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Bretagne et Bourgogne. Les relations politiques de deux États princiers à la fin du Moyen Âge 1364-1491 / Relationship between breton and burgond states at the end of the Middle-Ages

Guihard-Lefeuvre, Gaël 27 November 2015 (has links)
Cette étude porte sur les relations nouées pendant près de cent trente ans entre deux États princiers du Moyen Âge en construction, la Bretagne et la Bourgogne. Elle s’intéresse au contenu de ces relations, mais également aux moyens et aux hommes utilisés pour les mettre en œuvre. Limitée au domaine politique, elle examine pas moins tout ce qui peut influencer les décisions politiques, en particulier les échanges commerciaux et militaires. La guerre de Cent ans, le conflit entre les Armagnacs et les Bourguignons, le développement des structures étatiques de chacune des principautés puis l’affirmation, à partir de la seconde moitié du XVe siècle, d’une royauté bien décidée à mettre au pas les principautés, en constituent l’arrière-plan. Trois périodes s’en dégagent. La première correspond au règne de Philippe le Hardi (1364-1404). En tissant des liens avec les différentes factions qui se disputent le pouvoir en Bretagne, ce duc de Bourgogne, héritier des comtes de Flandre, parvient à s’imposer comme l’arbitre des conflits bretons, puis comme le régent du duché en 1402. La deuxième pose la question du comportement du duc de Bretagne et de son entourage dans la guerre entre les Armagnacs et les Bourguignons (1404-1435). Elle montre comment les ducs de Bourgogne et de Bretagne établissent alors une alliance durable, qui constitue un des points les plus fixes de leur politique extérieure. Enfin, durant la dernière période (1435-1491), la royauté française reprend de la vigueur. Les ducs de Bretagne et de Bourgogne doivent resserrer leur alliance pour faire face au roi. Celle-ci obtient quelques beaux succès, mais se disloque toujours à l’épreuve de la guerre. / This study covers a period of almost 130 years of relations between Brittany and Burgundy, two princely states developing in the Middle Ages. It focuses both on the content of these relations and on the means and men that helped establish them. While the primary focus is on politics, the study also takes a look at anything that might influence political decisions, particularly trade and military connections. The backdrop for this study is provided by the 100-year war, the Armagnac-Burgundian civil war, the development of a state apparatus in each of theses principalities and, starting in the middle of the 15th century, the growing influence of a crown intent on bringing the principalities to heel. Three periods need to be distinguished. The first period corresponds to the reign of Philip the Bold (1364-1404), duke of Burgundy, heir to the counts of Flanders. Philip the Bold forged ties with the various factions fighting for power in Brittany and thereby managed to establish himself as the arbiter in the conflicts in Brittany, and then as the regent of the dukedom in 1402. The second period covers the Armagnac-Burgundian civil war and looks at the dealings of the duke of Brittany and his entourage. The dukes of Burgundy and Brittany formed a lasting alliance, which constituted one of the most stable elements of their foreign policies. The last period (1435-1491) saw the French crown reassert its power. The dukes of Brittany and Burgundy were forced to tighten their alliance in order to confront the king. The alliance brought them some diplomatic success, but never stood the test of war.
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Le gouvernement collaborateur de Wang Jingwei : aspects de l’État d’occupation durant la guerre sino-japonaise, 1940-1945. / The collaborating government of Wang Jingwei : aspects of the state of occupation during the Sino-Japanese War, 1940-1945.

Serfass, David 20 November 2017 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier le gouvernement collaborateur dirigé par Wang Jingwei (1940-1945) à la croisée de deux trajectoires : celle de l’État chinois moderne et celle de l’Empire japonais. Au-delà d’un approfondissement des connaissances sur l’occupation japonaise en Chine, mon travail ambitionne d’enrichir le champ des études sur l’État lui-même. Une telle approche ne va pas de soi, tant le caractère « fantoche » attribué à ce régime par l’historiographie chinoise l’a longtemps isolé du reste de la période et cantonné à une histoire des tenants idéologiques de la collaboration. Sans évacuer cet aspect, mon approche consiste à l’inscrire dans une étude politique et sociale du gouvernement et de l'administration, afin de saisir le fonctionnement réel de la machine étatique en zone occupée. Pour ce faire, je développe le concept d’État d’occupation, qui désigne l’ensemble formé par les organisations japonaises (institutions militaires et civiles) et chinoises (gouvernements collaborateurs locaux), établies afin d’administrer la Chine occupée. La construction de cet État, qui visa, à partir de 1940, à intégrer ces organisations derrière la façade du gouvernement de Wang Jingwei, fut détournée par des logiques de formation, nées des contradictions entre ses différents acteurs. Ce processus est examiné en adoptant des focales différentes. La première partie étudie la mise en place de l’État d’occupation du point de vue japonais, en montrant l’impact qu’eurent, l’un sur l’autre, centre et périphérie au sein de l’Empire nippon. Je reviens ensuite sur la genèse de cet État d’occupation, jusqu’à la formation du gouvernement de Wang Jingwei. La deuxième partie réduit la focale pour s’intéresser à l’organisation particulière de ce dernier, dont la spécificité, par rapport aux autres régimes collaborateurs, provenait de l’ambition qu’avait le groupe de Wang de restaurer le Gouvernement nationaliste légitime dans le cadre d’un « retour à la capitale ». La troisième partie, enfin, se penche sur le cas de la fonction publique en zone occupée, dont le cadre institutionnel et idéologique est mis en regard avec les conditions de vie des agents. / This dissertation studies the collaboration government headed by Wang Jingwei (1940-1945) at the crossroads of two trajectories: those of China’s modern state and Japan’s Empire. More broadly, my work aims at enriching the field of state-building research. Such an approach may seem counter-intuitive, as this regime is still labelled a "puppet" by Chinese historiography, which has cast it aside from the rest of the period and confined it to an ideological history of collaboration. I consider it within the context of a political and social study of government and administration, which tries to grasp the real functioning of the state machine in the occupied zone. For this purpose, I develop the concept of occupation state, i.e. a larger apparatus than the sole collaboration regimes, which included Japanese military and civilian agencies as well as Chinese local governments. From 1940 on, the state-building process aimed at integrating these organizations behind the façade of the Wang Jingwei government. However, it was diverted by a formation process, which resulted from the contradictions between its different actors. I explore this process from three different angles. The first part studies the establishment of the occupation state from the Japanese point of view, showing the mutual impact of centre and periphery within the Japanese Empire. Then, it follows the genesis of the occupation state up to the establishment of the Wang Jingwei government. The second part focuses on the experience of the latter, whose specificity, compared to other pro-Japanese regimes, was the ambition of the Wang group to restore the legitimate nationalist government as part of a "return to the capital". Thirdly, I look at the administrative personnel’s institutional and ideological framework as well as their living conditions.
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La Commission royale d’enquête sur la fonction publique de 1907-1908 : un projet de réforme libérale de l’appareil administratif canadien

Carrière, Julien 07 1900 (has links)
La réforme de la fonction publique de 1908 constitue un moment décisif dans le développement de l’appareil étatique canadien. En effet, elle rejette un système jusque-là fondé sur le favoritisme, pour introduire les principes du mérite, de l’indépendance et de la neutralité des fonctionnaires, principes qui régissent encore aujourd'hui la fonction publique canadienne. Ces changements se produisent à la suite d’une longue réflexion sur la nature de la fonction publique, amorcée au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, qui trouve largement écho dans le monde anglo-américain, mais qui s’est souvent butée à l'intérêt des politiciens pour le statu quo. Même si les grandes idées de réforme de la fonction publique sont connues, voire acceptées par certains dès les années 1870, ce n’est qu’à la suite du dépôt du rapport de la commission royale d’enquête de 1907-1908 que les politiciens y acquiescent en pratique et entreprennent des changements majeurs, en 1908. Le mémoire s’intéresse plus précisément à cette commission royale d’enquête de 1907-1908 et à la réforme législative qui s'ensuit, en 1908, épisode méconnu de l'histoire politique canadienne et assez peu documenté. L’étude cherche tout d’abord à déterminer le contexte politique et idéologique présidant à la création de cette commission d’enquête, puis en examine les travaux en profondeur afin de démontrer comment ses constats et recommandations ont poussé le gouvernement canadien à réformer la fonction publique et les principes directeurs qui en guident l'action. Cela fait, nous analyserons les différents éléments de la réforme elle-même, dans le but de voir comment elle rompt avec les conceptions qu'on entretient jusque-là et comment elle s’inscrit dans un nouveau cadre idéologique, produit d’une vision libérale de l’État. / The 1908 reform of the civil service marked a turning point in the development of the Canadian State, as it rejected a system based until then on patronage and introduced the principles of merit, independence and neutrality of civil servants, principles that remain grounding forces of today’s civil service. These changes occurred after a long reflection over the nature of the civil service. Such reflection, which resonates with the Anglo-American world, took place over the course of the latter half of the 19th century, though it was often obstructed by a politically favoured status quo. Although ideas for reforming the civil service were put forward by some as early as in the 1870s, it is only with the report of the Royal Commission of Inquiry 1907-1908 that politicians were finally willing to undertake a comprehensive reform, in 1908. Our thesis focuses on this Royal Commission of Inquiry and on the legislative reform that followed, in 1908, events that have drawn little attention from political historians and are rather underdocumented. Our first aim is to explain the political and ideological context surrounding the creation of this commission. We then analyze how it came to its observations and recommendations, which in turn led the Canadian government to reform the civil service as well as its guiding principles. We then scrutinize the various elements of the reform itself, with a view to showing how it broke free from the beliefs of the time and embraced a new ideological framework, the product of a liberal vision of the State.
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La Commission royale d’enquête sur la fonction publique de 1907-1908 : un projet de réforme libérale de l’appareil administratif canadien

Carrière, Julien 07 1900 (has links)
La réforme de la fonction publique de 1908 constitue un moment décisif dans le développement de l’appareil étatique canadien. En effet, elle rejette un système jusque-là fondé sur le favoritisme, pour introduire les principes du mérite, de l’indépendance et de la neutralité des fonctionnaires, principes qui régissent encore aujourd'hui la fonction publique canadienne. Ces changements se produisent à la suite d’une longue réflexion sur la nature de la fonction publique, amorcée au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, qui trouve largement écho dans le monde anglo-américain, mais qui s’est souvent butée à l'intérêt des politiciens pour le statu quo. Même si les grandes idées de réforme de la fonction publique sont connues, voire acceptées par certains dès les années 1870, ce n’est qu’à la suite du dépôt du rapport de la commission royale d’enquête de 1907-1908 que les politiciens y acquiescent en pratique et entreprennent des changements majeurs, en 1908. Le mémoire s’intéresse plus précisément à cette commission royale d’enquête de 1907-1908 et à la réforme législative qui s'ensuit, en 1908, épisode méconnu de l'histoire politique canadienne et assez peu documenté. L’étude cherche tout d’abord à déterminer le contexte politique et idéologique présidant à la création de cette commission d’enquête, puis en examine les travaux en profondeur afin de démontrer comment ses constats et recommandations ont poussé le gouvernement canadien à réformer la fonction publique et les principes directeurs qui en guident l'action. Cela fait, nous analyserons les différents éléments de la réforme elle-même, dans le but de voir comment elle rompt avec les conceptions qu'on entretient jusque-là et comment elle s’inscrit dans un nouveau cadre idéologique, produit d’une vision libérale de l’État. / The 1908 reform of the civil service marked a turning point in the development of the Canadian State, as it rejected a system based until then on patronage and introduced the principles of merit, independence and neutrality of civil servants, principles that remain grounding forces of today’s civil service. These changes occurred after a long reflection over the nature of the civil service. Such reflection, which resonates with the Anglo-American world, took place over the course of the latter half of the 19th century, though it was often obstructed by a politically favoured status quo. Although ideas for reforming the civil service were put forward by some as early as in the 1870s, it is only with the report of the Royal Commission of Inquiry 1907-1908 that politicians were finally willing to undertake a comprehensive reform, in 1908. Our thesis focuses on this Royal Commission of Inquiry and on the legislative reform that followed, in 1908, events that have drawn little attention from political historians and are rather underdocumented. Our first aim is to explain the political and ideological context surrounding the creation of this commission. We then analyze how it came to its observations and recommendations, which in turn led the Canadian government to reform the civil service as well as its guiding principles. We then scrutinize the various elements of the reform itself, with a view to showing how it broke free from the beliefs of the time and embraced a new ideological framework, the product of a liberal vision of the State.
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Contributions de la Chine et de la Francophonie dans la consolidation de la paix en Afrique Francophone : les cas du Mali, de la Côte d'Ivoire et du Sénégal / Contributions of China and the International Organization of La Francophonie (IOF) to peace-building in French-speaking Africa : the cases of Mali, Ivory Coast and Senegal / 中国与法国国家组织在法语非洲建设和平中的贡献,以马里,科特迪瓦与塞内加尔为例

Meng, Jin 26 September 2016 (has links)
Paix et sécurité en Afrique conditionnent la durabilité de la coopération sino-africaine et préoccupent les pays membres de la Francophonie. La récurrence des conflits freinant le décollage des pays africains engage les acteurs internationaux de différentes natures, États-nations comme organisations internationales. Chine et Francophonie contribuent de manière différente au processus de paix en Afrique francophone. Malgré les écarts existant entre leurs visions et entre leurs approches, des complémentarités sont explorées dans la consolidation de la paix, dont la multi-dimensionnalité exige l’implication d’acteurs divers. La consolidation de la paix représente également un prisme pertinent pour observer l’évolution de la diplomatie chinoise et les particularités de la Francophonie comme organisation transnationale. Mettre l’une sous le regard de l’autre nous permet de mieux examiner les singularités et les similitudes de leurs perceptions et leurs mécanismes d’action. De quelles manières Chine et Francophonie s’impliquent-elles dans la consolidation de la paix ? Comment abordent-elles les notions de paix et de conflits dans leurs réflexions ? Comment les Africains perçoivent-ils leurs approches respectives ? Ces interrogations conduisent à exploiter les pensées chinoises et les courants théoriques occidentaux, sans oublier les réalités et les attentes africaines révélées par les entretiens de terrain. / Peace and security in Africa both condition the durability of Sino-African cooperation, a reason for concern to the member-states of IOF. Recurring conflicts hinder the take-off of African countries, and demand the commitment of international actors of various kinds, nation states as well as IGOs. China and IOF both contribute to the peace process in French-speaking Africa in different ways. Beyond the gap in their respective visions as well as their approaches, thinking should be elaborated about complementarities in peace-building, the multi-dimensional characteristics of which require involvement by diverse actors.The peace-building process provides a relevant prism for studying changes in Chinese diplomacy, and the specific features of IOF as a transnational organization. Submitting them to mutual scrutiny gives us keener insights on the peculiarities and similarities in their perceptions and operative mechanisms.How China and IOF do they engage in the peace-building? How do they approach the notions of peace and conflicts in their own representations? How do the Africans perceive their respective approaches? This inquiry is correlated to the best of Chinese thinking and Western theoretical trends, without forgetting African realities and expectations as evidenced through our field interviews. / 非洲和平与安全问题是中非合作持久发展的前提条件,也是法语国家组织成员国的共同忧患。反复爆发的冲突成为非洲国家崛起的障碍。这使民族国家和国际组织积极介入其中。中国和法语国家组织以不同方式为非洲法语国家和平进程作出贡献。建设和平的多维性需要不同行为体的介入, 它们的视角和方案虽有所差别,但我们有必要对其政策的互补性进行研究。建设和平不仅为我们的研究提供了观察中国外交政策演变的独特视角,而且充分体现了法语国家组织作为跨国际组织的特殊性。通过中国与法语国家组织的换位分析,我们能更有效地审视它们认知层面和行动机制的特点,同时凸显出两者的共通之处。非洲国家冲突的根源有哪些?建设和平的关键是什么?中国和法语国家组织如何介入其中 ? 它们怎样解读和平与冲突的概念?如何看待民主与发展的关联性?如何定义在非洲法语国家建设和平政策的重点?非洲政府与民众对其政策有何看法?为了思考这些问题,我们以中国传统与现代思想和西方理论流派为分析工具,以非洲实地采访作为研究支撑,进行深入探讨。

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