couvre la période de 1976 au milieu des années 1980, pendant laquelle les rapports des Français à la Chine se normalisent. La passion française pour les relations franco-chinoises s’estompe, et les opinions françaises sur la Chine sont devenues plus lucides. / The evolution of French attitudes towards China between 1949 and the mid-1980s can be divided into three phases. Between the establishment of the People's Republic of China in 1949 and the Sino-Soviet split in the early 1960s, China is perceived by French observers as a Sovietized communist country, both domestically and diplomatically. Attitudes of French people towards this China reflect their positions in the confrontations of the Cold War. China is considered in different spheres as a pillar of the international communist movement, a more humane alternative to Soviet communism, or a "yellow and red" threat to the West. Then, during the period from 1963 to the end of the Cultural Revolution in 1976, China is no longer seen as a member of the communist camp. The Sino-Soviet split and the Cultural Revolution give birth to the idea of a "Chinese model", even if it takes different forms according to different observers. For some, China represents the hope of the regeneration of communism; for the others, it applies a system opposed to the industrialized world and not at all imitated elsewhere. The third phase covers the period from 1976 to the mid-1980s, during which the relations between French people and China normalize. France's passion for Franco-Chinese relationship is fading, and French views on China became more lucid.
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Une fille du Parti : approche ethnologique du XXème siècle chinois à travers la biographie d’une femme pionnière / A daughter of the Party : ethnological approach to the Chinese XXth century through a young pioneer woman’s biography

Lecoq, Anne 02 April 2015 (has links)
Ce travail s’intéresse au parcours d’une femme chinoise exceptionnelle, Yuding, née en 1928 en Chine. Il interroge la manière dont elle a pu assimiler des modèles de vie, de parenté, et d’alliance, totalement paradoxaux, en traversant des époques incroyablement contrastées – début de la République, guerre avec le Japon, guerre civile, période révolutionnaire, société socialiste, et aujourd’hui le temps de la mondialisation. Yuding, âgée aujourd’hui de 87 ans, a gardé sa foi dans l’aventure de la Chine maoïste, malgré au fond d’elle les blessures de cette période violente. Née dans une grande famille rompue à l’orthopraxie confucéenne (ritualité, morale, culte des ancêtres), elle subit ensuite l’influence d’un autre « formatage » : celui du maoïsme et de sa doctrine révolutionnaire. Très vite l’idéologie traditionnelle de « piété filiale » transmise par ses parents fait place à une autre forme de dévouement total au Parti communiste. Militante passionnée dès la Libération, elle mène une vie active au sein de la Fédération des Femmes. Interprète en langue française, elle est amenée à voyager tant en Europe qu’en Afrique, à une époque où bien peu de gens sortaient du territoire chinois. Pourtant, en tant qu’intellectuelle, elle est envoyée en 1968, dans un camp de travail « l’École du Sept mai » ce qui n’entame en rien son adhésion inconditionnelle à l’idéologie du Parti. Bientôt il n’y aura plus de personnes de sa génération, pionnières dans la construction de la République populaire de Chine, pour témoigner de cette époque. Sa biographie témoigne de ce vécu exceptionnel. / This work deals with the life of an exceptional Chinese woman, Yuding, who was born in 1928 in China. It questions the way she has taken up totally paradoxical ways of life, kinship, and union, while living through incredibly uneven times - the beginning of the Republican era, the Second Sino-Japanese war, the civil war, the revolutionary era, the socialist society, and the current globalization. Yuding, presently 87, has kept faith in the venture proposed by the Maoist China, despite underlying wounds left by this violent period. Born in a leading family broken in to Confucian orthopraxy (rituality, morality, worship of the ancestors), Yuding then undergoes the influence of another “formatting” this of Maoism and its revolutionary doctrine. Very quickly, the traditional ideology of “filial devotion” passed on by her parents makes way for complete devotion to the Communist Party. Passionate activist from the Liberation, she leads an active life within the Women's Federation. French interpreter, she is brought round to traveling as much in Europe as in Africa, at a period during which very few persons were going out China. Yet, being an intellectual, she is sent to a labour camp “School of the Seventh of May” in 1968, but she doesn't lose her unquestioning adherence to the Party ideology. There soon won't be anybody from her generation, who was pioneer in the building of the People's Republic of China, to give accounts of this era. Her biography is a testimony of this exceptional experience.
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Le mouvement maoïste au Népal, 1949-2008 : la tentation de la révolution internationale / The Maoist movement in Nepal, 1949-2008 : the international revolution temptation

Cailmail, Benoît 18 December 2015 (has links)
Le PCN fondé en 1949 est particulièrement révélateur des échanges constants entre le Népal et le monde extérieur. La formation des premiers idéologues du PCN au sein du PCI aussi bien que l'insurrection de Jhapa née en 1971 de la révolution de Naxalbari montrent ainsi l'influence du communisme indien sur son équivalent népalais. Au-delà de son voisin indien, le PCN fut également perméable aux changements qui affectèrent le mouvement communiste international. Si nombre des scissions du PCN furent le fruit de batailles internes, d'autres naquirent des luttes auxquelles se livrèrent les grands blocs socialistes. À mesure que les relations sino-soviétiques se détériorèrent, le mouvement communiste népalais se divisa entre les partisans de Moscou et de Beijing. La rupture qui se fit lors du troisième congrès du PCN en 1962 entre les prosoviétiques et les prochinois en fournit l'un des nombreux témoignages. Le mouvement maoïste népalais fut donc largement influencé par le communisme régional et international. Mais à partir du milieu des années 1980, il cessa d'être un spectateur passif pour devenir un acteur à part entière de l'internationale révolutionnaire. Par sa participation au congrès fondateur du RIM en 1984, Mohan Bikram Singh et son PCN(Masal) fit entrer le maoïsme népalais dans une nouvelle dimension. Le PCN(M) sut emprunter le chemin ouvert par MB Singh en poursuivant les échanges avec l'internationale maoïste. La guerre populaire prolongée déclenchée en février 1996 lui permit d'acquérir ses lettres de noblesse auprès de l'ensemble des révolutionnaires du monde entier pour en devenir le nouveau porte-drapeau, succédant au Sentier lumineux péruvien. / The CPN, founded in 1949, illustrates perfectly the bonds that tie Nepal to the outside World. The fact that its founders were at first members of the CPI or that the Jhapa Uprising was greatly inspired by the revolution in Naxalbary is one of the many signs of the influence of the Comrnunist Movement in India over its Nepalese counterpart. The CPN was also shaped by the many changes that affected the international communist movement. Though many splits of the CPN were due to interna! disputes, others (such as the split during the Third Congress of the CPN in 1962) were the direct consequence of disagreements within the Socialist bloc. The Nepalese Maoist movement was thus largely influenced by the regional and international cornmunist movement. In the beginning of the l 980's, the Maoists of Nepal ceased to be mere spectators to become full active members of the international revolutionary movement. By participating in the founding congress of the RIM in 1984, Mohan Bikram Singh and his CPN(Masal) gave the Nepalese Maoist movement a whole new dimension. The CPN(M) followed the footsteps of the CPN(Masal) and brought its relationship with the Maoists abroad to new heights. The Protracted People's War started in February 1996 by the CPN(M) enabled it to achieve recognition by its counterparts throughout the World and to become the new voice of the Maoist international revolution.
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La critique maoïste péruvienne face à la Réforme agraire de Velasco (1969-1980) : enquête sur les causes d'une révolution qui ne vint pas

Dorais, Geneviève January 2007 (has links)
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Le Maoïsme de la revue Tel Quel autour de mai 1968 / Maoism in Tel Quel Journal around May 68

Xu, Kefei 14 February 2011 (has links)
La revue Tel Quel était une plateforme du maoïsme en France autour de Mai 68. Le maoïsme de Tel Quel est non seulement un phénomène politique, mais aussi un phénomène culturel. Il y a trois thèmes de recherche sur le maoïsme de Tel Quel : le maoïsme de Tel Quel et le marxisme; le maoïsme de Tel Quel et la critique du bureaucratisme; et enfin le maoïsme et la culture chinoise (classique). Malgré la fascination des maoïstes "telqueliens" pour la Chine dans les domaines de la politique et de la culture, surtout avec la Révolution culturelle qui intégra les révolutions politiques au nom de la culture, le maoïsme de Tel Quel est un imaginaire sur la Chine. C'était une introjection de la Chine en France avec une négation de la réalité de la Chine de Mao. De plus, le maoïsme de Tel Quel est une critique des intellectuels sur l’aliénation de la modernité. En conséquence, l’observation du maoïsme en France est une réflexion sur le rôle de l’intellectuel, et aussi une réflexion sur la société française autour de Mai 68 / Tel Quel is one of the important platforms of Maoism around the May 1968 in France. The Maoism of Tel Quel is not only a phenomenon of politics but also a phenomenon of culture. There are there parts of this thesis: Maoism and Marxism, Maoism and the critiques on bureaucratism, and Maoism and Chinese traditional culture.Although Tel Quel showed great interest to the Chinese politics and culture, especially to the Culture Revolution in China, the Maoism it carried out was the imagination of China. The fact is that the intellectuals utilized the imagined China which reflected the political needs to criticize the social realities in France, but they ignored the true China. Otherwise, the Maoism of Tel Quel is the intellectuals’ criticism to the alienation of modernism in France. Therefore, the investigation on Tel Quel is the investigation of the role that intellectuals played in May 1968 and the perspective of the whole French society around the May 1968 in France.

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