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Les "annonces" narratives dans les romans d'Emile Zola / Narrative "announcements" in Émile Zola’s novels

Nakamura, Midori 28 June 2012 (has links)
Comment les romans d’Émile Zola parviennent à retenir durablement l’attention du lecteur ? Dans cette étude, nous repérons une des techniques narratives fréquentes chez Zola, l’"annonce", qui laisse entrevoir le dénouement et suscite l’envie d’en vérifier la réalisation et la façon. L’une des caractéristiques de l’annonce dans Les Rougon-Macquart est que son énonciation soit assurée par les personnages secondaires et par les marginaux de la société. De plus, pour étouffer des vérités défavorables à la société, leurs présages sinistres sont souvent déclarés "déraisonnables" et facilement dénigrés. Chez Zola, l’annonce ne concerne pas seulement le fonctionnement narratif, mais incite aussi à jeter un regard sur l’hypocrisie sociale. Les recherches génétiques permettent de voir comment l’auteur a incorporé ce procédé dans la création du roman. Les dossiers préparatoires de L’Assommoir témoignent du processus de la programmation de l’annonciateur-personnage secondaire ; ceux de Pot-Bouille, de l’annonciateur marginal. Mais, dans L’Argent, ces archétypes d’annonciateur vacillent à travers les interventions de la Méchain, tandis que le germe d’un type nouveau apparaît dans la figure de Sigismond. Ce nouveau type d’annonciateur s’imposera dans les derniers cycles. Après la transition des Trois Villes, dans Les Quatre Évangiles, les héros deviennent des évangélistes qui annoncent une société meilleure et en confirment la réalisation. L’annonce consiste alors à proposer un modèle idéal. Ainsi, le système de l’annonce se transforme parallèlement à l’évolution idéologique de l’auteur : de la dénonciation de la société actuelle à la revendication de l’utopie à venir. / How does Émile Zola retain durably the reader’s interest? In this study, we identify one of the author’s frequent narrative techniques: the "announcement", which allows the reader to foresee the outcome, creating both the desire to see if the novel ends as one might have guessed, and the urge to find out how. An essential aspect of announcements in Les Rougon-Macquart is that they are voiced by characters either of secondary importance or belonging to society’s margins. Moreover, their sinister prophecies are often declared "unreasonable" and easily cast aside, in order to throttle the voicing of inopportune truths. Thus, the announcement in Zola’s fiction is not only a narrative issue; it also raises awareness on social hypocrisy. Studying Zola’s manuscripts offers a prime perspective on how the author integrated this process to his novels. His dossier préparatoire for L’Assommoir shows firsthand the programming of the announcement through a secondary character; that of Pot-Bouille shows the same procedure, for a socially marginal character. But in L’Argent, one finds a wavering of these archetypal announcing figures in la Méchain, while Sigismond appears as the sprout of an entirely new type of announcer, which will blossom in the last novelistic series. Indeed, after the transition of Les Trois Villes, the heroes of Les Quatre Évangiles become preachers announcing a better world, and confirming its fruition. The announcement then consists of putting forth an ideal. The system of foretelling therefore undergoes a transformation that parallels the author’s ideological evolution: from the denunciation of current issues to the annunciation of the coming utopia.
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En quête d'une société idéale : la dialectique de l'utopie et de la dystopie dans Travail d'Emile Zola et La Possibilité d'une île de Michel Houellebecq / In search of an ideal society : the conflict between Utopia/Dystopia through the novels Travail (1901) by Emile Zola and The Possibility of an Island (2005) by Michel Houellebecq.

Giri, Hemlata 23 October 2015 (has links)
Cette recherche sur deux romans d'Emile Zola et Michel Houellebecq est conduite dans une perspective comparatiste, en raison des préoccupations communes qui animent les deux écrivains. Les deux romans traitent en des termes diamétralement opposés de l'utopie et de la dystopie, mais l’intérêt pour la science constitue un point de convergence. Au XIXe siècle la science et la technologie ont fait d'énormes progrès. La Troisième République a réaffirmé les valeurs de la liberté, de l’égalité et de la fraternité qui a inspiré les idéaux de la Révolution française ; l’État et la religion ont été séparés en 1905. Mais peu après, à la suite des deux guerres mondiales, le rêve d'établir un monde utopique s’est effondré. Par la suite,le concept utopique a été déformé, et on l’a défini en termes libéraux comme un résultat de la croissance économique. Cent ans après,Houellebecq dénonce l'existence de ce monde utopique rêvé. Pour Houellebecq, le libéralisme est devenu synonyme de violence, d'inégalité et de débauche. Emile Zola et Michel Houellebecq examinent différemment le rôle de la science dans le développement social. Zola, déçu par le rôle de la religion, croit en la réalisation d'un monde meilleur fondé sur le progrès scientifique et technologique. En revanche, Houellebecq s’oppose à l'idée de progrès par la science dans laquelle il voit une forme de destruction de l'humanité. En travaillant sur Travail de Zola et La possibilité d'une île de Houellebecq, nous avons choisi une approche originale qui consiste à analyser la notion du roman utopique/dystopique ainsi que la place de l'utopie et dystopie dans la fiction chez les deux auteurs. / This doctoral research on the works of Emile Zola and Michel Houellebecq is constituted in a comparative perspective because they share common concerns. While both novels deal with diagonally opposite terms of utopia and dystopia, science remains the common link. In the nineteenth century science and technology made huge progress. The rise of the Third Republic reaffirmed the values of liberty, equality, fraternity that inspired the ideals of the French Revolution; also State and religion were separated in 1905. But soon after, with two World Wars the dream of establishing utopia fell apart. Thereafter, the utopian concept was distorted per convenience and it came to be defined in liberal terms as an outcome of the rise of market economy. Hundred years after, Houellebecq denounces the existence of utopian world. For Houellebecq, liberalism has become a synonym of violence, inequality and debauch. Emile Zola and Michel Houellebecq look differently at the role of science in social development. On one hand, Zola disillusioned by the role of religion, believed in the achievement of a better world based on scientific and technological progress. In contrast, Houellebecq opposes the idea of progress through science and advocates it as a mean of destruction of the humanity. In quest to work on the novels Travail of Zola and The possibility of an island of Houellebecq, we’ve selected an original approach that will analyze the poetics of the notion of utopian/dystopian novel and the question of utopia and dystopia in the selected works of both authors.
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Les arts visuels dans les romans, l'oeuvre critique et la correspondance d'Emile Zola / The visual arts in Emile Zola’s novels, critical essays and letters

Riou, Lucie 07 December 2018 (has links)
Le lien entre Zola et les arts visuels a, certes, fréquemment retenu l’attention des chercheurs. Son amitié avec les artistes, son rapport à l’impressionnisme, son activité de critique d’art, la promotion des peintres de son temps, le roman L’OEuvre et son personnage principal, Claude Lantier, ont fait l’objet de nombreuses analyses sans que le rôle de l’art soit envisagé dans la totalité de ses aspects et inscrit dans l’économie générale de l’oeuvre. Malgré la permanence du thème artistique dans ses textes et la passion de l’écrivain pour les images, force est de constater qu’aucune étude d’ensemble n’a été consacrée aux arts visuels dans leur rapport à la création zolienne. Brosser le portrait d’un Zola artiste – non seulement peintre mais aussi sculpteur et architecte –, en considérant l’intégralitéde son oeuvre – romans, nouvelles, pièces de théâtre, dossiers préparatoires, écrits critiques, correspondance –, en croisant différentes approches méthodologiques – thématique, sociologique, comparatiste, esthétique, génétique –, et en constituant une vaste iconothèque représentative de la place fondamentale des arts visuels, tel est l’objectif du présent travail qui ambitionne d’appréhender le processus de création zolien, lequel emprunte à la production de l’oeuvre plastique son déroulement : ébauche, composition, exposition. / The relationship between Zola and the visual arts has, of course, frequently held the attention of researchers. His friendship with artists, his relation to impressionism, his career as an art critic, the defence of painters of his time, the novel L’OEuvre and its character Claude Lantier have been the subject of numerous analyses. Yet, the role of art in all its aspects and in the global perspective of his complete work has not, so far, been considered. Despite the permanence of the artistic theme in his texts and the passion of the writer for images, no comprehensive study has been devoted to the visual arts in their relationship to the Zolian creation. To portray Zola as an artist – not only a painter but also a sculptor and an architect ‒, while also considering the entirety of his work – novels, short stories, plays, preparatory dossiers, critical writings, letters –, and using different methodological approaches – thematic, sociological, comparatist, aesthetic, genetic – in order to form picture library representative of the essential place of the visual arts in Zola’s oeuvre ‒ is the purpose of this work.We aim to understand the process of Zolian creation, which imitates the process of producing a work of art: to sketch, compose, and exhibit.
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L'assommoir de Zola : du roman à la pièce de théâtre

Martin-Guay, Julie January 2004 (has links)
This thesis deals with stage adaptation of Emile Zola's novel L'Assommoir. Adapted for the stage in 1879 by William Busnach, L'Assommoir was a hit, especially with the working class. Despite this, because of its supposed weak aesthetic value, the theatrical adaptation has not been recognized by literary history. Notwithstanding, the analysis of the characters and staging of this adaptation bring some interesting points to light. The representation of people at work, daily life, the clever transposition to stage of some of the novel's more daring passages, the use of slang and the choice of realist costumes and decor are novelties that signal a change in the established dramatic code and announce the realism of Andre Antoine.
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In the mind's eye the expression of perceived space and time in the novels of Emile Zola and the art of his contemporaries /

Martin, Laurey Kramer. January 1982 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin, Madison, 1982. / Typescript. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves 593-630).
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Scientific influences in the work of Emile Zola and George Eliot

Kitchel, Anna Theresa, January 1921 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1921. / Typescript. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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La place et le rôle du romanesque dans la poétique d'Émile Zola / The place and the role of romanesque in Zola's poetic

Ndiaye, Assane Faye 20 October 2015 (has links)
Les Rougon-Macquart, immense composition littéraire, comportant vingt romans, est le témoignage le plus saillant de la poétique zolienne du récit. Cette poétique trouve son fondement dans les principes directeurs du Naturalisme qu'Émile Zola, maître à penser de ce courant, a élaborés dans ses différents écrits, comme théoricien et comme critique littéraire. Parmi les caractéristiques que Zola attribue au récit naturaliste se trouve un refus du recours au « romanesque » dans la poétique de l'œuvre. L'adjectif « romanesque », certes, est forgé sur le radical de « roman ». Mais, pris sous sa forme substantive, le romanesque entretient avec le genre du roman des relations complexes ainsi que l'a montré, par exemple, Jean-Marie Schaeffer. Il convient de rappeler, avec lui, l'origine linguistique du terme et ses évolutions, ainsi que le glissement sémantique qui propulse la notion hors de son contexte littéraire. Pour cerner cette notion, il n'est pas inutile de la replacer, comme il le fait, dans un contexte anglo-saxon : car l'anglais, on peut le souligner, distingue entre romance, que l'on peut traduire en français par « roman romanesque », et novel, qui est l'équivalent de « roman à visée réaliste ». « Romanesque » possède, ainsi, une double signification : il désigne ce qui est relatif au roman en tant que genre, mais aussi ce qui est propre au roman comme romance. En ce sens, il est devenu, au fil des siècles, péjoratif : il renvoie en effet à une peinture de passions idylliques, conduites à leurs extrêmes, jusqu'à frôler l'invraisemblable. On peut ainsi comprendre que des théoriciens du roman, notamment au XIXe siècle – moment où le genre aspire au sérieux et développe des esthétiques réalistes – s'en prennent à quelques-uns de leurs prédécesseurs, leur tenant grief de ne pas assez peindre la réalité des choses, de proposer une représentation idéalisée de la vie, dans laquelle le bon triomphe du mauvais, les nobles sentiments prévalent sur les mauvaises pensées et où la représentation des passions atteint des proportions incommensurables.Ainsi, si nous convoquons les principes du Naturalisme appliqués dans la poétique du récit de Zola, nous nous rendons compte que le romanesque, dans sa conception thématique, (on entend par là la peinture idyllique des passions et du monde) et non générique, est écarté dès les prémices du courant. Zola fustige en effet le comportement de ses contemporains et de ses prédécesseurs à qui il reproche de perdre le lecteur dans des rêves puérils, dans une peinture trop abstraite de la vie. Le XIXe siècle, qui a vu l'affirmation de la science et de ses méthodes, a conduit Zola à une nette rupture avec les poétiques antérieures du roman. Il ressort, dès cet instant, que Zola ne veut plus faire dans les récits qui ont bercé son adolescence ; il entend se démarquer de ces fantômes du rêve, de ces romans des dieux et des héros, personnages d'une aspiration irréalisable parce que trop abstraite. Son dessein avoué, il s'arme de la science et de ses méthodes d'analyse pour aller à conquête d'une représentation juste et véridique de la réalité dans l'œuvre littéraire, le roman en l'occurrence. Et puisque, en outre, « le romanesque » est marqué par une axiologisation négative très forte dans sa signification non littéraire et dans laquelle émergent « des connotations de sentimentalité, de sensiblerie, voire de kitch », il se voit automatiquement disqualifié par la conception zolienne du roman.On peut néanmoins s'interroger sur la réalité de l'éviction du romanesque dans le récit et la fiction zoliennes. Peut-on imaginer une poétique du roman qui parvienne à se dégager totalement des schémas et d'une topique constitutifs d'un genre à ses origines, et véhiculés par une tradition séculaire ? Le romanesque ne fait-il pas retour dans l'œuvre de Zola ? Ce sont ces écarts qui se font jour entre la poétique réelle de l'œuvre et les déclarations théoriques de l'auteur que nous avons étudiés dans cette thèse. / Les Rougon-Macquart, a huge literary composition containing twenty novels, is in many respects the most prominent testimony of Zola's poetic narrative. This poetics is grounded on the guiding principles of Naturalism that Emile Zola, prominent leader of this movement has developed in his various writings, as literary theoretician and critic. Among the features that Zola attributed to the naturalist story is the refusal to use "romance" in the poetics of his work. The adjective “novelistic" certainly derived from the radical of "novel". But taken in its noun form, romance has to do with the genre of the novel and the complex relationships as demonstrated by Jean-Marie Schaeffer for instance. It is worth recalling with this one the linguistic origin of the term and its evolution, and the semantic shift that propels the notion out of its literary context. To understand this concept, it is useful to replace it, as it does in an Anglo-Saxon context. Because, in English, one can distinguish between romance, which can be translated into French by "roman romanesque", and novel, which is the equivalent of "novel that has a realistic target." "Romance" has thus a double meaning: it refers to what relates to the novel as a genre, but also what is unique to the novel as romance. In this sense, it has become, over the centuries, pejorative: it indeed refers to a painting of idyllic passions, led to their extremes to graze the improbable. One can thus understand that the theoreticians of the novel, especially in the nineteenth century - the time when the genre aspired seriously and developed realistic aesthetics - are attacking some of their predecessors for not giving a realistic picture of things, to provide an idealized representation of life in which good triumphs over evil, the noble sentiments prevail over evil thoughts and where the representation of passions reached immeasurable proportions.Thus, if we refer to the principles of Naturalism applied in the poetics of Zola's story, we realize that the romance in its thematic design (through that by which we mean the idyllic painting of passions and the world) and not generic, is aside from the beginnings of the current. Zola criticizes indeed the behavior of his contemporaries and his predecessors whom he accuses of misleading the reader in childish dreams, in a too abstract painting of life. The nineteenth century, which saw the affirmation of science and its methods, Zola led to a sharp break with the past poetic novel. It is clear from that moment that Zola does not want to do the same in the stories that have rocked his adolescence; he intends to stand out from the ghosts of dreams, the novels of gods and heroes, characters of an unattainable aspiration because they are too abstract. For this avowed purpose, he is armed with science and its methods of analysis to conquer a fair and truthful representation of reality in the literary work, the novel in this case. Thus, since the "romance" is marked by a very strong negative axiologisation in its non-literary meaning and in which emerging "connotations of sentimentality or kitsch", it is then automatically disqualified by Zola's concept of the novel.Nevertheless, one can ponder over the reality of the ouster of romance in the story and in Zola's fiction. Can you imagine a poetic novel that manages to completely break with the usual schemes and the constituents of a genre to its origins, and conveyed by a secular tradition? It is interesting to wonder whether the romance is taken back into the work of Zola or not? It is these differences that have emerged between the actual poetics of the work and the theoretical statements of the author that we have studied in this thesis.
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La foule dans la littérature italienne de la fin du XIXème siècle. / The rebel crowds in the 19th century's Italian literature.

Casamento Tumeo, Antonio 13 December 2011 (has links)
La thèse porte sur la représentation de la foule « rebelle » dans la littérature italienne du XIXème siècle. Tout en considérant les contributions des sciences sociales, de Le Bon a l'école lombrosienne de Scipio Sighele et Pasquale Rossi, passant par Freud, jusqu'aux sociologues plus contemporains, comme Reich, Ortega y Gasset, Canetti, Allport, Turner etc, la recherche se concentre sur le roman et la nouvelle, qui voient le jour dans une Italie qui, luttant pour son unité nationale, n'arrive pas a transformer la révolution politique en révolution nationale, selon la formule de Nievo. Manzoni fixe le modèle de représentation des foules rebelles, qui sera suivi par Nievo avec des variations importantes. Ensuite, l'influence de Zola s'ajoutera a celle de Manzoni et dominera, d'une part, l'idée que la foule est capable de montrer un comportement rationnel et d'être un sujet vraiment révolutionnaire (les scapigliati, Valera, De Amicis, etc), d'autre part celle du pessimisme et du destin prédéterminé des masses (Verga). Enfin, Gabriele D'Annunzio, dans ses nouvelles et ses romans, oscillera entre la fascination pour la sauvagerie des foules et son méprise d'aristocratique. / The thesis is about the representation of the rebel crowds in the Italian literature in the 19th century. We consider the contributions of social sciences, from Le Bon to the lombrosian school of Scipio Sighele and Pasquale Rossi, as well as Freud, until some more contemporary sociologists, like Reich, Ortega y Gasset, Canetti, Allport, Turner etc; but the research focuses on the novels and the short stories, which are conceived in Italie, when the fight for the national unity tries, without success, to transform the political revolution in a national revolution, according to the expression of Nievo. Manzoni standardizes de model of the representation of the rebel crowds, which will be followed by Nievo, with some important variations. Therefore, the influence of Zola adds to the Manzoni's one. It will dominate, on the one hand, the idea of a rational crowd, that is a potential revolutionary subject (the , scapigliati, Valera, De Amicis, etc), on the other hand the one of the pessimism and of the predetermined destiny of the masses (Verga). Finally, Gabriele D'Annunzio, in his novels and short stories, fluctuates between the fascination for the savage side of the crowds and his aristocratic contempt.
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O pintar literário nos Escritos sobre a arte, de Émile Zola / Literary painting in Writings on Art of Émile Zola

Aline Magalhães dos Santos 01 December 2016 (has links)
Emile Zola é conhecido por sua carreira como romancista, mas sua iniciação como escritor deu-se também como crítico de arte entre as décadas de 1860 a 1896, anos nos quais o escritor frequentou os ateliês de célebres pintores, cafés e os Salões. A partir da análise dos artigos de jornal presente na compilação Escritos sobre a arte, o trabalho tem por objetivo mostrar como a relação com os pintores impressionistas leva Zola a utilizar os procedimentos picturais desse movimento para descrever os quadros expostos nos Salões de 1866 a 1880. Na primeira parte do trabalho, será apresentado um panorama dos Salões e a gênese desse gênero novo por Denis Diderot, as questões levantadas por Charles Baudelaire em seus escritos sobre a arte e a influência de ambas as críticas para a construção do método de análise de Zola. A segunda parte do trabalho visa apresentar as questões levantadas pelo crítico no que diz respeito à escolha do júri que selecionava as obras, o momento artístico e sua teoria estética. A questão principal deste trabalho será discutida detalhadamente na terceira parte deste trabalho, em que o objetivo principal será identificar os procedimentos pictóricos impressionistas nas análises de Zola e os desdobramentos dessas técnicas na produção da sua crítica de arte. / Émile Zola is known for his novelist career, but his initiation happened as an art critic between the years 1860 and 1896, in which he attended renowned painters\' studios, cafés and the Salons. Starting from the analysis on newspapers articles, found in the compilation Writings on Art, this dissertation intends to show how Zolas relation with Impressionist painters made him use this movement\'s pictorial proceedings in order to analyze the pictures exposed in 1866 and 1880 Salons and create narratives from such descriptions. In the first part, an overview about these Salons shall be introduced, as well as this new genre\'s genesis by Denis Diderot, the matters discussed by Charles Baudelaire in his writings on art, and the weight of both these critical modes to Zola\'s own analysis method. The second part aims to introduce the issues he raised concerning the choosing of the jury responsible for selecting works, the artistic moment, and his aesthetic theory. This researchs main point shall be discussed minutely in the third part, whose main goal is to identify the Impressionists pictorial procedures in Zolas analysis and this techniques deployment in his making of critics on art.
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Poétique des cycles romanesques : de Balzac à Volodine / The Poetics of novel cycles : from Balzac to Volodine

Conrad, Thomas 24 June 2011 (has links)
Les cycles romanesques sont ces œuvres formées par la réunion de plusieurs récits autonomes : sommes “à la Balzac”, suites, séries, trilogies, etc. Il s’agit d’un type spécifique de “transtextualité” (Genette), où s’exprime un désir ambigu de totalisation, qui affirme à la fois l’ouverture et la clôture du texte. Selon une démarche de poétique historique, nous analysons les formes de ces cycles, tout en les inscrivant dans l’histoire de long terme du genre romanesque. D’où un corpus large, s’étendant du XIXe siècle à nos jours : La Comédie humaine de Balzac, le Manuscrit trouvé à Saragosse de Potocki, les trilogies de Dumas, Les Rougon-Macquart, les Trois Villes et les Quatre Evangiles de Zola, le Cycle du Hussard de Giono, les cycles de science-fiction d’Asimov, et les romans « post-exotiques » de Volodine. L’examen des procédés de connexion entre les récits montre que le cycle n’est pas fondé sur la cohérence du monde qu’il représente, mais sur la cohésion des textes qu’il rassemble. Chaque cycle est une totalisation singulière de textes, traversée de tensions et de dysfonctionnements.Mais ces œuvres sont autant de réponses à une question qui subsiste pendant ces deux siècles : comment retrouver une totalité épique adéquate au monde moderne né de la Révolution ? Les cycles romanesques réactivent la « racine épique » du roman (Bakhtine). Cette visée épique, et ses transformations, sont un aspect de ce que serait une histoire de l’idée de totalité en littérature. / Novel cycles are the works formed by the reunion of several independent stories : balzacian cycles, sequels, series, trilogies, etc. In this specific type of “transtextuality” (Genette), an ambiguous desire for totalization appears, tending simultaneously towards the openness and the closure of the text. A historical poetics approach allows to analyze the cycle’s forms by connecting them to the long-term history of the novel as a genre. Hence the wide corpus studied, spanning from 19th century to our days : Balzac’s Comédie humaine, Potocki’s Manuscrit trouvé à Saragosse, several trilogies by Dumas, Zola’s Les Rougon-Macquart, Trois Villes and Quatre Evangiles, Giono’s Cycle du Hussard, Asimov’s science-fiction cycles,and Volodine’s « post-exotic » novels. A study of the connecting devices that tie novels together shows that the cycle does not rely on the consistency of the world that it represents, but on the cohesion of the texts it is made of. Each cycle is a unique totalization of texts, where tensions and dysfunctions abound.Still, in the long-term history of the novel, these works can be seen as many different answers to the same question : how is it possible to bring back an epic totality that would fit the modern world, born from the French Revolution ? Novel cycles reactivate the “epic root” of the novel (Bakhtin). This epic root, and its transformations, are a part of a more general history of the idea of totality in literature.

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