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Facteurs hormonaux et anthropométriques associés à la dépression chez la femme en post-ménopause : Résultats de la cohorte E3N

Perquier, Florence 14 January 2014 (has links) (PDF)
Contexte - La dépression est le trouble mental le plus répandu, mais son étiologie et les facteurs de risque qui lui sont associés demeurent encore largement inconnus, notamment en post-ménopause. Une influence des facteurs hormonaux et anthropométriques est fortement suggérée sur le risque de symptômes dépressifs (SDS) mais pourrait être différente selon que les SDS en post-ménopause ont été précédés d'un antécédent de trouble psychologique (SDS récurrents) ou non (SDS isolés). Objectif - Les données de la cohorte française E3N ont été utilisées pour évaluer les associations entre les facteurs reproductifs endogènes, l'utilisation de traitements hormonaux de la ménopause (THM), les mesures anthropométriques, la corpulence au cours de la vie, et le risque de SDS chez les femmes post-ménopausées. Résultats - Nos résultats suggèrent que la parité est associée à une diminution de risque, tandis que l'irrégularité des cycles en pré-ménopause et les antécédents de symptômes de la ménopause sont associés à un augmentation de risque de SDS en post-ménopause. Une ménopause plus tardive pourrait avoir un effet bénéfique sur le risque de SDS isolés ou précédés d'un premier trouble en post-ménopause. Notre étude n'a cependant pas mis en évidence d'effet bénéfique à long terme des THM sur les SDS, bien que, chez les utilisatrices en cours, la durée de prise de traitement et la voie orale étaient associées à une diminution de risque de SDS isolé. Un poids ou un indice de masse corporelle élevé n'étaient associés qu'aux SDS récurrents. En revanche, les femmes de plus faible poids ou ayant un faible indice de masse corporelle, mais aussi celles ayant un rapport tour de taille/tour de hanches élevé, avaient un risque augmenté de SDS. Enfin, nos résultats suggèrent que des facteurs anthropométriques précoces, tels qu'un poids de naissance élevé ou une forte corpulence dans l'enfance, peuvent également être associés au risque de SDS isolés en post-ménopause. Les femmes ayant un faible poids de naissance ou dont la corpulence augmentait fortement à la puberté pourraient d'autre part être à risque de SDS récurrents.Conclusion - Notre étude suggère que les associations entre les facteurs hormonaux et anthropométriques et les SDS en post-ménopause dépendent de l'histoire psychologique des femmes et proposent ainsi de nouvelles hypothèses. Ces résultats demandent cependant à être reproduits dans des études prospectives qui permettraient d'apporter de nouveaux arguments en faveur de la causalité.
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Associations entre la santé mentale et les perceptions liées au sommeil pédiatrique au sein de différentes populations

Chénier-Leduc, Gabrielle 08 1900 (has links)
Thèse de doctorat présenté en vue de l'obtention du doctorat en psychologie - recherche intervention, option psychologie clinique (Ph.D) / This thesis examines the association between parental perceptions of pediatric sleep and mental health in general and clinical populations at different developmental stages. The first objective of the thesis is to evaluate parental perceptions of infant sleep in the general population. The first study investigates sleep arrangements (solitary and co-sleeping) in relation to parental well-being, using depressive symptoms questionnaires completed by both parents individually. Results reveal that mothers and fathers of the same infant have different attitudes regarding their infant's sleep arrangement. Mothers in our sample more often prefer co-sleeping (sharing the bedroom or sleeping area) than fathers. Additionally, regardless of the arrangement chosen, a greater discrepancy between the expected and current sleep arrangement is associated with more depressive symptoms in mothers and fathers. The second objective of the thesis is to study parental perceptions of sleep in a clinical population of preschool-aged children referred to an outpatient child psychiatric clinic. Data was obtained through medical record review as well as through questionnaires completed by one of the child's parents. Results indicate that among children consulting in psychiatry, one in five parents perceives their child's sleep difficulties to reach a critical or clinical level. As hypothesized, specific sleep symptoms vary as a function of psychiatric diagnostic category, suggesting that interventions should be tailored to suit specific conditions. However, having multiple diagnoses is not associated with more sleep problems. Consequently, sleep difficulties are clinically significant as soon as a single diagnosis is present. This thesis highlights the important contribution of parental perceptions both as a source of information and as a point of potential intervention to better support sleep and promote the mental health of families in their daily lives. / Cette thèse porte sur l’association entre les perceptions parentales liées au sommeil pédiatrique et la santé mentale, auprès de parents de nourrissons et d’enfants d’âge préscolaires, dans des populations au développement typique et clinique. Le premier objectif de la thèse vise l’étude des perceptions parentales liées au sommeil des nourrissons au développement typique. La première étude porte donc principalement sur les arrangements de sommeil (solitaire et cododo) et leur association avec le bien-être parental. Les résultats montrent que les mères et les pères d’un même couple ont différentes attitudes concernant les arrangements de sommeil de leur nourrisson. En effet, les mères de notre échantillon sont davantage favorables au cododo (partage de la chambre ou de la surface de sommeil) que les pères. De plus, peu importe l’arrangement choisi, une plus grande disparité entre l’arrangement de sommeil attendu et actuel est associée à davantage de symptômes dépressifs chez les mères et les pères. Le deuxième objectif de la thèse est d’étudier les perceptions parentales du sommeil de l’enfant d’âge préscolaire référé vers une consultation externe de pédopsychiatrie afin de préciser le lien entre les diagnostics psychiatriques et la nature des difficultés de sommeil. Les résultats montrent que chez les enfants consultant en psychiatrie, un parent sur cinq perçoit les difficultés de sommeil de son enfant comme atteignant un niveau critique ou clinique selon les scores au CBCL (Child Behavior Checklist). Les résultats soulignent aussi que des difficultés de sommeil spécifiques sont associées aux différentes catégories de diagnostics psychiatriques. Conséquemment, une attention particulière doit être portée au sommeil lorsqu’un enfant consulte en psychiatrie, mais les interventions gagneraient à être adaptées à des catégories de diagnostics psychiatriques spécifiques. Néanmoins, le fait de cumuler plusieurs catégories diagnostiques n’est pas associé à davantage de difficultés de sommeil. Ainsi, les difficultés de sommeil sont importantes dès qu’un diagnostic est posé et l’évaluation du sommeil devrait figurer parmi les pratiques d’intervention auprès de cette clientèle déjà vulnérable. Cette thèse met donc en lumière l’apport important des perceptions parentales à la fois comme source d’information, mais également comme fenêtre d’intervention pour mieux soutenir le sommeil et favoriser la santé mentale des familles dans leur quotidien.
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Anxiété liée aux évaluations, symptômes dépressifs et rendement scolaire : exploration du rôle modérateur de l'adaptation au cégep

Benlakehal, Amina 11 1900 (has links)
En 2015, la Fédération des cégeps du Québec soulignait que la santé mentale des cégépiens constituait une inquiétude croissante : l’anxiété liée aux évaluations, les symptômes dépressifs et la préoccupation à l’égard de la réussite scolaire touchent une proportion inquiétante d’étudiants. Conséquemment, le but de la présente étude était d’explorer le rôle modérateur et potentiellement protecteur de l’adaptation au cégep, sous les angles de l’adaptation sociale et de l’attachement institutionnel, au sein des relations entre l’anxiété liée aux évaluations, les symptômes dépressifs et le rendement scolaire. Des étudiants en première année du Cégep régional de Lanaudière à Joliette (n = 513; 63,5% de filles) ont complété, aux sessions d’automne 2016 et d’hiver 2017, des questionnaires autorapportés sur leur niveau d’adaptation sociale, d’attachement envers l’institution scolaire, d’anxiété liée aux évaluations, de symptômes dépressifs et de rendement scolaire. Les résultats ont indiqué que l’anxiété liée aux évaluations en première session ne prédit pas la cote R en fin de première session ni les symptômes dépressifs à la session d’hiver. Toutefois, les symptômes dépressifs à la première session prédisent négativement la cote R en fin de cette même session. Aussi, une cote R plus faible à la session d’automne influence l’augmentation de symptômes dépressifs à l’hiver. Enfin, malgré le fait que l’attachement institutionnel ne joue pas un rôle modérateur sur les relations étudiées, l’adaptation sociale, quant à elle, présente une interaction significative dans les relations bidirectionnelles entre l’anxiété et le rendement. Des implications sur les plans théorique et pratique en lien avec les résultats sont discutées. / In 2015, the Fédération des cégeps du Québec noted that the mental health of cegep students as a growing concern: test anxiety, depressive symptoms, and worry about academic success affects a disturbing proportion of students. Consequently, the purpose of this study was to explore the moderating and potentially protective role of cegep adjustment, from the angles of social adaptation and institutional attachment, within the relationships between test anxiety, depressive symptoms, and academic performance. First-year students at Cégep régional de Lanaudière in Joliette (n = 513; 63.5% female) completed self-reported questionnaires in the fall 2016 and winter 2017 semesters on their level of social adjustment, attachment to the institution, test anxiety, depressive symptoms, and academic performance. Results indicated that test anxiety in the first semester did not predict R score at the end of the first semester nor depressive symptoms in the winter semester. However, depressive symptoms in the first semester did negatively predict the R score at the end of the first semester. Also, a lower R score in the fall semester influenced the increase in depressive symptoms in the winter. Finally, although institutional attachment did not play a moderating role on the studied relationships, social adjustment shows a significant interaction in the bidirectional relationship between anxiety and performance. Theoretical and practical implications related to the results are discussed.
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Associations transactionnelles entre l’activité physique et les symptômes dépressifs et anxieux chez les filles et les garçons durant l’adolescence : considération du temps d’écran et du temps de sommeil

Fortier, Laurianne 08 1900 (has links)
Contexte. Les symptômes dépressifs et anxieux font partie des problèmes de santé mentale les plus courants chez les adolescents et peuvent entraîner d’importantes conséquences. Bien qu’il ait été suggéré que la pratique d’activité physique peut en réduire le risque, l’inactivité des jeunes Canadiens tend à augmenter à l’adolescence. Toutefois, la nature de ces liens, ainsi que les différences entre les filles et les garçons, demeurent mal comprises. Si les bénéfices de l’activité physique sur les symptômes dépressifs et anxieux pourraient dépendre des autres habitudes de vie, dont le temps d’écran et de sommeil, les mécanismes sous-jacents à ces associations ont été peu explorés. Objectifs. (1) Examiner les associations bidirectionnelles existant entre l’activité physique et les symptômes dépressifs et anxieux chez les adolescents québécois à 13, 15 et 17 ans en contrôlant pour le temps d’écran et de sommeil. (2) Examiner si ces associations sont médiées par le temps d’écran et de sommeil. (3) Examiner comment elles diffèrent chez les participants en fonction de leur sexe. Méthodologie. Les données sont tirées de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec et sont majoritairement autorapportées par les participants à l’âge de 13, 15 et 17 ans (N = 1556). Des analyses à décalage croisé avec intercepte aléatoire et des analyses multigroupes ont été réalisées. Résultats. Un niveau plus élevé d’activité physique est faiblement associé à un niveau de symptômes dépressifs plus faible de 13 à 15 ans chez les filles et de 15 à 17 ans chez tous les adolescents. Les résultats sont plus inconstants pour l’anxiété, mais davantage de symptômes anxieux à 13 ans sont associés à moins d’activité physique à 15 ans chez les garçons. Un niveau plus élevé de sommeil à 15 ans s’est révélé être un deuxième prédicteur spécifique d’un niveau plus faible de symptômes dépressifs à 17 ans. Aucun effet médiateur du temps d’écran ou du temps de sommeil n’a pu être détecté. Implications. Des interventions préventives visant à promouvoir la pratique d’activité physique dès l’enfance, particulièrement chez les filles, ainsi qu’un temps de sommeil suffisant chez les adolescents plus âgés devraient être mises en place. / Context. Depressive and anxious symptoms in adolescents are prevalent and can have serious consequences. Although it has been suggested that physical activity may reduce the risk of developing these symptoms, inactivity among young Canadians tends to increase during adolescence. However, the nature of the associations between physical activity and depressive and anxious symptoms, as well as the differences between girls and boys, remain poorly understood. Moreover, the benefits of physical activity may depend on other lifestyle habits, including screen time and sleep time, but the mechanisms underlying these associations have not often been explored. Objectives. (1) Examine the bidirectional associations between physical activity and depressive and anxious symptoms in Quebec adolescents at ages 13, 15 and 17 by controlling for screen and sleep time. (2) Examine whether these associations are mediated by screen and sleep time. (3) Examine how these associations differ among participants based on sex. Method. The data are drawn from the Quebec Longitudinal Study of Child Development and are mostly self-reported by participants at ages 13, 15 and 17 (N = 1556). Random intercept cross-lagged panel models and multigroup analyses were conducted. Results. A higher level of physical activity is significantly but weakly associated with a lower level of depressive symptoms at ages 13 to 15 in girls and at ages 15 to 17 in all adolescents. Results for anxious symptoms are more mixed, but higher anxious symptoms at age 13 are associated with less physical activity at age 15 in boys. Higher sleep time at age 15 was found to be a second specific predictor of a lower level of depressive symptoms at age 17. No mediating effect of screen or sleep time was detected. Implications. Preventive interventions should promote physical activity from childhood, particularly among girls, as well as sufficient sleep in older adolescents.
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Fonctionnements psychosocial et neuropsychologique associés à un épisode dépressif majeur dans le cadre d'un trouble de l'humeur sévère et complexe

Godard, Julie 17 April 2018 (has links)
La présente thèse porte sur les fonctionnements psychosocial et neuropsychologique associés à un épisode dépressif majeur dans le cadre d'un trouble de l'humeur sévère et complexe. Le premier volet de cette thèse (Chapitre II) consiste à préciser la nature et l'étendue des atteintes fonctionnelles et cognitives de patients dépressifs en début d'épisode de soins. Le second objectif vise à déterminer si ces atteintes diffèrent selon le type de troubles de l'humeur, à savoir la dépression majeure et les troubles bipolaires. Les résultats obtenus suggèrent la présence d'atteintes fonctionnelles et cognitives comparables chez les patients unipolaires et bipolaires. Un dysfonctionnement psychosocial global ressort clairement, touchant les sphères occupationnelle, relationnelle et sociale. Les profils cognitifs s'avèrent hétérogènes et caractérisés fréquemment par un dysfonctionnement attentionnel. Quant au deuxième volet de cette thèse (Chapitre III), il a pour but de documenter l'évolution clinique, fonctionnelle et cognitive de patients dépressifs en début d'épisode de soins sur une période d'une année. Ce volet vise aussi à comparer les différents profils selon le type de troubles de l'humeur. Un suivi exhaustif révèle une évolution similaire chez les patients unipolaires et bipolaires. Un très faible taux de rémission est constaté en un an, tout comme de légères améliorations fonctionnelles et cognitives. À la fin du suivi, des dysfonctionnements psychosociaux et neuropsychologiques persistent pour la majorité des patients. La présente thèse contribue ainsi à l'amélioration des connaissances relatives aux troubles de l'humeur sévères et complexes en phase dépressive. Cette thèse révèle notamment (a) la présence d'une altération majeure de toutes les sphères de la vie quotidienne, (b) une hétérogénéité des profils cognitifs impliquant fréquemment la perturbation des fonctions cognitives de base et (c) la persistance massive de déficits fonctionnels et cognitifs au-delà d'une prise en charge d'une année. Cette thèse n'a toutefois pas mis en évidence la présence de profils fonctionnels et cognitifs distincts en fonction du type de troubles de l'humeur. Au-delà d'un certain degré de sévérité de la maladie, les troubles de l'humeur semblent mener à une même voie finale commune, caractérisée par une altération massive du fonctionnement quotidien et des processus attentionnels.
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Troubles mentaux courants et soins de santé en région isolée : évaluation des soins offerts dans les services de santé de première ligne aux personnes avec un trouble dépressif ou anxieux au Nunavik

Lessard, Lily 23 April 2018 (has links)
Introduction: Avec le suicide, la dépression majeure arrive en tête de liste des problèmes de santé compromettant le bien-être des Inuits (1-3). L'amélioration de leur mieux-être mental passerait notamment par la réduction des lacunes dans le continuum des services, traitements et soutien offerts (4, 5). Cette thèse porte sur la qualité des soins offerts aux personnes présentant un trouble mental courant au Nunavik. Trois objectifs sont poursuivis : 1) mesurer la qualité des processus cliniques à partir d'indicateurs valides et adaptés au contexte du Nunavik, 2) identifier les délais et points de rupture dans les continuums de soins, et 3) identifier les facteurs individuels et organisationnels susceptibles d'influencer la qualité des soins. Méthode: Cette recherche adopte un devis descriptif corrélationnel se fondant sur des méthodes de collecte et d'analyse de données quantitatives. La population à l'étude est constituée des utilisateurs des services de santé de première ligne de plus de 14 ans qui présentent un trouble anxieux ou une dépression. Les informations sur les soins offerts ont été colligées pour une période d'observation de deux ans à partir des dossiers cliniques. L'échantillon est formé de 93 personnes provenant de dix communautés du Nunavik. Résultats: 18 indicateurs de processus cliniques considérés pertinents, mesurables et valides pour témoigner des forces et des lacunes dans les processus cliniques ont été mesurés. L'étude des continuums de soins a permis de situer la majorité des ruptures autour de la première visite de suivi (planification et réalisation), ce qui indique que la prise en charge des troubles mentaux courants au Nunavik se fonde sur un modèle de gestion de maladie aiguë. Finalement, les principaux facteurs d'influence de la qualité de soins ont été associés à des facteurs individuels cliniques (type de troubles) et sociodémographiques (âge). Conclusion: Cette recherche offre de nouvelles informations relatives aux processus cliniques et aux continuums de soins en santé mentale au Nunavik. Ces informations ont le potentiel de permettre aux décideurs de fonder leurs décisions d’organisation des services de santé mentale de première ligne sur des informations contextualisées et ainsi de mettre en place de solutions efficaces et adaptées pour améliorer les soins de manière pérenne. / Introduction: Major depression, along with suicide, tops the list of health problems affecting the well-being of the Inuit. Improvement in their mental wellness would imply primarily the reduction of gaps in the continuum of services, treatment and support offered. This thesis focuses on the quality of care offered to those individuals in Nunavik who present with a common mental disorder. Three objectives are pursued to verify whether these health care have the potential to provide support to these individuals in their recovery process: 1) assess the quality of clinical processes, using indicators that are both valid and adapted to the context of Nunavik, 2) identify the delays and disruptions in the continuums of care, and 3) identify individual and organizational factors liable to influence the quality of care. Method: This research adopts a descriptive correlational design based on quantitative methods of data collection and analysis. The study population comprises users of primary health services aged 14 years and over, who present with an anxiety disorder or depression. Using clinical records, information on the care offered was colligated for a two-year observation period. Ninety-three individuals from 10 communities in Nunavik made up the sample. Results: A total of 18 clinical process indicators were deemed relevant, measurable and valid indicators to demonstrate the strengths and gaps in the clinical processes. Study of the continuums of care subsequently located the majority of discontinuations around the first follow-up visit (planning and implementation), which indicates that treatment of common mental disorders in Nunavik is built on an acute disease management model. Finally, the principal factors influencing the quality of care were associated with individual clinical factors (type of disorder) and socio-demographic factors (age). Conclusion: This study provides new information pertaining to the clinical processes and continuums of care for mental health in Nunavik. This information has the potential to allow policy makers to base their decisions concerning the organization of mental health primary care services on contextualized information and in so doing, to implement effective and adapted solutions to improve care for the long term.
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Dépression et reconstruction identitaire : intégration de l'expérience de la dépression et changements bénéfiques dans la vie professionnelle

Ouellet, Nicole 14 December 2019 (has links)
Ce mémoire a pour objectif de mieux comprendre les remaniements identitaires qui s’associent à la dépression et qui mènent à des changements importants et positifs jusque dans la vie scolaire ou professionnelle. Plus précisément, il examine les répercussions proximales de la dépression, les processus identitaires associés, le rôle des professionnels de l’aide ainsi que le sens donné à cet évènement de la dépression au regard de sa biographie. Cette problématique se révèle pertinente dans le domaine des sciences de l’orientation puisque la dépression est une menace importante à l’insertion socioprofessionnelle et que les conseillers d’orientation sont de plus en plus appelés à accompagner des personnes rencontrant ou ayant rencontré ce problème de santé mentale. Pour répondre à l’objectif de ce mémoire, une méthodologie de nature qualitative a été empruntée. Des entretiens approfondis de type récit de vie ont été réalisés auprès de quatre personnes ayant vécu une dépression. Les résultats montrent que cette dernière peut constituer une crise identitaire majeure à partir de laquelle un retour à soi est utilisé comme tremplin pour repenser ses choix et effectuer des changements professionnels qui permettent une vie plus satisfaisante. Les résultats montent également que les professionnels de la relation d’aide peuvent y jouer un rôle primordial notamment dans la compréhension de la crise et le travail du projet, mais d’abord en accueillant et en légitimant la personne en dépression aux prises avec des insécurités identitaires.
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Le rôle de l’infirmière de première ligne quant aux troubles mentaux courants dans un contexte interprofessionnel : une étude de cas multiples

Charron, Maude 08 1900 (has links)
Problématique : Au Québec, les troubles anxieux et dépressifs touchent près d’une personne sur cinq au cours de leur vie. Elles consultent majoritairement dans les services de première ligne (SPL) qui sont souvent dispensés en collaboration interprofessionnelle, mais qui ne semblent pas répondre efficacement à leurs besoins. Le rôle optimal (RO) infirmier permet d’intervenir lors du continuum de services. Un écart entre les rôles réels (RR) et le RO des infirmières semble s’observer dans les SPL. But : Décrire et analyser le RR de l’infirmière lors de la prestation des soins aux personnes atteintes de troubles dépressifs et anxieux dans les équipes multiprofessionnelles de première ligne. Méthodologie : 15 professionnels de la santé (infirmières [n=9], autres [n=6]) dans deux milieux de SPL ont participé à cette étude de cas multiples qualitative. Résultats : Trois catégories de facteurs influencent l’écart entre les RR et le RO des infirmières, soit les facteurs liés : 1) à l’équipe, 2) à la clientèle et 3) aux infirmières. La formation du RO des infirmières influence également l’écart. L’approche typiquement holistique et non stigmatisante des infirmières ainsi que la réduction de l’écart entre les RR et le RO semblent optimiser la prise en charge des TMC dans les SPL. Conclusion : Cette recherche met en lumière les facteurs pour réduire l’écart entre les RR et le RO. La formation des professionnels et l’organisation du travail dans le milieu clinique devrait mettre l’accent sur la collaboration interprofessionnelle, maximisant ainsi la pratique des professionnels selon leurs RO. / Problematic: In Québec, anxiety and depressive disorders affect nearly one in five people in their lives. They mainly consult in primary care services which are often provided in interprofessional collaboration but does not seem to succeed to effectively meet their needs. The optimal role allows nurses to intervene throughout the care plan. A difference between the nurse’s actual and optimal roles seems to be observed in the primary care services. Purpose: To describe and analyze the nurse’s actual roles in primary care multiprofessional teams during the delivery of care to people with depressive and anxiety disorders. Methods: 15 healthcare professionals (nurses [n=9], others [n=6]) in two primary care service environments participated in this qualitative multiple case study. Results: Three categories of factors influence the difference between the nurses’ actual and optimal roles: 1) the team, 2) the customer and 3) the nurses. Nurse’s training on the optimal role also influences the gap. The typical nurse’s holistic approach and the nurse’s actual role approaching the optimal role seem to contribute to primary care services in mental health. Conclusion: University training for health professionals and the organization of work in the clinical setting should focus on interprofessional collaboration, maximizing the contribution of optimal role. This research highlights the factors to reduce the gap between the nurse’s actual and optimal roles.
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Relations sociales et troubles dépressifs chez les personnes âgées au Québec : interactions avec le genre et la région de résidence

Mechakra-Tahiri, Djemâa.S 12 1900 (has links)
Chez les personnes âgées, la dépression est un problème important en santé publique, à cause de sa prévalence élevée et de son association avec les incapacités fonctionnelles, la mortalité et l’utilisation des services. La plupart des études ont montré que le manque de relations sociales était associé à la dépression, mais les résultats ne sont pas clairs. Au Québec et au Canada, on possède peu de données sur la prévalence de la dépression chez les personnes âgées et de son association avec les relations sociales. Peu d’études ont examiné le rôle des relations sociales sur l’utilisation des services de santé par les personnes âgées déprimées. Le but de cette recherche était d’examiner le rôle des relations sociales dans la présence de la dépression et dans la consultation chez un professionnel de la santé des personnes âgées déprimées, au Québec. Plus spécifiquement, ce travail visait à : 1) examiner les associations entre les relations sociales et les troubles dépressifs selon la région de résidence; 2) examiner les associations différentielles des relations sociales sur la dépression des femmes et des hommes âgés; 3) examiner le rôle des relations sociales dans la consultation auprès d’un professionnel de la santé des personnes âgées déprimées. Pour répondre à ces objectifs, nous avons utilisé les données de l’enquête ESA (Enquête sur la Santé des Aînés), réalisée en 2005 -2006 auprès d’un échantillon de 2670 personnes âgées résidant à domicile au Québec, qui nous ont permis de rédiger trois articles. Les troubles dépressifs (incluant la dépression majeure et mineure) ont été mesurés, selon les critères du DSM-IV, en excluant le critère de l’altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, à l’aide du questionnaire ESA développé par l’équipe de recherche. Les relations sociales ont été mesurées à l’aide de cinq variables : (1) le réseau social; (2) l’intégration sociale; (3) le soutien social, (4) la perception d’utilité auprès des proches et (5) la présence de relations conflictuelles avec le conjoint, les enfants, les frères et sœurs et les amis. Des modèles de régression logistique multiple ont été ajustés aux données pour estimer les rapports de cote et leur intervalle de confiance à 95 %. Nos résultats ont montré des prévalences de dépression plus élevées chez les personnes qui résident dans les régions rurales et urbaines, comparées à celles qui résident dans la région métropolitaine de Montréal. La pratique du bénévolat, le soutien social et les relations non conflictuelles avec le conjoint sont associés à une faible prévalence de dépression, indépendamment du type de résidence. Comparés aux hommes, les femmes ont une prévalence de dépression plus élevée. L’absence de confident est associée à une prévalence de dépression élevée, tant chez les hommes que chez les femmes. La probabilité de dépression est plus élevée chez les hommes veufs et chez ceux qui ne pratiquent pas d’activités de bénévolat, comparativement à ceux qui sont mariés et font du bénévolat. Chez les femmes, aucune association significative n’a été observée entre le statut marital, le bénévolat et la dépression. Cependant, la présence de relations conflictuelles avec le conjoint est associée avec la dépression, seulement chez les femmes. Les relations avec les enfants, les frères et sœurs et les amis ne sont pas associées avec la dépression dans cette population de personnes âgées du Quebec. En ce qui concerne la consultation chez un professionnel de la santé, nos résultats ont révélé que presque la moitié des personnes âgées dépressives n’ont pas consulté un professionnel de la santé, pour leurs symptômes de dépression, au cours des 12 derniers mois. Par ailleurs, notre étude a montré que les personnes âgées qui disposent de tous les types de soutien (confident, émotionnel et instrumental) consultent plus pour leurs symptômes de dépression que ceux qui ont moins de soutien. Comparativement aux hommes mariés, les femmes mariées consultent plus les professionnels de la santé, ce qui laisse supposer que le réseau de proches (épouse et enfants) semble agir comme un substitut en réduisant la fréquence de consultation chez les hommes. Vu la rareté des études canadiennes sur la prévalence de la dépression chez les personnes âgées et les facteurs psychosociaux qui y sont associés, les résultats de ce travail seront utiles pour les cliniciens et pour les responsables des politiques à l’échelle nationale, provinciale et locale. Ils pourront guider des interventions spécifiques, selon la région de résidence et pour les hommes et les femmes âgées, dans le domaine de la santé mentale. / Depression is an important public health problem among the elderly population due to its high prevalence and its association with disability, mortality and use of health services. Most studies have shown that lack of social networks is associated with depression but results are not clear. In Quebec and in Canada, little evidence exists on the prevalence of depression in the elderly population and on its associations with social relationships. Few studies have examined the associations between social relationships and health services utilisation among the depressed elderly patients. The aim of this work was to examine the role of social relationships on the presence of depression and on the consultation with a health professional by the elderly patient with depression, in Québec. More specifically, this work aimed at examining if: 1) the associations between social relationships and depression varied in rural and urban areas; 2) the associations between social relationships and depression were different in men and in women and 3) assessing the role of social relationships in the consultation of a health professional by the elderly patients with depression. To attain these objectives we have written three articles using data from the ESA survey, conducted in 2005-2006 on a representative sample of 2670 community dwelling people over 65 in Quebec. Depressive disorders (including major and minor depression) were measured by the DSM-IV criteria using the ESA questionnaire developed by the research team which excludes the criteria on limitations of social functioning. Social relationships were measured by aspects of social networks (marital status and diversity of ties), engagement in community social activities (religious attendance, frequenting social centers, and volunteerism), social support and perception of usefulness and presence of conflict in the relationships with spouse, children, siblings and friends. Multiple logistic regressions were adjusted to estimate odds ratios and their 95 % confidence intervals. Prevalence of depression was higher among those living in urban and rural areas of Quebec compared with metropolitan Montreal. Volunteerism, social support and not having conflict with the spouse were associated with lower frequency of depression independently of the area of residence. Women had higher prevalence of depression compared with men. Lack of a confident was associated with higher frequency of depression both in men and in women. Men who were widows and those who were not involved in volunteer work had higher odds of depression than men in other marital situations and men who were volunteering. Marital status and volunteer work were not associated with depression in women. However, conflict in marriage was associated with depression in women. Relationships with children, siblings and friends are not associated with depression in this population of elderly people from Quebec. Concerning consultation with a health professional for symptoms of depression, we have shown that approximately half of those depressed elderly, both among men and among women, have not consulted for their symptoms in the last 12 months. Consultation is associated with high levels of support, but the immediate network (spouse and siblings) seems to act as a substitute for depressed elderly men, reducing their frequency of consultation. Given the scarcity of Canadian studies on depression prevalence among the elderly population, these results on depression and its associated factors provide important information for clinicians and decision makers for planning and targeting of services by area of residence and for both men and women.
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Le processus de co-rumination entre amis chez les jeunes victimes de harcèlement par les pairs : impact sur le développement des symptômes dépressifs à l’adolescence

Jerabkova, Barbara 10 1900 (has links)
La victimisation au sein du groupe de pairs est un facteur de risque associé à l’augmentation des symptômes dépressifs au début de l’adolescence. En contrepartie, le fait d’entretenir des relations d’amitié constitue un facteur protecteur important susceptible de modérer les conséquences négatives associées à la victimisation par les pairs. Toutefois, les bénéfices associés aux relations d’amitié peuvent varier en fonction de certaines caractéristiques de celles-ci. Cette étude a pour but d’évaluer dans quelle mesure les caractéristiques des relations d’amitié (c.-à-d., le caractère intime et soutenant de la relation et la propension des amis à co-ruminer) modèrent l’association entre la victimisation par les pairs et l’augmentation des symptômes dépressifs sur une période d’un an. L'échantillon est composé de 536 élèves du secondaire auprès de qui la victimisation et les caractéristiques des relations d’amitié ont été évaluées au premier temps de mesure de façon auto-rapportée. Les symptômes dépressifs des élèves ont également été mesurés lors de deux années consécutives. Les résultats démontrent que le niveau de victimisation des élèves, la qualité des relations d’amitié et la tendance des amis à co-ruminer sont respectivement associés de façon concomitante à l’expression des symptômes dépressifs. En contrepartie, seule la co-rumination entre amis permet de rendre compte de l’augmentation des symptômes dépressifs sur une période d’un an. L’association entre la victimisation par les pairs et le développement des symptômes dépressifs n’est toutefois pas modérée par les caractéristiques des relations d’amitié. / Victimization is an important risk factor for depression in early adolescence. On the other hand, having friends is an important protective factor susceptible of moderating the negative effects associated with victimization. However, the benefits associated with friendships may vary according to some of their characteristics. The goal of this study was to evaluate whether friendship characteristics (i.e. intimacy and support as well as co-rumination) moderate the association between victimization experiences and depressed feelings a year later. The sample is composed of 536 high school students whose victimization level, friendship quality and tendency to co-ruminate were self-reported at the first time point. Depressive mood were self-reported at the end of two consecutive years. Results show that victimization, friendship quality and co-rumination are respectively associated with concurrent depressive mood. However, only co-rumination predicted depressive mood a year later after controlling for initial adjustment. The link between peer victimization and depressive mood was not moderated by friendship characteristics.

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