• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 62
  • 5
  • 5
  • 3
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 84
  • 31
  • 24
  • 14
  • 13
  • 13
  • 13
  • 12
  • 12
  • 12
  • 11
  • 10
  • 10
  • 8
  • 8
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
81

L'Eglise orthodoxe et l'Etat communiste roumain, 1948-1989: étude de l'idéologie de l'Eglise orthodoxe :entre traditions byzantines et national-communisme

Gillet, Olivier 02 March 1995 (has links)
Dans quelle mesure les traditions de l’Église orthodoxe, héritière d’un modèle byzantin imprégné de césaropapisme qui ignorait donc la séparation des pouvoirs temporels et spirituels, ont-elles influencé les comportements démocratiques dans les pays d’Europe où elle est dominante ?Le cas particulier de la Roumanie depuis 1948. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
82

Dimensions de la personne selon Emmanuel Mounier

Boutin, Bernard. 02 March 2021 (has links)
Le personnalisme conçoit la personne comme une fin, jamais comme un moyen. La personne surpasse toutes ses propriétés pour devenir une réalité transcendante grâce à ses particularités. Elle donne un sens à l'histoire de l’humanité et préserve sa place dans l'univers par le principe de personnalisation. Le personnalisme conteste l'individualisme parce qu'il s’oriente vers l'expression et l'ouverture de la personne. Celui-là défend la personne au nom de la dignité humaine. En outre, le personnalisme enseigne à la personne comment vivre dans la réalité, harmoniser la nature et aimer son prochain. Ainsi, il s'oppose à la fois au libéralisme et au marxisme. Ces deux idéologies condamnent la personne; de plus, le libéralisme méprise la dimension communautaire. Dans cette thèse "Dimensions de la personne selon E. Mounier", nous démontrerons de quelle manière le recours au personnalisme d ’Emmanuel Mounier combat et dépasse ces deux conceptions fausses de la politique. Selon Emmanuel Mounier, le personnalisme, l’existentialisme et le marxisme se partagent en France le royaume de l'esprit. Néanmoins, ils possèdent chacun leurs particularités. Le marxisme se définit comme un système indépendant et précis en lequel il réalise sa philosophie par une révolution sociale et économique. L’existentialisme s'engendre dans la pensée nietzschéenne et kierkegaardienne. Cette conception s'affirme sous la plume de Sartre, Merleau Ponty et Gabriel Marcel. Le personnalisme, pour sa part, surpasse ces systèmes car il assure la promotion de la personne et se met à l’écoute de l'événement. A la suite de Kant, le personnalisme présente la personne comme une fin qui ne doit jamais servir de simple moyen. La personne ne constitue pas une chose ou un objet à utiliser mais "un centre de réorientation de l’univers objectif” (E. Mounier). La personne donne un sens à l'histoire de l’humanité. Elle a sa place dans l'univers; ce qui fait intervenir le principe de personnalisation. Le personnalisme montre à la personne de vivre dans la réalité, de s’ouvrir vers le monde, d'aimer son prochain et d'harmoniser la nature positivement. Il y a deux principales conditions de la personne. Premièrement, la condition infra-consciente et, en deuxième lieu, la condition supra-consciente. La dimension infra-consciente amène la personne à grandir parmi les choses qui l’entourent. Le personnalisme surpasse la condition infra-consciente pour raviver la dimension spirituelle (condition supra-consciente). La personne se situe dans un environnement vivant mais participera aussi au destin de l'univers. Elle s'incarne et vit dans le réel car elle communique avec son milieu. Mounier parle de la révolution personnaliste et communautaire, cependant cette révolution se voit colorée par la dimension morale, sociale et politique. La personne vivra dans l'amour et l'apprentissage du "tu”. L'existence personnelle bascule entre un mouvement d'extériorisation et d’intériorisation. Ces deux mouvements soutiennent l'existence personnelle. La connaissance possède le même principe. Le rationalisme sépare la raison humaine de l’homme lui-même comme s'il sollicitait une preuve concrète. Le personnalisme, dans sa pensée, lie la raison à l’homme connaissant. Le rationalisme extrême situe sa foi au niveau de la raison. Le personnalisme, quant à lui, parle en termes de foi philosophique qui devient la base de toutes les connaissances.
83

Cinéma et expérience totalitaire : le laboratoire du genre du film de guerre dans l'Italie fasciste (1935-1943) / Cinema and the totalitarian experiment : the laboratory of the war film genre in Fascist Italy (1935-1943)

Courriol, Marie-France 10 December 2015 (has links)
Cette thèse analyse les films de guerre de fiction produits dans l’Italie fasciste de 1935 à 1943, de la Guerre d’Ethiopie à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elle démontre que le genre de guerre fonctionne comme un laboratoire pour l’entreprise de révolution anthropologique de l’Italie, inhérente à l’expérience totalitaire fasciste. Ce modèle cinématographique et social est en effet célébré comme devant s’étendre à l’ensemble du monde cinématographique italien, et ses caractéristiques à l’écran sont censées fournir l’image d’une société fasciste idéale.Après avoir analysé la mise en place du film de guerre italien dans ses discours, ses institutions et ses circulations internationales, ce travail examine les réponses de la production cinématographique. Il se clôt sur la perception du genre de guerre, ses spectateurs, sa réception et sa publicité. Il montre que les films de guerre de la période forment un lieu où coexistent de nombreux objectifs servant des groupes variés. Reposant en grande partie sur des archives d’Etat et de cinéastes, ce travail se concentre sur des études de cas de producteurs (Scalera, Bassoli Film), de réalisateurs (Goffredo Alessandrini, Mario Camerini, Francesco De Robertis, Augusto Genina, Romolo Marcellini, Roberto Rossellini), de scénaristes (Asvero Gravelli, Gian Gaspare Napolitano) et de réception de films particuliers. Cette étude des réponses multiples aux demandes d’un système totalitaire en formation dans le champ cinématographique entend contribuer au débat historiographique sur l’adhésion populaire au fascisme, en en élargissant les paramètres. En outre, bien que le genre joue un rôle central dans le développement de l’industrie cinématographique nationale, ce travail démontre cependant la nécessité d’interpréter ces films en termes transnationaux et non comme simples produits politiques et nationaux. / This thesis analyses the fictional war films produced in Fascist Italy from 1935 to 1943, from the Ethiopian war to the end of WWII. It argues that this genre functioned as a laboratory for the anthropological renewal of Italy in the Fascist totalitarian experiment. Fascist critics celebrated it as a cinematic and social model that had to be applied to the whole Italian film world, and whose on-screen features were to become the mirror image of an ideal Fascist society. After tracing the foundations of the Italian war film genre (critical debates, international circulation), the thesis interrogates the positioning of film professionals in relation to Fascist cultural policies. Lastly, it redefines the genre in terms of its interactions with Italian viewers and through advertisement. This thesis shows that war films of the period constitute a contested site serving multiple purposes for multiple groups. Relying primarily on archival material from Italy’s state archives and filmmakers’ private papers, this work presents several case studies of producers (Scalera, Bassoli Film), directors (Goffredo Alessandrini, Mario Camerini, Francesco De Robertis Augusto Genina, Romolo Marcellini, Roberto Rossellini), screenwriters (Asvero Gravelli, Gian Gaspare Napolitano) and reception of specific films. A study of the multiple responses to the demands of an aspiring totalitarian system, both from the point of view of film consumption and filmmaking, contributes to the historiographical debate on Fascism by broadening the parameters of the longstanding debate on popular consent for the regime. In addition, this work demonstrates the need to interpret these films in a transnational perspective and not as mere political and national products.
84

L’idee russe de l’Etat, contribution a la théorie juridique de l’Etat : le cas russe des origines au postcommunisme / The russian idea of the state contribution to the legal theory of the state : the russian case from its origins to the postcommunism period

Lherbette-Michel, Isabelle 16 December 2013 (has links)
Il existe une continuité dans l’« idée » russe de l’Etat qu’une analogie dans la continuité des systèmes ne reflète pas. De la Russie impériale à la Russie soviétique, l’Etat (Gosudarstvo) n’est pas conçu comme une entité abstraite et autonome. A la dimension césariste du pouvoir correspond la non-émergence, et du concept et de la réalité d’un Etat. Jusqu’en 1917, la conception russe du pouvoir est conditionnée par le discours idéologique – religieux. Après 1917, sa principale caractéristique est d’être subordonnée à l’idéologie, en tant qu’expression de la volonté du Parti communiste. L’Etat soviétique s’impose donc comme un Etat « de fait » et non comme un Etat « de droit ». La prédominance du discours idéologique entrave, à la fois, la constitution d’une culture de l’Etat, qui reste une culture du pouvoir, et la formation d’une culture de l’antériorité et de la supériorité du droit sur l’Etat. Après la désintégration de l’Union soviétique, la référence à la démocratie libérale et à l’Etat de droit devient un outil de la création d’une nouvelle légitimité pour l’Etat postcommuniste. L’entrée de la Russie dans la modernité politique nécessite une rupture avec les postulats idéologiques du passé. Or, la déconstruction du socialisme est un processus beaucoup plus complexe que la construction de la démocratie. Bien qu’ayant subi, sur plusieurs siècles, plusieurs types de transitions – de l’absolutisme de droit divin au socialisme, puis au postcommunisme -, l’Etat russe a donc conservé certains caractères constants et typiques qui en font, encore aujourd’hui, un modèle hybride, en tension entre autoritarisme et démocratie. / There is a continuity as concerns the « idea » of the state that an analogy with the different systems does not reflect. From imperial to Soviet Russia, the state (Gosudarstvo) is not thought of as an abstract and autonomous entity. Until 1917, the Russian conception of power is conditioned by the religious ideological discourse. After 1917, her main feature is one of submission to ideology, in other words the expression of the will of the Communist Party. The Soviet state stands out by its « de facto » nature, rather than a « de jure » state. The supremacy of the ideological discourse hampers both the constitution of a new state culture, which remains focused on power, and the formation of the precedence and the superiority of law over the state. After the disintegration of the Soviet Union, reference to liberal democracy and the rule of law becomes a tool in creating renewed legitimacy for the postcommunist state. Russia’s entry into political modernity demands a rupture with the ideological postulates of the past. The dismantlement of socialism is a much more complex process than the construction of democracy. Despite having been subjected, over centuries, to many types of transition – absolutism founded on divine right to socialism, then postcommunism -, the Russian state has always preserved certain features (be they constant or specific) that make it, and still today, a hybrid model pulling towards both authoritarianism and democracy.

Page generated in 0.0831 seconds