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Étude des déterminants de l'utilisation des services ambulatoires de santé pour la dépression au Canada : différences de genre

Gagné, Sarah January 2015 (has links)
Au Canada, il existe un écart entre le niveau de dépression dans la population générale et le niveau de traitement reçu. Près de la moitié des individus souffrant de dépression majeure dans la communauté ne vont pas chercher de l’aide professionnelle, et plus du deux-tiers de ceux qui consultent ne sont pas traités ou reçoivent un traitement inapproprié ou insuffisant. Dans le contexte actuel, où les hommes investissent moins les services ambulatoires pour des raisons de santé mentale que les femmes, il est important de mieux comprendre les déterminants et les barrières d’accès aux soins en fonction du genre. Le but de ce mémoire était donc : (1) examiner les différences de genre dans l’utilisation des services ambulatoires de santé mentale pour la dépression, et (2) identifier les déterminants et les barrières d’accès aux soins chez les canadiens et canadiennes ayant une dépression majeure dans la communauté. Pour répondre à cet objectif, une étude a été réalisée avec les données provenant de l’Enquête sur la Santé dans les Collectivités Canadiennes, Cycle 1.2 Santé Mentale et Bien-être (ESCC 1.2) conduit par Statistique Canada en 2002 (n= 36 984). L’échantillon incluait les personnes de 15 ans et plus ayant répondu aux critères d’un épisode de dépression majeure selon le DSM-IV au courant des 12 mois qui ont précédé l’entrevue (n=1763). Des analyses de régressions logistiques multivariées stratifiées en fonction du genre ont été effectuées avec le logiciel SPSS 18.0 afin de déterminer les facteurs associés à l’utilisation des services au cours des 12 derniers mois spécifiques aux hommes et aux femmes. Les résultats de l'étude ont montré que 54% des répondants ayant une dépression ont utilisé les services de santé pour des raisons de santé mentale au courant de la dernière année. La probabilité de consulter un professionnel de la santé au cours des 12 derniers mois pour des raisons de santé mentale était similaire chez les hommes et les femmes. Toutefois, les femmes dépressives comparativement aux hommes dépressifs consultaient davantage un omnipraticien. Les facteurs associés à l’utilisation des services ambulatoires incluaient pour les hommes, le revenu du ménage, et pour les femmes, un âge de moins de 65 ans, la présence de soutien social, un manque de disponibilité des services, la présence de pensées ou de tentatives suicidaires et une moins bonne santé mentale perçue. Les résultats de cette étude suggèrent la présence d’inégalités socio-économiques quant à l’accès aux soins pour la dépression, et indiquent que certains groupes devraient être ciblés, soit, les femmes âgées de 65 ans et plus, et les hommes avec des idées suicidaires.
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Isotretinoin and the risk of depression in patients with acne vulgaris

Azoulay, Laurent January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Adéquation du traitement des troubles dépressifs au Canada

Duhoux, Arnaud January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Prise en compte de la dépression en oncologie : les coulisses de la recherche / Consideration of depression in oncology : the scenes of research

Rhondali, Wadih 12 December 2013 (has links)
Ce travail s'est intéresser aux difficultés de la prise en charge de la dépression en explorant plusieurs niveaux de représentations : celui des soignants, des patients, de leur famille. La dépression est une pathologie fréquente en oncologie avec une prévalence d’environ 15% qui augmente avec l'aggravation de la maladie cancéreuse. Elle aggrave les autres symptômes tels que la douleur, la fatigue, l'anxiété et retentit sur la qualité de vie et la survie des patients. La prise en charge spécifique du cancer est plus difficile chez les patients déprimés. Les différents objectifs de cette recherche sont de déterminer les freins de la prise en charge de la pathologie dépressive en oncologie et de sensibiliser les soignants à cette problématique en proposant une réflexion sur les modalités de prise en charge. Après une avoir effectué une revue de la littérature, nous avons débuté un travail de traduction et validation d’une échelle de dépistage de la dépression qui semblait adapté à notre population et aux modalités de prise en charge. Cette échelle a ensuite été proposée et utilisée en routine dans différents lieux de prise en charge. Elle a permis de confirmer les résultats retrouvés dans la littérature internationale quant à la fréquence de la dépression et son association avec d’autres symptômes. Ce travail a été complété par une évaluation de la concordance entre l’évaluation par le patient, le médecin et l’infirmier de la symptomatologie dépressive. Les niveaux de concordance retrouvés étaient faibles. Des résultats similaires ont été retrouvés lorsque l’on s’est intéressé à l’utilisation de différentes méthodes pour évaluer la dépression chez la personne âgée atteinte d’un cancer en phase avancée. Nous avons complété ce travail par une étude rétrospective ayant pour objectif d’évaluer l’impact de l’intervention d’une équipe de soins de support sur la sévérité de la dépression des patients atteints d’un cancer en phase avancée avec des résultats positifs, ainsi qu’une synthèse de la littérature quant aux traitements pharmacologiques existants pour la dépression.La dernière partie a utilisé une autre approche de la dépression avec pour objectif d’évaluer les représentations sociales de la dépression dans plusieurs groupes (soignants et famille de patients. Après une discussion générale de ce travail ainsi que la présentation des limites, nous conclurons par les perspectives quant à la prise en charge de la dépression en oncologie. / This work is exploring the associated issues with the management of depression among cancer patients by exploring several levels of representations: health care professionals, patients and patients’ families. Depression is a common disease in oncology with a prevalence of 15%, which increases with the worsening of the cancer disease. It worsens other symptoms such as pain, fatigue, anxiety and impacts patients’ quality of life and survival. Furthermore, cancer specific management is more difficult among depressed patients. The different objectives of this research were to explore the barriers to depression management in oncology and to make health care porfessional aware of this disease by proposing a reflection on the modalities of care.After having conducted a literature review, we started a study to translate and validate a depression screening scale that seemed suited to our population and modalities of care. This scale was then proposed and used routinely in different places of care. Our results were consistent with the international literature regarding the prevalence of depression and its association with other symptoms. We have then explored correlation between depression assessment by the patient, the physician and the nurse. The levels of agreement were found weak. Similar results were found in another study exploring the use of different methods to assess depression in elderly patients with advanced cancer.After these studies, we conducted a retrospective study aiming to evaluate the impact of the intervention of a supportive care team on the severity of depression in advanced cancer patients with positive results and a summary of the existing literature on depression pharmacological treatments.The last part used a different approach to depression study with the goal to assess social representations of depression in several groups (health care professionals, patients and their family). After a general discussion of this work and the presentation of limitations, we conclude with the prospects for the management of depression in oncology.
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Les bonnes filles plantent des fleurs au printemps ; suivi de, La seconde chance de l'écriture

Larochelle, Claudia 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire comporte deux parties : un recueil de nouvelles, qui s'intitule Les bonnes filles plantent des fleurs au printemps, et un dossier d'accompagnement, que j'ai titré La seconde chance de l’écriture. Composée de douze nouvelles, la partie création met en place l'univers intime de femmes à différents épisodes de leur vie. Dans des périodes charnières marquées par la perte ou la peur de la perte (décès, deuils amoureux, maladie, conscience du vieillissement, nostalgie du passé), les protagonistes s'adonnent à la réflexion, à l'introspection. La presque totalité des textes sont écrits à la première personne, ce qui favorise une proximité, de sorte qu'on peut suivre les pensées, les impressions et les sentiments des narratrices, qui tentent d'exercer un certain contrôle sur ce qui leur échappe et cherchent un apaisement. Dans leur désarroi, elles remettent en question leurs convictions naïves sur le monde et sur les êtres qui les entourent, elles constatent que l'ordre des choses établies s'effondre, elles doivent abandonner leurs illusions et leur désir de perfection. Le style dépouillé, le langage mimant l'oralité et la brièveté de ces récits concentrés sur la trajectoire intérieure des personnages ancrent ces nouvelles dans une écriture de l'intime basée sur des rapports interpersonnels familiaux et sentimentaux problématiques. Le ton direct, souvent impudique, ainsi que l'importance d'un quotidien où il n'advient rien d'important, laisse davantage place à la confession qu'à l'intrigue. Ces textes appartiennent à ce qu'on appelle la nouvelle-instant. Le dossier d'accompagnement explore différents aspects d'un processus d'écriture basé sur l'expérience de la dépression. À partir de témoignages d'écrivaines ayant traversé des périodes difficiles, qui leur ont souvent été fatales (Virginia Woolf, Sylvia Plath), cet essai amorce une réflexion sur l'incidence des états dépressifs sur l'écriture. Souvent nécessaire à l'éveil de la création, la dépression apporte une lucidité que l'individu n'avait pas auparavant, laissant émerger une impudeur qui tient de la « franchise enfantine », selon le terme de Virginia Woolf. Quand, une fois rétabli, l'écrivain recommencera à écrire, il fera face à un dédoublement de la voix créatrice, celle de l'adulte et celle de l'enfant sans « surmoi ». La voix narrative surgira de la tension entre ces deux voix, qui doivent coexister afin que le texte trouve sa forme. L'écrivain est un funambule qui marche sur un fil tendu. Tout en reconnaissant le besoin de porter un regard distancié sur ce qu'il a vécu, il ne doit pas céder à l'autocensure. Le regard d'autrui et la peur d'être jugé l'obligent à livrer un combat constant, sans quoi sa pensée, dans ce qu'elle a de plus authentique, pourrait ne pas se déployer. L'œuvre d'autres créateurs (écrivains, artistes visuels, compositeurs, cinéastes) lui sont d'un grand secours pour ranimer l'impulsion créatrice et faire échec à la tentation de voiler sa pensée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écriture, nouvelles, autocensure, dépression, sentiments, enfance, impudeur.
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Efficacité de la thérapie cognitive-comportementale dans une clinique universitaire

Bergeron, Marie-Ève 05 February 2021 (has links)
La validité de la TCC a été démontrée à maintes reprises dans la littérature pour le traitement des troubles anxieux et dépressifs, mais peu de ces études se sont penchées sur son efficacité lorsque celle-ci est administrée par des étudiants en formation. L’objectif principal de cette étude est d’évaluer l’efficacité de la thérapie cognitive-comportementale (TCC) en milieu clinique lorsque celle-ci est administrée par des étudiants à une clientèle qui souffre de troubles anxieux et/ou de dépression et ce, dans une clinique universitaire. L’échantillon est composé de 293 participants qui se sont présentés volontairement à une clinique de psychologie universitaire pour traiter leurs symptômes anxieux et/ou dépressifs. Des questionnaires évaluant la sévérité des symptômes anxieux (BAI) et dépressifs (BDI-II) ainsi que le niveau de qualité de vie (WHOQOL-BREF) ont été complétés en début et fin de suivi thérapeutique. Les intervenants administrant la thérapie étaient des étudiants au doctorat qui effectuaient leur stage clinique : praticas 3-4 (2e année) ; praticas 5-6 (3e année) ; ou internat (4e ou 5e année). Les résultats indiquent que, à la suite de la thérapie, il y a une diminution significative des symptômes anxieux et dépressifs ainsi qu’une amélioration de la qualité de vie des participants avec de grandes tailles d’effet (BAI; d = 0,73 ; BDI-II; d = 1,01). De plus,il n’y a aucune différence significative entre les trois niveaux d’expérience des intervenants (praticas 3-4, praticas 5-6 et internat) sur l’efficacité de la TCC à réduire les symptômes anxieux et dépressifs. Les résultats de cette étude suggèrent que les thérapeutes en formation sont en mesure d’administrer la TCC de façon efficace et ce, même s’ils ont peu d’expérience.
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Risque de troubles dépressifs associés à l'utilisation médicale du cannabis : une étude de cohorte longitudinale rétrospective

Liwono Yana, Jerry 26 May 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles / Compte tenu de l'usage croissant du cannabis médical pour des raisons, entre autres, de soulager les symptômes dépressifs, alors que les évidences sur l'innocuité du cannabis ne sont pas clairement établies, nous avons proposé cette étude dont l'objectif était d'évaluer l'association entre l'autorisation d'utilisation médicale du cannabis et le risque des troubles dépressifs. A travers les données jumelées provenant de cliniques de cannabis de l'Ontario et des données administratives de l'Ontario, nous avons mené une étude de cohorte longitudinale rétrospective avec un total de 54 006 patients ayant une autorisation d'utilisation médicale du cannabis entre le 19 juin 2014 et le 28 janvier 2019, appariés à 161 265 contrôles sélectionnés dans la population générale d'Ontario. L'autorisation d'utilisation du cannabis pour des raisons médicales était l'exposition de l'étude et les visites aux urgences ou hospitalisations pour troubles dépressifs en étaient l'issue. D'après nos résultats le risque de visites aux urgences ou hospitalisations pour troubles dépressifs chez les patients avec autorisation d'utilisation du cannabis médical était de 2 fois celui des témoins. Ces résultats suggèrent que les patients ayant une autorisation d'utiliser du cannabis à des fins médicales présentaient un risque significativement plus élevé de visites aux urgences ou d'hospitalisations pour des troubles dépressifs par rapport à leurs témoins appariés. Un risque similaire était également observé chez les utilisateurs du cannabis médical sans antécédents de troubles mentaux. Ce risque n'avait pas varié en fonction de l'âge ou du sexe. Les conclusions de cette étude soulignent donc la nécessité d'une évaluation minutieuse du risque de ces troubles chez les patients à la recherche de cannabis pour des soins médicaux et au cours du traitement. / Given the increasing use of medical cannabis for reasons including the relief of depressive symptoms, while the evidence on the safety of cannabis is not clearly established, we proposed this study to assess the association between medical cannabis authorization and the risk of depressive disorders. Using clinical data from a group of Ontario cannabis clinics linked to Ontario health administrative data, we conducted a retrospective longitudinal cohort study with a total of 54,006 patients with medical cannabis authorization between June 19, 2014, and January 28, 2019, matched to 161,265 controls selected from the Ontario general population. Medical cannabis authorization was the study exposure and emergency department visit or hospitalization for depressive disorders was the outcome. According to our results, the risk of emergency department visits or hospitalizations for depressive disorders in patients with medical cannabis authorization was twice that of controls. These results suggest that patients authorized to use cannabis for medical reason had a significantly higher risk of emergency department visits or hospitalizations for depressive disorders compared to their matched controls. A similar risk was also observed among medical cannabis users without history of mental disorders. This risk did not vary with age or gender. The findings of this study therefore highlight the need for careful risk assessment of depressive disorders in patients seeking cannabis for medical care and during cannabis use.
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La dépression postnatale, un diagnostic spécifique? : étude de la présence de symptômes de dépression chez les mères dans les cinq années suivant l'accouchement

Nicole, Gabrielle 12 1900 (has links) (PDF)
L'objectif principal de cette recherche est d'étudier le caractère spécifique de la dépression postnatale dans le but de voir si ce type de dépression se distingue, par sa fréquence et les facteurs qui y sont associés, des dépressions présentes plus tard chez une mère. Nous rapportons les résultats d'une étude longitudinale sur un échantillon de plus de 1700 mères, de cinq mois à cinq ans après l'accouchement. Cet échantillon a été tiré de l'Étude longitudinale sur le développement des enfants du Québec (ÉLDEQ) menée par l'Institut de la statistique du Québec (lSQ) entre 1998 et 2003. La présence de symptômes dépressifs a été mesurée à l'aide de l'échelle Center for Epidemiologic Studies Depression Scale (CES-D). Pour ce faire, deux voies d'analyse sont empruntées. Tout d'abord, nous avons cherché à comparer la proportion de mères présentant des symptômes de dépression à chacun des temps étudiés. Ensuite, pour chacun des temps, à l'aide d'analyses bivariées et de modèles de régression logistique, nous avons comparé les facteurs associés à la présence des symptômes dépressifs. Les résultats démontrent qu'une proportion plus élevée de mère présente des symptômes de dépression cinq ans après l'accouchement que cinq mois après celui-ci. De plus, les facteurs associés à la présence de symptômes dépressifs sont très semblables au fil du temps. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : dépression postnatale, dépression, santé mentale des mères, étude longitudinale
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Étude comportementale de la spadine et de ses analogues : un nouveau concept d'antidépresseur / Behavioral study of spadin and its analogs : new antidepressant concept

Veyssiere, Julie 28 February 2014 (has links)
La dépression est une maladie psychiatrique qui atteint environ 20% de la population. En 2006 notre équipe a montré l’implication du canal potassique TREK-1 dans cette pathologie, et, en 2010, elle a identifié un bloqueur de TREK-1, la spadine, ayant des propriétés antidépressives. La spadine a la même efficacité après quatre jours de traitement que les antidépresseurs classiques qui en nécessitent vingt-et-un. Lors de mon doctorat, nous avons démontré la spécificité de la spadine pour les canaux TREK-1 et l’absence d’effet secondaire notamment au niveau cardiaque et sur les fonctions où l’activation du canal TREK-1 a des effets bénéfiques (ischémie, épilepsie, douleur). Nous avons pour cela utilisé des techniques d’électrophysiologiques et différents tests comportementaux adaptés à ces différentes pathologies. J’ai également démontré les effets antidépressifs de la spadine sur deux modèles animaux, un modèle génétique, les souris Rouen, et un modèle induit par un traitement à la coticostérone. La dernière partie de ma thèse a porté sur l’identification d’analogues de la spadine ayant une meilleure affinité et une meilleure efficacité in vivo, et ne présentant pas d’effet secondaire. Deux peptides synthétisés par la technique de retro-inverso ont présenté ces propriétés. Parallèlement, nous avons également recherché, en collaboration avec la société MedinCell, une formulation de polymère permettant la libération constante et prolongée de l’analogue sélectionné. Cette formulation a pour but de résoudre les problèmes engendrés par le non-respect de la prise de médicaments par les patients en administrant en une seule injection le traitement pour trois voire quatre semaines. / Depression is a devastating psychiatric disorder which affects about 20% of the population. In 2006 our team demonstrated the involvement of TREK-1, a potassium channel, in this pathology, and that its inhibition has led to a depression’s resistant phenotype. The search of TREK-1 inhibitors, a potential antidepressant, has led to the discovery of spadin. Spadin has, after only a four day treatment, similar efficacy than classical antidepressants which require about three weeks of treatment to produce their therapeutic effects. My work was firstly focused on the potential side effects of spadin. Indeed, TREK- 1’s activation has beneficial effects in many pathophysiologies (ischemia, epilepsy, pain). Its inhibition by spadin could generate significant adverse effects. The use of animal models has allowed us to confirm that spadin has no side effects related to TREK-1 channel’s inhibition. The specificity of spadin has been demonstrated since it has no effect on other potassium channels belonging to the K2P family. My work was also to study the effects of spadin in two mice models of depression, a genetic model and an induced model. In both cases, spadin shows a specific antidepressant effect in different behavioral tests of depression. The last part of my work was focused on the development of spadin’s analogs in order to improve the affinity and in vivo efficiency. We also developed, in collaboration with the MedinCell society, a polymer formulation for the constant and prolonged release of the selected analog. This formulation will be administered as a single injection treatment for three to four weeks, solving the problems caused by non respected medication by patients.
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Le rôle des symptômes dépressifs et de la sensibilité des pères dans le développement de problèmes intériorisés et extériorisés à la petite enfance

Beaupré, Andréanne 25 February 2021 (has links)
Un nombre restreint, mais croissant d’études suggèrent que les comportements paternels jouent un rôle dans le développement socioaffectif de l’enfant et que les problèmes de santé mentale peuvent se transmettre du père à l’enfant. Par contre, rares sont les études qui ont été réalisées durant la petite enfance et qui se sont intéressées au rôle des pratiques paternelles dans la transmission intergénérationnelle de la psychopathologie. Ce mémoire a pour objectif d’examiner le rôle de la sensibilité paternelle et des symptômes dépressifs du père dans le développement de problèmes intériorisés et extériorisés à la petite enfance. L’échantillon de l’étude réalisée comprend 91 familles (père, mère, enfant) qui ont été rencontrées à leur domicile lorsque les enfants étaient âgés de 12 mois. Les symptômes dépressifs des pères et des mères ont été mesurés à l’aide du Beck Depression Inventory. La sensibilité des deux parents a été mesurée de manière observationnelle à l’aide d’un système de codification basé sur l’analyse des interactions parent-enfant lors d’une rencontre à domicile d’une durée de 90 minutes. Les problèmes intériorisés et extériorisés de l’enfant ont été mesurés à l’aide du Brief Infant Toddler Social Emotional Assessment, un questionnaire complété par les deux parents séparément. Des analyses corrélationnelles et de régression ont été effectuées. Les résultats suggèrent que les symptômes dépressifs et la sensibilité du père contribuent de façon unique à la prédiction des problèmes intériorisés et extériorisés de l’enfant, et ce, au-delà des facteurs propres à la mère. Les résultats de ce mémoire soulignent le rôle que joue le père dans le développement socioaffectif de l’enfant et la transmission intergénérationnelle de la psychopathologie.

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