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Les béotiens de l'époque hellénistique : monnaie et histoire entre 287 et 27 av. J.-C. / Ancient boeotians of the hellenistic period : coins and history between 287 and 27 B.C.

Guittet, Philippe 18 October 2013 (has links)
Composée de deux volumes, la présente étude d'histoire et de numismatique grecque comporte 844 p. Visant la clarté, elle est divisée en 2 parties d'environ 350 p. : la première, avec un exposé raisonné des sources, est consacrée aux catalogues numismatiques et à leur commentaire, la seconde propose une analyse historique de la Béotie héllénistique d'après les monnaies. L'ensemble est enrichi d'une bibliographie de 48 p. manifestant une bonne connaissance de la Béotie héllénistique et de 6 annexes, consacrées à la description des types monétaires, à la chronologie de l'histoire béotienne, aux émissions monétaires synthétisées sous forme de tableaux, aux résultats d'analyses de 53 exemplaires d'argent, à un index inversé du catalogue des trésors et à des tableaux de synthèse des attestations de divinités en Béotie. le tout est complété par 21 planches illustrant tous les coins de droit du catalogue, 13 cartes et deux tables dépliantes favorisant la navigation dans le catalogue des trésors / This thesis is composed of 2 parts. The first part consists of the numismatic corpus of the thesis and exposes its limits. With the data of first part, the last part comes up with an historical reflexion. This historical synthesis is introduced by a general chapter that analyses the factors of Boeotian "federalism", since this political structure is a base for the Boeotian production of coins until 171 B.C. In the two following chapters, coins and numismatic study provide new clues on monetary organization, religious representations of the Boeotian confederation on coins between 287 and 27 B.C., and its economic situation linked to political events. The 3 last chapters present a synthesis on Boeotian monetary circulation and its historical implications between 287 and 27 B.C. They are chronological and compare the numismatic conclusions with the data of the literary and epigraphical sources. They draw parallels between monetary history and political history of Boeotia
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"Dis au potier qu'il me fasse un kôtôn". Archéologie et céramique de l'Antiquité tardive à nos jours dans la TT 29 à Cheikh Abd el-Gourna, Égypte

Bavay, Laurent 12 February 2008 (has links)
Depuis 1999, le Centre de recherches archéologiques de l'Université libre de Bruxelles a entrepris l'étude de la tombe thébaine numéro 29 à Cheikh Abd el-Gourna, construite pour le vizir et maire de la ville Aménémopé sous le règne d'Amenhotep II (vers 1425-1401 av. J.-C.). La fouille du monument, sous la direction du Professeur Roland Tefnin, a été menée suivant deux axes de recherches. Le premier, dans une perspective synchronique, visait à étudier les aménagements et le fonctionnement d'origine de la tombe, sous la 18e dynastie. Le second, dans une perspective diachronique, visait à reconstituer l'histoire du monument et de ses occupations successives jusqu'à l'intervention de la mission. La thèse porte sur les résultats de cette seconde approche, et plus particulièrement sur l'analyse des occupations de l'antiquité tardive et post-antiques. Celles-ci se distinguent par une affectation de l'espace différente de sa fonction d'origine : la tombe n'est plus utilisée comme lieu de sépulture et de culte funéraire mais comme habitation. La fouille a ainsi livré les vestiges d'une installation érémitique datée des VIIe et VIIIe siècles de notre ère, associés à un matériel archéologique et épigraphique particulièrement abondant, ainsi que les ruines d'une maison villageoise construite durant la seconde moitié du XIXe siècle.
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Les textes ptolémaïques des portes du nord de l'enceinte de Mout à Karnak / The Ptolemaïc texts of the northern doors of the Mut’s Precinct at Karnak

Chun Hung Kee-Hassanein, Janie 07 July 2010 (has links)
Les textes de Mout développent une théologie septentrionale émanant d’Héliopolis, localement adaptée par une mise en parallèle entre le couple démiurgique héliopolitain, Atoum / Témet, et le couple monarchique thébain Amon / Mout, ainsi que par un transfert de géographie sacrée. Mout récupère l’apanage mythico-cultuel de Témet : Mythe de la Déesse lointaine, rituels d’Apaiser Sekhmet et de l’offrande de l’ivresse, qui, en contexte thébain, ont pour finalité la protection de la cité d’Amon et la glorification de Thèbes-la-Victorieuse, assimilée à Mout protégeant Amon. / The Mut’s texts present a local adaptation of a northern theology originated from Heliopolis, based on parallelism between the heliopolitan demiurgic couple Atum / Temet and the theban monarchic couple Amun / Mut, as well as a transfer of sacred geography. Mut recovers Temet’s mythological prerogatives and worship : Myth of the Wandering Goddess, rituals of Pacifying Sekhmet and of the offering of the drunkness, wich, in the theban context, focus on the protection of Amun’s city and the glory of Victorious-Thebes, assimilated to Mut who protects Amun.
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Les archives bilingues de Totoès et de Tatéhathyris / The bilingual archive of Totoes and Tatehathyris

Uggetti, Lorenzo 10 February 2018 (has links)
Dans les ruines d'une maison proche du temple ptolémaïque de Deir al-Medina, sur la rive gauche de Thèbes, la Mission Archéologique Italienne dirigée par Ernesto Schiaparelli découvrit en février 1905 deux jarres encore scellées, desquelles on retira 33 rouleaux. Ils décelèrent 44 papyrus en écriture démotique, 8 en grec et 4 bilingues ; de plus, parmi les bandelettes de lin qui les enveloppaient, 5 étaient inscrites. Au total, 61 documents constituaient les archives familiales d'un prêtre attaché à ce temple, nommé Totoès fils de Zmanrès, et de son épouse Tatéhathyris. Le lot complet fut envoyé au Musée Égyptien de Turin, dont Schiaparelli était le directeur. Les textes grecs furent publiés en 1929, alors que l'édition des papyrus démotiques ne vit le jour qu'en 1967. Six d'entre eux furent republiés entre 1978 et 1985, tandis que quatre autres furent examinés à nouveau en 1997 dans une étude sur l'affermage à l'époque ptolémaïque. La plupart des documents sont des actes légaux et comportent donc des protocoles de datation mentionnant les différents souverains qui ont régné en Haute Égypte tout au long du IIe siècle avant notre ère. Le plus ancien, daté de 194, compte parmi les rares attestations du pharaon rebelle Chaonnophris ; les trois plus récents, datés entre 101 et 100, non seulement sont les premiers à révéler le décès de Cléopâtre III, mais sont aussi les seuls à témoigner de la corégence de Ptolémée X Alexandre Ier, de sa femme Cléopâtre Bérénice III, et de l'héritier Alexandre II, le futur Ptolémée XI. Les contrats sont de nature très variée. La plupart concernent la vente ou la location de jours de service liturgique, qui donnaient droit à une part proportionnelle des revenus des différents temples de la rive gauche thébaine. Ils représentaient une partie importante du patrimoine de ces prêtres : une donation issue de ces archives montre en effet qu'ils pouvaient être transmis de père en fils. D'autres actes mentionnent l'affermage de champs, l'achat d'immeubles, le prêt de céréales ou d'argent ; deux documents se rapportent à une forme de bail difficile à déchiffrer, un autre à un échange d'animaux. Le droit de la famille est représenté par cinq contrats de mariage et un de divorce ; un dernier fait état de frais d'enterrement. La thèse a pour objet la réédition intégrale de ces documents, y compris les jarres qui les contenaient. L'accès direct aux papyrus originaux conservés à Turin, ainsi qu'aux archives de leur mise au jour et de leur publication, a permis de détecter deux fragments inédits, de retrouver les numéros d'inventaire des papyrus grecs, de reconstituer les circonstances exactes de leur découverte et de retracer les rouleaux d'origine, pour la plupart des textes. L'étude philologique a établi des correspondances entre démotique et grec pour de nombreux noms de personnes et de lieux, a amélioré la lecture et mené à une nouvelle interprétation de certains textes. Deux actes et deux serments ont notamment révélé la dévolution des fonctions de mandataire de la déesse Hathor d'un père à ses trois fils, avec le consentement du clergé du temple de Deir al-Medina. Les modalités de partage de l'héritage paternel entre Tatéhathyris et son frère Pikos, où Totoès a joué un rôle d'intermédiaire, ont également été mieux saisies. Une étude paléographique menée, pour la première fois, sur l'ensemble du corpus a conduit à reconnaître la main de certains scribes auxquels ont été attribués certains papyrus, tandis que d'autres textes ont été réassignés. L'analyse des protocoles a dévoilé également une pratique locale visant à les raccourcir de manière arbitraire. Enfin, l'analyse des données prosopographiques et topographiques a mené à dresser un arbre généalogique de plusieurs générations de la famille de Totoès et de Tatéhathyris, ainsi qu'un portrait plus fidèle tantôt de la population, tantôt de lieux de culte, terrains et bâtiments de la ville de Djémê, les Memnoneïa grecs. / In a house in ruins near the Ptolemaic temple of Deir al-Medina, on the Theban West Bank, the Italian Archaeological Mission (MAI), leaded by Ernesto Schiaparelli, discovered in February 1905 two sealed jars, containing 33 rolls. They revealed 44 papyri in Demotic writing, 8 in Greek and 4 bilinguals; among the linen bands wrapping them, 5 were inscribed. Altogether, these 61 documents formed the family archive of a priest attached to this temple, named Totoes son of Zmanres, and of his wife Tatehathyris. The whole was sent to the Egyptian Museum in Turin, of which Schiaparelli was the director. The Greek texts were published in 1929, whereas the edition of the Demotic papyri appeared only in 1967. Later, six of them were republished between 1978 and 1985, while four were re-examined in 1997 in a study on field leasing in the Ptolemaic period. Most of these documents are legal acts and can be dated with the help of their protocols, which name several sovereigns ruling Upper Egypt during the 2nd century BCE. The oldest one, dated 194, is counted among the rare attestations of the rebel pharaoh Chaonnophris; the three most recent ones, between 101 and 100, are the only ones giving evidence of a coregency between Ptolemy X Alexander I, his wife Cleopatra Berenice III and the heir Alexander II, the future Ptolemy XI. Moreover, they are the first evidences concerning the death of Cleopatra III. The contracts are of different types. Most of them deal with the sale or the rent of days of liturgical service in many temples on the Theban West Bank, and of their related salaries. They were an important part of the capital of these priests: a deed of covenant from this archive shows that they could have been transferred from father to son. Other legal acts concern field leasing, real estate purchases, wheat or money loans: in particular, two documents relate to a form of lease not easy to understand, another one to an exchange of animals. Family law is represented by five marriage contracts and one divorce; one last text deals with funeral expenses. The dissertation focuses on the new edition of all the documents, including the jars containing them. Direct access to the originals in Turin, as well as to archival records concerning their discovery and publication, have allowed the identification of two unpublished fragments and of the inventory numbers of the Greek papyri, the reconstruction of the exact circumstances of the finding and the assignation of the most part of the texts to their rolls of origin. The philological study has established connections between Demotic and Greek for a lot of personal and place names, has improved readings and has led to new interpretations for some texts. Notably, two legal acts and two temple oaths have revealed the transfer of the duties as agent of the goddess Hathor from a father to his three sons, with the consent of the temple clergy of Deir al-Medina. Moreover, the way of sharing their father's inheritance between Tatehathyris and her brother Pikos, with the action of Totoes as intermediary, is now better understandable. The attention paid to the scribes from a palaeographical point of view permitted to ascribe for the first time or to assign some papyri to their author and to unveil the arbitrary scribal practice of cutting protocols. Finally, the analysis of the prosopographical and topographical data has led to a family tree over many generations of the family of Totoes and Tatehathyris, as well as to a more precise picture on the one hand of the local community, and on the other hand of some religious and civilian buildings and fields in the village of Djeme, called Memnoneia in Greek.
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Dis au potier qu'il me fasse un kôtôn: archéologie et céramique de l'Antiquité tardive à nos jours dans la TT29 à Cheikh Abd el-Gourna, Egypte

Bavay, Laurent 12 February 2008 (has links)
Depuis 1999, le Centre de recherches archéologiques de l'Université libre de Bruxelles a entrepris l'étude de la tombe thébaine numéro 29 à Cheikh Abd el-Gourna, construite pour le vizir et maire de la ville Aménémopé sous le règne d'Amenhotep II (vers 1425-1401 av. J.-C.). La fouille du monument, sous la direction du Professeur Roland Tefnin, a été menée suivant deux axes de recherches. Le premier, dans une perspective synchronique, visait à étudier les aménagements et le fonctionnement d'origine de la tombe, sous la 18e dynastie. Le second, dans une perspective diachronique, visait à reconstituer l'histoire du monument et de ses occupations successives jusqu'à l'intervention de la mission. La thèse porte sur les résultats de cette seconde approche, et plus particulièrement sur l'analyse des occupations de l'antiquité tardive et post-antiques. Celles-ci se distinguent par une affectation de l'espace différente de sa fonction d'origine :la tombe n'est plus utilisée comme lieu de sépulture et de culte funéraire mais comme habitation. La fouille a ainsi livré les vestiges d'une installation érémitique datée des VIIe et VIIIe siècles de notre ère, associés à un matériel archéologique et épigraphique particulièrement abondant, ainsi que les ruines d'une maison villageoise construite durant la seconde moitié du XIXe siècle. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le scribe royal de la Tombe Boutéhamon et l'Ère de la Renaissance / The royal scribe of the Tomb Butehamon and the Renaissance Era

Guérin, Samuel 13 December 2010 (has links)
Le scribe royal de la Tombe Boutéhamon est un personnage thébain de première importance dont les témoignages couvrent les dernières années de la XXe dynastie et les premières de la Troisième Période intermédiaire (de Ramsès XI à Smendès Ier). Fils du scribe de la Tombe Djéhoutymès, Boutéhamon est mentionné dans de nombreuses sources épigraphiques (lettres, graffiti et dipinti de la nécropole thébaine, ostraca, phylactère, étiquette de momie) et archéologiques (vestiges architecturaux à Médinet Habou, sarcophages dispersés, mention possible de son inhumation à Deir el-Medineh). L’examen de cette documentation permet, d’une part, de restituer la carrière de ce haut fonctionnaire dans son temps. D’autre part, elle sert à exprimer de nouveau la chronologie incertaine des règnes des pharaons concernés ainsi que la période dite de « la Renaissance ». / The royal scribe of the Tomb Butehamun is an outstanding Theban character, evidence for whom spans the last years of the 20th dynasty and the first years of the Third Intermediate Period (from Rameses XI to Smendes I). Butehamun was the son of the scribe of the Tomb Djehutymes. He is mentioned in numerous epigraphic (letters, graffiti and dipinti from the Theban necropolis, ostraca, phylactery, mummy label) and archaeological sources (architectural remains at Medinet Habu, dispersed coffins, a possible reference to his burial at Deir el-Medineh). Close examination of this body of documents allows reconstructing the career of this high ranking civil servant within his own time. Furthermore, it serves the reassessment of the uncertain chronology of the relevant pharaohs’ reigns and of the period known as “the Renaissance”.
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Les productions céramiques égyptiennes en région thébaine du 8e au 6e siècle avant notre ère: traditions, influences et innovations / Egyptian ceramic production in the Theban Area from the 8th to the 6th century BC: traditions, influences and innovations

Boulet, Stéphanie 03 April 2015 (has links)
L’étude des productions céramiques thébaines des 25e et 26e dynasties (c. 750-525 avant notre ère) a longtemps été négligée en raison d’un manque incontestable de contextes archéologiques stratifiés. Cette thèse a pour objectif l’étude de cette industrie par un examen rigoureux du matériel céramique de la chapelle d’Osiris Ounnefer Neb-Djefaou à Karnak (IFAO – sous la direction de L. Coulon) et du secteur du temple de Ptah à Karnak (CFEETK – sous la direction de Chr. Thiers). A cela s’ajoutent les données extraites des fouilles récentes des tombes TT 29 et TT C3 à Cheikh Abd el-Gourna (ULB / MANT – sous la direction de L. Bavay et D. Laboury). <p><p>En plus d’une définition précise de cette industrie par de l’établissement d’une analyse typologique fine, ce travail vise à associer les changements politiques de la ville de Thèbes avec les développements des productions céramiques locales. <p>Vers le milieu du 8e siècle avant notre ère, des évolutions techniques et morphologiques majeures se produisent dans l’industrie céramique thébaine, donnant naissance à un nouveau répertoire spécifique de cette région, se distinguant clairement des productions de la Basse-Egypte. Cette différenciation semble être le reflet des tensions politiques entre le nord et le sud du pays. Cette industrie va se développer au cours de la Basse Epoque avec des formes devenant plus sinueuses, complexes et carénées. Un nouveau traitement de surface se développe grâce au tour rapide :les stries plates, éléments caractéristiques des productions thébaines de la Basse Epoque. <p>Sous la dynastie nubienne, les produits vraisemblablement originaires de la région thébaine sont diffusés en Egypte et en Nubie. Cette diffusion a pour conséquence quelques phénomènes d’interactions en Egypte, mais surtout en Nubie où se développe un nouveau répertoire formel inspiré des productions céramiques thébaines, en parallèle aux productions locales.<p><p>Ce travail s’articule en trois parties. La première reprend une présentation des différents sites et contextes archéologiques exploités dans cette analyse. La deuxième correspond à une étude typologique des productions céramiques thébaines alors que la troisième partie se penche sur une synthèse reprenant une définition complète de la production thébaine. <p>Cette thèse a pour objectif d’utiliser l’objet céramique comme un élément datant et le témoin d’un savoir-faire, mais également comme un marqueur de changements politiques et économiques./<p><p><p>The study of the Theban ceramic production from the 25th to the 26th Dynasty (c. 750-525 BC) has been neglected for a long time because of a lack of stratified archaeological context. The aim of the thesis is to analyse the ceramic material coming from the chapel of Osiris Wennefer Ned-Djefau at Karnak (IFAO – Dir. L. Coulon) and from the temple of Ptah at Karnak (CFEETK – Dir. Chr. Thiers). The study of the pottery from the tombs TT 29 and TT C3 at Cheikh abd el-Gourna broadens our knowlegde on this production (ULB-ULg – MANT – Dir. L. Bavay et D. Laboury). <p><p>In addition to the formulation of a precise definition of this industry by the establishment of a new ceramic typology, this work aims to associate the political changes occurring in Thebes at that period with the evolution of the local ceramic production. <p>In the mid-8th century BC, technical and morphological changes are observed in the Theban ceramic industry, defining a specific industry in the region, a pottery repertoire which is easily distinctive from the ceramic production from the North of Egypt. This distinction is the reflection of political tensions between the North and the South at this time. The above-mentioned industry developed during the Late Period with more complex, marked and carinated shapes; a new surface treatment appeared thanks to the use of the kick-wheel: ribbed surface, which is a specific element of the Theban production in the Late Period. <p>Under the Nubian Dynasty, pottery from the Theban area is spread through Egypt and Nubia. This distribution caused some interaction phenomenas in Egypt, but also in Nubia where a new ceramic repertoire developed alongside the local ceramic industry. <p><p>This work has been divided in 3 parts. The first part corresponds to a presentation of archaeological sites and contexts used for the study. The second part presents a typological analysis of the Theban production. The last part is a synthetic analysis of the Theban pottery production. <p>The thesis tends to prove that the ceramic object is certainly a dating data and the testimony of a savoir-faire, but also the testimony of political and economical changes.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La conception de la liberté chez les premiers Cyniques

Chouinard, Isabelle 04 1900 (has links)
Diogène de Sinope, principal représentant du cynisme ancien, affirme dans une de ses œuvres qu’« il mettait la liberté au-dessus de tout ». Il n’est pas question ici du sens politique de la liberté, mais plutôt de son acception morale et individuelle, dont les origines remontent au moins au VIe s. av. J.-C. et peut-être à la racine même du mot ἐλεύθερος. Retracer l’histoire de cette notion révèle diverses influences sur le cynisme, que ce soit la figure de l’« esclave libre » chez les tragiques, ou la correspondance entre nature et liberté chez les Sophistes et Démocrite. Pour atteindre l’autarcie et l’apathie, les deux caractéristiques de la liberté cynique, Diogène doit soumettre son corps à un entraînement de nature physique, seul moyen de s’émanciper des chaînes de la civilisation. Socrate, surtout chez Xénophon et dans une certaine mesure chez Platon, avait déjà fait des exercices corporels une condition d’acquisition de la liberté. Toutefois, l’émancipation de l’individu débouche avec Socrate sur l’apprentissage du savoir qu’il juge nécessaire à la vertu. Les Cyniques, quant à eux, rejettent la vertu-connaissance et limitent leur activité philosophique à la pratique d’une ascèse corporelle rigoureuse, de sorte que la liberté mène sans détour à la vertu et au bonheur au point de s’y identifier. Les Cyniques se différencient donc de leurs prédécesseurs socratiques en ne prolongeant pas leur quête philosophique au-delà du moment de la libération et, par le fait même, font de la liberté la véritable marque distinctive de leur philosophie. / Diogenes of Sinope, the main representative of ancient Cynicism, says in one of his works that « he preferred freedom above everything ». He does not mean here freedom in its political sense, but rather in its moral and individual meaning, which dates back at least to the sixth century BC and perhaps to the very root of the word ἐλεύθερος. Tracing the history of this notion reveals diverse influences on Cynicism, whether the figure of the « free slave » of the tragedians, or the correspondence between nature and freedom of the Sophists and Democritus. To reach self-sufficiency and apathy, the two characteristics of Cynic freedom, Diogenes must submit his body to physical training, it being the only way to break free from the chains of civilization. Socrates, especially in Xenophon and to a certain extent in Plato, had already made physical exercises a condition for acquiring freedom. However, with Socrates the emancipation of the individual ends in gaining knowledge that he deems necessary to virtue. Cynics, for their part, reject virtue-knowledge and limit their philosophical activity to the practice of a rigorous physical asceticism, so that freedom leads directly to virtue and happiness to the point of identifying with it. Therefore, Cynics differ from their Socratic predecessors by not extending their philosophical quest beyond the moment of liberation and thereby make freedom the true hallmark of their philosophy.
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Le sanctuaire principal de la barque sacrée d'Amon dans le temple de Karnak sous le règne de Thoutmosis III. / The Central Bark Shrine of Amun in Karnak Temple under Thutmosis III

Montélimard-Arnaudiès, Emmanuelle 16 December 2017 (has links)
Au XVIe siècle avant J.-C., Thoutmosis III fit construire un sanctuaire en granit rose dans le temple d’Amon, à Karnak. Cet édifice, nommé Outjes-khâou, « (celui qui) exalte les apparitions d’Amon », servait d’abri principal à la barque du dieu, qui était portée en procession lors des grandes fêtes thébaines. Remplaçant la chapelle Rouge d’Hatshepsout, il resta debout jusqu’à ce que Philippe Arrhidée, le découvrant « ruiné », ordonne sa reconstruction. C’est son sanctuaire de barque en granit qui se dresse actuellement au même emplacement. La première tâche de ce travail a consisté à rechercher les blocs épars qui composaient le sanctuaire thoutmoside. Dispersés sur les 25 hectares du site de Karnak, parfois remployés dans des monuments postérieurs, ces fragments ont été identifiés, photographiés, documentés et leurs décors, dessiné. Les fonds photographiques, les journaux et rapports de fouilles des premiers directeurs des travaux de Karnak ont été dépouillés afin de déterminer la provenance de ces blocs et l’histoire de leur découverte. L’étude architecturale a ensuite été effectuée. L’analyse du décor reconstitué a fourni des données sur les aspects religieux, cultuels et politiques du règne de Thoutmosis III et permis d’identifier certaines de ses constructions. L’élément clé de cette étude est la proposition d’une nouvelle date du remplacement de la chapelle Rouge par Outjes-khâou, pour l’an 30, à l’occasion de la première fête-sed du roi. Suivant cette hypothèse, de nouvelles séquences chronologiques ont été proposées pour la construction et la décoration d’Outjes-khâou et des édifices qui l’entouraient, au cœur de Karnak. / In the 16th century BC, Thutmose III built a red granite sanctuary in the center of the temple of Amun in Karnak. This monument, named Utjes-khau “(the one who) exalts Amun’s appearances”, was used as the main resting place for the sacred bark which was carried in procession during the great Theban feasts. Replacing Hatshepsut’s Red Chapel, the shrine of Thutmose III remained standing until Philip Arrhidaeus, finding it “ruined”, ordered it to be constructed anew. Today, Arrhidaeus’ own granite bark shrine remains in situ. The first task of this research was to look for the blocks of the Thutmosid bark shrine, which were scattered across the 25 hectare area of the Karnak temples and sometimes were reused in later monuments. They were photographed, documented and drawn. The photographic collections, excavation journals and reports of the earlier field directors of Karnak have been analyzed in order to find out the find spot and the history of these blocks’ discovery. Following this, the architectural study of the bark shrine could be made. The analysis of reconstituted decoration allowed the identification of some of Thutmose III’s monuments and provided new data on religious, cultic and political aspects of his reign. The key issue of this study is the proposal of a new date for the replacement of the Red Chapel by Utjes-khau for the king’s first sed-festival in year 30. According to this hypothesis, new chronological sequences are proposed for the building and decoration of Utjes-khau and the monuments surrounding it at the center of Karnak.
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Analyse technique, textuelle et paléographique d'un Livre des morts inédit conservé au Musée du Vatican (Inv. n 38603) / Technical, textual and palaeographic analysis of an unpublished Book of the dead preserved in the Vatican Museum (Inv. No. 38603)

Albert, Florence 08 April 2010 (has links)
Le papyrus du Vatican n° inv. 38603 est un Livre des morts hiératique daté de l’époque tardive, provenant vraisemblablement de la ville de Thèbes et contenant un certain nombre d’originalités iconographiques et textuelles. Son étude exhaustive est entreprise à l’aide d’une présentation détaillée, d’une traduction complète, d’un commentaire de chacun des textes qui le composent, d’une mise en contexte au sein de la documentation tardive du genre et d’une paléographie. Ces éléments permettent de mettre en valeur divers aspects des croyances funéraires des égyptiens de cette époque. D’autre part, ils autorisent à resserrer la datation du papyrus autour de 300 av. J.-C. et à replacer le document dans un contexte précis en forte relation avec la religion et les cultes osiriens qui se développent à Thèbes à partir de laTroisième Période intermédiaire. / The Papyrus Vatican inv. No 38603 is a hieratic Book of the Dead dated of the late period, coming probably from the city of Thebes and containing a number of textual and iconographic peculiarities. His comprehensive study is undertaken using a detailed presentation, a complete translation, a commentary on each of its component texts, a contextualization within the late documentation of the type and a paleography. These elements can highlight various aspects of Egyptian funerary beliefs of that time. On the other hand, they allow for closer dating of papyrus around 300 BC. and put the document in a specific context in strong relationship with religion and cults of Osiris that develop at Thebes since the Third Intermediate Period.

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