• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 7
  • 7
  • 3
  • Tagged with
  • 17
  • 11
  • 10
  • 8
  • 7
  • 6
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

La politique monétaire optimale : analyse du critère de bien-être sous ciblage d'inflation et sous ciblage des prix

Lazzarou, Chaimae 11 November 2023 (has links)
Dans ce mémoire, on investigue les réponses des variables et du niveau de bien-être social suite à différents chocs/changements de paramètres sous deux régimes : le ciblage d'inflation (« Inflation Targeting », IT) et le ciblage des prix (« Price Targeting », PT). Dans le cadre d'un nouveau modèle néokeynésien, modèle adopté par les banques centrales et la majorité des études scientifiques dans l'étude des politiques monétaires, la perte en bien-être sous PT est plus faible et robuste aux chocs à la demande, technologique, monétaire et au coût de la production ainsi qu'aux différentes valeurs de l'élasticité de Frisch et de la rigidité des prix. Autre résultat probant de l'étude menée, les anticipations rationnelles constituent un élément fort de la crédibilité et réussite du régime de ciblage des prix. Les réactions des variables sont atténuées et le bien-être quant à lui s'améliore considérablement. Toutefois, les deux politiques imposent un compromis aux décideurs : choisir entre la stabilité de la production et la stabilité de l'inflation.
12

Ciblage d'inflation et règles budgétaires dans les pays en développement: Interactions et Conséquences macroéconomiques

Tapsoba, René 25 June 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse s'intéresse au rôle du Ciblage d'inflation (CI) et des règles budgétaires (RBs), ainsi qu'à celui de leurs interactions, sur l'environnement macroéconomique. Après avoir posé les bases conceptuelles et empiriques de ces deux cadres de politique basés sur des règles (Chapitre 1), la thèse met en évidence de nouveaux résultats relatifs à leurs conséquences macroéconomiques. Premièrement, l'adoption du CI permet d'attirer plus d'investissements directs étrangers dans les pays en développement (Chapitre 2). Deuxièmement, dans ces pays, l'adoption du CI incite fortement les gouvernements à entreprendre des réformes destinées à améliorer la qualité des institutions (Chapitre 3). Troisièmement, l'introduction des RBs numériques au niveau national constitue un remède crédible contre l'indiscipline budgétaire, surtout dans les pays politiquement stables et avec un grand nombre de RBs en place. Mais cet effet disciplinaire des RBs diminue avec la durée de temps consécutive à leur adoption et est affaibli en présence de RBs supranationales et dans les pays à gouvernement fragmenté. Plus intéressant, cet effet varie en fonction du type de règles : tandis que les règles de solde budgétaire et les règles de dépense exercent un effet disciplinaire sur la conduite de la politique budgétaire, l'effet des règles de dette s'avère statistiquement non significatif (Chapitre 4). Les trois derniers chapitres de la thèse analysent le rôle de l'interaction entre le CI et les RBs, et dans une plus grande mesure de l'interaction entre les autorités monétaires et budgétaires. Le premier résultat qui en découle est que le CI, qui est un cadre de conduite de la politique monétaire, s'avère aussi suffisamment contraignant pour les autorités budgétaires de sorte à les inciter fortement à améliorer la discipline budgétaire, notamment dans les pays en développement (Chapitre 5). Par ailleurs, d'une part, le CI et les RBs agissent de façon complémentaire, puisqu'adopter à la fois le CI et les RBs conduit à de meilleurs résultats budgétaires et inflationnistes qu'adopter seulement l'un ou l'autre de ces deux cadres de politique. D'autre part, la séquence qui consiste à introduire d'abord les RBs avant d'adopter le CI produit de meilleures performances inflationnistes et budgétaires que la séquence inverse (Chapitre 6). Finalement, une meilleure cohérence du Policy-Mix, c'est-à-dire une meilleure coordination des politiques monétaire et budgétaire conduit à une plus grande croissance économique dans la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) (Chapitre 7).
13

Financial Stability and Inflation Stabilization / Stabilité financière et stabilisation de l'inflation

Fouejieu Azangue, Armand 19 May 2015 (has links)
La crise financière de 2008-2009 a conduit à reconsidérer la relation entre politique monétaire et stabilité financière, soulignant la nécessité pour les banques centrales d’être plus attentives aux risques financiers. Cette crise a également mis en évidence les limites du cadre de régulation (micro)prudentielle existant, renforçant ainsi l’importance d’une approche macroprudentielle visant à contenir le risque systémique. La présente thèse s’articule autour de ces questions. L’objectif est d’analyser dans quelle mesure un cadre de politique monétaire avec pour objectif principal la stabilité des prix (tel le ciblage d’inflation), pourrait accentuer le risque d’instabilité financière. Il s’agit en outre de souligner et discuter le rôle que peuvent jouer les politiques monétaire et macroprudentielle pour assurer et renforcer la stabilité du secteur financier (Chapitre I). Les résultats de l’analyse suggèrent que les banques centrales cibleuses d’inflation ont été mieux à même de contenir les conséquences de la récente crise financière (Chapitre II). Cependant, il semble que le risque d’instabilité financière soit plus fort au sein des pays émergents cibleurs d’inflation (comparé aux non-cibleurs), malgré les réponses des banques centrales aux déséquilibres financiers (Chapitre III). Ceci remet en cause l’efficacité de la stratégie du leaning against the wind. Nos conclusions montrent que cette stratégie génère un conflit d’objectif entre stabilité macroéconomique et stabilité financière. La mise en place d’un cadre macroprudentiel efficace, associé à une politique monétaire plus sensible aux risques financiers, permettrait de garantir un environnement économique globalement plus stable (Chapitre IV). Par ailleurs, il apparait que les pays émergents cibleurs d’inflation s’appuient sur le contrôle du taux de change pour faire face à la forte vulnérabilité de leur système financier aux chocs externes; ceci en dépit de l’exigence de flexibilité du change que requiert cette stratégie de politique monétaire (Chapitre V). / The 2008/2009 global financial crisis has revived the debate on the concern for financial stability in themonetary policy-making, stressing the need to reconsider the role of central banks in ensuring financialstability. The crisis has also pointed some flaws in the existing (micro) prudential regulation and therelevance to move toward a broader regulatory framework aiming to prevent systemic risk. This thesis isbuilt upon these issues. It investigates the extent to which financial stability may be of particular concernin a context where the main monetary policy objective is inflation stabilization (typically, in an inflationtargeting regime –IT–). It further assesses how the macroprudential framework and monetary policy canbe articulated to ensure the best outcome in terms of macroeconomic and financial stability (Chapter I).The conclusions derived from this work suggest that, faced with the recent global financial turmoil,inflation targeting central banks have been more able to mitigate the shock, certainly thanks to higherpolicy credibility (Chapter II). However, we evidence that IT countries (especially in EMEs) are morefinancially vulnerable than their non-IT counterparts, despite central banks’ response to financial risks(Chapter III). Following the latter conclusion, we investigate more closely the effectiveness of the leaningagainst the wind strategy. We show that such a policy response generates trade-offs between thefinancial and macroeconomic stability objectives of the monetary authorities. The best stabilizationoutcome is achieved when an effective macroprudential framework is implemented, combined withhigher central bank’s concern with financial risks (Chapter IV). Furthermore, we show that in EMEsITers, foreign exchange interventions are used to mitigate their financial vulnerability to external shocks,although the IT regime requires a fully floating exchange rate regime (Chapter V).
14

Asymétries, ajustements conjoncturels et persistance d'hétérogénéités au sein de l'Union Economique et Monétaire

Eyquem, Aurélien 12 October 2007 (has links) (PDF)
En dépit d'une intégration économique et financière très avancée, une forte hétérogénéité des performances macroéconomiques caractérise toujours l'Union Economique et Monétaire (UEM). Dans cette thèse, on propose plusieurs explications permettant de comprendre cette situation. A partir des outils théoriques et empiriques de la nouvelle macroéconomie internationale, on cherche à évaluer le coût de ces hétérogénéités, à en comprendre les causes et l'on s'interroge sur la capacité des politiques conjoncturelles à les réduire. Afin de mener ce projet, la thèse s'appuie sur des modèles qui prennent en compte diverses sources de diffusion asymétrique des chocs. Dans le premier chapitre, on s'intéresse au rôle des imperfections sur les marchés des biens et services et sur les marchés financiers. Elles sont prises en compte en supposant l'existence de biais en faveur des biens nationaux dans les structures de consommation et de production et en supposant que les marchés financiers sont incomplets. On montre (i) que les gains liés à une réduction des asymétries sont très importants et équivalents à une augmentation de 60% de la consommation permanente au sein de l'UEM et (ii) qu'une meilleure intégration commerciale est susceptible d'accroître les asymétries de diffusion dans certains cas. Dans le second chapitre, on s'interroge sur la capacité des politiques budgétaires nationales à réduire les asymétries de diffusion. D'un point de vue théorique, on montre qu'elles le pourraient. D'un point de vue empirique, les contraintes institutionnelles dont elles font l'objet au sein de l'UEM ne leur permettent pas de jouer ce rôle. Une réforme du Pacte de Stabilité et de Croissance serait, à ce titre, susceptible de générer des gains de bien-être. Enfin, le dernier chapitre s'intéresse à la diffusion asymétrique de chocs symétriques dans un modèle à trois pays, dont deux forment une union monétaire. Les asymétries de diffusion proviennent d'asymétries dans les degrés de rigidités nominales ou dans le degré d'ouverture au commerce extrazone. Comme dans le premier chapitre, la conclusion théorique selon laquelle une meilleure intégration commerciale et/ou une meilleure intégration des processus productifs suffisent à réduire les asymétries de diffusion des chocs est invalidée dans plusieurs cas.
15

L’efficacité des marchés virtuels

Dagenais, David-Alexandre 06 1900 (has links)
Les choses avancent de plus en plus rapidement autour de nous. Les systèmes évoluent et nous permettent même dans certains domaines de prédire l’avenir, ce que plusieurs scientifiques s’avèrent à tenter dans le monde économique. Différents modèles sont pensés de façon à prévoir les variations à venir dans l’économie et ainsi pouvoir s’y préparer, mais ces modèles prévus pour lire l’avenir sont-ils vraiment efficaces? Les points de vue varient selon l’auteur. Alors que certains pensent qu’il est impossible que les prédictions soient précises, d’autres demeurent plus optimistes et croient en la capacité des modèles de prédictions de s’adapter. Afin de tester le tout nous avons sélectionner un ensemble de 44 pays à travers le monde et tester l’efficacité des prédictions à travers les années sur 4 facteurs macroéconomiques. Les facteurs choisis furent les variations du taux d’intérêt, le taux de chômage, la balance économique et les taux d’intérêt à court terme. Nous avons basé nos tests sur deux hypothèses, soit une valeur de 1 pour le coefficient de notre variable dans notre régression linéaire ainsi qu’une valeur de zéro pour le coefficient de la constante. Une fois les tests effectués nous nous apercevons que pour aucun de nos facteurs l’ensemble d’observations présentées ne permettait de ne pas rejeter l’une ou l’autre de nos hypothèses démontrant une inefficacité du marché virtuel dans notre étude. En testant uniquement pour des données plus récentes pour le taux de chômage nous avons également pu remarquer que le tout améliorait l’efficacité des prédictions sans pour autant permettre de répondre aux hypothèses. / Things are moving faster and faster around us. Systems evolve and even allow us in some areas to predict the future, which many scientists are trying to do in the economic world. Different models are designed to predict future variations in the economy and thus be able to prepare for them, but are these models designed to read the future really efficient? Views vary by author. While some believe it is impossible for predictions to be accurate, others remain more optimistic and believe in the ability of prediction models to adapt. In order to test everything, we selected a set of 44 countries around the world and tested the effectiveness of the predictions over the years on 4 macroeconomic factors. The factors chosen were changes in the interest rate, the unemployment rate, the economic balance and short-term interest rates. We based our tests on two assumptions, namely a value of 1 for the coefficient of our variable in our linear regression as well as a value of zero for the coefficient of the constant. Once the tests have been carried out, we realize that for none of our factors the set of observations presented did not allow us to reject one or the other of our hypotheses demonstrating an inefficiency of the virtual market in our study. By testing only for more recent data for the unemployment rate, we also noticed that the whole change improved the effectiveness of the predictions without making it possible to meet the hypotheses.
16

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Kiarsi, Mehrab 01 1900 (has links)
Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales. / This dissertation consists of three essays on optimal fiscal and monetary policies. In the first two essays, I consider New Keynesian frameworks with frictional labor markets, money and distortionary income tax rates. In the first one, I study the joint determination of optimal fiscal and monetary policy and the role of worker's bargaining power on this determination. In the second one, I study the effects of worker’s bargaining power on the welfare costs of three monetary policy rules, which are: inflation targeting and simple monetary rules that respond to output and labor market tightness, with and without interest-rate smoothing. In the third essay, I study the optimality of the Friedman rule in monetary economies where demand for money is motivated by firms, originated in a cash-in-advance constraint. In the first essay, I find that when the worker’s bargaining power is low, the Ramsey-optimal policy calls for a significantly high optimal annual rate of inflation, in excess of 9.5%, that is also highly volatile, in excess of 7.4%. The Ramsey government uses inflation to induce efficient fluctuations in labor markets, despite the fact that changing prices is costly and despite the presence of time-varying labor taxes. The quantitative results clearly show that the planner relies more heavily on inflation, not taxes, in smoothing distortions in the economy over the business cycle. Indeed, there is a quite clear trade-off between the optimal inflation rate and its volatility and the optimal income tax rate and its variability. The smaller is the degree of price stickiness, the higher are the optimal inflation rate and inflation volatility and the lower are the optimal income tax rate and income tax volatility. For a ten times smaller degree of price stickiness, the optimal rate of inflation and its volatility rise remarkably, over 58% and 10%, respectively, and the optimal income tax rate and its volatility decline dramatically. These results are significant given that in the frictional labor market models without fiscal policy and money, or in the Walrasian-based New Keynesian frameworks with even a rich array of real and nominal rigidities and for even a miniscule degree of price stickiness, price stability appears to be the central goal of optimal monetary policy. Absent fiscal policy and money demand frictions, optimal rate of inflation falls to very near zero, with a volatility about 97 percent lesser, consistent with the literature. In the second essay, I show how the quantitative results imply that worker's bargaining weight and welfare costs of monetary rules are related negatively. That is, the lower the bargaining power of workers, the larger the welfare losses of monetary rules. However, in a sharp contrast to the literature, the rules that respond to output and labor market tightness feature considerably lower welfare costs than the inflation targeting rule. This is specifically the case for the rule that responds to labor market tightness. The welfare costs also remarkably decline by increasing the size of the output coefficient in the monetary rules. My findings indicate that by raising the worker's bargaining power to the Hosios level and higher, welfare losses of the three monetary rules drop significantly and response to output or market tightness does not, anymore, imply lower welfare costs than the inflation targeting rule, which is in line with the existing literature. In the third essay, I first show that the Friedman rule in a monetary model with a cash-in-advance constraint for firms is not optimal when the government to finance its expenditures has access to distortionary taxes on consumption. I then argue that, the Friedman rule in the presence of these distorting taxes is optimal if we assume a model with raw-efficient labors where only the raw labor is subject to the cash-in-advance constraint and the utility function is homothetic in two types of labor and separable in consumption. Once the production function exhibits constant-returns-to-scale, unlike the cash-credit goods model that the prices of both goods are the same, the Friedman is optimal even when wage rates are different. If the production function has decreasing or increasing-returns-to-scale, then to have the optimality of the Friedman rule, wage rates should be equal.
17

Integration and interdependency : identification of the ruptures in the case of East-Asian countries / Intégration et interdépendances : identification des ruptures dans le cas des pays d'Asie

Essaadi, Essahbi 27 June 2011 (has links)
Cette thèse analyse la faisabilité d'une union monétaire en Asie de l'Est dans une vision dynamique et utilise les outils appropriés qui correspondent à l'histoire de l'économie régionale de la région. A partir de la littérature de la ZMO, nous testons quatre critères où chaqu'un d'eux sera traiter dans un chapitre. Dans le premier chapitre, nous présentons un fait stylisé pour différents arrangements financiers régionaux. Suite à la littérature existence, nous testons la dynamique de l'intégration financière par le biais de l'interdépendance des marchés boursiers. Le deuxième chapitre présente des perspectives à long terme des taux de change en Asie de l'Est avec une recommandation de la politique de ciblage d'inflation comme une politique monétaire régionale. L'adoption de cette politique assure un équilibre interne et maintient la stabilité de la compétitivité par la stabilité du taux de change. Nous étudions la synchronisation des cycles à l'Asie de l'Est au troisième chapitre. Une nouvelle mesure de la synchronisation des cycles économiques fondés sur l'analyse spectrale a été introduite. Notre méthodologie empirique renforce ceux des chapitres précédents qui prouvent une intégration économique croissante dans la région essentiellement durant cette dernière décennie. Le dernier chapitre examine la réaction d'un choc externe et un choc monétaire aux différents dates pour certaines économies de l'Asie de l'Est. / This thesis analyzes the feasibility of a monetary union in East Asia in a dynamic view and employ the appropriate tools which are close to the specific way of the regional economy trajectory in the region. Starting from OCA literature, we test four main criteria in four separate chapter. In the first chapter, we present a stylized fact for different regional financial arrangement. Following existence literature, we test dynamic of financial integration through stock market index interdependence proxy. The second Chapter presents long term perspective of exchange rate in East Asia with a recommendation of Inflation Targeting policy as a common regional monetary policy. The adoption of such policy insures an internal equilibrium and maintains stability of competitiveness through the stability of exchange rate. We investigate in the third Chapter business cycles synchronization in East Asia. A new measure of business cycle synchronization based on spectral analysis has been introduced. Our empirical methodology reinforces previous chapter finds of a clear economic integration in the region for the last decade. The last Chapter thoroughly investigates the reaction of an external shock and a monetary shock at different period for some East Asia economies.

Page generated in 0.1106 seconds