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Solitude et sociétés contemporaines : une sociologie de la connaissance du solitaire

Doucet, Marie-Chantal January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le progrès développemental de la connaissance des nombres au préscolaire en tant que prédicteur de la réussite en mathématiques à la fin de la première année du primaire

Muñoz Ferrada, Milenka January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
103

Nietzsche : généalogie, culture, parole

Ross-Trempe, Antoine January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
104

Le problème de Molyneux chez Condillac

Giguère, Francis January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
105

La construction sociale de l'altérité soi et les autres en milieu rural

Parent, Frédéric January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Undo the math : Managerial and organizational cognition theoretical and practical implications of cross-cultural and cross-disciplinary semiotic gaps / Implications théoriques et pratiques des fossés sémiotiques entre disciplines ou cultures sur la cognition managériale et organisationnelle

Idelson, Marc 14 September 2011 (has links)
Dans une étude critique, s'appuyant sur l'analyse aristotélicienne du langage (Aristote, 2000a; Benveniste, 1966), sur l'émergence historique de ce que (Crosby, 1997) appelle la mentalité pentamétrique de la société moderne, sur l'exposé anthropologique de (Jorion, 2009) de l'invention par l'Occident des concepts de Vérité et de Réalité (objective), et, s’inspirant, sur un plan plus limité, des incursions dans la pensée chinoise du philosophe helléniste Jullien (Jullien, 1995, 2009), il est démontré que les nombres, l'espace et le temps sont des constructions sociales sémiotiques ; et exposé que les méthodes philologiques, en révélant les fossés sémiotiques (Cruse, 2004; Lyon, 1995), apportent un éclairage absent des études multiculturelles traditionnelles (Hofstede, 1983; Maison, Hanges, Javidan, Dorfman, et Gupta, 2006). De là, sont mis en avant les bien-fondé de (a) l'exercice du doute de soi, de l'ouverture d'esprit, et de la capacité de désapprendre dans les contextes interculturels et interdisciplinaires, et de (b) la prise de conscience des fossés sémiotiques entre cultures et entre disciplines et leur impact sur la cognition des individus, des équipes, des groupes et des organisations. Ancré épistémologiquement dans la réfutabilité poppérienne (Popper, 2002) et le paradigme kuhnien du progrès scientifique (Kuhn, 1996), partant du traité sociologique sur la confiance sociétale en les nombres (Porter, 1995), l’auteur se joint au débat sur la nature des sciences sociales. Ces constats empiriques éclairent l’activité de modélisation dans les sciences sociales. Exposant que la qualité de construction sociale des mathématiques (Berger & Luckmann, 1966b; Jorion, 2009) est en pratique ignorée à la fois par les chercheurs en sciences sociales et les praticiens des affaires, sont évoquées (a) la façon dont la théorie physique post-newtonienne avance en construisant de nouvelles algèbres, et (b) les alternatives théoriquement licites à l'arithmétique de Péano et la géométrie euclidienne qui n'ont pas été explicitement rejetées ou considérées dans les modélisations sociales. Des tentatives indépendantes et superficiellement paradoxales de théorisation des organisations avec divers outils mathématiques —en particulier (Bitbol, 2009; Donaldson, 2010)— sont ensuite conciliées. Puis, des principes de développement d’un corpus mathématique phénoménologiquement fondé et spécifique aux sciences sociales sont exprimés. Ensuite, est exposé comment une double perspective de réseaux sociaux, appliquée conjointement aux niveaux sémantique et culturel, peut utilement étendre l'analyse qualitative de discours. Pour illustrer les implications pratiques de cette thèse, un terrain fertile est retenu ; une méthodologie d’intégration post-fusion de la connaissance organisationnelle sans perte d'information, proposée. Jouant du rôle particulier des énumérations, des informations spatiales, et des informations temporelles dans le discours et la langue occidentaux (Aristote, 2000a; Benveniste, 1966), une méthodologie, qui s'appuie à la fois sur la normalisation de base de données du domaine des systèmes d’information (Codd, 1970, 1972, 1974; Date, Darwen, & Lorentzos, 2003; Fagin, 1977, 1979, 1981) et du modèle dynamique de création de connaissances SECI (Nonaka, 1994) du domaine de la gestion des connaissances en sciences de gestion, est décrite. Cette méthodologie, baptisée Archinormalisation par l’auteur, introduit le concept sociologiquement ancré d’Entité sans Attribut.Enfin, de nouvelles voies de recherche sont évoquées / In a critical management study, drawing on Aristotelian analysis of language (Aristotle, 2000; Benveniste, 1966), (Crosby, 1997)’s historical analysis of the emergence of what he coins modern society’s pentametric mentalité, (Jorion, 2009)’s anthropological exposition of the West’s invention of Truth and (objective) Reality, and following, albeit with a much more limited scope, in the footsteps of Hellenist philosopher Jullien’s forays into Chinese thought (Jullien, 1995, 2009), numbers, space and time are revealed as semiotically-grounded social constructs and philological methods —revealing semiotic gaps (Cruse, 2004; Lyons, 1995)— shed light unmatched by past multicultural surveys (Hofstede, 1983; House, Hanges, Javidan, Dorfman, & Gupta, 2006).From this, are defended the merits of exercising self-doubt, open-mindedness, and unlearning capability, whilst in cross-cultural and crossdisciplinary contexts, and awareness of cross-cultural and cross-disciplinary cognitive gaps at the individual, team, group and organizational levels.Anchored epistemologically in Popperian falsifiability (Popper, 2002), Kuhnian scientific progress (Kuhn, 1996) and Porter’s sociologicaltreatise on our trust in numbers (Porter, 1995), the author joins the debate on the nature of social science. What this thesis’ empirical findings reveal in the context of mathematically supported model-building in the realm of social science is explored; that social scientists and business practitioners model-building is blindsided to the socially constructed nature of mathematics (Berger & Luckmann, 1966; Jorion, 2009) is pondered; how post-Newtonian theoretical physics builds new theory by building new math is evoked; mathematically sound alternatives to Peano arithmetic and Euclidean geometry that have not been explicitly dismissed or considered by social scientists is exposed; independent and superficially paradoxical attempts to theorize organizations with various bodies ofmathematics are reconciled —notably (Bitbol, 2009; Donaldson, 2010); and development principles towards a phenomenologicallygrounded mathematics corpus are yielded. Next, how a social network perspective applied conjointly at the semantic and cultural levels of analysis may usefully extend and bring insights to standard qualitative content analysis is put forward. To illustrate the practical implications of this thesis, one fertile ground is focused upon and a loss-less method to merge indwelled information systems is posited. Empirically illustrating the Aristotelian breakdown of language into its component parts (and the special role numbers, space, and time play in Western discourse and language), a methodology is described for nonloss post-merger integration of organizational knowledge that builds both on (Codd, 1970, 1972, 1974; Date et al., 2003; Fagin, 1977, 1979, 1981) database normalization from the field of Information Management in Computer Science, and on (Nonaka, 1994)’s SECI dynamic model of knowledge creation fromthe field of Knowledge Management in Business Administration Studies. This methodology, coined Archnormalization by the author,introduces the sociologically-grounded concept of Attribute-free Entities. Finally, further avenues of research are outlined that ultimately lie beyond the scope of this thesis.
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La Notion de nullité / The concept of nullité

Le Faou-Villarbu, Valérie 12 December 2013 (has links)
Dans sa définition traditionnelle, c'est-à-dire définie comme la sanction des conditions de formation des actes juridiques, la nullité est entièrement construite autour de la figure de l’autorité et du pouvoir. La rétroactivité de la nullité pouvant s’analyser d’ailleurs comme une manière d’asseoir cette autorité. Cette conception demeure nous semble t-il prisonnière du fondement de l’inexistence : il s’agit de faire comme si l’acte n’avait jamais existé ; d’anéantir l’acte. Les Modernes n’ont pas réussi à se défaire complètement de cette vision qui témoigne d'une analyse réductionniste du droit. Lorsqu’ils raisonnent en termes de validité, ils ne raisonnent qu’en termes de validité formelle. La validité se définissant dès lors comme le mode spécifique d'existence des normes semble devoir être rattachée à la logique de l'impérativité alors qu'elle reposait chez JAPIOT sur la logique de l'ordre public ce qui lui conférait une certaine souplesse. Associée à l’idée d’autorité, d’impérativité, de pouvoir la nullité semble une figure appartenant au passé tant la planète contractuelle dominée par la pluralité semble désormais attirée vers la flexibilité. L’introduction du concept de « nullité partielle » n’a guère remporté le succès escompté et nécessaire pour renverser cette tendance. Les sanctions dites alternatives à la nullité se sont multipliées afin de palier l’incapacité de la nullité à rendre compte des transformations de notre droit. Et pourtant, définie non plus comme une sanction mais comme une norme de reconnaissance, la nullité apparaît non seulement comme un outil particulièrement souple - et donc adapté à notre modernité - mais comme le seul véritable instrument de justice contractuelle. / Abstract
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Sociologie de la connaissance du chiisme dans l'espace des savoirs sur l'Iran en France (1947-2010) / The sociology of knowledge of Shiism in the space of knowledge on Iran in France (1947-2010)

Ayaz, Morvarid 12 January 2018 (has links)
Dans l’espace des savoirs sur l’Iran, les énoncés concernant sa dimension religieuse ne sont pas rares. Au contraire, cet espace déborde de travaux qui ont, soit la religion pour objet principal d’analyse, soit une place primordiale pour la religion en en faisant le facteur par excellence de la compréhension de la société, de la culture et de la politique iraniennes. Reconnu en tant qu’une tradition spirituelle, ésotérique et mystique de l’islam dans la période de l’institutionnalisation des études iraniennes, en France, le chiisme fait objet de controverses intellectuelles après sa mise en action par les révolutionnaires de 1978-1979 et l’instauration de la République islamique d’Iran. Dépassant les cadres interprétatifs sclérosés de la connaissance du chiisme par les philosophes, les spécialistes des sciences religieuses et ceux de la civilisation iranienne, ce sont désormais les praticiens en sciences sociales qui prennent le relais pour la formation des discours scientifiques à ce sujet. Cette bifurcation d’objet, liée autant aux faits qu’aux orientations épistémiques, didactiques et idéologiques, va de pair avec l’agir de la conjoncture sociopolitique sur les conditions de possibilité du savoir pour que la problématisation de la question du chiisme constitue un éventail difficile et imprévisible. En partant d’une approche constructiviste, cette thèse entend donner à voir les composants scientifiques mais aussi extrascientifiques qui orientent la problématisation du chiisme dans l’espace des savoirs sur l’Iran en France de 1947 à 2010. / Since the establishment of renewed Iranian Studies in Post-War period, the academic study of Iran has been growing abundantly in France. In this scientific space of knowledge, the question of “shi’isme” has been evoked prominently through philosophical and spiritual patterns since it became more controversial after the revolution of 1979 and the revival of “shi’isme” as an ideological mean of defying the imperial regime. This led to an epistemological and institutional rupture related to different theoretical and methodological patterns within disciplines and thought systems associated with the construction of “shi’isme” as an object of scientific enquiries. The rise of intellectual controversies between spiritual and historicized frameworks that oriented the production of discourses on “shi’isme” challenges the scientific and epistemological patterns of knowledge construction, as well as ideological and socio-political ones. This study attempts to provide a constructivist approach to the advent and the evolution of scientific discourses on “shi’isme” in France from 1947 to 2010, through a socio-historical viewpoint of the sociology of knowledge. Institutional patterns, epistemological criteria and sociological components will be put together to illustrate a comprehensive mapping of discourse structuration on “shi’isme” in the French space of knowledge on Iran.
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L’exégèse médiévale et le mépris du savoir mondain / Medieval Exegesis and the Contempt of Secular Learning

Boffy, Hedwige 29 January 2015 (has links)
À partir du constat de l'importance de l'argumentation scripturaire dans le discours du mépris du savoir mondain au Moyen âge et de la récurrence des versets employés, compte tenu de la dynamique intertextuelle ouvrant la citation sur sa tradition interprétative, notre thèse a pour but d'éclairer la signification de ce discours à travers le prisme exégétique. L'étude des commentaires bibliques médiévaux d'un corpus significatif, mettant en lumière pour chaque verset les perspectives de lecture retenues et les développements sémantiques opérés, permet alors une exploitation thématique transversale, caractérisant l’objet et la justification du mépris en question, dont la compréhension des différentes manifestations s'appuie ainsi sur l’apport du savoir sacré. Le recours à l’exégèse, inscrivant dans une continuité l’effort d’élucidation de l’expression biblique de la limitation de l'entendement humain, de la vanité de la science, de la réprobation des sages et de l’éviction de la sagesse de la parole dans la folie de la croix, permet d’appréhender de manière privilégiée, au cœur d’une confiance paradoxale dans le langage, les ressorts de la critique médiévale du dévoiement du savoir dans sa réception de l’héritage patristique et dans son orientation vers la connaissance salvifique. / Aknowledging as a key feature the recurrence of biblical verses within the argumentation conveyed by the medieval contempt of secular learning, given that the use of Scripture in the Middle Ages implies intertextual developments through exegesis, we offer to the understanding of this contempt the light of the medieval biblical commentaries upon a selection of preponderant verses. From the examination of the hermeneutical choices and semantic associations regarding each verse, we are then allowed to extend its contribution to an overview of this medieval approach towards knowledge and of its explanatory topics. The issues of secular versus sacred erudition are therefore received in a meaningful confrontation. By taking medieval exegesis as a reading key, from its insertion within a collective and progressive work of interpretation of Scripture, we offer to read the critic of the errance of knowledge in the Middle Ages in its reception of the patristic problematics and through the anagogical paradigm ; the biblical themes of the deficiency of human understanding, of the paucity and vanity of knowledge, and of the condemnation of the wise and of the wisdom of words in the foolishness of the Cross are then read through the paradoxical expression of the reliability of language.
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Ação e conhecimento em Aristóteles: estudo da acrasia a partir da Etica Nicomaqueia / Action et connaissance chez Aristote: étude de la acrasie à partir de l\'Ethique à Nicomaque

Faustino, Dioclézio Domingos 14 February 2014 (has links)
Esta dissertação consiste em um estudo sobre a acrasia como um problema filosófico a partir da ética de Aristóteles. Diferente de Sócrates que negava a existência da acrasia no campo moral, Aristóteles consagrará a quase totalidade do livro VII da Ética Nicomaqueia ao estudo desse tema. Para Sócrates se o agente conhece a regra moral, ele agirá conforme esse conhecimento, caso o indivíduo aja diferentemente ao que a regra moral determina é porque, então, ele não possuía verdadeiramente o conhecimento moral. Aristóteles, por sua vez, defende que o acrático age contrariamente a sua deliberação, àquilo que julga como sendo o melhor a ser feito. A partir desse quadro, analisamos a crítica aristotélica à tradição socrática e os argumentos de Aristóteles em defesa da existência da acrasia. / Cette dissertation est une étude sur acrasie comme un problème philosophique à partir de l\'éthique d\'Aristote. Contrairement à Socrate, qui a nié l\'existence de la acrasie dans le domaine moral, Aristote consacre une grande partie de le livre VII de lÉthique à Nicomaque pour l\'étude de ce sujet-là. Pour Socrate, si l\'agent sait la règle morale, il agira selon cette connaissance, si l\'individu agit différemment de ce qui détermine la règle morale est parce qu\'alors il ne possède pas vraiment la connaissance morale. Aristote, à son tour, soutient que lhomme acratique agit contrairement à sa décision à ce quil juge être le mieux à faire. Dans ce cadre, nous analysons la critique aristotélicienne de la tradition socratique et les arguments d\'Aristote dans la défense de l\'existence de lacrasie.

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