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O ateísmo na filosofia de Pierre BayleAlves Primo, Marcelo de Sant'Anna January 2008 (has links)
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Previous issue date: 2008 / Em sua obra De la tolérance: commentaire philosophique sur ces paroles de Jésus-Christ Contrains-les d’entrer de Pierre Bayle se opõe ao modo e às conseqüências práticas da leitura literal da Bíblia proporcionadas por Santo Agostinho, tomando como ponto de partida a análise de um trecho específico da Escritura – Lucas 14;23. Bayle justifica a sua crítica ao Bispo de Hipona sobre dois pilares: 1o) manifestando o intuito de apoiar a sua reflexão em um panorama que sobreponha os obstáculos particularmente confessionais, operando por meio da razão; 2o) a análise do contexto histórico cristão no qual a questão da perseguição religiosa é suscetível de um conjunto de considerações acerca da natureza do verdadeiro cristianismo e o autêntico espírito do Evangelho. Nessa direção, Bayle passa para um segundo movimento da sua reflexão, questionando-se se é legítimo forçar as consciências alheias em nome de uma suposta verdade religiosa. De tal indagação, o filósofo francês reclama os direitos da consciência errante e erige o postulado da liberdade de consciência, transformando este em um instrumento crítico o qual tanto afasta o homem do fanatismo como tem por imperativo o mais profundo respeito às consciências de outrem, devendo ser inabalável. A amplitude dada por Bayle a esse postulado o permite a tecer suas considerações sobre o ateísmo. Tema principal dos seus Pensées diverses sur la comète, aí o filósofo, a partir de sua crítica à opinião supersticiosa de que os cometas são avisos da ira divina, discorre e sugere a viabilidade de uma sociedade de ateus como não corruptora dos costumes e podendo viver sob os auspícios da moral. Da crítica destinada ao público ortodoxo de sua época, Bayle refletirá sobre uma moral atéia a qual, não tendo seu código calcado em mandamentos doutrinários, seu maior apreço será pela explicação das coisas naturais por elas próprias e pela virtude em si mesma. Se a religião dá a sua contribuição para fortalecer as relações sociais, todavia, está longe de ser indispensável. / Salvador
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L'athéisme des psychanalystes : les acceptions du terme athéisme dans la théorie psychanalytique / The atheism of psychoanalysts : the senses of atheism in psychoanalytic theoryBancaud-Besoin, Sandra 08 June 2012 (has links)
Dans ses écrits, Freud a employé une seule fois le terme athéisme. Pour autant, il est devenu un des plus illustres contempteurs de la religion et l’opinion commune a facilement retenu le caractère athée de la psychanalyse. Des psychanalystes de toutes obédiences se sont eux-mêmes volontiers qualifiés d’athées. Ils ont évoqué le problème de l’athéisme et se sont appropriés les références philosophiques, politiques et théologiques portant sur cette question. Cette appropriation a-t-elle aboutit à la formation d’une notion restreinte et psychanalytique d’athéisme ? Pour répondre à cette question, nous avons recensé les usages du terme athéisme dans les écrits psychanalytiques. Nous nous sommes penchée sur la manière dont les psychanalystes ont constitué des savoirs à propos de l’athéisme.Notre lecture précise des publications nous a permis de mettre en évidence l’absence d’une acception proprement psychanalytique de l’athéisme. Toutefois, nous avons pu extraire au moins deux acceptions principales. La première concerne la pensée athée. Les psychanalystes ont couramment pointé ses incohérences et l’ont analysé comme résultant de conflits psychiques. La seconde acception se réfère à la perspective athée de la psychanalyse, c’est-à-dire à la séparation inaugurale entre la psychanalyse et le théisme. / In his writings, Freud used the term atheism only once. However, he became one of the most illustrious despisers of religion and this has fuelled the common opinion that psychoaknalysis has an atheistic character. Psychoanalysts of all persuasions have gladly described themselves as atheists. They have approached the problem of atheism and have appropriated the philosophic, political and theological references concerning this question. Has this appropriation ended in the formation of a restricted and psychoanalytical notion of atheism? To answer this question, we identified the uses of the term atheism in the psychoanalytic literature. We looked at how psychoanalysts have contributed to knowledge about atheism. Our precise reading of the publications has allowed us to highlight the absence of a properly psychoanalytic sense of atheism. However, we were able to extract at least two main senses. The first one concerns atheistic thought. Psychoanalysts have frequently pointed out its incoherence and analyzed it as resulting from psychic conflicts. The second meaning refers to the atheist perspective of psychoanalysis, that is to say the inaugural separation between psychoanalysis and theism.
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Entre déisme et athéisme un regard sur l'incroyance du baron d'Holbach à travers "Le Christianisme dévoilé" et le "Système de la natureTurgeon-Solis, Marilyse January 2012 (has links)
À travers deux ouvrages du baron d'Holbach, soit Le Christianisme dévoilé (1766) et le Système de la nature (1770), ce mémoire propose d'analyser l'évolution de la pensée du philosophe et de mettre en lumière son raisonnement athée. L'objectif principal est de démontrer que la critique antireligieuse, antichrétienne et antibiblique, établie par d'Holbach dans Le Christianisme dévoilé, s'avère le fondement d'un athéisme qui sera endossé de manière ostensible dans le Système de la nature. Le premier chapitre s'attache d'abord à mettre en place les modalités contribuant à l'émergence de la pensée antichrétienne de d'Holbach, en les replaçant à la fois dans le contexte des siècles précédents, afin d'en tirer les racines, et dans le contexte propre aux Lumières. Ce tableau historique brossé permet dans un deuxième temps d'aborder d'emblée Le Christianisme dévoilé, pour plonger au coeur de l'exégèse chrétienne de d'Holbach et dégager l'essence de sa pensée antibiblique et antichrétienne. En outre, par sa critique des fondements du christianisme, d'Holbach souhaite interpeller le lecteur et le conduire à constater combien l'incohérence intrinsèque à cette religion mine sa crédibilité au point où le bon sens ne peut la soutenir et légitimer l'envahissement du domaine religieux dans toutes les sphères de la société. Dans le deuxième chapitre, le christianisme vu par d'Holbach est analysé pour rendre compte de l'approche empiriste qui lui permet de révéler l'inconsistance et la mise en échec, à long terme, de la viabilité d'une telle religion, et ce, autant au niveau sociétal qu'individuel. Dans un même ordre d'idées, l'introspection que l'auteur fait du christianisme, sous la lunette de la moralité qui lui est inhérente, le porte à constater de nouveau l'incohérence d'une morale chrétienne, nuisible au genre humain, face à une morale dite"universelle", que d'Holbach propose de lui substituer. Nous nous intéressons dans le troisième chapitre au matérialisme qui constitue l'ancrage de l'athéisme philosophique de d'Holbach. Face à l'aboutissement de la pensée athée de l'auteur, telle que nous l'observons distinctement dans le Système de la nature, nous établissons qu'un mouvement initiateur de cet athéisme se perçoit à travers les lignes du Christianisme dévoilé . En somme, dans l'évolution de la pensée holbachique, les critiques historique et philosophique se complètent : en 1766, d'Holbach s'est limité à une déconstruction du christianisme en préparant le terrain de son athéisme, sans toutefois attaquer directement la conception théologique de l'univers, tandis qu'en 1770 il nous révèle sa véritable ambition de proposer une conception intégralement athée de l'homme et de l'univers.
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L'athéisme des psychanalystes : les acceptions du terme athéisme dnas la théorie psychanalytiqueBesoin, Sandra 08 June 2012 (has links) (PDF)
Dans ses écrits, Freud a employé une seule fois le terme athéisme. Pour autant, il est devenu un des plus illustres contempteurs de la religion et l'opinion commune a facilement retenu le caractère athée de la psychanalyse. Des psychanalystes de toutes obédiences se sont eux-mêmes volontiers qualifiés d'athées. Ils ont évoqué le problème de l'athéisme et se sont appropriés les références philosophiques, politiques et théologiques portant sur cette question. Cette appropriation a-t-elle aboutit à la formation d'une notion restreinte et psychanalytique d'athéisme ? Pour répondre à cette question, nous avons recensé les usages du terme athéisme dans les écrits psychanalytiques. Nous nous sommes penchée sur la manière dont les psychanalystes ont constitué des savoirs à propos de l'athéisme.Notre lecture précise des publications nous a permis de mettre en évidence l'absence d'une acception proprement psychanalytique de l'athéisme. Toutefois, nous avons pu extraire au moins deux acceptions principales. La première concerne la pensée athée. Les psychanalystes ont couramment pointé ses incohérences et l'ont analysé comme résultant de conflits psychiques. La seconde acception se réfère à la perspective athée de la psychanalyse, c'est-à-dire à la séparation inaugurale entre la psychanalyse et le théisme.
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Sade peintre de caractères ou la destitution des volontés d'absolu. Étude d'inspiration lefortiennePaquette, Julie 31 October 2012 (has links)
Dans cette thèse de pensée politique, nous examinerons certains des effets engendrés par l’œuvre du marquis de Sade. Nous chercherons à démontrer que le principal de ces effets est la destitution de toutes les tentatives d’ériger des « idoles ». Par « idoles » nous entendons tout ce qui est susceptible de se poser comme un « absolu » – qu’il s’agisse des idoles que l’on peut associer à l’Ancien régime (la monarchie de droit divin par exemple) ou celles, nouvelles, que la révolution pourrait être tentée de leur substituer (la vertu républicaine par exemple). Notre travail s’inspire d’un article de Claude Lefort, « Sade : le Boudoir et la Cité », selon lequel Sade ne peut être ramené à un promoteur du vice ou de la corruption – ce qui ne veut aucunement dire que son œuvre devrait être lue, à l’inverse, comme une défense de la vertu ou de l’incorruptibilité (révolutionnaires ou républicaines).
Nous chercherons dans un premier temps à démontrer de quelle manière la destitution des idoles s’applique à des postures littéraires et philosophiques dont Sade a lui-même participé : libertinage, matérialisme et athéisme. Dans un second temps, nous nous concentrerons sur les opuscules politiques de Sade et sur ses engagements politiques. Aux termes de notre travail, apparaîtra alors un Sade, penseur d’une République fondée sur un mouvement d’ « institution/destitution », qui, à la lumière de ce qu’a théorisé Lefort, permet d’intégrer le doute et l’indétermination au sein d’une réflexion sur le politique.
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Rapport de l'immoralisme sadien au matérialisme des LumièresHayes, Kathleen January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Sade peintre de caractères ou la destitution des volontés d'absolu. Étude d'inspiration lefortiennePaquette, Julie 31 October 2012 (has links)
Dans cette thèse de pensée politique, nous examinerons certains des effets engendrés par l’œuvre du marquis de Sade. Nous chercherons à démontrer que le principal de ces effets est la destitution de toutes les tentatives d’ériger des « idoles ». Par « idoles » nous entendons tout ce qui est susceptible de se poser comme un « absolu » – qu’il s’agisse des idoles que l’on peut associer à l’Ancien régime (la monarchie de droit divin par exemple) ou celles, nouvelles, que la révolution pourrait être tentée de leur substituer (la vertu républicaine par exemple). Notre travail s’inspire d’un article de Claude Lefort, « Sade : le Boudoir et la Cité », selon lequel Sade ne peut être ramené à un promoteur du vice ou de la corruption – ce qui ne veut aucunement dire que son œuvre devrait être lue, à l’inverse, comme une défense de la vertu ou de l’incorruptibilité (révolutionnaires ou républicaines).
Nous chercherons dans un premier temps à démontrer de quelle manière la destitution des idoles s’applique à des postures littéraires et philosophiques dont Sade a lui-même participé : libertinage, matérialisme et athéisme. Dans un second temps, nous nous concentrerons sur les opuscules politiques de Sade et sur ses engagements politiques. Aux termes de notre travail, apparaîtra alors un Sade, penseur d’une République fondée sur un mouvement d’ « institution/destitution », qui, à la lumière de ce qu’a théorisé Lefort, permet d’intégrer le doute et l’indétermination au sein d’une réflexion sur le politique.
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Le Mémoire de Jean Meslier : contre la religion et la tyrannie pour la libération des peuplesMayer, Richard-Olivier 05 1900 (has links) (PDF)
Le but premier que cherche à atteindre le présent travail est de faire davantage connaître le chef-d’œuvre de Jean Meslier. À la plus grande diffusion de la pensée de Meslier, ce travail souhaite également ajouter quelque peu à sa compréhension. Il s'agit donc de présenter les principaux arguments et les idées les plus caractéristiques du Mémoire, mais aussi d'approfondir certaines facettes de cette pensée, notamment sa dimension politique. Pour ce faire, nous n'avons guère le choix que de nous confronter seulement et directement au volumineux Mémoire, étant donné la quasi-absence de commentateurs pertinents disponibles au moment de la rédaction de ce travail. Nous abordons, bien sûr, les trois principaux sujets du Mémoire, c'est-à-dire la réfutation des croyances au surnaturel, le matérialisme et la critique politique. Au travers du traitement de ces sujets, nous démontrons que le Mémoire, tout au long de ses 8 preuves, se déploie de façon rationnelle et structurée, et que cette structure est essentiellement composée de deux blocs, les preuves 1 à 6 et les preuves 7 et 8, qui s'attaquent à des aspects différents de la croyance au surnaturel. Et pour approfondir notre appréciation de la pensée politique de Meslier, nous en explorons le projet politique et nous tentons d'en trouver la justification morale. Nous soutenons que c'est par un appel à l'hédonisme modéré de la majorité des humains que Meslier fonde la désirabilité de son projet de communauté équitable.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Athéisme, matérialisme, 18e siècle, politique, manuscrit clandestin
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Rapport de l'immoralisme sadien au matérialisme des LumièresHayes, Kathleen January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La Bête en l’Homme : l’animalité humaine dans l’oeuvre de Sade / Beast within Man : human animality in Sade’s worksJolivet, Vincent 30 November 2015 (has links)
La notion d’animalité est au cœur des préoccupations du siècle des Lumières comme de l’œuvre de Sade, qui la place au centre de son entreprise de déstabilisation des valeurs et de son système scandaleux. Avec lui, l’animal apparaît pour ce qu’il est véritablement au plan philosophique : un merveilleux dynamiteur de certitudes propre à ébranler tous les systèmes trop rigides ; une bombe à retardement éthique susceptible de ruiner toute morale et d’autoriser tous les crimes ; un dangereux laboratoire intellectuel où se théorise et s’expérimente toute grande déshumanisation à venir. Héritier du matérialisme philosophique de son temps, Sade refuse en effet de voir en l’Homme autre chose qu’un banal agencement d’atomes, qu’une très ingénieuse mécanique, et fait ainsi de lui un simple animal parmi d’autres ; mais, à la différence de ses maîtres à penser, lui entend bien tirer toutes les conséquences morales d’une telle destitution métaphysique. Greffant à cette rentrée dans le rang ontologique toute l’infamie de l’ancienne conception de l’animal, qui voyait en ce dernier sur le plan moral un inquiétant concentré de tous les vices et de toutes les licences, l’écrivain en vient à proposer la synthèse aberrante des aspirations et des craintes de son époque. Prenant la posture d’un Rousseau gagné au crime, il imagine une entreprise de renaturation pour le pire de l’espèce humaine, où l’Homme vient se faire loup pour l’Homme avec l’appui de la logique et la bénédiction de la raison. Programme de retour résolu à l’animalité qu’il ne parvient toutefois pas toujours à tenir, l’animal se révélant pour lui aussi un terrain philosophique piégeux. / Animality is one of the most topical questions for the thinkers of the Enlightenment. The nature of the soul and the criterion of men’s specificity, the origin of knowledge and the functioning of the body, the classification of species and the animal’s rights are all at the heart of debates and reflections of the time. And so they are in the marquis de Sade’s works, whose ambition to destabilize the humanistic values finds with this question a very convenient philosophical instrument. With Sade, the animal appears in fact what he is as far as philosophy is concerned: a powerful weapon for skeptical thinkers, a metaphysical bomb able to blow away all ethics, an operative concept to work out the next enslavements to come. Inspired by the French materialist thinkers, Sade considers Man as an animal amongst others and views human beings as mere assembling of atoms and efficient machineries; but contrary to them, he tries to draw the conclusions of such a statement and tends to make him a brute. Playing the part of some sort of criminal Rousseau eager to push mankind into violence and depravation, he rationally advocates a frightening return to the most primitive bestiality and calls for a general step back to the times when Man was still a wolf for Man. A program that however he isn’t always able to stick to, animal turning out to be a very tricky philosophical ground even for him.
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