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Une institution politique à l'épreuve de la crise : la Banque Centrale Européenne dans l'Union Economique et Monétaire (août 2007 - janvier 2012)

Fontan, Clément 03 December 2012 (has links) (PDF)
Comment la Banque Centrale Européenne (BCE) a-t-elle étendu son influence et ses compétences dans l'Union Economique et Monétaire (UEM) pendant la crise de la zone euro? Pour répondre à cette question, nous analysons le jeu politique de la BCE, basé sur un double mouvement paradoxal de défense de sa réputation originelle et d'extension de ses compétences au-delà de la sphère monétaire. Cette stratégie lui a permis de gérer les tensions et les opportunités liées à la crise de la zone euro : ses canaux d'influence (son monopole sur la liquidité, la reconnaissance de son expertise sur les marchés financiers et son autorité morale) ont plus d'impact qu'en temps normal mais, en même temps, elle la force à implémenter des politiques qui représentent un écart avec sa réputation originelle, basée sur les postulats ordo-libéraux et l'exemple de la Bundesbank. L'étude des mécanismes au cœur du processus de délégation entre les Etats de la zone euro et la BCE permet alors d'attester de la réussite de ce double mouvement et d'explorer la redéfinition de la place de la BCE au sein de l'UEM se déroulant pendant la crise. Ces éléments sont analysés à travers trois études de cas : le paramétrage des instruments de politique monétaire de la BCE pendant la crise, le processus de résolution de crise au sein de l'UEM, et la création d'un nouvel organisme de surveillance des risques macro-systémiques. La méthodologie de recherche est basée sur une approche relationnelle de la BCE qui inclut des entretiens semi-dirigés auprès d'une trentaine de hauts-dirigeants de l'UEM et une analyse des sources primaires et secondaires.
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European Culture Wars? Abortion and Human Embryonic Stem Cell Research (1998-2015)

Mondo, Emilie 11 October 2018 (has links)
This research addresses the conflictualization dynamics induced by the politicization of religion at the supranational level. It tests the Union’s institutional capacity to routinize dissension, temper animosities, and reconcile divergences in the light of religiously-loaded, issue-specific controversies. So-called “morality issues” such as abortion or human embryonic stem cell research emerged onto the EU agenda at the end of the 1990s. The main sites of bioethical contention correspond to the European Parliament and Commission arenas, where political, social, and religious entrepreneurs have been pursuing ideological interests of either liberal or conservative nature. We developed an interpretative approach to their discourses and perceptions through the qualitative content analysis of semi-structured interviews and online documentary sources. A key task consisted in determining whether one observes the routinization of bioethical conflicts by European institutions (“business-as-usual” scenario) or whether the said conflicts are remaining extrinsic to the Brussels political game (“culture wars” scenario). In other words, is the emergence of new stakes – morality issues – prompting the emergence of new divisions and repertoires of action? We put to the test the normal course of EU politics in the light of (1) the structuration of morality divides along religious, political, and national frontlines; and (2) the materialization of morality antagonisms through discursive, bureaucratic, and mobilization weapons. Overall, the “polarization” and “political style” variables showed that the supranational debates on abortion and hESCR do not fully alter the logics of supranational governance; in return, the EU polity is not closed to the crystallization of politicized modes of dissent expression. The hypothesis of an intermediary scenario oscillating between policy-seeking and position-taking perspectives is thus confirmed. On the one hand, issue-specific alliances characterized by internal multifold diversities do play the institutional rules of the European political game in their quest for ideological influence on the decision-making process. On the other hand, limited supranational competences on religiously-loaded issues constrain conflicting factions’ leeway to a symbolic use of morality causes and beliefs as instrumental devices worth of credit-claiming and identity-posturing. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Réflexions sur la nature de l'Union Européenne à partir du respect de l'identité nationale des Etats membres / Reflections on the European Union's nature from the respect of Member States' National identity

Lehmann, Pierre-Etienne 11 December 2013 (has links)
Selon la devise européenne, « Unie dans la diversité », la construction européenne viserait à unir de façon sans cesse plus étroite les États membres et leur peuple sans pour autant menacer leur existence. Une telle formule semble ainsi placer le principe du respect de l’identité nationale au cœur des relations entre États membres et Union européenne. En effet, l’identité nationale représente la synthèse des caractéristiques fondamentales des différentes nations européennes, pour certaines singularisant chaque État, pour d’autres reflet d’une nécessaire homogénéité entre les membres d’une même communauté. Le respect de cette identité participe activement à la préservation de l’existence étatique, mais également à l’évolution de l’Union elle-même. Certes, l’exigence d’une préservation identitaire fut d’abord formulée au niveau interne, l’État menaçant alors de protéger unilatéralement son identité constitutionnelle à l’encontre du droit de l’Union. Néanmoins, d’une exigence souveraine étatique, le respect de l’identité nationale est progressivement devenu une notion du droit de l’Union. Bien que récemment entré dans le champ des compétences de la CJUE, ses implications notamment jurisprudentielles se dessinent déjà sur la construction européenne. Il est même devenu un principe d’interprétation, ainsi qu’un motif susceptible de justifier de façon autonome une restriction à l’application du droit de l’Union. Il met en lumière la singularité de la nature et du fonctionnement de l’Union, en contribuant tant à la limitation de la résistance souveraine des États, qu’à l’émergence d’un pluralisme juridique. D’ailleurs, il tend à renforcer cette singularité, d’une part en favorisant l’émergence d’un statut d’État membre au sein duquel le respect des éléments spécifiques de son identité serait un droit, et d’autre part en accompagnant la constitutionnalisation de l’identité de l’Union provenant de l’absorption et de la protection d’éléments communs aux identités constitutionnelles. Ainsi, le principe s’inscrit particulièrement bien dans le contexte de la spécificité de la construction européenne, en ce qu’il en est non seulement l’une des résultantes, mais également parce qu’il en devient progressivement l’une de ses sources. / According to the European motto, « United in diversity », European construction would aim at an ever closer union among member States and their people without threatening their existence. Thus, such a formula seems to place the principle of national identity’s respect at the heart of the relationships between member States and the European Union (EU). Indeed, national identity is the synthesis of fundamental characteristics of each European nation, which both differentiates each State and reflects useful homogeneity between members of the same community. The respect of this identity participates to the preservation of States’ existence, but also to the evolution of the EU itself. The requirement of identity preservation was certainly first formulated at the national level, when States threatened to unilaterally protect their constitutional identity against EU law. Yet, national identity’s respect has changed from a sovereign State demand to an notion of Union law. Although it entered the scope of ECJ competence recently, it has already visible consequences on the European construction. It has even become a principle of interpretation and a way to justify an obstacle to trade autonomously. It highlights the originality of EU nature and functioning, in contributing not only to limit the sovereign resistance of States, but also to make legal pluralism emerge. Furthermore, it tends to reinforce this originality, on the one hand, by underpinning the development of a member States specific status, giving it a right to have its specific features respected, and, on the other hand, by strengthening constitutionalisation of EU identity based on the common elements of national constitutional identities. As a consequence, this principle shows the originality of European construction by being not only its results, but also one of its sources.
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Essai sur l'Union Monétaire Européenne. / Essays on the European monetary union

Labondance, Fabien 07 December 2011 (has links)
Afin de répondre au questionnement général de cette thèse qui traite de la viabilité de l'union monétaire européenne, ce travail est divisé en trois parties. Dans la première, nous analysons notre objet d'étude à un niveau méta. Nous montrons ainsi que l'architecture institutionnelle de la zone euro est axée sur la stabilité monétaire sans proposer formellement des mécanismes d'ajustement aux chocs. La deuxième partie s'intéresse à la question de la synchronisation des économies européennes par l'intermédiaire de deux essais. Nous montrons que d'importantes hétérogénéités demeurent. La troisième partie analyse des questions relatives à la transmission de la politique monétaire. Cela se réalise avec deux essais qui montrent d'une part que la transmission de la politique monétaire dans la zone euro a été fortement perturbée par la crise des subprimes et, d'autre part, que l'influence de la BCE sur les actions des marchés européens est faible. Cette thèse insiste par conséquent sur le caractère incomplet du processus d'intégration économique et monétaire européen et sur sa nécessaire réforme. / The main objective of this thesis is to investigate the problematic of the viability of the European monetary union. This work is divided in three parts. In the first one, we analyse our object of research in order to precise several research axes to study in priority. We show that the European monetary union in mainly focused on the monetary stability without any formal adjustments mechanisms. The second part is focused on the question of the European members' economies synchronisation. We show that large heterogeneities remain. Two essays on the monetary policy pass-through compose the third part. We demonstrate that the interest rate pass-through was affected by the subprimes crisis and that the ECB's influence over the European stock markets is weak. This thesis insists on the fact that the European monetary and economic process of integration is incomplete and should be reinforced.
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Some aspects of external relations and foreign policy of the European Community: European political cooperation and defense / security issues

Ifestos, Panayiotis J. January 1986 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Socialisation et consensus européen en Belgique

Mayer, Nicole January 1976 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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« Breaking news » dans la relation de l'UE aux médias? Correspondants permanents des nouveaux Etats membres à Bruxelles (2004-2014)

Sobotova, Alena 27 October 2017 (has links)
La thèse étudie les interactions entre les correspondants bruxellois et leur milieu de travail.Elle adopte une perspective centrée sur les acteurs. Comment l’arène bruxelloise structure et est structurée par les pratiques et représentations des correspondants issus des Etats ayant adhéré à l’Union depuis 2004 ?L’étude de cette partie du corps de presse permet de comprendre les dynamiques à l’oeuvre dans la relation entre l’Union européenne et les médias.Les correspondants des nouveaux Etats membres proviennent des contextes socio-politiques et médiatiques marqués par le passé (post)communiste. Ils trouvent à Bruxelles un univers professionnel qui peut constituer à la fois un modèle de référence, mais aussi une source de déstabilisation. En même temps, ils peuvent contribuer à certains remaniements enclenchés par les élargissements. Deux larges hypothèses sont proposées. L’une conçoit les correspondants des nouveaux Etats membres comme des révélateurs des dynamiques propres au milieu bruxellois. L’autre les perçoit plutôt comme des sources de changement. Le corpus principal est constitué des entretiens semi-directifs avec les correspondants et d’autres acteurs de la sphère de communication bruxelloise. Des périodes d’observation complètent les entretiens. Ces données sont interprétées grâce à une analyse qualitative de contenu conjuguée à certaines techniques discursives. En ressort un constat d’une triple normalisation. La socialisation aux réalités de l’UE contribue à la banalisation de l’ordre politique européen. Le statut de membre de ces Etats est pris pour acquis. Enfin, on observe une routinisation du travail des correspondants issus des pays nouvellement entrés. Leurs spécificités réelles et imaginées perdent d’acuité. / ENGLISH ABSTRACT :The thesis analyses the ways Brussels press corps interacts with its work environment. Our goal is to understand how Brussels ‘milieu’ structures and is structured by practices and representations of media correspondents from New Member States (from 2004 onwards). The political, social and media contexts of these countries are potentially marked by their (post)communist past. Coming to Brussels may provide an opportunity for these journalists to reassess their behavioral and cognitive schemes. Thus, looking at this specific part of the press corps enables us to grasp the dynamics of European socialization and the relationship between the European Union and the media. Along with correspondents’ adaptation, we are also interested in discovering any transformations caused or facilitated by the arrival of these new players to Brussels. Two large hypotheses are formulated. In the first one, New Member States’ correspondents adapt to the specificities of Brussels arena. The second one is depicting them as a source of change. Our main empirical corpus is composed of interviews with correspondents and other actors of the Brussels communication sphere. Interviews are complemented by periods of observation. The resulting data is interpreted using qualitative content analysis together with some discourse analysis techniques. Our results point to a triple normalization. Exposition to Brussels reality leads to a banalization of European political order, general acceptation of membership status of newly joined countries and a routinization of their correspondents’ practices. Both imagined and tangible specificities of New Member States’ correspondents have diminished. Those players are not perceived as significantly distinct from the rest of the press corps. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La dimension parlementaire de l'action extérieure de l'Union européenne / The Parliamentary Dimension of the European Union's External Action

Cadilhac, Marie-Cécile 02 December 2017 (has links)
La dimension parlementaire de l’action extérieure de l’Union européenne, entendue comme la place occupée par le Parlement européen et par les parlements nationaux des Etats membres en tant qu’acteurs de l’action extérieure, se déploie à deux niveaux. Elle s’exprime tout d’abord, au sein de l’Union, à travers l’exercice des pouvoirs parlementaires octroyés par les traités (et le cas échéant par les droits constitutionnels nationaux), et ce de façon incontestable. Elle s’exprime ensuite sur la scène internationale au travers de multiples actions de diplomatie parlementaire, en l’absence de cadre juridique érigé par les traités, et ce de façon ambiguë. Dans l’un comme dans l’autre cas, la dimension parlementaire de l’action extérieure apparaît comme un atout, mais sous conditions, pour la poursuite de l’objectif d’affirmation de l’Union sur la scène internationale. Elle est en effet, en principe, un atout pour la légitimité démocratique de l’action de l’Union et pour la cohérence matérielle de l’action extérieure. Néanmoins, dans la pratique, cet atout demande à être confirmé. Afin d’être un atout effectif, la dimension parlementaire de l’action extérieure de l’UE suppose, à cet égard, d’assurer une conciliation harmonieuse de la légitimité démocratique de l’action de l’UE avec l’affirmation de l’Union sur la scène internationale. La quête de cette conciliation conduit à la formulation de réponses – réalisées ou réalisables – qui suivent un mouvement distinct selon l’espace d’expression des parlements. Lorsque le Parlement européen et les parlements nationaux agissent au sein de l’Union, les solutions résident dans la réalisation de multiples adaptations à partir du cadre juridique et institutionnel érigé par les traités. Ces adaptations, qui restent perfectibles, expliquent que la dimension parlementaire de l’action extérieure soit aujourd’hui encore un processus en construction. Lorsque le Parlement européen et les parlements nationaux agissent sur la scène internationale, les solutions résident dans la structuration d’un cadre juridique global, les règles juridiques existantes étant pour l’heure parcellaires et incomplètes. En définitive, l’action extérieure de l’Union s’enrichit d’une dimension parlementaire qui suppose, au sein de l’Union, d’approfondir les multiples adaptations réalisées à partir du cadre juridique existant et, sur la scène internationale, de structurer un cadre juridique global pour l’heure inexistant. / The parliamentary dimension of the European Union’s External Action, to be understood as the involvement of the European Parliament and of the National Parliaments of EU Member States as actors of the External Action, is rolled out on two levels. Firstly, it is undoubtedly articulated within the European Union, through the exercise of parliamentary powers conferred by the treaties (and, where appropriate, by national constitutional Law). Secondly, it is ambiguously articulated on the international scene through various parliamentary diplomatic actions, without any legal framework set up by the treaties. In both cases, the parliamentary dimension of the External Action appears to be an asset, but under conditions, for the assertion of the European Union on the international scene. It is, in principle, an asset for the democratic legitimacy of the EU’s Action and for the coherence of the External Action. However, it needs to be confirmed in practice. In order to be a truly effective asset, the parliamentary dimension of the EU’s External Action requires reconciling the democratic legitimacy of the EU’s Action with the assertion of the European Union on the international scene. The quest for this conciliation leads to different answers – effective or desirable – which follow a particular pattern depending on the parliaments’ “area of expression”. When the European Parliament and the National Parliaments act within the EU, these answers consist of multiple adaptations of the legal and institutional framework established by the treaties. These adaptations, which are still imperfect, can explain why the parliamentary dimension of the External Action is still a process under construction. When the European Parliament and the National Parliaments act on the international scene, the solutions consist of the structuring of a comprehensive legal framework, since the existing legal rules remain piecemeal and incomplete. Eventually, the EU’s External Action is enriched by a parliamentary dimension which implies deepening, inside the EU, the multiple adaptations achieved from the existing legal framework, and which implies structuring, on the international scene, a global legal framework, which is missing for the moment.
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Consultation et concertation sociales à l'échelle de la Communauté économique européenne: étude des positions et stratégies de la Confédération européenne des syndicats, 1958-1991

Gobin, Corinne January 1996 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'Union européenne et les collectivités locales turques / European Union and turkish local governments

Dölek, Rukiye Mehtap 12 November 2016 (has links)
Suite à un long processus, la Turquie a obtenu le statut de pays candidat en 1999 et elle a commencé les négociations avec les institutions européennes en 2005. En effet, la Turquie s’engage à l’harmonisation de ses systèmes juridique, politique et institutionnel avec celui de l’UE. Certes, c’est l’État turc qui exclusivement participe à ces négociations, ses collectivités locales sont cependant concernées. Depuis 2003, le gouvernement a mis en place une série de réformes pour moderniser l’administration publique. Cette modernisation s’appuie sur « la décentralisation à la turque » qui permet de réorganiser les relations et les répartitions des compétences entre l’État et ses collectivités locales auxquelles les lois confèrent une autonomie administrative et financière. Grâce à l’introduction des instruments variés, le droit des collectivités locales est en pleine mutation. Plusieurs indices mentionnés révèlent, que les revendications et le droit de l’UE sont à l’origine de cette mutation. Partant de l’idée que la pratique des pays membres, conduit à reconnaître que l’UE et les entités infra-étatiques sont comme des partenaires, les collectivités locales turques cherchent un nouveau rôle vis-à-vis de l’UE. Ce partenariat se base sur la gouvernance à multi-niveaux. Cependant, ni le droit turc ni le droit de l’UE ne privilégient la place des collectivités locales turques dans cette politique. D’ailleurs, certaines relations que les collectivités locales entretiennent avec leurs homologues européens au sein de l’UE et ses institutions engendrent une véritable intégration / After a long process, Turkey became a candidate country in 1999 and started to negotiate with the European institutions in 2005. Turkey is indeed committed to harmonizing its political, juridical and institutional system with the EU. Certainly, it is only Turkish state which is taking part in in these negotiations, local authorities are however concerned. Since 2003, the government has established reforms in order to modernize public administration. This modernization is based on “Turkish decentralization” which enables to reorganize relationships and the division of expertise between the state and local administration to which laws give administrative and financial autonomy. Thanks to the introduction of various instruments, territorial communities law is changing. Many indications that the EU is at the origin of these mutations. Assuming that the practice of member states leads to the recognition that the EU and local administrations function as partners, the Turkish local administrations are aspiring to a new role regarding the EU. This partnership is based on multi- level governance. Nevertheless, neither the Turkish law or the EU law, favor the position of local administrations in this politic. Besides, some relations that local administrations have within the EU, lead to a true integration

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