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Vérité et connaissance dans l'oeuvre fictionnelle de Thomas Pynchon, de "The voice of the hamster" à "Against the day" / Truth and Knowledge in Thomas Pynchon’s Fictional Work, from "The Voice of the Hamster" to "Against the Day"

Kuennemann, Ingrid 22 January 2010 (has links)
Outre leur caractère encyclopédique, les récits de Thomas Ruggles Pynchon Jr. empruntant le mode de la quête, la vérité et sa trouvaille s’en trouvent explicitement au fondement. La vérité est cependant aussi centrale que structurellement absente, hors-récit, relevant plutôt de la condition même d’existence du récit, se confondant presque avec la possibilité de dire, la fonction de nomination : vaut pour vérité le fait que le dit se tienne de lui-même. La connaissance, elle, choit ce faisant du côté de l’inconscient, là où le sujet s’abîme dans cette vérité extérieure à lui qu’est la garantie que son être puisse se soutenir de son dire, là où le sujet se trouve donc sans le savoir. Cet extérieur au sujet se conjoint fondamentalement avec son corps : toute parole en effet se situe à la frontière où la chair tombe sous le coup du symbolique et c’est le corps, celui de la filiation, de la reproduction, du social, qui agite le discours, celui-ci n’ayant d’autre fonction que de le retranscrire. La connaissance se dessine ainsi comme visant toujours, à travers les objets prélevés dans le réel, un corps en reste du symbolique. Ce partage du corps et du discours est cause du hiatus entre la vérité et la connaissance, la matière et l’identité, tel que plus le protagoniste, cet autre sans corps, en apprend, à son propre sujet pour commencer, moins il s’y reconnaît, en une forme de perpétuel manquement à soi-même – et n’est-ce pas, de la même façon, afin de se divertir, de se changer les idées qu’un lecteur cueille un livre, pour finalement s’apercevoir s’y être retrouvé, ou inversement s’il avait justement commencé par vouloir s’y chercher ? / Thomas Ruggles Pynchon Jr.’s narratives, beside their encyclopedic nature, use the quest mode and therefore truth and its revelation explicitly lie at their foundation. Yet truth is as central as it is structurally absent, outside of the narrative, more coming under the condition of existence of the narrative itself, almost coinciding with the possibility of saying, the nomination function: passes for truth the fact that the word holds all by itself. Knowledge, on its part, falls on the unconscious side, where the subject sinks in this truth external to him, which is the guarantee that his being can be supported by his saying, where the subject thus finds himself without knowing it. This dimension outside of the subject fundamentally conjoins with his body: every word indeed is situated on the border where the flesh falls within the symbolic, and it is the body, that of filiation, of reproduction, of the social, which moves the discourse, the latter having no other function than to transcribe it. Thus knowledge appears as always aiming, through objects extracted from the real, at a body remaining partly outside of the symbolic. This sharing between body and discourse causes the hiatus between truth and knowledge, matter and identity. Thus the more the protagonist, this other without a body, learns about himself to begin with, the less he recognizes himself, in a form of perpetual misidentification – and in the same way, doesn’t the reader pick a book in order to divert himself, to get a break, only to realize in the end that he found elements of himself in it, or conversely if he precisely intended in the first place to look for himself?
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La parole d'une clowne poète au théâtre : écriture, mise en jeu, mise en scène et métaphore de la distance dans le solo Tous les matins qui chantent

Cloarec, Marie-Laure January 2008 (has links) (PDF)
Notre création est un solo pour femme clowne intitulé Tous les matins qui chantent. Nous sommes l'auteure et l'interprète des textes de poésie qui constituent la base de l'écriture du spectacle. La problématique consiste à comprendre comment, dans la démarche de création, le clown et la poésie peuvent se rejoindre. Le premier chapitre, à travers une analyse des représentations du clown, interroge la distance entre l'auteure et l'interprète et éclaire ainsi nos choix dramaturgiques. Le clown est, pour l'auteure poète que nous sommes, une figure de liberté. La chute clownesque évoque le dérisoire de la condition humaine. À l'exemple du clown qui se relève toujours de sa chute ou de son déséquilibre, nous allons rejoindre l'autre, le public, pour dépasser cette solitude qui est la nôtre en scène. Dans la recherche d'un nouvel équilibre, la naïveté du clown, appréhendée comme une forme de légèreté, renouvelle notre rapport au monde. Le clown, dans sa singularité, est une figure de l'étrangeté de l'être. Porter notre poésie sur une scène de théâtre, nous conduit à assumer une pluralité de sens. C'est la quête d'une « vérité » de présence en scène qui permet une rencontre avec l'autre; c'est-à-dire un dialogue de consciences. Le second chapitre explicite comment l'écriture et la mise en scène traduisent les enjeux dramaturgiques. La question de la distance entre la clowne et son public est le fil rouge de cette réflexion. Notre spectacle cherche à représenter la distance entre les êtres. Clowne avant d'être poète, notre passage à l'écriture est l'aboutissement d'un rapprochement avec notre sensibilité poétique. Le texte évoque l'absence de l'être aimé et, au-delà, la difficulté d'une femme à dialoguer avec l'autre et à trouver sa place dans le monde. Les objets scéniques permettent une mise en scène du dévoilement nécessaire à la clowne pour rejoindre l'autre. Une autre clowne, à la féminité assumée, apparaît et exprime l'étrangeté de l'être. Malgré le drame, la rencontre avec le public est rendue possible par une légèreté dans l'interprétation. Par ailleurs, l'utilisation d'une autre langue dans l'écriture permet, tout en évoquant la dualité, une circulation dans les différentes scènes intérieures de l'être. Enfin, c'est notre exigence d'une intimité de liens renouvelés avec la vérité de l'écriture qui permet de maintenir le dialogue de consciences avec le public. Au terme du processus de création, le clown et la poésie se rejoignent pour constituer un poème scénique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poésie, Clown, Distance, Vérité, Féminité.
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Le pont de l'île ; suivi de, Ce qui trompe ce qui fascine

O'Doherty, Christine 10 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création se compose de deux parties. Le premier volet est composé de récits qui abordent les thèmes de l'enfance, des relations parents-enfants, de la mémoire, du temps et de l'espace. Ces récits sont reliés les uns aux autres par la figure du personnage central, une jeune femme à différents moments de sa vie. Chacun des récits met en relief des événements marquants et des relations particulières vécus par cette femme depuis son enfance jusqu'à l'âge adulte. L'écriture des récits s'organise suivant une trajectoire en spirale, dans une temporalité et un espace qui puisent du côté de la mémoire et de l'enfance. Temps et espace objectifs renvoient ici à un temps et à un espace intérieurs et c'est précisément cette oscillation qui alimente le désir de réciprocité, et qui mène lentement au retour à soi de la narratrice et à son ouverture sur l'intime. Les récits évoquent en ce sens les nombreuses séparations qui nous sauvent et nous amènent ailleurs, et celles qui, justement parce que nous sommes ailleurs, nous font souffrir. Ils tentent surtout de répondre, au-delà des désirs de rapprochement et des angoisses de séparation, à ce besoin profond de l'humain de se connaître, de s'accomplir et de se nommer. Le dossier d'accompagnement propose dans le deuxième volet du mémoire un abécédaire pour réfléchir aux notions de séparation, de mise à distance, de pudeur, d'intimité et de lenteur. Pudeur, sobriété, dénuement constituent dans ce contexte autant de conditions critiques et d'objets de réflexion qui entrent en rapport avec la vérité de l'énonciation. Tout comme la séparation et ce qu'elle suppose en termes de va-et-vient, cette vérité devient une condition de mon écriture. C'est le concept de transparence, en lien avec la question de l'intime, qui constitue en ce sens le vecteur de ma réflexion. En effet, l'intime ne se révèle pas uniquement dans le fait de parler de soi, mais encore dans ce qu'il y a à dire du rapport à l'autre. Ce rapport « distancié » induit à son tour la question du temps. L'intime se révèle avec lenteur, celle-ci en est la condition. Le temps, tout comme l'espace, devient dans cette perspective une autre modalité de la distance. C'est au sein de ce processus que se réalise, dans les deux volets de ce mémoire, la découverte de l'autre et de la multiplicité des autres en soi, et que l'écriture opère un travail de dévoilement et de clarification. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pudeur, Lenteur, Filiation, Distance, Séparation, Vérité, Transparence.
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La divulgation de la preuve et de la défense de l'accusé préalablement au procès : un problème dû à l'absence de théorie articulée de la procédure criminelle au Canada

Amyot, Patrick G. January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vérité, pouvoir, subjectivation : la formalisation d'un système chez Michel Foucault

Garon-Carrier, Julien 27 December 2020 (has links)
L’œuvre de Michel Foucault est vaste et éclectique. Il n'est donc pas surprenant que les spécialistes de divers horizons des sciences sociales l'utilisent à la pièce, en fonction du domaine dans lequel ils exercent. Pensons, par exemple, à l'utilisation du concept de pouvoir-savoir dans les études post-coloniales ou dans les études féministes. Une telle manière d'employer les concepts foucaldiens peut produire des résultats intéressants. Cependant, elle semble limitative à l'égard de l'ensemble de l'ouvrage de Michel Foucault. En effet, tel que le montre ce mémoire, il se dégage de l'œuvre de Foucault une tripartition thématique qui rassemble l’entièreté de sa théorie selon trois moments théoriques, soit un cycle sur le thème de la vérité, un cycle sur le thème du pouvoir et un cycle sur le thème de la subjectivation. Ces différents moments théoriques procèdent à chaque fois par un réinvestissement des concepts élaborés précédemment, à l’aune des implications du nouveau thème traité. La vérité requiert du pouvoir et vice-versa, la subjectivation fait appel tant à la vérité qu’au pouvoir et, à l’évidence, il n’y aurait ni vérité ni pouvoir sans sujet. Dès lors, nous affirmons que Michel Foucault a laissé derrière lui un système théorique rendant compte de l’expérience du monde tel qu’il se présente dans toute son historicité (du moins pour l’Occident), ainsi que des modalités de la connaissance telles qu’elles s’établissent normativement et encadrent de manière holistique les normes de la sociabilité.
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De la vérité poétique : enquête sur la théorie ricoeurienne de la métaphore

Bégin, Joël 20 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Le présent mémoire a pour objet la vérité dans les arts poétiques telle que la conçoit Paul Ricœur. Nous concentrant sur ce procédé de langage qu’est la métaphore, nous cherchons à montrer que même les productions langagières qui paraissent déliées des contraintes de la concordance au réel mettent en jeu une référence. Le déni de cette référence relève, selon Ricœur, d’une conception réductrice du langage et de la réalité induite par l’importation de présuppositions scientifiques dans les divers domaines de l’expérience humaine. À la faveur du déploiement d’une référence indirecte, la métaphore donne à voir et à sentir, sur le mode du « comme si », des aspects de la réalité qui ne passent pas dans les usages simplement descriptifs du langage. Il apparaîtra en conclusion que la métaphore vive peut dire l’expérience vive, qui n’est autre que l’être lui-même sous les modalités de l’acte et de la puissance. / The purpose of this dissertation is to investigate Paul Ricœur’s concept of truth in the poetic arts. Taking the linguistic process of metaphor as an object, we try to show that the linguistic utterances that seem to be freed from the constraints of correspondence to reality still involve a reference in the Fregean sense. According to Ricœur, the denial of this reference is the consequence of the importation of scientific presuppositions in various domains of the human experience. Through the unfolding of an indirect reference, metaphor allows us to see and feel, in a fictitious mode, aspects of reality that cannot be expressed in the simply descriptive uses of language. In conclusion, it will appear that lively metaphor can enunciate lively experience, which is none other than Being itself as act and potency.
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Malebranche e il metodo / Malebranche et la méthode / Malebranche and his method

Lovascio, Tania 11 July 2017 (has links)
De la Méthode, le VIème et dernier livre de la Recherche de la Vérité, a été consacré par Malebranche à l’exposition de sa méthode. Ce traité est toutefois demeuré en dehors des cercles d’intérêt des études malebranchistes. Le premier objectif de notre travail consiste donc à tenter de suppléer à ce manque en proposant une étude de la méthode qui mette en lumière ses aspects fondamentaux, dont, en premier lieu, le rapport qu’elle entretient avec la doctrine cartésienne des Regulae ad directionem ingenii. L’hypothèse a été soulevée que Clerselier ait pu transmettre à Malebranche le manuscrit cartésien, encore non publié à l’époque de la rédaction de la Recherche. Pour approfondir cette question, nous avons reconstruit et analysé toutes les correspondances avec les Regulae présentes dans l’œuvre. Ce dossier montre que l’hypothèse mentionnée ci-dessus est fondée : Malebranche s’inspire profondément du texte cartésien dans l’élaboration de sa méthode. Un autre aspect nous ayant semblé digne d’intérêt est le rapport entre la méthode et le problème de l’erreur, auquel Malebranche consacre les cinq premiers livres de la Recherche. L’incidence de la doctrine cartésienne de la IVème Méditation n’émerge pas sans révéler l’originalité de certaines thèses et traités du parcours de l’oratorien. Apparaît également le thème de la science universelle, ou la question de l’ordre, des questions essentielles exigeant une comparaison avec Descartes. Une comparaison qui reste toujours en toile de fond : il ne pourrait pas en être autrement puisque Descartes n’est pas seulement à l’origine de la vocation philosophique de Malebranche, mais aussi de la constitution de sa méthode. / Malebranche dedicates the sixth and final book of the Recherche de la Vérité, entitled De la Méthode, to presenting his method. This treatise has been left outside of the sphere of interest for studies on Malebranche. The primary goal of my work is to fill this gap and provide a study on the method by highlighting some of its key aspects. The first of these concerns its relationship with the Cartesian doctrine of Regulae ad directionem ingenii. Clerselier is assumed to have notified Malebranche of the Cartesian manuscript, which had not yet been published at the time of writing the Recherche. To examine this very question, I have reconstructed and analysed all correlations with the Regulae found within the work. This dossier demonstrates the validity of the above assumption: that his knowledge of this Cartesian text greatly inspired Malebranche as he developed his method. Another noteworthy aspect I have explored is the method’s relationship with the issue of error, which is addressed by Malebranche in the first five books of the Recherche. The influence of the Cartesian doctrine of the fourth Meditation does not emerge without revealing the originality of certain arguments and certain parts of Malebranche's development. There is also the topic of universal science and that of order – essential issues that naturally allude to the comparison with Descartes. This comparison always and inevitably remains in the background: Descartes is found not only at the origin of Malebranche’s philosophical calling, but also in the construction of his method.
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Réalisme et vérité : le débat entre Habermas et Rorty

Dostie Proulx, Pierre-Luc 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Étant donné l'universalité de la médiation linguistique conditionnant notre rapport au monde, à quoi fait-on référence lorsqu'on utilise le concept de "vérité" en épistémologie contemporaine? Doit-on nécessairement supposer que nos énoncés correspondent à une réalité extérieure pour faire sens du concept de vérité? Un réalisme sans la représentation est-il possible? Le présent mémoire tente de répondre à ces interrogations en exposant deux conceptions de la vérité radicalement différentes: celle de Jürgen Habermas et celle de Richard Rorty. Après une présentation des grandes répercussions du tournant linguistique sur les conceptions épistémologiques classiques, j'analyserai la position néopragmatiste rortienne qui affirme que le tournant linguistique a épuisé la validité conceptuelle du dualisme croyance-vérité. J'expliquerai en quoi consistent la position antiréaliste de Rorty, son traitement déflationniste de la distinction vérité-justification et ses thèses mélioristes. Cela me mènera à poser la question suivante: est-ce possible de préserver un concept transculturel de vérité après le tournant linguistique? Dans le but de répondre à cette question, j'exposerai la théorie épistémologique que développe Jürgen Habermas dans Vérité et justification. J'expliquerai la conception bidimensionnelle de la vérité qu'il y développe en insistant sur l'interaction constante des sphères de l'action et de la discussion. Cette exposition me permettra de procéder à une analyse exhaustive du débat entre ces deux auteurs. J'insisterai sur leurs désaccords concernant l'explication théorique, du point de vue des acteurs, du déroulement de la praxis quotidienne et des processus de justification.
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La conception de la vérité chez Hilary Putnam : du réalisme scientifique au réalisme naturel

Rochefort, Pierre-Yves January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Nietzsche : généalogie, culture, parole

Ross-Trempe, Antoine January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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