• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 7
  • Tagged with
  • 7
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Recherches sur l'iconographie des fêtes de cour en France (1515-1589) / Survey of the iconography of French courts festivals (1515-1589)

Albert, Laure 09 January 2012 (has links)
Évoquer l'iconographie des fêtes à la Renaissance revient à travailler sur les humanistes et les courants de la pensée néoplatonicienne qui influencèrent les artistes de cette époque et aboutirent au syncrétisme des arts dans les divertissements royaux. Dans l'art éphémère de la fête - entrées, mascarades, bals et ballets - les costumes des figures mythologiques, antiques et bibliques remis au goût du jour sur un mode ludique, actualisés par les nouveaux thèmes issus des voyages d'exploration - exotisme américain et tradition du vieux monde - sont transposés dans le contexte du XVIe siècle. Pour accompagner ce langage, tout un decorum est déployé qui fait évoluer la notion de spectacle et de ses lieux de représentation, aidé par l'actualité socio-politique faite tantôt de paix et d'alliances tantôt de guerres (de religions). La fête est un moyen idéalisé d'affirmer le pouvoir royal. En cela, elle devient un vecteur de communication, voire de communion. Somptueuses et novatrices, elles sont les prémisses de la magnificence des fêtes des siècles suivants. / Dealing with the iconography of fetes in the Renaissance means investigating into humanism and the neo Platonist currents of thought which influenced the artists of the time and led to the syncretism of arts in court celebrations.In the ephemeral art of revels -entries, masquerades, balls and ballets- the costumes of mythical figures from the Bible or the Antiquity were then brought back to the fashion of the sixteenth century with a playful twist and updated through the new themes inspired by the Great Explorations, such as the contrast between the exoticism of the New World and the traditions of the Old World. Along with those codes, the establishment of a new decorum allowed the evolution of the notion of performance and of the places best suited for theatricals. Social and political issues of a time fraught with religious wars, alliances and peace, also contributed in paving the way for such changes.Celebrations thus proved the quintessential instrument of the assertion of royal power, which turned them into vectors of communication, not to say communion. Both sumptuous and innovative, they foreshadowed the magnificent fetes of the following centuries.
2

Faiseurs de féeries : mise en scène, machinerie et pratiques cinématographiques émergentes au tournant du XXe siècle

Tralongo, Stéphane 11 1900 (has links)
Réalisé en cotutelle avec l’Université Lumière Lyon 2 / Cette thèse se donne comme objectif de renouveler la conception historique qu’on s’est généralement faite jusqu’à présent des rapports que le monde des arts de la scène a établis avec les pratiques cinématographiques émergentes au tournant du xxe siècle, en remettant profondément en question les idées de primitivité des films, de crédulité des spectateurs et de pré-cinématographicité des formes. Notre recherche vise en particulier à replacer les féeries cinématographiques de Georges Méliès dans le cadre institutionnel du théâtre parisien de cette époque, de façon à montrer que leur histoire s’inscrit plus largement dans celle des techniques, des savoir-faire et des métiers du spectacle de scène tel qu’on le conçoit alors au Châtelet, à la Gaîté ou aux Folies-Bergère. Nous développons pour ce faire une approche historiographique qui ne part plus du principe qu’il s’agit d’étudier les relations entre deux arts concurrents – ce que laissaient entendre les travaux qui mettaient d’emblée « théâtre » et « cinématographe » sur le même plan –, mais qui propose de considérer les relations en question d’abord et avant tout comme celles qui s’engagent entre une institution culturelle ancienne et une toute nouvelle technologie. Nous cherchons ainsi à montrer que le cinématographe vient s’ajouter à la longue série culturelle des attractions lumineuses qui apparaissent avec l’avènement de l’éclairage électrique. Dans la première partie (« Le spectacle de l’électricité »), nous nous intéressons aux pratiques d’éclairage et aux habitudes de vision qui ont permis aux spectateurs de féeries de comprendre et d’apprécier le spectacle cinématographique. Dans la deuxième partie (« L’illusion de la technique »), nous examinons comment différentes formes d’intégration et d’hybridation des techniques dans les féeries vont faciliter l’appropriation précoce du cinématographe par les gens de théâtre. Dans la troisième partie (« L’art du cinématographe »), nous montrons que l’esthétique des tout premiers films a été façonnée par des règles de création et des critères d’appréciation qui relevaient de l’institution théâtrale et qui, de ce fait, pouvaient déjà donner une certaine valeur artistique à ces films. L’enjeu principal de la présente recherche est donc d’offrir une vision plus juste et plus nuancée de ce qu’a été le spectacle de scène dans son rapport aux technologies et, en particulier, à cette nouvelle machine qu’est le cinématographe. / The goal of this dissertation is to renew our historical view of the exchanges occurring between theatre and early film practices at the turn of the twentieth century, by questioning the ideas of primitive cinema, credulous audiences and precinematic forms. Our research aims to put more specifically Georges Méliès’ féeries back into the institutional framework of the parisian theatre, in order to show how these films are part of the history of techniques which were used at the Châtelet, the Gaîté and the Folies-Bergère. Previous studies have generally postulated that theatre and cinema were, from the very beginning, two rival art forms. However, our historiographical approach differs from this assumption, seeing the relationship instead as that between an old cultural institution and a brand new technology. We think our understanding of early cinema could be improved if we acknowledge that the kinematographic technology belonged to the broad cultural series of luminous attractions appearing with the emergence of electric lighting. In the first part (« The spectacle of electricity »), we study lighting practices and habits of vision that helped féeries’ spectators to understand and enjoy early cinema. In the second part (« The illusion of technique »), we investigate how the integration and hybridization of technologies in féeries led theatre workmen to use the kinematograph on stage. In the third part (« The art of kinematography »), we prove that early cinema aesthetics has been shaped by rules of creation and assessment criteria belonging to the institution of theatre, such that films could already be seen by spectators and critics as artistic forms. The main challenge of this research is to offer a more accurate vision of the history of theatre in its relation to technologies and, in particular, to this new machine that was, at the time, the kinematograph.
3

Faiseurs de féeries : mise en scène, machinerie et pratiques cinématographiques émergentes au tournant du XXe siècle

Tralongo, Stéphane 11 1900 (has links)
Cette thèse se donne comme objectif de renouveler la conception historique qu’on s’est généralement faite jusqu’à présent des rapports que le monde des arts de la scène a établis avec les pratiques cinématographiques émergentes au tournant du xxe siècle, en remettant profondément en question les idées de primitivité des films, de crédulité des spectateurs et de pré-cinématographicité des formes. Notre recherche vise en particulier à replacer les féeries cinématographiques de Georges Méliès dans le cadre institutionnel du théâtre parisien de cette époque, de façon à montrer que leur histoire s’inscrit plus largement dans celle des techniques, des savoir-faire et des métiers du spectacle de scène tel qu’on le conçoit alors au Châtelet, à la Gaîté ou aux Folies-Bergère. Nous développons pour ce faire une approche historiographique qui ne part plus du principe qu’il s’agit d’étudier les relations entre deux arts concurrents – ce que laissaient entendre les travaux qui mettaient d’emblée « théâtre » et « cinématographe » sur le même plan –, mais qui propose de considérer les relations en question d’abord et avant tout comme celles qui s’engagent entre une institution culturelle ancienne et une toute nouvelle technologie. Nous cherchons ainsi à montrer que le cinématographe vient s’ajouter à la longue série culturelle des attractions lumineuses qui apparaissent avec l’avènement de l’éclairage électrique. Dans la première partie (« Le spectacle de l’électricité »), nous nous intéressons aux pratiques d’éclairage et aux habitudes de vision qui ont permis aux spectateurs de féeries de comprendre et d’apprécier le spectacle cinématographique. Dans la deuxième partie (« L’illusion de la technique »), nous examinons comment différentes formes d’intégration et d’hybridation des techniques dans les féeries vont faciliter l’appropriation précoce du cinématographe par les gens de théâtre. Dans la troisième partie (« L’art du cinématographe »), nous montrons que l’esthétique des tout premiers films a été façonnée par des règles de création et des critères d’appréciation qui relevaient de l’institution théâtrale et qui, de ce fait, pouvaient déjà donner une certaine valeur artistique à ces films. L’enjeu principal de la présente recherche est donc d’offrir une vision plus juste et plus nuancée de ce qu’a été le spectacle de scène dans son rapport aux technologies et, en particulier, à cette nouvelle machine qu’est le cinématographe. / The goal of this dissertation is to renew our historical view of the exchanges occurring between theatre and early film practices at the turn of the twentieth century, by questioning the ideas of primitive cinema, credulous audiences and precinematic forms. Our research aims to put more specifically Georges Méliès’ féeries back into the institutional framework of the parisian theatre, in order to show how these films are part of the history of techniques which were used at the Châtelet, the Gaîté and the Folies-Bergère. Previous studies have generally postulated that theatre and cinema were, from the very beginning, two rival art forms. However, our historiographical approach differs from this assumption, seeing the relationship instead as that between an old cultural institution and a brand new technology. We think our understanding of early cinema could be improved if we acknowledge that the kinematographic technology belonged to the broad cultural series of luminous attractions appearing with the emergence of electric lighting. In the first part (« The spectacle of electricity »), we study lighting practices and habits of vision that helped féeries’ spectators to understand and enjoy early cinema. In the second part (« The illusion of technique »), we investigate how the integration and hybridization of technologies in féeries led theatre workmen to use the kinematograph on stage. In the third part (« The art of kinematography »), we prove that early cinema aesthetics has been shaped by rules of creation and assessment criteria belonging to the institution of theatre, such that films could already be seen by spectators and critics as artistic forms. The main challenge of this research is to offer a more accurate vision of the history of theatre in its relation to technologies and, in particular, to this new machine that was, at the time, the kinematograph. / Réalisé en cotutelle avec l’Université Lumière Lyon 2
4

Secrets et puissances des figures merveilleuses dans les Lais de Marie de France: aspects du silence

Warrington, Rachel L. 19 August 2005 (has links)
Cette thèse examine d’abord les personnages merveilleux dans cinq lais de Marie de France, et reconnaît trois types de merveilleux : féerique, amoureux et lycanthropique. Sans motivation ni explicitation – donc par moyen d’un silence narratif – on reconnaît le personnage merveilleux « type ». Une analyse narratologique montre qu’un personnage peut être merveilleux sans être « type » et qu les cinq lais étudiés sont construits selon une focalisation sur le personnage humain. Examinant les actes magiques, cette thèse conclut que la magie des merveilleux « types » ne diffère d’un acte de celle des personnages non « types » que par la motivation psychologique. M’appuyant sur les lois universelles de la magie décrites par Hubert et Mauss, je conclus que Chievrefueil décrit en fait la construction d’une baguette magique. Dernièrement, l’altérité du personnage humain crée la possibilité d’une rencontre – d’habitude érotisée – entre le monde humain et le monde merveilleux et lance le récit.
5

Le lignage des fées : écriture et transmission de la féerie aux XVe et XVIe siècles / Fairy lignage : Writing and transmission of the fairy in the 15th and 16th centuries fiction in France

Hoernel, Alexandra 25 November 2011 (has links)
La période allant de l’invention de Mélusine (c. 1390) à sa réinterprétation dans l’Alector (1560) peut être vue comme un « âge d’or de la féerie », qui s’étend hors de son domaine d’origine (le merveilleux) et fait émerger des figures neuves. Loin de disparaître de l’imaginaire des XVe et XVIe s., les fées en sont une composante essentielle. L’étude chronologiquement délimitée par ces repères et prolongée, pour certaines figures, jusqu’aux romans baroques (d’Urfé et Rosset c. 1612) dresse un tableau de la féerie au féminin. Organisée autour des quatre fées « cardinales », Morgane, Mélusine, Alcine et Urgande, nommées dans le programme des fêtes royales de Bayonne (1566), elle analyse leur évolution du point de vue de l’écriture et de sa réception. Elle cerne aussi des figures qui perdent leur identité féerique (Sibylle, Méridienne) et en recherche les causes. Tout en marquant des continuités et des parentés qui tiennent à des lignages « fictionnels » ou dynastiques, elle analyse des mutations (allégorisation, idéalisation) qui font valoir la richesse de la matière et son rôle dans l’évolution de l’imaginaire et des Lettres, de la fin du Moyen Âge à la Renaissance / From Melusine’s first appearance in literature (c. 1390) to its new treatment in the Alector (1560), the late Middle Ages and Renaissance period can be seen as the « golden age of faery », as it expands beyond its original field (the marvellous) and shapes up some new figures. Far from vanishing from the 15th and 16th centuries fiction, faery is a crucial part of it. Within these chronological boundaries and slightly beyond, as some figures are still mentioned in baroque novels (such as d’Urfé’s and Rosset’s c. 1612), this study makes a broad inquiry into feminine faery. Built up around the four « cardinal » faeries – Morgan, Melusine, Alcina and Urganda – still featuring in the royal feasts of Bayonne in 1566, it focuses on their evolution through writing and reading. It also points out Sibyl and Meridiana as figures who tend to lose their faery quality. While showing some continuity among faeries due to fictional kinship or dynastic lineage, it investigates the disruption caused by allegory and idealization, thus bringing into light a huge material and its decisive role in the shaping of imagination and literature, from the late medieval period to the Renaissance
6

La fantaisie noire dans la fiction en prose de Boris Vian (Romans, nouvelles, pièce de théâtre) / The “fantaisie noire” in the fictional texts in prose of Boris Vian (Novels, short stories and plays)

Pradère-Ascione, Clémentine 29 June 2015 (has links)
L’œuvre littéraire de Boris Vian interpelle par la diversité des émotions qu’elle suscite. Elle est pourtant restée longtemps méconnue, masquée par les talents protéiformes de son auteur. Boris Vian, dont la majorité des textes ont été publiés à titre posthume, fut perçu comme un touche-à-tout avant d’être véritablement reconnu comme écrivain, pour finalement entrer dans l’édition de la Pléiade en 2010, cinquante et un an après sa mort. Le premier réflexe est de faire appel à la notion de fantaisie pour analyser son œuvre. Le monde fictionnel qu’il crée est un univers fantaisiste où triomphent imaginaire et inventivité. Pourtant, des univers contradictoires s’entremêlent : féerie et cruauté, légèreté et inquiétude, désinvolture et gravité, imaginaire et réalité. En nous appuyant uniquement sur les textes de fiction en prose (romans, nouvelles et pièces de théâtre), nous nous sommes donc interrogés sur la légitimité de la notion de fantaisie. Son évidence apparente résiste-t-elle à un examen plus poussé ? Ce questionnement nous a conduits à élaborer la notion de « fantaisie noire ». Tantôt féerique, invraisemblable, langagière, comique ou parodique, la fantaisie se heurte à l’intériorité des personnages et à un sentiment d’inquiétude qui contamine les êtres et les choses. La fantaisie cède le pas à la noirceur d’un monde étouffant où le fantasme se révèle dans toute sa puissance. Le retour à la fantaisie n’est alors possible que par des effets de distanciation comiques et une inventivité langagière qui contribue à laisser l’œuvre ouverte. / Boris Vian's literary work calls to mind by the feelings it arouses. For a long time it nevertheless remained unknown concealed by its author's protean talents. Boris Vian, whose texts were mostly published posthumously, wasn't at the beginning seen as a writer to finally get in the Pléiade in 2010, 51 years after his death. To analyse his work it appears natural to consider the idea of fantasy. The fictional world he created remains a fantasist one where imagination and inventiveness prevail. Yet, opposing worlds get mixed up: fairy and cruelty, casualness and anxiety, indifference and seriousness, fantasy and reality. Considering only the fictional texts in prose (novels, short stories and plays) we questionned the legitimity of the fantasy notion. Does its obviousness withstand a further analysis? This questioning drove us to the idea of 'fantaisie noire'. Sometimes magical, incredible, linguistic, comical or parodic, the fantasy collides with the inwardness of the characters and with an anxiety that contaminates both beings and objects. The fantasy defers to an oppresive world where the dream reveals itself in all its power. The come back to fantasy is then only possible by comical detachments and a linguistic inventiveness that contributes to let the work opened.
7

Étude sur "Lion de Bourges", poème épique du XIVe siècle / Study about "Lion de Bourges", epic poem from XIVth century

Gallois, Martine 02 May 2011 (has links)
L’étude du long poème épique de Lion de Bourges permet de mettre en évidence un parcours individuel modelé par la recherche d’un ordre politique et féodal, au sein duquel le héros tente d’inscrire son action, celle d’un ordre familial, au travers du lignage et de la parentèle, et celle d’un ordre personnel, à la fois recherche des origines et du père, qui devient une quête d’identité. L'idéal chevaleresque s’inscrit donc dans trois perspectives complémentaires. C’est d’abord face à l’instabilité des structures et du pouvoir royal, l’aspiration au rétablissement d’un ordre politique, mais l’inachèvement des actions entreprises et la constante réapparition du mal font que cette quête de l’ordre reste imparfaite. C’est ensuite l’effort pour la restauration d’un ordre familial mis à mal par les entreprises des traîtres et les aléas de l’aventure, mais là encore l’engagement et les efforts du héros ne permettent d’obtenir que des résultats imparfaits ou insatisfaisants. C’est donc à un niveau supérieur, dans la quête d’un ordre intérieur et dans un élan vers la perfection que l’itinéraire personnel de Lion de Bourges peut trouver son véritable sens. Cependant, son ultime tentative pour s’approcher du sacré ne conduit qu’à un échec : le contact avec le surnaturel chrétien est réservé au personnage du Blanc Chevalier, revenant secourable, et le héros doit se contenter d’une forme intermédiaire de merveilleux féerique. En définitive, ce poème témoigne, de manière originale et fort cohérente, de la vision pessimiste de l’idéal humain et de l’engagement héroïque, qui devient prédominante dans l’épopée française tardive. / The long epic poem Lion de Bourges portrays the personal quest of a hero, first, to set in order a feudal political structure; then his own family structure (through ancestry and parentage); and finally, his personal life; for seeking his origins and father becomes a search for his own identity. The chivalric ideal therefore is seen through three complementary perspectives. Initially, when faced with the instability of social structures and royal power, Lion seeks to re-establish political order, but both Lion’s inability to complete his goals and the constant reappearance of evil cause this quest to remain incomplete. Afterwards, Lion’s effort to bring his family back together is derailed by traitors’ plots and the fortunes of adventure, so there again the hero’s efforts produce only imperfect or unsatisfactory results. It is thus only at the highest level, the quest for personal order, for spiritual perfection, that the private itinerary of Lion de Bourges might find its true goal. However, his last desire, to reach sanctity, leads to failure as well: contact with the Christian supernatural is reserved for the White Knight, a helpful spirit, and the hero must content himself with a lesser form of supernatural, the enchanted marvelous world. Clearly, this poem demonstrates, in an original and highly consistent way, the pessimistic view of the human ideal and of heroic engagement that predominates in late French epic.

Page generated in 0.4294 seconds