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La liberté de manifestation en Thaïlande / Freedom of manifestation in Thailand

Sriphongkul, Nattika 24 September 2018 (has links)
La manifestation est un sujet d’actualité et un phénomène en voie de devenir mondial. En ce domaine la Thaïlande fait figure de pays pionnier. En effet les manifestations de rue y sont fréquentes et souvent violentes. La présente étude a d’abord pour objet de s’interroger sur les raisons du recours massif à cette liberté par le peuple et sa perception par le Droit. Dans ce pays la manifestation répond à une tradition constante d’expression des idées et des opinions, grâce à une contestation politique en groupe et sur la voie publique. Elle est consacrée en tant que liberté constitutionnelle dans les vingt Constitutions, que ce soit de manière explicite ou implicite mais sans être pour autant distinguée de la liberté de réunion. Il est dès lors utile d’analyser cette conception de la liberté de manifestation. Cependant il importe également de comprendre pourquoi le nombre de manifestations augmente considérablement en Thaïlande. Selon l’auteur, le principal élément de réponse est à rechercher dans le système institutionnel et politique thaïlandais. Celui-ci permet rarement un débat pluraliste au sein du Parlement. L’instabilité constitutionnelle, les successions de putschs militaires, accentuent la crise de la démocratie représentative. La solution à ce danger doit-elle être trouvée non plus dans le droit mais dans un devoir de manifester ? Sans doute, car la Thaïlande donne l’exemple de l’urgence d’instituer des mécanismes associant davantage le citoyen à la décision publique, conduisant à l’instauration d’une démocratie participative et continue. Lorsque le bon fonctionnement de ces mécanismes est mis à mal, le recours à la liberté de manifestation devient une nécessité / The manifestation is an important issue as it has become a world phenomenon. Concerning this subject, Thailand is considered a pioneer country. The street manifestations occur frequently and often in a violent manner. This study aimed to raise question as to why people exercise this freedom and what are the perceptions of law toward these situations. In this country manifestation responds to a constant tradition of expression of ideas and opinions, as a result of a political group contestation on the street. Principally manifestation is recognized as a constitutional freedom in twenty Constitutions, whether explicitly or implicitly without being distinguished from freedom of assembly. It is therefore necessary to analyze such conception of freedom of manifestation. In addition to the above, it is important to understand the reasons as to why the number of manifestations has been increasing considerably in Thailand. According to the author, the principal element of the reason derives from conducting a research in the institutional and political system. The system hardly allows a pluralistic debate in Parliament. The constitutional instability, the successions of military putsches, have emphasized the crisis of representative democracy. Is it possible that the solution of this danger should no longer be founded in a right but in a duty to manifest? Since Thailand is an example underlining the urgency of introducing the mechanisms which involve citizens in making public decision, these mechanisms lead to the establishment of participatory and continuous democracy. When these mechanisms fail to function accordingly, an exercise of freedom of manifestation becomes a necessity
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Le particularisme de la médiation dans les services publics / The particularity of mediation in public services

Ben Rehouma, Inès 14 December 2012 (has links)
La sphère publique n’est pas restée extérieure aux changements culturels profonds et qui constitue le recours aux modes alternatifs de règlement des conflits qui privilégient le dialogue et le sens du compromis. Depuis de nombreuses années, les entreprises publiques et plus généralement les services publics ont instauré des médiateurs, afin d’améliorer la relation aux usagers (La Poste, RATP, SNCF, ministère de l’Economie, Education nationale, etc.). Mais cette réforme est-elle emblématique d’un changement culturel profond au sein même de l’Etat ? Le développement du champ de la médiation sociale au niveau des rapports entre citoyens et services publics est-il au légendaire attachement de la France à la notion de service public ? A la présence très prégnante de ces services sur le territoire ? Aux très fortes attentes du public à leurs égards ? L’essor considérable de ces pratiques médiatrices, n’exprimerait-il pas, au fond, une métamorphose de l’action publique, qui cherche une nouvelle manière de gouverner la cité et de fabriquer de la cohésion sociale ?La médiation, tant dans le secteur privé que publique, peut-elle considérer comme indispensable à l’évolution de la société ? Constitue-t-elle une réponse nécessaire au regard de l’évolution des rapports, dans public entre le collectif et l’individu, dans le secteur économique entre les entreprises et le client ? Comment agit-elle, à quelle place, quelles peuvent être ses limites et ses pouvoirs ? / The public sphere has not remained closed to these deep, cultural changes which make up the recourse to alternative models of conflict management privileging dialogue and a feel for compromise. For many years, public firms and more generally the ‘services publics’ have employed mediators with a view to improving user-relations (La Poste, the RATP, the SNCF, the ministries of Economy, of Education, etc.). However, is this trend meaningful in terms of what would be a deep, cultural change within the State itself?Is such an evolution of the ‘champ’ of social mediation as to relations between citizens and ‘services publics’ in tune with the legendary attachment in France to the notion of the ‘service public à la française’; to the pregnant presence of these ‘services’ throughout the territory ? to the very high expectations on the part of the public as to these services ? Would the considerable spread of the mediating practices not, fundamentally, reflect a metamorphosis of public action itself? Is the latter in search of a new way to govern the City and to produce social cohesion?In both the private and public sectors, can mediation be considered as indispensable to the evolution of society? Does it make up a necessary response with regard to the evolution of relations between the collective and the individual in the public sphere, and between the firms and the customers in the economic sphere? How does mediation operate, in what dynamic, what can be its limits and its potency?
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Le problème de l’Education Morale en France au XXe siècle dans l’enseignement élémentaire / The problem of moral education in the French primary school system in the 20th Century

Lheureux, Guy 06 December 2012 (has links)
Face au consumérisme et à l’individualisme ambiants, à l’érosion de l’autorité éducative et à des manifestations de violence dans certains établissements scolaires, et parfois d’intolérance religieuse et ethnique, cette thèse propose plusieurs pistes de réflexion et des propositions en lien avec un besoin social d’éthique et la demande de clarification des valeurs pour l’école aujourd’hui. D’abord, la thèse propose une historiographie des principes moraux enseignés entre les années Ferry et Mitterrand à l’école primaire ; ensuite elle interroge les philosophes et chercheurs afin de proposer une assise théorique sur l’éducation morale et l’éthique scolaire. Enfin, à l’aide de cet arrière-plan conceptuel et d’un questionnaire national instruit par 120 enseignants, elle développe une réflexion sur les pratiques pour concrétiser dans l’école française deux défiséducatifs :-La proposition d’une éthique minimale, tissée de démocratie et de laïcité, avec l’apprentissage du respect mutuel, de la nature, des règles sociales ; l’éveil à la communication non-violente, le respect des principes moraux indispensables au vivre ensemble.-Un éveil à une spiritualité laïque exempte de tout lien avec la religion, permettant l’éveil aux valeurs humanistes et l’organisation d’activités pédagogiques développant un climat de paix et de tolérance, de non-violence et de solidarité. Redonner du sens à notre existence partagée, dans une école où les savoir-être sont aussi importants que les connaissances à acquérir. OEuvrer pour une « vie scolaire bonne » utile et agréable, où l’attention aux autres et lacoopération sont promues, où le respect de valeurs morales est accepté et appliqué par tous les acteurs de l’école / Faced with widespread consumerism and individualism, the erosion of the authority of the educational system, rising violence in certain schools, and even religious and ethnic intolerance, this thesis explores several paths of investigation and presents several proposals regarding the need for a code of ethics and a clarification of societal values in the educational system of today. To begin with, the thesis presents a timeline, from Ferry to Mitterrand, of moral principles as taught in the primary school system. An examination of positions garnered from philosophers and researchers follows, providing a theoretical foundation for moral education and school ethics. Finally, based on a nationwide questionnaire administered by 120 teachers and the aforementioned theoretical foundation, the thesis discusses possible solutions of the challenges of moral education : --A proposal for ethical practice minimum woven from democracy and secularism, teaching the concepts of mutual respect, nature conservation and implementation of social rules; an emphasis on non-violent communication and the respect of the moral principles essential to living together.- -A school awakening of secular spirituality, free of links to religion, allowing humanist values to develop at the heart of educational activities in a climate of peace and tolerance, of non-violence and solidarity; to give a new sense to our shared existence, in a scholastic environment where life skills are as important as knowledges to be acquired; to strive for a “quality of scholastic life”, useful and pleasant, where caring and cooperation are promoted; where the respect of moral values is accepted and applied by all those involved in school life
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Politiser l'entreprise : une histoire des coopératives dans le Wisconsin (années 1870-années 1930) / Politicize the company : a history of cooperatives in Wisconsin (1870s-1930s)

Blin, Alexia 18 November 2017 (has links)
Cette thèse explore l’histoire des entreprises coopératives dans l’État du Wisconsin entre les années 1870 et les années 1930 et les manières dont différents groupes d’acteurs les ont mobilisées afin de défendre leurs intérêts. En croisant les questionnements de l’histoire des entreprises et ceux de l’histoire politique, elle étudie le recours aux coopératives à travers trois grands moments de réforme dans l’histoire des États-Unis – les luttes antimonopolistes du Gilded Age, le progressisme et le New Deal. Ce travail montre que les coopératives font partie de l’horizon réformateur américain de manière continue dans ces décennies. Bien que les coopérateurs ne parviennent pas à construire un « mouvement », ou un « système » économique qui permettrait de servir d’alternative au capitalisme industriel dominé par les grandes entreprises, ils dessinent avec succès les contours d’une forme d’entreprise différente, plus démocratique et dont le modèle est relativement bien identifié à la fin des années 1930. Afin de comprendre les mécanismes d’institutionnalisation de cette forme d’entreprise, on observe les différentes manières dont elle est mobilisée et appropriée au cours du temps – en premier lieu par les fermiers, mais également par les consommateurs, et dans une moindre mesure par les ouvriers. Le rôle de l’État, dont les agents sollicitent les coopératives et en font des outils de politique publique, fait également l’objet d’une attention particulière. L’analyse de ces mobilisations est constamment replacée dans l’environnement au sein duquel les coopérateurs évoluent : en mesurant l’écart qui distingue les coopératives des formes d’organisation économique contre lesquelles elles se forment, celles qui leur servent de référence, ou celles avec lesquelles elles sont en concurrence. Penser les coopératives dans leur environnement signifie également interroger l’importance des territoires dans lesquelles elles s’inscrivent, et en particulier la spécificité des zones rurales, lieu privilégié du développement des coopératives américaines à cette période. / This dissertation explores the history of cooperative businesses in the state of Wisconsin between the 1870s and the 1930s, and the ways various groups resorted to those organizations in order to protect their interests. My study involves both business history and political history, and looks at the uses of cooperatives through three important reform movements in US history: the antimonopolist struggles of the Gilded Age, the Progressive era and the New Deal. I show that cooperatives were continuously part of the American reform horizon in those decades. Although cooperators did not succeed in creating a “movement” or an economic “system” that would serve as an alternative for an industrial capitalism dominated by big corporations, they were able to build a specific and more democratic form of business enterprise, whose model was easy to identify at the end of the 1930s. In order to understand the mechanisms that led to the institutionalization of this form of business, I observe the various ways farmers, consumers, and, to a lesser extent, workers used and understood cooperatives over time. The role of the state, whose agents called upon cooperatives and turned them into public policy tools, is also a subject of inquiry. The analysis of the uses of the cooperative form of business is constantly replaced in the environment in which their members operated, especially by measuring the distance that separated them from the economic organizations against which they were formed, those that were their models, or those against which they competed. Understanding cooperatives in their environment also means questioning the importance of the territories where they were created, and more specifically the characteristics of rural areas, where cooperatives were especially successful.
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Un vote sans voix : la réforme des technologies et rituels de vote au Chili (1823-1920) / A vote without voice : reforming vote´s technologies and rituals in Chile (1823-1920)

Jara, Rene 24 June 2016 (has links)
Alors que la démocratie électorale chilienne commence à se défaire lentement de l’héritage du régime de Portales, la modernisation des techniques et rituels de vote devient une question centrale. La réforme électorale de 1874 est ainsi désignée comme le point de départ de la démocratisation du vote. Cependant, l’ampleur des incertitudes qui s’ouvrent avec les modifications que cette réforme introduit nous obligent à remettre en question les rapports, très souvent présupposés, entre innovations technologiques et démocratisation. Afin d’examiner en détail cette problématique, notre thèse explore les transformations successives du cadre légal, des discours et des représentations iconographiques du vote, à partir de la démarche employée par la sociologie historique. La restitution des controverses, des débats et les différentes représentations de l’acte de vote contribuent à mieux nous faire comprendre les limites que la technologie du vote imposent à l‘expression d’une voix politique, dans une période où le système politique est en train de s’institutionnaliser et les métiers politiques en train de se professionnaliser. / While Chile’s electoral democracy slowly starts to forsake its Portalian stamp, the question about the reforms on vote’s rituals and techniques become crucial. Electoral Reform in 1874 is usually quoted as the first step of democratization rule. Nevertheless, the long list of doubts that opens up alongside with innovation, oblige us to question the relationship, typically presumed, between technological and democratic innovation. In order to examine this problematic issue, our thesis explores the successive transformation of the legal frame, the iconic discourse and the general representation of vote, through a historical-sociological point of view. The study of controversies in this field, the debate and the different representations of the act of vote, help us to deeply understand the limits impose by vote`s technologies to the expression of a political voice, in a time where political system are in process of becoming institutions and to become a politician evolves into a professionalization process.
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Raymond Aron. De la philosophie critique de l'histoire à l'analyse politique / Raymond Aron. From the critical philosophy of history to the political analyses / 雷蒙•阿隆:从历史哲学批判到政治分析

Li, Lan 08 December 2012 (has links)
Notre idée principale est d’essayer de comprendre la pensée politique de Raymond Aron à partir de sa théorie sur l’histoire. Pour nous, derrière sa proclamation d’une politique raisonnable ou progressive existe un support épistémologique, à savoir la proposition d’un déterminisme de probabilité concernant la vérité historique, proposition qui ne peut se constituer que dans le cadre d’une critique de la philosophie spéculative de l’histoire. Dans l’Introduction à la philosophie de l’histoire, Aron tente de surmonter l’antinomie du devenir humain entre unité totale du modèle hégélien-marxiste et pluralité irréductible du modèle d’Oswald Spengler, mais sans tomber dans le piège du relativisme absolu. Plus précisément, sa propre critique de la philosophie de l’histoire se constitue à double niveau : au niveau méthodologique, il essaye de réinterpréter la relation entre la compréhension et l’explication pour établir l’objectivité historique. Et au niveau ontologique, pour éviter une conclusion relativiste, il réintroduit l’idée d’une société humanisée au sens kantien, mais d’une manière moins téléologique et plus régulatrice. Dans le domaine politique, corrélativement, il rejette tout type de messianisme garanti d’avance, car, à ses yeux, ce n’est que par choix et décision instantanée que l’homme fait son histoire, tout en gardant l’espoir de la liberté. Et son libéralisme se différencie du libéralisme purement économique et apparaît à la fois conservateur vis-à-vis de la tradition et essentiellement politique. Notre recherche consistera à montrer comment s’est élaboré, en surmontant les philosophies dogmatiques de l’histoire, ce déterminisme de probabilité ; comment il a su appliquer cette conviction historique à son analyse de la société, notamment en tant que libérale et quel rôle doit jouer, selon lui, un intellectuel face à la politique ; nous reprendrons ensuite sa critique vis-à-vis des intellectuels français, pour l’appliquer au débat entre les intellectuels chinois. / Our main intention is to present the philosophical background of Raymond Aron’s political point of view by way of his theory on historical philosophy. For us, behind his proclamation of a reasonable politics, exists an epistemological support, known as determinism of probability as far as the historical truth is concerned. And this determinism is only possible when it is based on a critique of the speculative philosophy of history. In the book named introduction to a philosophy of history, Aron tries to surpass the antinomy of historical becoming, between total unity of the hegelian-marxiste model and the irreducible plurality of the Oswald Spengler model, and meanwhile without falling into an absolute relativism. More precisely, the historical philosophy of Raymond Aron is dedicated to a two-dimensional constitution. On the epistemological level, he tries to reinterpret the relation between explication and comprehension, by way of circle between these two methods, and aim to, in the end, establish the limit of historical objectivity by introducing a certain determinism of probability; on the ontological level, in order to avoid the relativist conclusion, he keeps the Kantian notion of truth, but in a less teleological and more regulative sense. Correlatively, in the domain of politics, he declines all kind of Messianism who claims to possess in advance the historical truth, because for him, it is only via instant choice and decision based on the liberty that can man creates his history. His liberalism essentially political is different from the neoliberalism, and maintains a conservative attitude towards the tradition. Generally speaking, our research consists of presenting how this determinism of probability is possible, and how Aron applies this philosophical point of view to the political practice, and according to him, what should an intellectual do facing the politics. And we will also discuss his critiques to the idealism of the french intellectual, in order to analyze the debate among the chinese intellectual. / 本文旨在从雷蒙•阿隆的历史观入手来了解其政治观点形成的背景。我们认为,他在政治上主张的一种“合理的政治观”始终是基于他的历史哲学观,即“或然决定论”展开的,而后者,在其博士论文《历史哲学批判导论》一书中得到了很好的阐明。从破除历史理性的二律背反开始,即黑格尔-马克思传统的作为统一体的历史观和以斯宾格勒为代表的不可还原的多样性的历史观,阿隆构建起一种既超越实证主义,又不陷入相对主义(通过引入康德意义上的“真理”概念)的或然决定论。具体言之,他的历史哲学批判基于一种双层面的建构,一方面,在认识论层面,他试图重新阐释说明和理解的关系来维护历史的客观性;在形而上学层面,为了避免相对主义的结论,他引入了康德意义上的“人道主义社会”的概念,并将其视为一种更少目的性而更多调节性的概念。就政治领域而言,与此相对应的,他拒斥任何先定的救世福音说,并且坚信人类的历史只能由每个自由的个体的当下的选择和决定中被创造。他所主张的自由主义,不同于经济自由主义,一方面对传统秉持保守的态度,另一方面,本质上又是一种政治的自由主义。我们的研究将从阿隆对传统的教条的历史哲学的批判起步,揭示其“或然决定论”的观点的形成过程;及其历史观如何影响其政治观的过程,尤其反映于他作为一名知识分子,对历史的态度问题;我们也将讨论他对法国知识分子弊病的批判,并且将这一批判引入对中国知识分子的讨论当中。
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Existir como comunidad : vivre la démocratie dans les barrios de Caracas sous la IVè république vénézuélienne (1958-1998) / Existir como comunidad : living in democraty in the barrios of Caracas during the Venezuelan fourth republic (1958-1998)

Ollivier, Serge 07 November 2017 (has links)
En 1958, la chute de la dictature militaire entraine une démocratisation improvisée du système politique vénézuélien et, tout à la fois, l'occupation des collines de Caracas par des masses de migrants venus de l'intérieur du pays. Ils y construisent leurs logements de fortunes qui forment les barrios, ces quartiers populaires et auto-construits qui accueillent dès les années 1980 la moitié des habitants de la capitale vénézuéliennes. Niés comme quartiers à part entière de la ville, les barrios sont reconnus comme « communautés » de citoyens par l'État via ses politiques sociales de «développement de la communauté». Les enjeux d'intégration à la ville partagés par tous les habitants des barrios ont entraîné ainsi la construction sui generis de la «communauté» du barrio comme un lieu triplement politique : objectivement, comme espace de sociabilités politiques entre les habitants eux-mêmes et entre certains d'entre eux et des réseaux politiques extérieurs au barrio ; institutionnellement, comme cadre d'exercice de droits civiques et de jouissance de droits sociaux via des organes «communautaires», principalement les juntes et associations de voisins ; symboliquement, comme principe unificateur d'un peuple populaire. Cette thèse a pour ambition de saisir l'histoire de cette construction de la «communauté» du barrio comme lieu politique, que ce soit par des acteurs soutenant les partis dominant la Quatrième République ou par des révolutionnaires. De 1958 à 1998, durant toute la Quatrième République vénézuélienne, cette politique de la communauté urbaine populaire participe à la fois la modernité urbaine et à la modernité démocratique vénézuélienne. / In 1958, the fall of the military dictatorship leads to an ad hoc democratization of the Venezuelan political system and, all the same time, to the occupation of the hills of Caracas by thousands of immigrants from the countryside. On the hillsides, they build their makeshift dwellings which form the barrios, these popular neighborhoods where half of Caracas inhabitants live by the l 980's. Not seen by law as part of the city in their own right, the barrios benefit from social welfare and the action of State urban agencies through Community development policies which recognize their existence as citizens "community" rather than as slums. Shared by every inhabitant of the barrios, the issues related to their integration in the city led to the sui generis making of the borri "community" as a political place. The "community" of the barrio is political in three ways: concretely, as a space of political sociability between the in habitants and between some of them and political networks outside of the barrio; institutionally, as an official framework for the enjoyment of civil rights and social rights through neighbors’ juntas and associations; symbolically, as a unifying principle of a working-class pueblo. This dissertation aims to understand the making of the "community" of the barrio as a political place whether by the deeds of pro-regime of revolutionary protagonists from 1958 to 1998. During the duration of the Venezuelan Fourth Republic, urban popular community politics become part bath of the urban modernity and democratic modernity of Venezuela.
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Le vote pour le mouvement réformateur iranien est-il un vote pour la démocratie?

Rouholamini, Shiva 12 1900 (has links)
Le vote pour le mouvement réformateur est-il un vote pour la démocratie ? Dans ce mémoire, nous avons mis à l’épreuve l’hypothèse selon laquelle le caractère plus démocratique des partis associés au mouvement réformateur tend automatiquement à attirer les électeurs plus démocrates. Pour ce faire, nous avons utilisé des données de sondage qui nous ont aidés à dégager les attitudes et les caractéristiques des électeurs et à les mettre en relation avec leur vote. Ainsi, nous avons dressé le portrait de l’électorat iranien et nous en avons mis en évidence les caractéristiques sociodémographiques déterminant le vote. Nos résultats montrent que, conformément à nos hypothèses et à l’interprétation générale qui est faite des élections iraniennes, l’âge et le niveau d’éducation présentent une corrélation avec le choix électoral dans le sens attendu, qui prévoit qu’un électorat plus jeune et plus éduqué vote pour le mouvement réformateur. En revanche, en ce qui concerne le sexe et le degré d’urbanisation, nos résultats vont à l’encontre de nos hypothèses et des suppositions liées au comportement électoral en Iran. Nous démontrons que les femmes sont en réalité plus nombreuses à voter pour le mouvement conservateur et que les choix électoraux des habitants des villes et de ceux des villages ne diffèrent pas. Nous avons également vérifié la relation entre les attitudes et le vote. Nos résultats révèlent que les électeurs ayant une attitude plus positive envers la démocratie, reconnaissant plus de droits aux femmes, moins religieux et économiquement plus libéraux, sont plus nombreux à voter pour le mouvement réformateur. Nous reconnaissons, en conclusion, l’impact des attitudes envers la démocratie sur le choix électoral en Iran ainsi que l’effet d’autres attitudes liées à l’égalité, à la religion et à l’économie. Nous affirmons surtout que ces attitudes départagent aussi bien, sinon mieux, la population iranienne par rapport à ses choix électoraux que les caractéristiques telles que le sexe ou le degré d’urbanisation. / Is voting for the reform movement in Iran tantamount to voting for democracy? It is conceived that the more democratic characteristics of the reformist political parties in Iran; automatically provide them with the support of the more democratically oriented voters. In this thesis, we put this theory to the test. To do so, we use survey data (World Values Survey 2001) to identify voters’ attitudes and attributes in relation to their vote choice. We first depict the Iranian electorate by exploring the sociodemographic determinants of their vote. Only some of our hypothesis based on the general understandings and mainstream analysis of elections in Iran are validated. Age and education seem to have an impact in vote choice. Younger and more educated voters tend to vote in bigger numbers for the reformist movement. Contrary to our assumptions though, women tend to vote more for the conservative movement and urbanism has no effect on the vote. Then, in order to answer the initial question of this research we study the correlation between the respondents’ attitudes and their votes. We demonstrate that a positive attitude toward democracy, according equal rights to women, a lower level of religiosity, and economic liberalism are all positively correlated with a vote in favour of the reformist movement. We therefore illustrate the importance of the attitudes, particularly those toward democracy, in the electoral behaviour of Iranian voters. We also point out the impact of other attitudinal factors concerning equality, religion and economy. Our results tend to indicate that these factors are at least just as useful that factors such as sex or urbanism, into portraying the stratification of the Iranian society with regards to its vote choice.
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Vie et mort des médias au Congo-Brazzaville (1989-2006) : contribution de La Semaine Africaine à l'émergence d'un espace public / Life and death in the Congo-Brazzaville media

Diamouangana, Gilles Alain 20 September 2013 (has links)
Les mutations politiques congolaises du début des années 1990 à la suite de mouvements de rejet des régimes à parti unique favorisent la réinstauration du multipartisme, l’apparition d’une nouvelle presse écrite privée et le « réveil » de la doyenne de la presse écrite privée congolaise, La Semaine Africaine, seul titre indépendant du gouvernement appartenant à la Conférence épiscopale du Congo. Fondés pour la plupart par les partis politiques récemment créés, les titres privés, très engagés politiquement, bénéficient d’une liberté de ton sans précédent ; ils critiquent ouvertement le régime en place. Ils demandent l’installation de la démocratie et l’établissement d’un État de droit. Ils participent ainsi à l’émergence d’un nouvel espace public même si le contenu de la grande majorité des organes de presse diffuse essentiellement la propagande des partis politiques qui les financent. Très vite, le processus démocratique s’enraye à cause des velléités de retour de l’autoritarisme des militaires, et des enjeux identitaires très conflictuels opposant les principaux leaders politiques pour la conservation ou la conquête du pouvoir. La faiblesse de la culture politique de la classe dirigeante entraîne de multiples crises politiques avec le non-respect des libertés fondamentales et individuelles. La création illégale, par les partis politiques, de milices privées, favorise, à plusieurs reprises, des violences pendant lesquelles la presse prend, ou non, position en tant qu’acteur social. Dans un environnement marqué par des bouillonnements sociopolitiques, nous tentons d’analyser la contribution de la presse écrite privée en général, et de La Semaine Africaine en particulier, à l’émergence de l’expression des opinions au sein de la société congolaise, à travers les modalités d’instauration réelle du débat public. / Congolese political changes of the early 1990s as a result of movements rejecting single-party regimes favor the reintroduction of multiparty politics, the emergence of a new private press and the "awakening" of the Dean of the Congolese private press La Semaine Africaine, the only independent title of the government from the Episcopal Conference of Congo. Created for the most part by political parties born recently, private securities, very politically committed, enjoy an unprecedented freedom of expression. They criticize openly the current regime. They require the establishment of democracy and the rule of a state of law. They thus contribute to the emergence of a new public space even if the content of the vast majority of newspapers broadcast is mainly propaganda for those political parties funding them. Very quickly, the democratic process jams because of impulses back from military authoritarianism, and very conflicting identity issues between the main political leaders for conservation or the conquest of power. The weakness of the political culture of the ruling class leads to multiple political crises and non-compliance with individual and fundamental freedoms. Illegal creation of private militias by political parties favors repeatedly violence during which the press takes or not position as a social actor. Against a backdrop of seething sociopolitical environment, we attempt to analyze the contribution of the private press in general and La Semaine Africaine in particular, into the emergence of the expression of opinions within the Congolese society, through the establishment of actual terms of public debate.
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A participação popular no processo legislativo: o exercício da cidadania ativa e o discurso do Estado democrático de direito no Brasil / La participation populaire dans le procès legislatif: la pratique de la citoyenneté active et le discours de létat démocratique de droit

Oliveira, Bruno Batista da Costa de 28 April 2010 (has links)
O presente estudo foi realizado nos limites da teoria geral do estado, disciplina que se volta ao exame das diferentes manifestações jus-políticas concernentes ao Estado, sob a ótica não apenas do direito, mas também com o auxílio de outras ciências humanas, como a sociologia, a história, a economia, a antropologia, a psicologia e filosofia. Nestes termos, nos propomos estudar o fundamento de legitimação da relação de poder havida entre Estado e cidadão, no âmbito de uma forma institucional particular, qual seja, o Estado Democrático de Direito, especialmente o brasileiro. Dentro desse específico escopo, examinamos os dois principais elementos que compõem essa fórmula: o princípio da legalidade, segundo o qual ninguém pode fazer ou deixar de fazer algo senão em virtude de lei, e o princípio da soberania popular, que anuncia que os atos do Estado corresponderiam à vontade coletiva, seja quando ela for representada, ou quando se manifeste de forma direta. Nosso objetivo foi proceder à genealogia da retórica do Estado Democrático de Direito, em cotejo com as formas disponíveis de participação popular direta do cidadão no processo legislativo brasileiro. Por essa via, tentamos elucidar como os discursos da legalidade e da soberania popular se relacionam com essas ferramentas, que em tese são os melhores modos de formar a lei (Estado de Direito), de acordo com a vontade da comunidade (Estado Democrático). Dessa forma, no primeiro capítulo percorremos como se deu a construção da ideologia do Estado de Direito, assim como a sua implementação no Brasil. A seguir, descrevemos o processo legislativo: suas origens, suas funções, os seus ritos na ordem constitucional brasileira. Posteriormente, nos dedicamos ao exame da participação popular nos Estados democráticos contemporâneos e, à exemplo do que fizemos com o discurso da legalidade, delineamos como se deu a sua aplicação no Estado brasileiro. Por fim, estudamos as formas positivadas de participação direta da população no procedimento de feitura de leis, ou seja, a iniciativa popular de leis, os referendos, as audiências públicas e o direito de petição. As conclusões a que chegamos são fruto da integração da retórica do Estado Democrático de Direito brasileiro com a implementação prática desses mecanismos. / Cet étude est présenté dans les limites de la théorie générale de létat, une matière qui examine les différentes manifestations juris-politiques qui concernent lÉtat, sous loptique non seulement du droit, mais aussi avec laide dautres sciences humaines, comme la sociologie, lhistoire, léconomie, lanthropologie, la psychologie et la philosophie. Ainsi, nous proposons étudier le fondement de légitimation de la relation de pouvoir entre lÉtat et le citoyen, sous une forme institutionnelle particulière, cest à dire lÉtat Démocratique de Droit, spécialement le brésilien. Dans ce thème spécifique, nous avons examiné les deux principaux éléments qui composent cette formule: le principe de la légalité, daprès qui personne ne peut faire ou laisser faire quelque chose en vertu dune loi, et le principe de la souveraineté populaire, qui annonce que les actes de lÉtat correspondent à la volonté collective, soit quand elle est représentée, ou bien quand elle se manifeste directement. Nôtre objectif a été de procéder à la généalogie de la rhétorique de lÉtat Démocratique de Droit, en comparaison avec les formes disponibles de participation populaire directe du citoyen dans la procédure législative brésilienne. Par cette voie, on a essayé délucider comment les discours de la légalité e de la souveraineté populaire se sont rélationnées avec ces engins, qui sont par hypothèse les meilleurs moyens de former une loi (État de Droit) en accord avec la communauté (État Démocratique). Ainsi, dans le premier chapitre nous avons parcouru comment sest faite la construction de lidéologie de lÉtat de Droit, et son installation au Brésil. Après, nous avons décrit le procès législatif: ses origines, ses fonctions, ses rites dans lordre constitutionnel brésilien. Puis nous nous sommes dédiés à lexamen de la participation populaire dans les États démocratiques contemporains et, ainsi comme nous avons fait avec le discours de la légalité, nous avons ébauché comment sest faite son application dans lÉtat brésilien. Enfin, nous avons étudié les formes légales de participation directe de la population dans la procédure de fabrication des lois, cest à dire, linitiative populaire des lois, les référendums, les audiences publiques et le doit de pétitionner. Nos conclusions sont le résultat de lintégration de la rhétorique lÉtat Démocratique de Droit avec lapplication pratique de ces mécanismes

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