• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 54
  • 37
  • 3
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 95
  • 95
  • 53
  • 44
  • 18
  • 17
  • 17
  • 15
  • 15
  • 15
  • 14
  • 14
  • 13
  • 13
  • 13
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
71

Déviations de la condition CIP : une analyse avec les données canadiennes

Fang, Yuao 15 June 2021 (has links)
Ce document analyse les déviations observées dans la condition de la parité couverte des taux d'intérêt (CIP), exprimée entre le dollar américain et le dollar canadien, qui semblent s'être accentuées depuis la crise financière mondiale de 2008. Pour ce faire, l'étude met l'accent sur trois facteurs macroéconomiques pouvant potentiellement expliquer ces déviations : la liquidité des marchés de change mondiaux, le sentiment de risque sur les marchés financiers et la force relative du dollar américain. Les données utilisées construisent les déviations de la CIP à partir de données sur les taux d'intérêt, sur les taux de change spot et sur les taux de change à terme qui proviennent de Bloomberg. Nos résultats confirment la majorité des études empiriques en montrant que le principe de la CIP demeure un bon guide pour analyser les relations entre les taux de change à terme et au comptant et les taux d'intérêt, même si cette condition ne tient pas exactement et à tout moment. Les déviations de la condition CIP, lorsqu'elles surviennent, semble être liées de manière significative à la force du dollar américain, particulièrement dans l'ère post-crise. / This paper analyzes deviations in the covered interest rate parity (CIP) condition between the U.S. and Canadian dollars, which appear to have increased since the global financial crisis of 2008. To do so, the study focuses on three macroeconomic factors that can potentially explain these deviations: capital liquidity, risk sentiment in financial markets, and the relative strength of the US dollar. The data used constructs CIP deviations from data on interest rates, spot exchange rates, and forward exchange rates that come from Bloomberg. Our results confirm the majority of empirical studies by showing that the CIP principle remains a good guide for analyzing the relationship between forward and spot exchange rates and interest rates, even though this condition does not hold exactly at all times. Deviations from the CIP condition, when they occur, appear to be significantly related to the strength of the U.S. dollar, particularly in the post-crisis era.
72

Rendements boursiers canadiens : une analyse de facteurs macroéconomiques et financiers

Therrien, Nicolas 24 April 2018 (has links)
L'objectif de ce mémoire est de déterminer si la dimension du risque macroéconomique est incorporée dans le prix des actions canadiennes cotées en bourse sur le Toronto Stock Exchange. Une extension du modèle à trois facteurs de Fama et French (1992) est proposée afin d'inclure certains facteurs macroéconomiques, soit l'indice du taux de change effectif canadien de la Banque du Canada, l'écart entre les taux de long et de court terme, la variation du taux sans risque ainsi que l'indice de produits de base de la Banque du Canada, et de déterminer si ceux-ci permettent de mieux expliquer les rendements boursiers au Canada. Les estimations, réalisées sur une période allant de 2000 à 2015, montrent que seuls les facteurs du taux de change et de l'écart de taux d'intérêt sont incorporés dans le prix des actions.
73

Volatility transmission between the oil price, the exchange rate and the stock market index

Mokengoy, Mardochée Bopo 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire analyse la transmission de volatilité entre le prix du pétrole, le taux de change et l’indice boursier au Canada et aux États-Unis de 1999/01/04 à 2014/03/21. En utilisant un modèle MGARCH-BEKK, nos résultats montrent qu’au Canada, il existe une transmission bidirectionnelle de volatilité entre le taux de change $US/$CAD et l’indice boursier TSX, une transmission positive de l’indice boursier au prix du pétrole, ainsi qu’une transmission négative du taux de change au prix du pétrole. Les résultats suggèrent également que ces relations ne sont pas stables dans le temps. Pour les États-Unis, le modèle estimé ne satisfait pas la condition de stationnarité de la covariance pour la période totale et la sous période 1999/01/04 – 2002/10/08. C’est pourquoi nous considérons uniquement les résultats des sous périodes 2002/10/09 – 2008/05/30 et 2008/06/02 – 2014/03/21. Il ressort qu’il existe des transmissions de volatilité, mais que celles-ci ne sont pas stables dans le temps. / This thesis analyzes the transmission of volatility between oil prices, exchange rates and stock market indices in Canada and in the USA for the period 1999/01/04 – 2014/03/21. Using a multivariate GARCH – BEKK model, we find that in Canada, there is a bidirectional transmission of volatility between the exchange rate $US/$CAD and the stock market index TSX, a positive transmission from the stock market index to the oil price and a negative transmission from the exchange rate to the oil price. We find also that these relationships are not stable over time. For the USA, the model estimated does not satisfy the condition of covariance stationarity for the entire sample and the sub sample 1999/01/04 – 2002/10/08. So we consider only results for sub samples 2002/10/09 – 2008/05/30 and 2008/06/02 – 2014/03/21. Results show that there are transmissions of volatility, but here again, these relationships are not stable over time.
74

Les deux formes d' IDE et l'investissement productif : l'impact du taux de change réel / The Two Forms of FDI and Productive Investment : the Impact of the Real Exchange Rate

Prost, Benjamin de 12 December 2012 (has links)
Dans ce travail, nous analysons et comparons les comportements de localisation de trois différentes formes d'investissements durables (les greenfields seuls, les investissements directs étrangers totaux (IDE) et les investissements productifs intérieurs). Parmi un groupe de déterminants, dont une large partie est inspirée de la littérature empirique existante, nous étudions tout particulièrement le rôle que joue le taux de change réel sur l'attractivité des territoires vis-à-vis de chacun de ces investissements. Un tel examen est opéré à partir d'une économétrie de données de panel. Il consiste à tester un modèle de référence sur les greenfields, les IDE totaux ainsi que sur les investissements productifs – avec des spécifications adaptées à chaque cas – et à interpréter l'ensemble des résultats et en particulier les écarts obtenus. Pour appréhender les variables dépendantes, nous nous appuyons sur les séries statistiques de la CNUCED et de l'OCDE, ainsi que sur celles du FDI Markets (Financial Times), et de l'European Investment Monitor (Ernst & Young) qui ont jusqu'à présent été peu exploitées, voire ignorées, par les études portant sur le sujet. Plusieurs échantillons (global, européen et OCDE) et plusieurs périodes (2004-2010, 1998-2010, 1995-2010) sont retenus en fonction de la disponibilité des données. Nos résultats indiquent que les greenfields, les IDE totaux (et donc, par déduction, les fusions-acquisitions) et les investissements productifs répondent à des critères de localisation bien différents correspondant à leurs caractéristiques propres. L'impact qu'exerce notamment le taux de change réel sur chacun de ces capitaux est des plus intéressants. De faibles prix relatifs apparaissent ainsi comme attirant de façon sensible les investissements productifs, qu'ils soient d'origine domestique ou étrangère (greenfields). En revanche, il semble que ces prix relatifs n'aient aucune influence sur les recompositions transnationales de capital, déduites à partir des IDE totaux. / In this work, we analyze and compare locational behavior of three forms of durable investments (greenfields, foreign direct investments, and internal productive investments). Among a group of determinants, mainly inspired by the existing empirical literature, we study more particularly the role played by the real exchange rate on countries' attractiveness towards each of those investments. Panel data econometrics is used for this study. We test a basis model on greenfields, total FDIs, and on productive investments – with specifications adapted to each case – and then analyze the results, particularly when they show differences. In order to proxy the dependent variables, we use the UNCTAD and the OECD's data series, as well as the FDI Markets (Financial Times) and the European Investment Monitor (Ernst & Young) which have somehow been ignored by the studies on the subject until now. Several samples (global, European and OECD) and several periods (2004-2010, 1998-2010 and 1995-2010) are analyzed depending on data availability. Our results prove that greenfields, total FDIs (and mergers and acquisitions by deduction), and productive investments respond to different location criteria according to their characteristics. In particular, the impact of the real exchange rate on each of those investments is very interesting. While low relative prices attract significantly productive investments, financed by domestic or foreign multinational companies (greenfields), they don't seem to have any impact on mergers and acquisitions (deduced from total FDIs).
75

Taux de change et régimes de change en Afrique Sub-saharienne (ASS) : les enseignements de l'expérience de a zone franc CFA. / Exchange rates and Exchange rate regimes in Sub-Saharan Africa : lessons from the CFA zone

Coulibaly, Issiaka 08 November 2013 (has links)
Au début des années 2000, les pays africains se sont engagés dans des projets d'unions monétaires régionales dans le but de créer une monnaie unique pour tout le continent à l'horizon 2028. L'objectif de cette thèse est d'analyser le bien-fondé d'une telle stratégie, à partir notamment des enseignements qui peuvent être tirés de l'expérience des pays de la zone CFA. Plus précisément, nous analysons les conséquences du choix de ces pays consistant à ancrer leurs monnaies communes à une monnaie extérieure et nous cherchons à savoir s'il est souhaitable ou pas de transposer l'expérience de ces pays à d'autres régions en Afrique.Dans une première partie, nous revisitons les critères d'optimalité des zones CFA et ZMAO en nous intéressant à la dynamique des taux de change réels. Nous mettons en évidence des similarités intéressantes entre les pays de l'UEMOA, le Ghana, la Gambie et la Sierra Léone d'une part et entre le Nigéria et la CEMAC d'autre part, indiquant que ces deux groupes de pays pourraient chacun partager une monnaie commune. Nous suggérons également que les critères d'optimalité de la théorie des zones monétaires optimales ne sont pas forcément pertinents. Ainsi, nous montrons, qu'à défaut d'être optimale, la zone CFA, en facilitant les équilibres interne et externe comparativement à d'autres pays d'Afrique Sub-saharienne (ASS), est une zone monétaire soutenable.Dans une seconde partie, nous nous intéressons aux implications économiques du régime de change des pays de la zone CFA qui s'apparente à ce que nous avons appelé un « double ancrage » (c'est-à-dire appartenance à une union monétaire et ancrage de la monnaie commune). Nous montrons que l'appréciation réelle du franc CFA au cours de la dernière décennie s'explique par l'ancrage à un euro qui s'est continuellement apprécié depuis 2001. Elle a conduit à réduire les gains de compétitivité réalisés à la suite de la dévaluation de 1994 et à accroitre les effets négatifs de l'appréciation du taux de change sur la croissance de ces pays. Enfin, en analysant les différences de performances économiques entre les différents régimes de change en vigueur dans l'ASS, nous avançons l'idée selon laquelle un régime d'union monétaire sans ancrage à une monnaie externe pourrait être une meilleure option pour ces pays. / Since the early 2000s, African countries are engaged in regional monetary unions' projects in order to create a single currency for this continent in 2028. The aim of this PhD thesis is to analyze the relevance of such a strategy upon the lessons learned from the experience of the CFA zone countries. Specifically, we analyze the consequences of the choice of those countries to anchor their common currencies to a foreign currency and we look to see whether it is desirable or not to replicate the experience of the CFA zone in other African regions.In a first part, we revisit the arguments about optimum currency areas of the CFA and the WAMZ zones, by studying real exchange rate dynamics. We find interesting similarities between WAEMU and Ghana, Gambia and Sierra Leone as well as between Nigeria and CAEMC, indicating that each of these groups of countries could share its common currency. We also argue that the arguments about optimum currency areas have proved to be less than relevant. Thus we show that, if not optimal, the CFA zone, by facilitating internal and external balances compared to other countries in Sub-Saharan Africa (SSA), is a sustainable monetary area.In a second part, we focus on the economic implications of the exchange rate regime of the CFA countries which consists in what we have called a "double anchoring" (i.e. a monetary union in which the common currency is anchored to a foreign one). We show that the real appreciation of the CFA franc, in the last decade, is due to its peg to the euro that has continuously appreciated since 2001. This appreciation has led to reduced competitiveness gains achieved with the 1994 devaluation and to increase the negative effects of exchange rate's appreciation on economic growth. Finally, analyzing the differences in economic performances between the exchange rate regimes adopted in SSA, we suggest that a monetary union without an external anchor currency could be a better regime for these countries.
76

Cointégration fractionnaire et co-mouvements des marchés financiers internationaux / Fractional cointegration analysis of comovements in international financial markets

Truchis de Varennes, Gilles de 21 November 2014 (has links)
L'objet de cette thèse est d'étudier les systèmes de cointégration fractionnaire de forme triangulaire mais également d'analyser l'apport de ces systèmes dans la modélisation des co-mouvements au sein des marchés financiers internationaux. La thèse s'articule autour de six chapitres équitablement répartis entre contributions économétriques et économiques. Concernant l'approche économétrique, un intérêt particulier est donné à l'estimation de ces systèmes en absence d'information sur les paramètres d'intérêts. Dans cette optique, plusieurs techniques d'estimation sont analysées et développées, essentiellement dans le domaine des fréquences car celui-ci permet un traitement semi-paramétrique des paramètres de nuisances. Les performances de ses estimateurs sont étudiés à travers des simulations mais également à travers l'étude des propriétés asymptotiques. Concernant l'approche économique, une première contribution exploite la cointégration fractionnaire pour révéler l'existence d'un système de taux de change entre certains pays Asiatiques. Une deuxième contribution porte sur l'analyse des interdépendances entre le marché du pétrole et divers taux de change au niveau de la volatilité. Une troisième contribution introduit un processus d'apprentissage adaptatif dans un modèle monétaire à plusieurs pays afin d'étudier sous quelles conditions un système de taux de change peut émerger. / The aim of the thesis is to study a triangular form of fractional cointegration systems and to investigate whether these systems allow to model the comovements in international financial markets. The thesis is organized around six chapters. Three of them are theory-oriented and the three others are empirics-oriented. Concerning the econometric approach, a particular interest is devoted to the estimation of these systems when all parameters of interest are unknown. To this extent, several estimation techniques are investigated and introduced, essentially in frequency domain as it allows a semi-parametric treatment of the nuisance parameters. Most of times, the performance of these estimators are studied by means of simulations but the asymptotic theory is also developed. Concerning the economic approach, a first contribution applies the fractional cointegration theory to reveal the existence of an exchange rate system between several Asian countries. A second contribution deals with the risk interdependences between the crude oil market and several exchange rates. A third contribution considers an adaptive learning mechanism in a multi-country monetary model to investigate the conditions under which an exchange rate system is likely to emerge.
77

Variabilité du taux de change, flux commerciaux et croissance économique : le cas de Madagascar / Exchange rate Variability, trade flows, economic growth : the case of Madagascar

Razafindramanana, Olivasoa Miaranirainy 30 November 2015 (has links)
De change, les flux commerciaux ou commerces et la croissance économique de Madagascar. En d’autres termes nous avons étudié les effets de la volatilité et le mésalignement du taux de change sur les exportations, les importations, et la croissance économique. Pour pouvoir réaliser cette étude, nous avons utilisé des données annuelles entre la période 1971-2012 pour les exportations et importations globales, et la période 1990-2011 pour les exportations et importations par secteur. Nous avons mesuré la volatilité à l’aide de deux méthodes, et nous avons obtenu la volatilité par l’écart-type mobile et la volatilité calculée par le GARCH. La méthode de cointégration a été utilisée pour l’étude des variables. Avec le modèle NATREX, le mésalignement a été calculé comme la différence du TCER à l’instant t et TCER d’équilibre. Sur la dernière partie du travail et afin de répondre à notre problématique, nous faisons appel à la méthode SUR (Seemingly Unrelated Regression). Cette méthode nous a permis d’estimer notre modèle à deux equations pour les exportations en volume et les importations en volume. En bref, pour le cas Madagascar, d’une part en considérant l’exportation, le mésalignenemt a un impact positif significatif sur l’exportation globale quelle que soit la définition de la volatilité, en effet la sur-évaluation de l’Ariary augmente l’exportation. Par ailleurs, la volatilité a un impact positif significatif sur l’exportation globale uniquement avec la prise en compte du VOLGARCHTCEN. D’autre part en considérant l’importation, le mésalignenemt a un impact positif significatif sur l’importation globale avec la prise en compte du VOLMASDTCER, et du VOLMASDTCEN, la sur-évaluation de l’Ariary augmente l’importation. La volatilité a un impact positif significatif sur l’importation pour les trois cas suivants : VOLMASDTCEN, VOLGARCHTCER, VOLGARCHTCEN. Avec l’exportation globale ou l’importation globale, le mésalignement n’a pas d’impact significatif sur le taux de croissance, par contre la volatilité a un impact négatif significatif sur le taux de croissance en considérant le VOLMASDTCER, et le VOLMASDTCEN. / In this thesis, we tried to know the relationship between the variability of exchange rates, trade flows and economic growth in Madagascar. In other words, we have studied the effects of volatility and misalignment of the exchange rate on exports, imports, and economic growth. To conduct this study, we used annual data from the 1971-2012 period for global exports and imports, and the 1990-2011 period for exports and imports by sector. We measured the volatility using two methods, and we got the volatility by moving standard deviation and volatility calculated by the GARCH. The method of cointegration was used to study the variables. With NATREX model, the misalignment was calculated as the difference between REER at time t and REER equilibrium. On the last part of this work and to resolve our problem, we use the method SUR (Seemingly Unrelated Regression). This method allowed us to estimate our model with two equations for export volumes and import volumes.Finally, the results show that for the case of Madagascar, considering exports, misalignment has a significant positive impact on overall export whatever the definition of volatility, indeed over-evaluation increases export. Then, volatility has a significant positive impact on overall export only with the inclusion of VOLGARCHTCEN. Moreover considering imports, misalignment has a significant positive impact on the overall import with the inclusion of VOLMASDTCER, and VOLMASDTCEN, over-evaluation increases import. The volatility has a significant positive impact on the import in the case of : VOLMASDTCEN, VOLGARCHTCER, VOLGARCHTCEN. With the global export or import, misalignment has no significant impact on the growth rate, however volatility has a significant negative impact on growth rates considering VOLMASDTCER, and VOLMASDTCEN.
78

Le commerce international de la Chine et du Brésil après l’ouverture du marché : La voie vers le développement ? / The International Commerce of China and Brazil after the opening of market. The via to the development ?

Seydi, Lansana 11 January 2010 (has links)
Cette thèse analyse l’application de la théorie du commerce international dans des pays émergents de l’Asie et de l’Amérique Latine en particulier en Chine et au Brésil, dans un processus de globalisation. Cette politique se fait différemment en Chine et au Brésil par rapport aux réalités régionales et nationales, liées parfois aux avantages comparatifs de chaque pays, qui conduisent l’un ou l’autre, à adopter une politique d’exportation basée sur des biens à faible contenu technologique [ les produits primaires ], comme c’est le cas du Brésil. Cette primarisation de l’industrie brésilienne par rapport à celle de la Chine a pour origine la politique du taux d’intérêt très élevés au Brésil qu’en Chine. La valorisation de la monnaie brésilienne par rapport au dollar affecte son industrie et ne favorise pas la compétitivité des biens exportés au marché mondial, favorisant ainsi l’entrée des capitaux étrangers spéculatifs [ non productifs ]. Bien qu’il y ait une amélioration des indicateurs macroéconomiques la monnaie brésilienne reste encore très valorisée para rapport au dollar tandis que la monnaie chinoise est très peu valorisée. Les résultats empiriques obtenus dans cette thèse nous indiquent que la Chine exporte plus des biens à contenu technologique que le Brésil et a un degré d’ouverture plus élevé. / This thesis analyzes the application of the theory of international trade in emerging countries of Asia and Latin America in particular in China and Brazil, in a process of globalization. This policy is done differently in China and Brazil in relation to regional and national, sometimes related to the comparative advantages of each country, leading one or the other, to adopt a policy based on export of low technological content [primary products], as is the case of Brazil. This primarization of Brazilian industry compared to that of China’s original interest rate policy very high in Brazil and China. The valuation of the Brazilian currency against the dollar affects its industry and is not conducive to the competitiveness of goods exported to the world market, thereby encouraging the entry of speculative capital inflows [not productive]. Although there is an improvement in macroeconomic indicators the Brazilian currency remains very valued against the dollar while the Chinese currency is valued very little. The empirical results obtained in this thesis indicate that China exports more goods to technology-and that Brazil has a higher opening.
79

Economic catching-up and monetary integration of Central and Eastern European countries / Rattrapage économique et intégration monétaire des pays d'Europe centrale et orientale

Gérard, Marc 28 January 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse au défi que représente le rattrapage des niveaux de prix pour la stabilité macroéconomique des pays en transition d’Europe centrale et orientale, dans la perspective de leur future participation à la zone euro. A cet égard, une modélisation du taux de change réel d’équilibre suggère que l’appréciation réelle liée au rattrapage économique recouvre des évolutions de prix relatifs différentes suivant les régimes de change, dont témoignent des trajectoires d’endettement extérieur contrastées. Dans les économies en changes flexibles, la hausse du taux de change nominal favorise une appréciation endogène des termes de l’échange à moyen terme, en orientant les investissements directs étrangers et la réalisation des gains de productivité vers le secteur exposé de l’économie, ce qui se traduit par une appréciation du taux de change réel d’équilibre et une amélioration des comptes extérieurs. Dans les économies en changes fixes, les effets de valorisation liés à la hausse des prix relatifs domestiques tendent à orienter les investissements vers le secteur abrité de l’économie, entraînant une érosion de la compétitivité extérieure, dont témoigne le gonflement de la dette externe. Par ailleurs, l’intégration monétaire comporte des risques spécifiques pour la stabilité macroéconomique des économies en rattrapage, dans la mesure où elle s’accompagne d’un processus marqué de convergence des conditions de financement entre Etats membres, dès lors que la perspective de l’adhésion à l’espace monétaire commun devient crédible. Un modèle dynamique à anticipations rationnelles permet de montrer que face au choc de demande lié à une telle convergence financière, l’appréciation du taux de change nominal se révèle cruciale pour limiter la surchauffe de l’économie. A l’inverse, dans les économies en régime de change fixe, l’abaissement des primes de risque pays est susceptible de provoquer une montée de l’endettement extérieur, suivi d’enchaînements déflationnistes une fois dans l’union monétaire. / This research investigates the challenges of price level catching-up for macroeconomic stability in Central and Eastern European transition countries seeking to enter the Euro area. In this respect, an equilibrium real exchange rate model suggests that the process of real appreciation observed along economic catching-up in these countries can be ascribed to different relative price developments, depending on the exchange rate regime, as exemplified by contrasted external debt trajectories. In flexible exchange rate economies, the increase in the nominal exchange rate fosters an endogenous appreciation of the terms of trade in the medium run, by channelling foreign direct investment and associated productivity gains to the exposed sector of the economy, thus appreciating the equilibrium real exchange rate and strengthening the current account over time. In fixed exchange rate economies, positive valuation effects associated with the increase in domestic relative prices tend to divert investment to the sheltered sector, thus undermining external competitiveness and bringing about higher external debt. Furthermore, monetary integration entails specific risks for macroeconomic stability in catching-up economies, because it implies a process of rapid convergence in the financing conditions across member States, which takes place as soon as the perspective of accession to the common monetary area appears credible. A dynamic, rational expectations model shows that the appreciation of the nominal exchange rate becomes crucial to curtail the economic overheating triggered by the demand shock associated with financial convergence. By contrast, diminishing country risk premia under fixed exchange rate regimes are likely to cause ‘boom bust’ cycles, with an increase in external indebtedness followed by deflationary developments once in the monetary union.
80

Globalisation financière et croissance dans les pays en développement : mise en évidence des effets sur l’instabilité financière et l’instabilité monétaire / Financial globalization and growth in developing countries : evidence on the effects of financial and monetary instability

Gaies, Brahim 24 January 2018 (has links)
La présente thèse tente de savoir s’il est opportun pour les pays en développement les moins avancés de s’engager davantage dans le processus de globalisation financière pour promouvoir leur croissance, et si ce processus influence les effets des instabilités, financière et monétaire, sur cette dernière. A cette fin, la thèse se déroule en trois parties. Avant d’examiner le cadre théorique de la globalisation financière, la première partie esquisse sa genèse avec en arrière-fond la recherche d’une réponse au problème de sa régulation. La deuxième partie s’intéresse à la littérature sur les effets de la globalisation financière sur la croissance, afin d’en tirer les enseignements pour une étude de 72 pays en développement à revenu bas de 1972 à 2011. La troisième partie se focalise sur les impacts de la globalisation financière et des deux instabilités considérées isolément, puis en interaction avec la globalisation sur la croissance à travers deux études empiriques basées sur le même cadre spatio-temporel que l’étude précédente. Ces dernières sont précédées par une revue des relations entre la globalisation financière, l’instabilité financière puis monétaire et la croissance, avec une analyse théorique de l’instabilité financière. Il en ressort que les instabilités, financière et monétaire, ont des effets négatifs sur la croissance, tandis que la globalisation financière, et en particulier la globalisation par l’investissement contrairement à celle par l’endettement, promeut les bienfaits des politiques économiques et du commerce extérieur, en plus de son effet positif direct sur la croissance même en présence des deux instabilités dont elle diminue les effets négatifs. / This thesis examines whether or not it is beneficial for least developed countries to engage more in the process of financial globalization in pursuit of their economic growth, and if this process influences the effects of financial and monetary instability on the latter. This thesis is divided into three parts. Before examining the theoretical framework of financial globalization, the first part sketches its genesis on a background of the research for an answer to the problem of its regulation. The second part focuses on the literature on the impact of financial globalization on growth. This is done in order to draw lessons for the establishment of a study covering 72 low-income developing countries over the period 1972-2011. The third part centers on the impact on economic growth of financial globalization and the two aforementioned types of instability, discussed both separately and in conjunction. Evidence is provided by two empirical studies based on the same spatio-temporal framework as the previous one. These studies are preceded by a review of the literature on the relationship between financial globalization, financial and then monetary instability and growth, in addition to a theoretical analysis of financial instability. This illustrates that financial and monetary instability have negative effects on growth, while financial globalization and in particular investment-globalization, unlike indebtedness-globalization, promotes the benefits of macroeconomic policies and international trade. This can be find in addition to its direct positive effect on growth, even in the presence of the two instabilities of which it reduces the negative effects.

Page generated in 0.1199 seconds