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Regularität und Variabilität in der Rezeption englischer Internationalismen im modernen Deutsch, Französisch und Polnisch : aufgezeigt in den Bereichen Sport, Musik und Mode /Jabłonski, Mirosław. January 1990 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Universität zu Köln, 1988-1989.
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Arkeologi och språk i Norra Östersjöområdet : en kritisk genomgång av de senaste årens försök att finna synteser mellan historisk lingvistik och arkeologi /Bågenholm, Gösta. January 1999 (has links)
Avhandling--Archaeology--Göteborg, 1999. / Résumé en anglais.
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La phonologie des emprunts français non anglicisés en anglais / The Phonology of Non-Anglicized French LoanwordsQuinio, Julie 12 February 2009 (has links)
Ce travail porte sur la phonologie des emprunts français non-anglicisés, c’est-à-dire qui ne suivent pas toutes les règles de l’anglais et conservent des caractéristiques françaises. Dans la première partie, nous décrivons la méthodologie employée pour la sélection du corpus, ce qui nous amène à étudier la terminologie utilisée dans la linguistique de l’emprunt, et présentons la base de données qui servira à l’analyse de ces emprunts. Dans la seconde partie, nous supprimons de cette base de données initiale toutes les variantes anglicisées, ce qui donne lieu à de nombreuses discussions sur la phonologie de l’anglais. Enfin, la dernière partie présente l’analyse de la base de données finale, ne contenant que des variantes non-anglicisées. En partant de l’idée que ces emprunts imitent la prononciation française, nous montrons comment les phonèmes français sont adaptés en anglais, et de quelle manière les locuteurs anglophones signalent l’origine française d’un mot. / This study focuses on the phonology of non-anglicized French loanwords, i.e. those which do not follow all English rules and retain French characteristics. The first part describes the methodology used for the selection of the corpus, which brings about discussions on loanword terminology, and presents the database that will be used in the analysis of these loanwords. The second part is dedicated to the deletion of the anglicized variants remaining in the database, which brings about many discussions on English phonology. Finally, the last part presents the analysis of the final database, containing only non-anglicized variants. Starting with the idea that these loanwords imitate the French pronunciation, we show how French phonemes are adapted into English, and how English speakers indicate the French origin of a word.
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Analyse de l'utilisation des éléments traditionnels dans la création de l’art contemporain chinois :un point de vue d'artisteZhao, Qiong 28 June 2018 (has links)
À partir de l’année 1979, une combinaison complexe s’est peu à peu formée entre d’une part ce qu’on appelle l'art contemporain occidental, et d’autre part l'environnement ancien de l'art chinois traditionnel, engendrant l'art contemporain chinois tel qu’il s’est construit jusqu’à nos jours. Au cours des différentes phases de ce processus, la réutilisation d’éléments traditionnels de l'art chinois dans des œuvres d'art contemporain a représenté une composante importante qui non seulement ne peut être ignorée, mais constitue l’une des forces structurante de la création artistique contemporaine chinoise.Pour cette thèse, c’est depuis un point de vue d’artiste, celui de l’auteur, qu’ont été menées quatre années de recherches, de réflexion et d’attention sur ces thèmes de la persistance et de la résurgence, dans la création contemporaine chinoise, d’éléments caractéristiques provenant du passé. Par une analyse historique de différentes phases de changement dans la création en Chine, à travers de nombreuses interviews que nous avons effectuées, par le recoupement de textes critiques et officiels, ainsi que par l’étude de recherches actuelles d'artistes contemporains, nous avons cherché à mettre en lumière les raisons profondes, la signification et l’importance de ces phénomènes dans l’art moderne chinois. / Doctorat en Art et Sciences de l'Art / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Predictions on markedness and feature resilience in loanword adaptationStoltzfus, Daniel Paul 20 April 2018 (has links)
Normalement, un emprunt est adapté afin que ses éléments étrangers s’intègrent au système phonologique de la langue emprunteuse. Certains auteurs (cf. Miao 2005; Steriade 2001b, 2009) ont soutenu que, lors de l’adaptation d’une consonne, les traits de manière d’articulation sont plus résistants au changement que les traits laryngaux (ex. : le voisement) ou que ceux de place. Mes résultats montrent cependant que les traits de manière (ex. : [±continu]) sont impliqués dans les adaptations consonantiques aussi fréquemment que les autres traits (ex. [±voisé] et [±antérieur]). Par exemple, le /Z/ français est illicite à l’initiale en anglais. Les options d’adaptation incluent /Z/ → [z] (changement de place), /Z/ → [S] (changement de voisement) et /Z/ → [dZ] (changement de manière). Contrairement aux prédictions des auteurs précités, l’adaptation primaire en anglais est /Z/ → [dZ], avec changement de manière (ex. français [Zelatin] gélatine → anglais [dZElœtIn]). Plutôt qu’une résistance des traits de manière, les adaptations étudiées dans ma thèse font ressortir une nette tendance à la simplification. Mon hypothèse est que les langues adaptent les consonnes étrangères en en éliminant les complexités. Donc un changement impliquant l’élimination plutôt que l’insertion d’un trait marqué sera préféré. Ma thèse innove aussi en montrant qu’une consonne est le plus souvent importée lorsque sa stratégie d’adaptation primaire implique l’insertion d’un trait marqué. Les taux d’importation sont systématiquement élevés pour les consonnes dont l’adaptation impliquerait l’insertion d’un tel trait (ici [+continu] ou [+voisé]). Par exemple, /dZ/ en anglais, lorsque adapté, devient /Z/ en français après l’insertion de [+continu]; cependant, l’importation de /dZ/ est de loin préférée à son adaptation (89%). En comparaison, /dZ/ est rarement importé (10%) en germano-pennsylvanien (GP) parce que l’adaptation de /dZ/ à [tS] (élision du trait marqué [+voisé]) est disponible, contrairement au cas du français. Cependant, le /t/ anglais à l’initiale, lui, est majoritairement importé (74%) en GP parce que son adaptation en /d/ impliquerait l’insertion du trait marqué [+voisé]. Ma thèse permet non seulement de mieux cerner la direction des adaptations, mais repère aussi ce qui favorise fortement les importations sur la base d’une notion déjà établie en phonologie : la marque. / A loanword is normally adapted to fit its foreign elements to the phonological system of the borrowing language (L1). Recently, some authors (e.g. Miao 2005; Steriade 2001b, 2009) have proposed that during the adaptation process of a second language (L2) consonant, manner features are more resistant to change than are non-manner features. A careful study of my data indicate that manner features (e.g. [±continuant]) are as likely to be involved in the adaptation process as are non-manner [±voice] and [±anterior]. For example, French /Z/ is usually not tolerated word-initially in English. Adaptation options include /Z/ → [z] (change of place), /Z/ → [S] (change of voicing) and /Z/ → [dZ] (change of manner). The primary adaptation in English is /Z/ → [dZ] (e.g. French [Zelatin] gélatine → English [dZElœtIn]) where manner is in fact the less resistant. Instead, during loanword adaptation there is a clear tendency towards unmarkedness. My hypothesis is that languages overwhelmingly adapt with the goal of eliminating the complexities of the L2; a change that involves deletion instead of insertion of a marked feature is preferred. Furthermore, my thesis shows for the first time that a consonant is statistically most likely to be imported if its preferred adaptation strategy involves insertion of a marked feature (e.g. [+continuant] or [+voice]). For example, the adaptation of English /dZ/ is /Z/ in French after insertion of marked [+continuant], but /dZ/ is overwhelmingly imported (89%), instead of adapted in French. I argue that this is to avoid the insertion of marked [+continuant]. This contrasts with Pennsylvania German (PG) where English /dZ/ is rarely imported (10%). This is because unlike in French, there is an option to adapt /dZ/ to /tS/ (deletion of marked [+voice]) in PG. However, English word-initial /t/ is heavily imported (74%), not adapted, in PG because adaptation to /d/ involves insertion of marked [+voice]. Not only does my thesis better determine the direction of adaptations but it also establishes the circumstances where L2 consonants are most likely to be imported instead of being adapted, on the basis of a well-known notion in phonology: markedness.
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Étude des emprunts faits à l'espagnol d'Amérique latine par le français : étude lexicologique et lexicographiqueLafourcade, Cécile 16 April 2018 (has links)
La présente étude porte sur la question des emprunts faits à l'espagnol d'Amérique latine par le français. S'inscrivant dans la lignée des travaux d'Alain Rey, de Josette Rey-Debove, de Jean-Claude Boulanger ou de Louis Guilbert, l'étude consiste en une analyse de 128 emprunts à l'espagnol d'Amérique ladne d'un point de vue lexicologique, puis d'un point de vue lexicographique. Dans la partie lexicologique, il s'agit d'analyser les emprunts selon plusieurs critères : d'après les siècles d'entrée dans la langue française, par langues d'origine ou selon les pays dont ils proviennent, puis suivant les domaines auxquels ils appartiennent. La création de dérivés une fois les emprunts intégrés dans la langue est aussi étudiée. La partie lexicographique s'attarde sur les différences de traitement entre trois dictionnaires. Ce sont d'abord le Petit Robert électronique 2008 et le Petit Robert 1967 qui sont analysés, puis le Petit Robert électronique 2008 et le Petit Larousse illustré 2008 sont comparés. Les points qui sont passés en revue concernent la graphie, la rubrique étymologique (la date et la langue d'emprunt, la prononciation), mais aussi différents éléments de la définition, comme les genres et les catégories, les marques d'usage, les locutions et les définitions en elles-mêmes.
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Les usages et leurs propriétés distinctives de whatever comme marqueur d’approximation en chiacJackman, Francesca 27 September 2019 (has links)
This study examines the functions of the borrowed discourse marker (DM) whatever in Chiac, an Acadian French dialect spoken in the southeastern region of New Brunswick (Canada). Analyzing data from two relatively homogenous corpora, a detailed description of the properties of whatever in its most frequent role, that of an approximation marker, is provided. In this role, it can signal that the speaker is unable to recall a particular word or detail relating to previous content or mark indifference towards the accuracy of the statement. When whatever marks a forgotten element, it is often preceded or followed by a sign of hesitation or is followed by a reformulation which clarifies what the speaker intended to say. This contrasts with the use of whatever to mark imprecision. This research uses contextual clues to differentiate various usages of whatever, and as such, it offers a methodology for the analysis of the polyvalent DM whatever. / Graduate
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Poétique du "sauvage" : une pratique de tatouage dans le monde contemporain / Poetics of the "savage" : practice of tattooing in the modern worldMüller, Elise 22 February 2012 (has links)
Bien qu’ancien, l’engouement de l’Occident pour le tatouage ne paraît pas perdre de sa vigueur. Ainsi trouve-t-on dans ses villes quantité de studios de tatouage, Salons ou magazines spécialisés. L’iconographie de la marque semble être le fruit d’un étonnant syncrétisme, dont l’imaginaire « sauvage » est une importante partie. Tatouages maoris ou calligraphies arabes, dragons ou animaux sauvages, non issus de la culture occidentale, sont en effet des motifs très en vogue. Véritable mode d’expression cutané, le tatouage ethnique indique un certain regard sur le monde, sur l’Autre, comme le chemin que l’on choisit d’emprunter dans l’approche du « sentiment d’être soi ». Depuis les cabinets de curiosités du seizième siècle, le monde occidental collectionne l’Ailleurs en lui attribuant des qualifications parfois approximatives. Paroxysme de l’altérité, le « sauvage » s’oppose en tous points à une contemporanéité résolument urbaine. Il paraît en effet exister une « poétique du sauvage », faite de fantasmes exotiques, et trouvant dans le monde contemporain un écho particulier. Examinant au plus près la thématique des tatouages ethniques et la mettant en relation avec l’engouement grandissant de l’Occident pour les arts premiers et l’exotisme rêvé de l’Autre et de l’Ailleurs, cette thèse tente de déterminer quel est le rôle de cette « poétique du sauvage » dans la construction de soi. Recueillant les témoignages de tatoués ethniques et de tatoueurs, elle met au jour cinq grands types de motivations qui s’entrecroisent et s’inscrivent toutes dans le cadre du récit personnel. / Ancient as it may be the popularity for tattoo does not seem to wane in the West. Indeed, we can find a great number of tattoo studios, exhibitions or magazines in our cities. The iconography of the brand seems to be the result of an amazing syncretism of which the "wild" imagery is an important part. Maori tattoos, Arabic calligraphy, dragons and wild animals, not from Western culture, are indeed very popular patterns. True mode of expressions of the skin, the ethnic tattoo indicates a certain view of the world, a view of the Other, as the path one chooses to follow in order to search for a "sense of self". Since the cabinets of curiosities of the sixteenth century, the Western world collects the Elsewhere in assigning qualifications that are, sometimes, approximate ones. Paroxysm of otherness, in every aspect, the "savage" is in opposition to a decidedly urban contemporary reality. Indeed, a "poetics of the wild" made of exotic fantasies, seems to find an echo in the modern world and is particularly popular. Looking closer to the theme of ethnic tattoo and linking it with the growing popularity in the West for the tribal arts and dreams of the exotic Other and elsewhere, this thesis attempts to determine the role of this "poetics of the wild" in self-construction. Including testimonies from ethnic tattooed individuals, tattoo artists, it uncovers five major types of motivations that are intertwined and that are all part of a personal narrative.
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Rome et le Royaume d'Arménie : interactions politiques, militaires et culturelles (65 av. - 224 ap. J.-C.) / Rome and the Kingdom of Armenia : political, military and cultural interactions (65 BC - AD 224)Kéfélian, Anahide 06 March 2017 (has links)
Pendant près de cinq siècles, Rome ne cessa de tenter de maintenir sous influence l'Arménie face aux ambitions parthes puis sassanides, en raison de la position stratégique de ce royaume. Cette thèse se concentre sur les relations entretenues par Rome depuis la deditio de Tigrane II en 65 av. J.-C., et jusqu'en 224 ap. J.‑C., date de l'arrivée des Sassanides. Généralement, les études de ces relations ne se limitent qu'à donner la vision événementielle de la question. Cette thèse remet en contexte les relations diplomatiques entre Rome et l'Arménie ainsi que les interactions qui en découlent en prenant en considération d'autres sources jusqu'alors peu étudiées. Dans ce but, une analyse thématique, divisée en trois parties, a été réalisée. La première partie analyse la représentation de l’Arménie transmise par Rome par l’étude de son image monétaire et sa représentation dans la sculpture. La seconde remet en contexte les relations diplomatiques, vues précédemment à travers le prisme idéologique des monnaies, pour comprendre les tactiques romaines visant à intégrer et maintenir le royaume d'Arménie dans la sphère romaine. Enfin, la troisième partie se concentre sur la présence romaine dans le royaume d'Arménie en étudiant la répartition des troupes romaines et les interactions culturelles et linguistiques qui en découlent. / For almost five centuries, the Roman Empire tried to keep Armenia under its influence against the ambitions of the Parthians and Sassanians, due to the strategical location of this kingdom. This thesis reviews the relationship of the Roman Empire with Armenia from the deditio of Tigrane II in 65 BC until the arrival of Sassanians in AD 224. Typically, such studies are only based on factual events. In this thesis however, the diplomatic relationship between Rome and Armenia and the resulting interactions are put into context by also taking into account other sources, which have rarely been studied until now. Therefore, a thematic analysis was performed, which is divided in three parts. The first part deals with the depiction of the Armenian Kingdom that Rome conveyed by analysing its monetary iconography and its representation in the sculptures. The diplomatic relationships, beforehand seen through the ideological prism conveyed by the coins, are put into context in the second part. This allows to understand the tactics used to integrate and keep the Armenian Kingdom in the Roman sphere of influence. The third and last part concentrates on the Roman presence in the Armenian Kingdom by studying the distribution of Roman troops and the resulting cultural and linguistic interactions.
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Le rôle du sanskrit dans le développement de la langue khmère : une étude épigraphique du VIe au XIVe siècle / The role of Sanskrit in the development of the Khmer language : an epigraphic study from the 6th to the 14th centuryChhom, Kunthea 16 December 2016 (has links)
Le Cambodge ancien (VIe – XIVe siècle) est riche en inscriptions, composées principalement en sanskrit, en vieux khmer et en deux langues (sanskrit et khmer). L’impact du vocabulaire sanskrit dans l’enrichissement linguistique du khmer n’avait pas encore étudié jusque-là en détail. Le présent travail propose d’examiner les inscriptions khmères et sanskrites comme un ensemble. Il traite des sujets et des domaines dans lesquels les éléments sanskrits apparaissent dans les inscriptions khmères ; à savoir : les donations, la datation, les bénédictions-malédictions, les noms propres, l’orthographe, le vocabulaire de l’administration royale, les fonctions des serviteurs dans les temples, la prosodie, la dérivation, les objets offerts aux dieux et les objets cultuels. Les emprunts sanskrits dans chaque domaine présentent différentes caractéristiques dans leur interaction avec les mots khmers ; certains d’entre eux ont des connotations locales, d’autres deviennent des modèles de « calques » du sanskrit vers le khmer. Si les premières inscriptions semblent favoriser le sanskrit (dans certains cas, sous des formes prākritisées), celles du Xe siècle sont en khmer et se distinguent par l’abondance de nouveaux emprunts au sanskrit. Le Xe siècle est aussi marqué par l’apparition de textes qui contiennent des passages équivalents dans leurs versions sanskrite et khmère ; et en XIIe et XIVe siècle nous trouvons deux inscriptions comprenant des passages équivalents en khmer et en pāli. Ces passages montrent que les textes sanskrits jouent non seulement le rôle « rhétorique » qui était réservé au sanskrit mais aussi le rôle « documentatif » considéré comme propre aux textes khmers. / Ancient Cambodia (6th – 14th century A.D.) is relatively rich in inscriptions, composed mainly in Sanskrit, in Old Khmer and in both languages (Sanskrit and Khmer). The impact of Sanskrit on the linguistic enrichment of the Khmer language has not been studied in detail. The present study proposes to examine the Sanskrit and Khmer parts together. It deals with the domains where Sanskrit elements appear densely clustered in the Khmer inscriptions, such as descriptions of donations, formulations of dating, boons and curses, proper names, orthography, royal administration, accounts of the functions of servants in temples and of objects offered to gods and cult objects. It also touches on areas where there appears to have been less palpable influence, such as prosody and morphological derivation. The Sanskrit loanwords in each domain show different features of interaction with Khmer terms: some of them acquire local connotations; some may be “calques” from Sanskrit into Khmer. (Calques of Khmer expressions in Sanskrit are also considered.) If the early inscriptions seem to favour Sanskrit (in some cases, in Prākritised forms), those from the 10th century A.D. onwards are increasingly in a form of Khmer characterized by an abundance of new Sanskrit loanwords. The 10th century is also marked by the appearance of some texts containing “equivalent” passages in their Khmer and Sanskrit portions; later on, in the 12th and the 14th century we find two inscriptions with equivalent passages in Khmer and Pāli. These passages prove that Sanskrit texts play not only the “rhetorical” role for which they are famous, but also the “documentative” role associated with the Khmer texts.
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