• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 555
  • 110
  • 54
  • 46
  • 40
  • 20
  • 11
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 896
  • 456
  • 127
  • 111
  • 103
  • 90
  • 86
  • 80
  • 67
  • 55
  • 50
  • 50
  • 48
  • 47
  • 44
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
201

Insertions économiques des migrantes brésiliennes en Guyane française

Serges, Dorothée 09 December 2011 (has links) (PDF)
L'insertion économique des migrantes brésiliennes en Guyane française s'inscrit dans le processus global de la féminisation des migrations et du marché du travail, initiant les déplacements d'une main-d'œuvre peu qualifiée des pays des Suds, notamment des États du Pará et de l'Amapá (nord du Brésil) vers les pays des Nords, la Guyane, département d'outre-mer. Cette insertion économique est intrinsèquement liée à des déterminants migratoires, familiaux et professionnels. Cette thèse analyse les formes d'autonomies économiques acquises par les femmes migrantes, à partir de trois générations, et compte tenu des possibilités offertes par le marché du travail de la société guyanaise, ethnostratifié. La complémentarité entre des méthodes qualitatives et quantitatives a permis de dégager des trajectoires (a)typiques reliant morale familiale et esprit d'entreprise. Mots clés : Migrations, genre, travail, autonomie économique, Guyane française, Brésil, relations interethniques.
202

Recherches sur la notion de péréquation en droit public

Darbousset, Charley 05 July 2011 (has links) (PDF)
La péréquation française est devenue un enjeu fort des finances publiques locales. La croissance des moyens financiers et du nombre de dispositifs consacrés à la réduction des inégalités entre collectivités territoriales en est l'illustration. Malgré la mise en œuvre de péréquations nationales aux résultats encourageants, la cohérence et la complexité des mécanismes restent à parfaire. L'incapacité législative à contenir la péréquation dans un cadre stable et délimité n'est pas étrangère aux difficultés à appréhender la conciliation entre deux grands principes : la liberté et l'égalité. A ce titre, les grandes théories de la justice redistributive développées depuis le siècle des Lumières sont à considérer. Au contraire de la Loi fondamentale allemande, la Constitution française permet au législateur d'organiser très librement la solidarité inter-collectivités, d'autant que le juge constitutionnel, précurseur et gardien du droit à la péréquation, exerce en la matière, un contrôle incomplet au détriment de l'autonomie financière et fiscale des collectivités. A partir des fondements théoriques et positifs de la péréquation, un droit effectif et respectueux de l'autonomie locale reste à construire afin de corriger les insuffisances d'un système péréquateur récemment modifié par la réforme des lois de finances pour 2010 et 2011.
203

Autonomie individuelle et action collective : la mise en forme du lien social dans le parti des Verts

Coton, Guillaume 23 May 2011 (has links) (PDF)
L'étude du parti Les Verts montre que créer du sens en commun, forger des identifications et intégrer les acteurs dans une même action collective peut être problématique. L'organisation, loin d'incarner une identité collective consensuelle, se présente plutôt comme le réceptacle d'un foisonnement d'actes identitaires. Ce rapport autonome au collectif revendiqué par les acteurs permet de comprendre que, s'il existe de multiples tentatives de régulation, on observe un déficit de règles légitimes. Dans cette négociation entre autonomie et engagement, le lien sociable instaure, au niveau des interactions, un cadre précaire mais efficace, dans lequel les acteurs coopèrent tout en faisant fi de leurs antagonismes. L'action collective fonctionne alors comme une dynamique qui, de la structuration organisationnelle jusqu'aux micro-ajustements des acteurs, tente de concilier les revendications individualistes et le souci d'efficacité, par un travail sur les formes du lien.
204

L'Epire du treizième au quinzième siècle : autonomie et hétérogénéité d'une région balkanique

Osswald, Brendan 16 November 2011 (has links) (PDF)
La région de l'Epire du XIIIème au XVème siècle est étudiée sous plusieurs aspects liés aux thèmes de l'autonomie et de l'hétérogénéité qui ont marqué l'histoire de la région durant la période concernée.Tout d'abord, le bilan de l'historiographie politique montre l'agitation de cette période intercalée entre les longues périodes de stabilité que sont la période byzantine en amont et la période ottomane en aval. Les trois siècles étudiés ont en effet vu se succéder la Quatrième croisade (1204), les règnes de la dynastie des Comnènes (1205-1318), puis de la branche de Céphalonie (1318-1340), l'invasion serbe et les migrations albanaises (années 1340-1350), l'expansion de Carlo Ier Tocco (début XVème siècle) et enfin la conquête progressive par les Ottomans de 1418 à 1502.Ensuite, l'étude de la géographie historique de la région (territoire, vocabulaire, géographie administrative, politique, ecclésiastique, bâtiments officiels) montre l'interdépendance entre les événements historiques et les conditions géographiques. On observe en effet que l'hétérogénéité du territoire préexistait aux diverses migrations.Enfin, on a cherché à savoir quelles furent les réactions idéologiques aux bouleversements politiques subis par la région. D'une part, on assista à l'émergence d'un modèle politique à la fois en rupture et en continuité avec le modèle politique byzantin traditionnel. D'autre part, les diverses migrations placèrent la problématique ethnique sur le devant de la scène politique. Néanmoins, les clivages ethniques ne furent pas aussi déterminants que les clivages sociaux, politiques et géographiques ; ils ne débouchèrent en tout cas pas sur l'idée anachronique d'État-Nation.
205

Contribution au développement de l'interopérabilité en entreprise : vers une approche anticipative de détection de problèmes d'interopérabilité dans des processus collaboratifs.

Mallek, Sihem 14 October 2011 (has links) (PDF)
L'interopérabilité revêt un enjeu majeur pour l'industrie et son absence peut être vue comme un des principaux freins à un travail collaboratif, et plus particulièrement dans les processus collaboratifs aussi bien publics (inter-entreprises) que privé (intra-entreprise). Il parait donc pertinent d'analyser et de détecter d'éventuels manques ou défauts d'interopérabilité dans des entreprises impliquées dans un processus collaboratif. Les recherches en interopérabilité ont montré l'intérêt de mesurer et d'évaluer l'interopérabilité avec la proposition de cadres et de modèles de maturité dans le but d'éviter d'éventuels problèmes d'interopérabilité. Cependant, des approches de détection et d'anticipation de problèmes d'interopérabilité n'existent pas à notre connaissance. Les travaux de recherche proposés dans cette thèse se développent dans un contexte d'ingénierie de processus guidée par les modèles et se proposent d'utiliser des techniques de vérification formelle pour détecter différents types de problèmes ou de pré-somption de problèmes d'interopérabilité. Ceci implique, dans un premier temps, de définir les besoins particuliers en interopérabilité devant être pris en compte dans un contexte colla-boratif. Dans un second temps, il est nécessaire de formaliser ces besoins en un ensemble d'exigences d'interopérabilité, de manière aussi formelle que possible. Ceci a abouti à quatre classes d'exigences d'interopérabilité respectant le cycle de vie d'un processus collaboratif : les exigences de compatibilité, les exigences d'interopération, les exigences d'autonomie et les exigences de réversibilité. Enfin, ces exigences doivent être vérifiées en se référant aux modèles du ou des processus étudiés.
206

Autonomisation des modèles pour les simulations participatives

De Loor, Pierre 05 December 2006 (has links) (PDF)
Ce texte est une étape de mon travail de recherche. Intrigué depuis longtemps par la notion d''autonomie, j''ai tenté, avec mes étudiants, de l''aborder dans le cadre de différentes applications de simulations interactives. Ces travaux, résumés dans la première partie de ce livre, illustrent les limites de l''approche "classique" et computationaliste de l''intelligence artificielle pour développer des comportements autonomes en environnements ouverts. La deuxième partie de l''ouvrage cherche dans d''autres courants des sciences cognitives, en particulier ceux se rapprochant de la biologie et de l'énaction - qui développent la notion d''autonomie forte - les pistes permettant de dépasser ces limites.
207

Vers une modèle d'organisation autoformatrice. Apports du concept de réciprocité à une perspective d'autonomisation en formation

Eneau, Jérôme 20 October 2003 (has links) (PDF)
Cette recherche s'intéresse à l'injonction croissante d'autonomisation, en milieu de travail, et à la manière dont l'autoformation pourrait y répondre. Dans un contexte où l'autonomie, comme l'apprentissage, se construit avec et par autrui, les recherches ont cependant peu abordé les dimensions spécifiquement sociales de l'autoformation. L'apport des travaux récents sur la réciprocité éducative, étudiant la relation sous forme d'échange don / contre-don ouvre une voie nouvelle d'investigation. Cette recherche, de nature théorique, vise donc à proposer, à travers l'examen de la littérature, une modélisation des apports du concept de réciprocité à la perspective d'autonomisation, pour éclairer et faciliter l'autoformation en contexte organisationnel. La recension des écrits sur l'autoformation examine les recherches, dans le domaine, ayant permis de formaliser les connaissances sur l'apprentissage autonome en milieu de travail, au triple niveau des politiques organisationnelles, des acteurs et des dispositifs de formation. La recension des écrits sur la réciprocité examine tout d'abord le concept dans ses dimensions philosophiques, anthropologiques, économiques et politiques, puis dans ses dimensions éducatives, aux niveaux théorique et pratique. Ici, peu de travaux sont disponibles, en particulier pour le contexte organisationnel, la théorie de la réciprocité éducative de Labelle fournissant toutefois un cadre notionnel à la recherche, dans un modèle permettant d'articuler autonomie et réciprocité. Alors qu'un cadre référentiel de l'autoformation peut être établi grâce à la littérature, cette recherche propose donc d'élaborer un cadre référentiel de la réciprocité. Avec l'aide d'un jury, les éléments de la réciprocité ont été dégagés de la littérature, des propositions formulées et un cadre à trois dimensions élaboré. Ces trois dimensions, regroupant au total huit propositions générales et un corollaire, portent sur la nature et les principes de la réciprocité, sur sa dimension opératoire et sur ses effets attendus. La première série de résultats, partant du cadre notionnel et de quatre perspectives théoriques en autoformation (critique, existentielle, constructiviste et de l'énaction), permet d'éclairer le processus d'autonomisation au regard du modèle de réciprocité. Ces résultats proposent alors une modélisation de l'autonomisation, construite grâce au double mouvement de la réciprocité, entre interdépendance et altérité. La seconde série de résultats partant du cadre référentiel de l'autoformation, issu de la littérature, et du cadre référentiel de la réciprocité, construit pour et par cette recherche, permet de décliner les trois grandes dimensions de la réciprocité en fonction des trois dimensions principales de l'autoformation. Ces résultats permettent de définir un certain nombre de conditions propres à la réciprocité, pour faciliter l'autoformation aux niveaux organisationnel, des acteurs et des dispositifs (apprentissage collectif, modalités de coopération, délai de réciprocité ou incomputabilité des échanges, par exemple). Cette recherche théorique propose ainsi un premier rapprochement des notions d'autonomie et de réciprocité, permettant d'éclairer l'autoformation, au plan théorique, et de proposer des pistes, au plan pratique, pour sa facilitation en milieu de travail.
208

Le rôle de la vérité socio-affective et de la volonté en droit belge de la filiation.

Gallus, Nicole 26 March 2009 (has links)
L'étude porte sur le fondement du lien de filiation et l'équilibrage de ses composantes multiples, dont la vérité génétique et la vérité socio-affective. Elle analyse la place croissante de l'autonomie de la volonté dans la conception de l'enfant, la création, le maintien et les effets du lien, ainsi que la prise en considération marquée de la parenté d'intention, détachée de la réalité génétique. Cet examen est fait tant pour la procréation dite naturelle que pour la procréation médicalement assistée, avec, en particulier, une étude de la réception par le droit du désir d'enfant chez les personnes célibataires ou en couple homosexuel. La parenté est également étudiée au plan de son évolution vers une reconnaissance de l'autonomie de la fonction parentale sous la forme de la parentalité, détachée de la filiation. Le rôle du droit et la transformation de sa fonction sont analysés en parallèle. Enfin, les conclusions développées au sujet de l'engagement parental volontaire sont confrontées aux principes généraux de dignité humaine et d'intérêt supérieur de l'enfant, ainsi qu'aux droits au respect de la vie familiale et à la connaissance des origines.
209

Ethique, personne de confiance et maladie d'Alzheimer

Moulias, Sophie 26 June 2012 (has links) (PDF)
La personne de confiance, créée par la loi du 4 mars 2002, permet au patient non communiquant, de transmettre sa parole au médecin, pour l'aider dans sa prise de décision. Dix ans après, la désignation de la personne de confiance reste rare, même en gériatrie, y compris pour les patients atteints de maladie d'Alzheimer. Plusieurs enquêtes par questionnaires et entretiens et une recherche-action ont été réalisés auprès des différents acteurs du soin gériatrique : patients, aidants, gériatres, médecins traitants et associations de patients, pour appréhender comment les professionnels de gériatrie se sont approprié la notion juridique de personne de confiance et ont modifié leurs pratique Les résultats montrent que les acteurs ne connaissent pas bien la loi et n'ont rien fait pour la mettre en œuvre, même s'ils en attendent beaucoup. Les équipes de soin peuvent cependant s'approprier le sujet et donner à la personne de confiance la place prévue par la loi. Des risques de dérives sont décrits : prise de pouvoir de la personne de confiance sur le patient, décharge de la responsabilité médicale, écartement des proches au profit de la seule personne de confiance, poids extrême pouvant peser sur cette dernière. Les professionnels trouvent que la procédure prend beaucoup de temps, qu'un document écrit n'est pas toujours adapté, que cela représente une charge supplémentaire, alors qu'ils sont déjà surchargés. Le manque de pratique entraine le manque d'utilisation. Les patients présentent parfois des difficultés de communication, limitant la possibilité de désigner. L'information sur la personne de confiance et sa désignation provoquent souvent une angoisse supplémentaire du patient face à sa possible mort prochaine. Il lui est parfois difficile de choisir entre ses enfants. Les professionnels pressentent que la personne de confiance n'a pas la même utilité pour tous. Elle est intéressante en soins d'urgence et de réanimation, mais les patients n'ont souvent pas le temps de la désigner avant d'en avoir besoin. Elle prend tout son sens dans les maladies chroniques, dont la maladie d'Alzheimer, pour lesquelles la désignation de la personne de confiance pourrait être anticipée par rapport à l'arrivée à l'hôpital. Il ne semble pas y avoir de limite, autre que celle de l'a priori moral des professionnels, à la possibilité de désigner une personne de confiance, même pour un patient atteint de maladie d'Alzheimer, la personne de confiance permettant alors au patient d'exprimer ses volontés au-delà de son handicap, en prenant au mieux en compte son ancienne personnalité et ses désirs actuels. Cette réflexion amène à certaines réserves éthiques. Le patient, sa personne de confiance et le médecin peuvent-ils conclure une alliance thérapeutique en médecine aiguë, alors que la patient est dépendant du médecin, par le fait même de sa maladie et de la proximité de la mort ? La logique des droits des patients a-t-elle une limite, puisque tous les patients n'ont pas accès à la désignation de leur personne de confiance ? Le risque de routinisation de la procédure est majeur, si le sens même de cette désignation n'est pas perçu par les différents acteurs. La réflexion autour de la prise de décision montre que le patient en semble souvent absent et pas toujours représenté par la personne de confiance. Le tuteur ne semble pas être le représentant idéal du patient, qui ne peut légalement plus désigner sa personne de confiance. Une amélioration du processus par le biais de bonnes pratiques de la désignation de la personne de confiance sont proposées : améliorer l'information de la population et des patients, former les professionnels aux conditions de désignation optimale pour le patient, informer la personne de confiance sur son rôle et sur sa responsabilité vis-à-vis du patient, de l'aidant familial et de la famille, extension de la procédure de désignation partout où il y a du soin.
210

Raisonner sur l'autonomie d'un agent au sein de systèmes multi-agents ouverts : une approche basée sur les relations de pouvoir

Carabelea, Cosmin 03 December 2007 (has links) (PDF)
Nous prenons le point de vue d'un agent sur le point d'entrer dans une organisation multi-agent, où il aura à choisir parmi plusieurs rôles disponibles. Notre objectif est de donner à cet agent les moyens d'évaluer avant d'entrer dans une organisation les implications que cette action aura sur ses capacités de satisfaire les désirs de son utilisateur. Quand il entre dans une organisation, un agent devient le sujet de plusieurs contraintes imposées par des entités externes (d'autres agents, l'organisation même, la société). Comme le montre cette thèse, l'autonomie sociale de décision est une caractéristique d'un agent, qui est directement liée à ces contraintes sociales. En conséquence, nous basons l'évaluation faite par un agent des contraintes qui lui sont imposées sur le concept d'autonomie. Cette approche est illustrée à l'aide d'un scénario d'intelligence ambiante qui a été implémenté et déployé sur des objets portables.

Page generated in 0.0587 seconds