1 |
Le cogito dans la pensée de Saint Augustin /Bermon, Emmanuel. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Philos.--Paris 1, 1999. / Bibliogr. p. 411-423. Index.
|
2 |
"Cogito ergo sum" : Interpretationen von Kant bis Nietzsche /Brands, Hartmut. January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Philosophie--München. / Notes bibliogr. Index.
|
3 |
La "res cogitans" en Espinosa /Falgueras Salinas, Ignacio. January 1976 (has links)
Th. doct.--Philos.--Pamplona, 1974. / Bibliogr. p. 303-307 et notes bibliogr.
|
4 |
Poétique de l'ipse : etude sur le "Je pense" kantien /Jesus, Paulo. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Paris--Ecole des hautes études en sciences sociales, 2006. / Bibliogr. p. 491-508.
|
5 |
Cogito et raison : l’épreuve de la folie / Cogito and reason : the confrontation with madnessSu, Hsiao-Chun 11 April 2015 (has links)
Cette thèse prend son point de départ dans la Première Méditation de Descartes. Le fil deconducteur cartésien nous mène à la fameuse « querelle de la folie » entre Foucault etDerrida, où se pose la question du statut de la folie face au cogito et à la raison. Dansl’Histoire de la folie Michel Foucault défend l’idée que la folie se voit non seulement rejetée àl’extérieur de la souveraineté du cogito, mais également exclue de la société. Dès lors,Foucault envisage, d’un côté, les critiques du philosophe Jacques Derrida, de l’autre, cellesde psychiatres et d’historiens de la psychiatrie. En dépit de la rupture du dialogues entre lesdeux philosophes, ainsi que de l'incompatibilité des positions respectives de la philosophiefoucaldienne et de la médecine, une tentative est envisagée ici de repenser à nouveaux fraisle couple folie/raison, ainsi que le rapport de la maladie mentale à la santé. Kant nous offre,au tournant de la modernité, des ressources philosophiques permettant d’envisager cesdifficultés, et ouvre d’autre part un un chemin vers l’Antiquité, lieu d’une entente possibleentre la philosophie et la médecine. La philosophie antique nous apparaît alors comme unetradition susceptible d’enrichir des enjeux tels que le rapport de la folie à la raison, ouencore de la thérapie de l’âme à la quête de la sagesse. Nous suivons cette piste kantienne, etremontons aux pensées antiques afin de réexaminer raison et cogito dans leur confrontationà l’épreuve de la folie. / This phD takes its beginning from the interpretations of Descartes’ Meditations on FirstPhilosophy. According to Madness and Civilization of Foucault, in the Western history,madness was excluded in order to legitimate the cogito and the reason, and mad peoplewere excluded by the social forces from the end of the 18th century on. A seriousdisagreement raised between two great French philosophers, Foucault and Derrida. On theother hand, the psychiatrists attack Foucault’s abstract theory and defend their practicalknowledge. How to think about the relationship between raison and madness? Kant, as aphilosopher of modernity, offers a solution to these problems, by his vision, not yetdisconnected from the views of the antique world, where philosophy and medicine shared acommon field. From the ancient wisdom to the contemporary, this phD aims at clarifyingthe complicated relationship between the cogito and the reason, confronted as they are tothe existence of madness.
|
6 |
Cogito, sujet, subjectivité chez Foucault / The cogito, subject and subjectivity in FoucaultTang, Mingjie 03 July 2015 (has links)
Les recherches foucaldiennes sur la question du sujet, du sujet de connaissance et de la subjectivité se manifestent depuis ses premières études sur la folie à l’âge classique, en passant par les archéologies des sciences humaines à l’âge classique et moderne, jusqu’à ses derniers recherches imparfaites sur la parrêsia de l’Antiquité au christianisme. La découverte foucaldienne des dispositions historiques du sujet ne sert pas à ruiner la subjectivité, la volonté ou la liberté de l’individu, mais à réélaborer la question traditionnelle du sujet universel en la replaçant dans l’histoire d’une manière non pas du primat mais du fonctionnement du sujet. Ainsi les problématisations du sujet se trouvent dans son rapport à la vérité comme une relation de véridiction, dans son rapport au pouvoir comme une relation de gouvernementalité (de soi et des autres), dans son rapport à soi comme une relation de spiritualité. Ce sont ces trois rapports variables à chaque époque et pour chaque individu qui constituent une généalogie de la question du sujet. Dans ces multiples modalités du sujet, dans cette ontologie historique de nous-mêmes, nous découvrons une sorte de liberté, d’espace du sujet, d’unité de notre subjectivité qui ne peut s’appliquer que de manière individuelle et vigilante. C’est-à-dire, le seul moyen qui peut nous faire sortir du dilemme du sujet, nous permettre de refuser d’être ni le sujet souverain ni l’objet soumis dans l’histoire ou par le langage, c’est de mener ses propres rapports individuels à la vérité, aux autres et à soi. / The foucauldian research on the question of the subject, the subject of knowledge and the subjectivity arise from his early studies of madness in the classical age, to the archeology of the human sciences in the classical period and modern, until his last research unfinished of the parrhesia from antiquity to Christianity. What Foucault discovered in the historical dispositions of the subject is not used to destroy the subjectivity, the will or the freedom individual, but to re-elaborate the traditional question of universal subject by placing it in the history of which the subject is not an alternative element of domination or obedience but a reciprocal element of operation. Thus the foucauldian problematizations of subject can be found in its relation to the truth as a veridiction relationship, in its relation to the power as a governmentality relationship (of self and of others), in its relation to oneself as a spiritual relationship. These three variables relationships for each period and for each individual establish a genealogy of the subject. In these multiple modalities of the subject, in this historical ontology of ourselves, we could find a kind of freedom, a place of the subject, the integrity of subjectivity which can only be applied individually and vigilant manner. That is to say, the only way by which we could get out of the subject's dilemma, by which we could refuse to be neither objective subject nor the subject object in the history or in the language, is to take its own individual relationships to the truth, to others and to oneself.
|
7 |
As provas metaf?sicas da exist?ncia de Deus em Ren? DescartesSouza, Jos? Francisco das Chagas 30 November 2012 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T15:12:17Z (GMT). No. of bitstreams: 1
JoseFCS_DISSER.pdf: 1256025 bytes, checksum: b13bf3161b6b5d7645e1bfa8117bf212 (MD5)
Previous issue date: 2012-11-30 / Le but de cet article est de pr?senter les ?l?ments de preuve de l existence de Dieu pr?sent?e dans les M?ditationes M?taphysiques de Ren? Descartes, en soulignant son importance et son r?le dans le projet philosophique cart?sien. La recherche visait ? comprendre comment Descartes, ?tant um homme de science, la recherche de Dieu dans le pilier et d assurer leur philosophie. Par cons? quence que Descartes propose de remplacer lui promettant de construire une nouvelle science fond?e sur des bases s?res. Ainsi, le texte suit um ordre qu une partie de doute m?thodologique comme um ?l?ment essentiel pour surmonter une connaissance n?e de l incertitude et g?n?ralis?e et d opinions comme ?tant de droite, pour finalement atteindre la v?rit? dans les sciencies, Grace ? la d?couverte Du premier cours, le cogito, moi pensant, alors existantes. Trouv? cette certitude, le sujet qui a en elle l id?e d um ?tre infini qui contient toutes perfections et, comme Il fera la d?monstration de la preuve a posteriori et a priori. Et donc cet ?tre ne peut pas ?tre consid?r? comme inexistant projet assurant Descartes / O presente trabalho tem por meta apresentar as provas da exist?ncia de Deus apresentadas nas Medita??es Metaf?sicas de Ren? Descartes, evidenciando sua import?ncia e seu papel para o projeto filos?fico cartesiano. A pesquisa procurou entender como Descartes, sendo um homem de ci?ncia, buscar? em Deus o sustent?culo e a garantia de sua filosofia. Portanto, antes ser? necess?rio entender que nessa ?poca o conhecimento vive o caos e que Descartes se prop?e substitu?-lo se comprometendo a construir uma ci?ncia nova firmada em bases seguras. Assim, o texto obedece a uma ordem que parte da d?vida como elemento metodol?gico imprescind?vel na supera??o de um saber carregado de incertezas e opini?es e difundido como sendo certo, para, enfim, atingir ? verdade nas ci?ncias, passando pela descoberta da primeira certeza, o Cogito, eu pensante, por isso existente. Encontrada esta certeza, a do sujeito que possui em si a ideia de um Ser infinito que contem todas as perfei??es e, conforme ele ir? demonstrar nas provas a posteriori e a priori. E, por isso, este Ser n?o pode ser pensado como n?o existente garantindo o projeto de Descartes
|
8 |
Filosofen som arkitekt : Subjektivitet och metaforik i Discours de la méthodeLind, Erik January 2014 (has links)
In this paper, I have proposed a way of interpreting the philosophical subject of the Discours de la méthode that has remained relatively unexplored by contemporary commentators. By investigating the subjectivity that is expressed through Descartes’ use of architectural metaphors, I laid bare some of the difficulties inherent in its discursive structure, as well as suggesting that the cogito in fact repeats and inscribes itself into this structure. In this context, the metaphor of the road (or travel) takes a supplementary role in relation to the architectural metaphor, marking the very conditions of existence of the architectonic subject. The subject, in order that it may establish itself as ”pure” and ”independent” thought, is dependent on a certain ”forgetfullness”; that is, only by forgetting its constitutive dependence on the diversity and historicity that is signified by the metaphor of travel, can it establish itself as its own source. A history of philosophy which takes considerations of metaphors and other literary aspects as the center of its inquiry still needs to be written. This paper can be seen as an example of such an investigation.
|
9 |
Méthode et métaphysique chez Descartes / Method and metaphysics in DescartesPaik, Joo-Jin 07 September 2017 (has links)
Descartes inaugure, dans le Regulae, l'idéal d'une science universelle par la méthode. La méthode cartésienne consiste avant tout à résoudre de la manière la plus parfaite possible les questions. Pour cela, il faut que l'esprit fonde sa solution sur l'expérience du réel tout en assurant qu'elle soit la solution la plus efficace possible. Dans ce sens, la méthode de Descartes comporte déjà un caractère métaphysique, car la recherche de la solution la plus efficace ne se sépare pas de la recherche d'une réalité absolue. La métaphysique cartésienne, étant le lieu où cet idéal de la méthode se réalise le mieux, fonde cette méthode sur l'expérience de la réalité absolue. Le cogito, ergo sum illustre le pouvoir de l'esprit de s'orienter par une expérience intérieure de l'esprit sur soi. Mais pour que ce pouvoir de l'esprit devienne une force productive du vrai, il faut que l'esprit participe à la puissance de Dieu tout en gardant son indépendance. Ainsi, la méthode s'étend jusqu'au fond de la métaphysique, si bien qu'elle devienne constitutive de l'unité de la métaphysique elle-même. / Descartes inaugurated, in the Regulae, the ideal of a universal science by method. The Cartesian method consists above all of solving the questions in the most perfect way possible. To do this, the mind must base its solution on the experience of the real while ensuring that it is the most effective solution possible. In this sense, Descartes' method already has a metaphysical character, for the search for the most effective solution is not separated from the search for an absolute reality. Cartesian metaphysics, being the place where this ideal of method is best realized, bases this method on the experience of absolute reality. The cogito, ergo sum illustrates the power of the mind to orient itself through an inner experience of the mind on oneself. But for this power of the mind to become a productive force of truth, the mind must participate to the power of God, while remaining independent. Thus the method extends to the heart of the metaphysics, so that it becomes constitutive of the unity of metaphysics itself.
|
10 |
Mallarmé : littérature et philosophie au XXème siècle : évanouissement du sujet, évanescence du monde et éventail des concepts / Mallarmé : literature and philosophy in the twentieth century : fainting of the subject, evanescence of the world and range of conceptsChokeepermal, Kendy 04 December 2015 (has links)
L’objectif de ce travail est de mettre en exergue non seulement la réception philosophique des écrits de Mallarmé ayant eu lieu dans les années 1950, 1960 et 1970, mais aussi le facteur qui agit en eux comme un moteur de production théorique. La poétique mallarméenne est un mouvement de production de nouvelles possibilités, que nous appelons des potentialités représentationnelles, qui sont des inventions fictives du langage poétique ouvrant la voie à de nouvelles dispositions linguistiques et à de nouvelles possibilités de représentation. La poétique de Mallarmé est doublement inventive : dans le langage lui-même, et dans la réception théorique comme moteur de production. Pour rendre compte du facteur hautement productif du langage poétique mallarméen, nous introduisons la notion de virtualité dans notre étude, qui se manifeste dans une dynamique insaisissable où aucun sens unique et déterminé ne peut s’établir. Ainsi, les potentialités représentationnelles sont multiples et irréductibles à quelque unité atomique déterminée. Toute tentative de réduction qui tend à rompre le mouvement des potentialités compromet la poéticité chez Mallarmé. Nous montrons, en ce sens, que si le langage poétique mallarméen donne lieu à une production théorique à travers des lectures philosophiques, il ne se laisse pas encercler et déterminer par celles-ci, mais maintient une continuité dynamique des potentialités. / This work’s aim is to draw attention not only to the philosophical reception of Mallarmé’s writings during 1950’s, 1960’s and 1970’s, but also to the factor which acts as an engine of theoretical production in them. Mallarmé’s poetics is a production movement of new possibilities, which we call representational potentials, which are fictional inventions of the poetic language, opening on new linguistic layouts and on new representational possibilities. Mallarmé’s poetics is twice inventive : in the language itself, and in the theoretical reception, as an engine of production. To give account of the highly productive factor of Mallarmé’s poetics, we introduce the concept of virtuality in our study, which expresses itself in an elusive dynamic, where no unique and specific sense can establish itself. Thus, the representational potentials are multiple and irreducible to some specific atomic unity. Any reduction attempt stretching to break the movement of the potentials compromises Mallarmé’s poetics. We show, in that direction, that if the poetic language gives way to a theoretical production through the philosophical readings, it does not get surrounded, nor determined by these readings, but maintains a dynamic continuity of the potentials.
|
Page generated in 0.0439 seconds