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A canção em cena : corpo e gesto nas vozes de Mônica Salmaso e Maria João

Petrucci, Ligia Antonela da Silva January 2018 (has links)
Basée sur le principe que la chanson est aussi un art de la scène, la recherche est dédiée à l'analyse des performances scéniques de la chanteuse brésilienne Mônica Salmaso et de l'auteur-compositeur-interprète portugaise Maria João. Afin de comprendre la force poétique particulière d'un concert de chansons, l'étude tente de percevoir les différences et les approximations entre les procédures scéniques des artistes lors des présentations réalisées dans le cadre du Projeto Unimúsica de la Universidade Federal do Rio Grande do Sul. Ce travail a comme concepts centraux la notion de geste, telle que proposée par Paul Zumthor – le geste, ici, fait référence au mouvement ou à l'attitude corporelle qui trouve son équivalent dans une certaine production de voix et vice versa; unis, ils projettent dans l'espace de performance le corps de celui qui chante (ZUMTHOR, 2005, 2010) – et le grain de la voix, presenté par Roland Barthes (2007, 2009) – mixte de timbre et de langage, matérialité corporelle qui fait vivre la parole chantée. Geste et grain sont également abordés sous la perspective d’une pensée contemporaine de la danse à travers les réflexions de Christine Roquet (2011, 2013), Isabelle Launay (2004, 2012) et Laurence Louppe (2004, 2012) et mis en rapport avec l'idée de vocalité suggérée par Mirna Spritzer (2010, 2016) et de gestuelle orale évoquée par Luiz Tatit (2002). La méthodologie comprend, outre la collecte de documents (des disques, des enregistrements vidéo, des interviews et des témoignages imprimés ou enregistrés), l'observation de concerts, la réalisation d’entretiens ainsi que l'analyse des documents selon les cadres théoriques choisis. / A partir da premissa de que a canção é também uma arte da cena, a pesquisa se dedica à análise das performances de palco da cantora brasileira Mônica Salmaso e da cantora e compositora portuguesa Maria João. Para compreender a especial força poética de um concerto de canções, o estudo procura perceber as diferenças e aproximações entre os procedimentos cênicos das artistas, privilegiando as apresentações realizadas no Projeto Unimúsica da Universidade Federal do Rio Grande do Sul. O trabalho tem como conceitos centrais a noção de gesto, tal como é proposta por Paul Zumthor – gesto, aqui, diz respeito ao movimento ou à atitude corporal que encontra seu equivalente em uma certa produção de voz e vice-versa; unidos, eles projetam no espaço da performance o corpo daquele daquela que canta (ZUMTHOR, 2005, 2010) –, e o instigante grão da voz, de Roland Barthes (2007, 2009) – misto de timbre e linguagem, materialidade do corpo que dá vida à palavra cantada. Gesto e grão são também abordados pela perspectiva do pensamento contemporâneo da dança através das reflexões de Christine Roquet (2011, 2013), Isabelle Launay (2004, 2012) e Laurence Louppe (2004, 2012) e relacionados à ideia de vocalidade sugerida por Mirna Spritzer (2010, 2016) e à de uma gestualidade oral, evocada por Luiz Tatit (2002). A metodologia contempla, além do mapeamento documental (discos, registros em vídeo, entrevistas e depoimentos impressos ou gravados), a observação de concertos, a realização de entrevistas e a análise dos documentos de acordo com os referenciais teóricos escolhidos.
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A canção em cena : corpo e gesto nas vozes de Mônica Salmaso e Maria João

Petrucci, Ligia Antonela da Silva January 2018 (has links)
Basée sur le principe que la chanson est aussi un art de la scène, la recherche est dédiée à l'analyse des performances scéniques de la chanteuse brésilienne Mônica Salmaso et de l'auteur-compositeur-interprète portugaise Maria João. Afin de comprendre la force poétique particulière d'un concert de chansons, l'étude tente de percevoir les différences et les approximations entre les procédures scéniques des artistes lors des présentations réalisées dans le cadre du Projeto Unimúsica de la Universidade Federal do Rio Grande do Sul. Ce travail a comme concepts centraux la notion de geste, telle que proposée par Paul Zumthor – le geste, ici, fait référence au mouvement ou à l'attitude corporelle qui trouve son équivalent dans une certaine production de voix et vice versa; unis, ils projettent dans l'espace de performance le corps de celui qui chante (ZUMTHOR, 2005, 2010) – et le grain de la voix, presenté par Roland Barthes (2007, 2009) – mixte de timbre et de langage, matérialité corporelle qui fait vivre la parole chantée. Geste et grain sont également abordés sous la perspective d’une pensée contemporaine de la danse à travers les réflexions de Christine Roquet (2011, 2013), Isabelle Launay (2004, 2012) et Laurence Louppe (2004, 2012) et mis en rapport avec l'idée de vocalité suggérée par Mirna Spritzer (2010, 2016) et de gestuelle orale évoquée par Luiz Tatit (2002). La méthodologie comprend, outre la collecte de documents (des disques, des enregistrements vidéo, des interviews et des témoignages imprimés ou enregistrés), l'observation de concerts, la réalisation d’entretiens ainsi que l'analyse des documents selon les cadres théoriques choisis. / A partir da premissa de que a canção é também uma arte da cena, a pesquisa se dedica à análise das performances de palco da cantora brasileira Mônica Salmaso e da cantora e compositora portuguesa Maria João. Para compreender a especial força poética de um concerto de canções, o estudo procura perceber as diferenças e aproximações entre os procedimentos cênicos das artistas, privilegiando as apresentações realizadas no Projeto Unimúsica da Universidade Federal do Rio Grande do Sul. O trabalho tem como conceitos centrais a noção de gesto, tal como é proposta por Paul Zumthor – gesto, aqui, diz respeito ao movimento ou à atitude corporal que encontra seu equivalente em uma certa produção de voz e vice-versa; unidos, eles projetam no espaço da performance o corpo daquele daquela que canta (ZUMTHOR, 2005, 2010) –, e o instigante grão da voz, de Roland Barthes (2007, 2009) – misto de timbre e linguagem, materialidade do corpo que dá vida à palavra cantada. Gesto e grão são também abordados pela perspectiva do pensamento contemporâneo da dança através das reflexões de Christine Roquet (2011, 2013), Isabelle Launay (2004, 2012) e Laurence Louppe (2004, 2012) e relacionados à ideia de vocalidade sugerida por Mirna Spritzer (2010, 2016) e à de uma gestualidade oral, evocada por Luiz Tatit (2002). A metodologia contempla, além do mapeamento documental (discos, registros em vídeo, entrevistas e depoimentos impressos ou gravados), a observação de concertos, a realização de entrevistas e a análise dos documentos de acordo com os referenciais teóricos escolhidos.
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Voice Outside the Verbal and the Musical. A Study on Human Voice in its relationto Body, Language, Writing, and Music in Western Culture / La voix en dehors du langage et de la musique. Une étude sur la voix humaine dans sa relation au corps, au langage, à l’écriture et à la musique

Joemets, Viivian 12 November 2010 (has links)
La thèse vise à clarifier la notion de la voix et sa place dans la culture occidentale. La multiplicité de la voix est ici étudiée à partir de son origine biologique, fondement de toute expressivité vocale. Cette multiplicité est distinguée du verbal et du musical, ses principales manifestations dans la civilisation humaine. Dans le Chapitre 1 nous proposons une réflexion sur les modes naturels de la vocalité non langagière dont la communication holistique des espèces proto-humaines et l’expression vocale des jeunes enfants forment les principales manifestations. Le Chapitre 2 analyse les rapports du corps avec la voix en tant que signe de l’identité personnelle et preuve de la présence corporelle. Dans le Chapitre 3 nous traitons du statut de l’oralité définie comme la dimension sociale de la voix. Nous étudions l’influence de l’écriture et la domination du visuel exercée sur la voix. Les rapports entre la voix, le langage et la musique sont observés dans le Chapitre 4: nous demandons dans quel sens la voix, en dehors des structures verbales et musicales, peut avoir une signification. Le dernier chapitre est consacré à la voix musicale : une histoire de la voix musicale non verbale dans la tradition savante occidentale est esquissée. Le chant y est défini en tant qu’un acte fondamental de l’expressivité vocale chez l’homme, et non pas comme un art susceptible de superposer des structures linguistiques et musicales. Nous proposons une réflexion sur quelques exemples de l’art vocal contemporain sélectionnés selon leur rapport aux questions théoriques traitées dans la thèse. La thèse se veut comme un outil théorique dans le cadre de la théorie de la culture. / The present thesis aims at clarifying the notion of voice and its place in Western post-literacy culture from the aspect of vocal non-verbal expression and its artistization. The specificity of voice lies in its multiplicity, no single trait of voice may be viewed as representative of human vocality in its entirety. Rooted in human biology, vocal expressivity is inherently distinct from the verbal and the musical; Chapter 1 deals with natural modes of nonverbal vocality of proto-humans and pre-verbal children. A comparison of the functions of human and animal vocalization is made. In Chapter 2 the relation of voice to body is treated. We analyse voice as the mark of personal identity and physical presence. Chapter 3 looks into the question of orality, defined as the social dimension of voice, in post-literacy Western culture and analyse how the democratization of writing, printing, and recording may have influenced the status of voice. In Chapter 4 we ask whether voice outside the framework of language and music may convey meaning and whether such voice may be considered a sign. In the final chapter a brief historical overview of non-verbal vocal music is outlined and a proposition is made to define singing as a fundamental act of human vocal expressivity, not as an art form that superposes linguistic and musical structures. A selection of examples of contemporary voice art is subjected to theoretical reflection in the light of the issues related to vocal expressivity as discussed in the thesis. The aim of the thesis is to provide a theoretical tool for future researches on human expressive vocalization and its artistization in the field of culture studies.
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Traduction et littérature d’enfance et de jeunesse anglophone (19e–21e) : langage, identité, altérité / Translation and English-language children’s literature (19th–21th) : language, identity, otherness

Coussy, Audrey 13 December 2014 (has links)
Traduire en littérature d’enfance et de jeunesse place le traducteur au sein d’un paradoxe : il doit faire avec la longue tradition d’effacement de sa présence au service du texte d’origine, et avec celle d’une prise en charge bienveillante, souvent bienpensante, du public jeune. Passeur ou prescripteur : le traducteur se réduit-il à cette vision dualiste ? Notre étude envisage une autre approche théorique et pratique à partir d’un corpus anglophone de textes pour la jeunesse allant du XIXe au XXIe siècle. Cette catégorie littéraire se décloisonne actuellement au sein de la littérature : ceci permet de ne plus concevoir sa traduction comme une traduction de spécificité et de s’affranchir d’une tradition cibliste qui en vient à effacer l’altérité des œuvres. Il ne s’agit pas pour autant de nier l’existence de questions plus spécifiques à ce domaine, mais de faire valoir sa complexité et sa richesse à travers l’espace de jeu de sa traduction, construit autour d’un jeu langagier qui interroge notre relation au langage, à l’identité et à l’altérité. À l’invitation de Berman et Meschonnic, le traducteur élabore une approche traductive réfléchie, à l’écoute de cette « écriture pour l’oreille » (Nières-Chevrel) qu’est la littérature pour la jeunesse. Cette approche nécessite une implication du traducteur-sujet, conscient des limites et des possibilités qui accompagnent sa subjectivité. On ne parle plus d’effacement, mais du traducteur revêtant sa cape d’invisibilité : faussement fantomatique, pleinement présent, il négocie entre les cultures, les langues, les lectorats. Notre thèse s’inscrit dans cette optique et allie pensée de la traduction, étude et traduction des œuvres sélectionnées. De cette expérience émerge un constat : traduire en littérature d’enfance et de jeunesse nous ramène finalement au statut d’enfant (re)découvrant le langage, la construction de l’individu et la relation à soi et à l’autre. / Translating children’s literature can be paradoxical for translators: they have to deal with the long tradition of the self-effacing translator serving the source text, and with a tendency to cater for the young readership in a benevolent, often conformist way. Our thesis looks beyond this dualistic view and shows another theoretical and practical approach based on a selection of texts from English-language children’s literature, from the XIXth century onwards. Children’s literature is seen more and more as a part of literature in general, which makes it possible to no longer see its translation as specific and target-oriented, something that tends to erase the otherness within the texts. If some elements are indeed more specific to the translation of children’s literature, this thesis aims at underlining how rich and complex this literature is thanks to translation, which makes us reconsider our relation to language, identity and otherness. Following Antoine Berman and Henri Meschonnic, translators must think their practice and build a theory paying particular attention to the inherent orality of children’s literature. Translators have to involve themselves in their work while being aware of the limitations and possibilities linked to their subjectivity. The translator’s invisibility is a chosen and playful one, using the metaphor of the invisibility cloak, which they can put on and remove as they please, while they negotiate between cultures, languages and readerships. Elaborating on this image, our thesis links the theory of translation with the study and the translation of our primary corpus, and draws a conclusion: translating children’s literature assimilates the experience of the translator to the one of the child (re)discovering language, identity and otherness.
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Une « liberté souvenante » : la langue romanesque de Marguerite Duras / A « recollective liberty ». The novelistic language of Marguerite Duras

Vaudrey-Luigi, Sandrine 18 November 2011 (has links)
Les romans durassiens confrontent tout lecteur à deux évidences intuitives et contradictoires : il y a à la fois un style et des styles de Marguerite Duras. Peut-on dès lors déceler sous une apparente hétérogénéité une unité qui permettrait de reconnaître un « style d’auteur » ? La difficulté vient assurément du fait que le style de Marguerite Duras ne cesse d’évoluer, invitant par là à lire son itinéraire de création comme dirigé vers les textes de fin. Position tenable mais naïve, dans la mesure où toute sa génération a effectué ce trajet d’une langue travaillée, largement héritée du roman de la seconde moitié du XIXe siècle, à une langue prétendument non travaillée, parfois décalée par rapport à une norme stylistique. Notre démarche consiste à interroger l’illusion téléologique en mettant d’abord à plat les configurations langagières récurrentes dans la langue romanesque. On montre que la contradiction de la diversité sous l’unité du style durassien est largement levée par la reconnaissance de patrons stylistiques : la « belle langue » et le modèle vocal. Ces catégories épilinguistiques et épistylistiques, toujours actives dans l’imaginaire de l’écrivain, ainsi que leur corollaire, le gauchissement, sont à la fois opposables, concurrentes, complémentaires, et aimantent l’ensemble de la production romanesque. Est alors interrogée la notion même d’idiolecte afin de mesurer si les récurrences observées relèvent d’une pratique générique. Plus largement, il convient de mener plusieurs confrontations qui engagent le genre, l’époque, l’histoire, afin de mesurer la part prise par Marguerite Duras à la reconfiguration du champ littéraire de la seconde moitié du XXe siècle. / Durassian novels confront the reader with two intuitively obvious but contradictory features : Duras has simultaneously both a style and multiple styles. Is it possible then to detect beneath this apparent heterogeneity a unity which would allow one to recognize a single « authorial style » ? The difficulty arises from the fact that Duras’ style never ceased to evolve, thereby inviting us to read her creative itinerary as being directed towards her final texts. This may be a tenable position, but it is also naive, given that her entire generation made the same journey from acrafted language, largely inherited from the novel of the second half of the nineteenth century, to a supposedly uncrafted language. Our approach is to question this teleological illusion by initially reconsidering from first principles the linguistic configurations that recur in the language of the novel. We show that the contradiction of diversity beneath the unity of the Durassian style is largely removed by the recognition of certain stylistic patterns :the « belle langue» and the vocal model. These epistylistic categories, and their corollary, distortion, are simultaneously opposable, competing, complementary, and magnetize the entire novelistic production. Questioned next is the very notion of idiolect, in order to determine whether the observed recurrences are the traces of a generic practice. More broadly, it is necessary to carry out multiple comparisons involving genre, period, history, in order toevaluate the part played by Duras in the reconfiguration of the literary field in the second half of the twentieth century.
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VOIX PUBLIQUES. Environnements sonores, représentations et usages d'habitation dans un quartier populaire de Naples.

Féraud, Olivier 01 February 2010 (has links) (PDF)
Cette recherche est attachée à l'étude des environnements sonores, en prenant l'exemple des Quartiers Espagnols, quartier populaire du centre de Naples. Se voulant une participation à la mise en place d'une anthropologie sonore, elle s'inscrit dans une approche pluridisciplinaire en abordant des aspects relevant de l'anthropologie sociale, la microsociologie, l'anthropologie urbaine, l'anthropologie de la communication, la sociolinguistique, l'anthropologie sensorielle et la prosodie. En observant la vie quotidienne et ses différentes « manières de faire », la mise au jour des pratiques d'habitation à l'œuvre dans la rue révèle une prévalence de la polyvalence des espaces intimes et collectifs. La rue apparaît dans la pluralité de ses usages, des usagers, de son organisation spatiale et temporelle. Devant la diversité des stratégies d'appropriation de l'espace urbain et la porosité dont l'habitat fait preuve sur un plan à la fois social et sensoriel, la dimension sonore se révèle centrale. D'une part, en tant que production sonore mettant en avant la relation à l'autre, la vocalité est au centre de la vie sociale du quartier. En confrontant cris de marchands et communications domestiques à distance, l'observation des actes de voix haute permet de dégager ce que révèlent socialement ces « voix publiques ». D'autre part, en tant qu'elles s'imposent dans l'espace urbain comme un plaisir du bruit, les sonorités des pétards et des feux d'artifice révèlent quant à elles, dans les discours attachés à leurs représentations, une volonté d'investir l'environnement sonore de la ville en même temps qu'elles questionnent des enjeux socioculturels propres à l'espace napolitain. L'analyse révèle enfin que ces deux sonorités peuvent être considérées comme constituant des environnements sonores qui, pour autant qu'ils peuvent diviser à certains égards, rassemblent les habitants qui se sentent en faire partie, et témoignent de la vie sociale qui se joue dans les Quartiers Espagnols. L'exemple d'un quartier populaire napolitain permet d'insister sur un aspect central des environnements sonores, qui est que ces derniers peuvent être vecteurs de lien social. Pointant la pertinence anthropologique de l'observation et la documentation du fait sonore, cette étude met en évidence les corrélations entre les modes d'habitation, les relations sociales et les environnements sonores.
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Tropismes et expérience radiophonique : la vocalité comme sens chez Nathalie Sarraute

Lacombe, Rachel 09 1900 (has links)
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