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L'antagonisme de Pénélope et Circé, les deux visages ennemis de la musique dans l'esthétique du second Nietzsche à partir de Humain trop Humain (1878-1879)Bertet, David January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La representación femenina y el discurso orientalista en Los nombres del aire de Alberto Ruy-SánchezGarrido, Patricia January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Through the "I" of a needle : needlework and female subjectivity in Victorian literature and culture, 1830-1880 / Through the "I" of a needle : les travaux d'aiguille et la construction du sujet féminin dans la littérature et la culture victoriennes, 1830-1880Quinn-Lautrefin, Róisín 14 November 2016 (has links)
Cette thèse traite de la question des travaux d'aiguille dans la littérature et la culture victorienne. Ils apparaissent de manière récurrente dans les romans britanniques du dix-neuvième siècle et cristallisent bon nombre de sentiments contradictoires qui sont au coeur de la formation du sujet féminin. En dépit de leur omniprésence dans la culture victorienne, les travaux d'aiguille, associés à l'assujettissement des femmes, ont longtemps été déconsidérés par la critique. Cette thèse se propose de porter un nouveau regard sur l'artisanat féminin. A travers l'étude de sources très variées - romans, poèmes, manuels de couture, extraits de presse et les objets eux-mêmes - nous nous attachons à explorer les paradigmes complexes articulés par cette praxis, ainsi que la manière dont les travaux d'aiguille ont participé à l'articulation d'un « je » féminin. Considérée par les Victoriens comme l'activité féminine par excellence, la couture était pratiquée par toutes les femmes de tous âges et de toutes les classes sociales : ainsi, elle était au coeur du vécu et de l'identité féminine. Néanmoins, les travaux d'aiguille s'articulent autour de contradictions: il s'agissait d'une pratique à la fois amateur et professionnelle; ils encourageaient et cristallisaient la domestication des femmes, tout en imitant les modes de production industriels; ils étaient critiqués par bon nombre de femmes qui aspiraient à une plus grande ambition intellectuelle, mais étaient investis par d'autres comme un extraordinaire moyen d'expression. Ainsi, au dix-neuvième siècle la couture n'était pas une activité solitaire, mais plutôt une pratique sociale et discursive qui était pleinement engagée dans les problématiques sociales, économiques et culturelles de son temps. / This thesis deals with the question of needlework in Victorian literature and culture. Needlework is a constant and recurrent motif in nineteenth-century novels, and crystallises the many complex and contradictory feelings of satisfaction or resentment, creativity or censorship, elation or utter dejection that are crucial to the formation of the nineteenth-century female subject. In spite of its ubiquity, however, it has long been ignored or dismissed by critics as trivial, unimportant or revealing of the limitations imposed on Victorian women's lives. This thesis seeks to complicate previous assumptions by taking needlework on its own terms and exploring the complex and sophisticated tenets that underlie it. Relying on a large range of sources - novels, poems, magazines, craft manuals and material objects - this work examines the ways in which sewing has participated in the articulation of female subjectivity. Because it was construed as the ultimate feminine occupation and was undertaken by virtually ail women, regardless of age or social class, it was central to their identities and experience. However, needlework was fraught with contradictions: it was both amateur and professional; it enshrined the domestication of women, but it was closely allied with industrial modes of production; it was resented by many intellectually ambitious women, but was invested by others as a formidably evocative means of self-expression. Rather than a reclusive activity, then, Victorian needlework was a highly sociable practice which was fully engaged in the social, economic and cultural issues of its time.
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Frivolité, inscriptions féminines dans l’art contemporain / Frivolousness, feminine inscriptions, in contemporary artSoro, Vassilia 24 April 2017 (has links)
Une tendance esthétique peu valorisée de l’art contemporain consiste en la création d’œuvres caractérisées par une profusion de motifs girly (petites fleurs, pacotilles, coloris pastels etc.). Nous montrons comment cette esthétique mignonne se distingue du kitsch dont elle partage en partie le vocabulaire. A travers l’analyse d’œuvres de Lily van der Stokker, Martine Aballéa, Karen Kilimnik, Marc-Camille Chaimowicz, Sofia Coppola, ou Janaina Tschappe, notre recherche s’inscrit à la croisée de l’esthétique, de l’histoire de l’art et des études de genre. L'observation du contexte culturel occidental met en évidence le rejet de ce que nous appelons l’esthétique ornementale frivole comme proposition étrangère au canon faussement universel et résolument viril. L’étude de l’ornemental, que nous interrogeons sous le prisme du genre, permet de dégager le mouvement qui sous-tend l’esthétique à laquelle nous nous intéressons : libre et nomade, il n’est autre que celui de la fille, non envisagée ici comme thème mais comme artiste à l’œuvre. Au-delà d’un effet de transvaluation résultant de l’inscription d’une esthétique rejetée jusque là, une dimension cosmique (matérialisée par des figures mythiques et magiques), permet d’inaugurer une vision singulière de l’art et du monde, s’inscrivant comme la voie possible d’un réenchantement : il y a, au cœur de l’esthétique ornementale frivole, mises en puissance à travers un devenir-fille de l’artiste, des valeurs bienveillantes en mesure d’agir sur le réel. Dans cette logique, la débauche ornementale s’assimile à un don. Celui-ci peut être perçu comme une forme de gratitude par laquelle la fille répond au don de la vie. / An aesthetic tendency, which is not usually highly regarded in the contemporary art world, is made up of the creation of works characterized by a profusion of girly motifs (little flowers, cheap junk, pastel colors, etc.). We will show how this cute aesthetics is distinct from kitsch, whose vocabulary it partly shares.By means of an analysis of works by Lily van der Stokker, Martine Aballéa, Karen Kilimnik, Marc-Camille Chaimowicz, Sofia Coppola, or Janaina Tschappe, our research is inscribed at the crossroads of aesthetics, art history and gender studies. The observation of the Western cultural context highlights the rejection of what we call frivolous, ornemental, aesthetics as being a proposal foreign to the falsely universal and resolutely manly canons. The study of the ornemental, which we have subjected to the prism of gender, enables the coming out of the movement underlying the aesthetics which we are interested in: i.e. free and nomadic, it is none other that that of girl-power, not envisaged here as a theme but as the artist at work. Beyond an effect of trans- appraisal, as a result of the inscription of an aestheticism cast aside until then, a cosmic dimension (materialized via mythical and magical figures), leads to the unveiling of a singular vision of art and of the world, regarded as a potential pathway to re-enchantment: there are, at the very core of the frivolous, ornemental, aesthetics, strengthened by means of the artist’s girl-power, benevolent values capable of acting upon reality. Within this logic, the ornemental profusion can be assimilated to a gift. The latter might be perceived as a form of gratitude, thanks to which the girl responds to the gift of life.
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Personnage et rapports interpersonnels dans "Le Coup de grâce", "Mémoires d'Hadrien" et "L'Œuvre au Noir" de Marguerite Yourcenar / Characters and interpersonal relations in Margaret Youcenar's "Le Coup de grâce", "Mémoires d'Hadrien" and "L'Œuvre au Noir"Lafif, Mohamed Selim 18 December 2009 (has links)
Au cours de ce travail, nous sommes incités à utiliser la théorie du personnage au singulier, à lire en toute cohérence l'intérieur des textes yourcenariens, en nous focalisant sur les différents rapports interpersonnels instaurés. Nous justifions la présence de notre corpus par le choix déterminant de ces trois textes: Le Coup de grâce (1939), Mémoires d'Hadrien (1951) et L’Œuvre au Noir (1968), qui ont été présentés dans trois temps révolus et trois époques charnières les guerres baltes, l'Empire gréco-romain et le siècle de la Renaissance. Nous abordons ces œuvres par un procédé textuel minutieusement tracé en partant de l'œuvre pour arriver à la personne. Le support de notre réflexion est l'ouvrage fondamental de Philippe Hamon : Le Personnel du roman, qui utilise un grille de Greimas et distingue les niveaux de description en précisant les modalités du savoir, du pouvoir et du voulons Nous trouvons pertinent d'appliquer cette grille d'analyse aux notions exprimées sur le personnage dans les textes de Yourcenar. / We have founded our analysis on the existence of a special conception of the character in our corpus, encourage the recourse to the Character theory in the singular reading. Our corpus is justified by the seminal choice of these three works: Coup de grâce (1939), Mémoires d'Hadrien (1951) and L'Œuvre au Noir (1968),that were introduced during three bygone periods of time considered to be three turning points in History: The Baltic wars, The Greek Roman empire and The Renaissance Century. We approach these works through a textual proceeding that takes the work as a starting point to end up with a character study. Our reflection will take as a support Philippe Hamon's fundamental book: Le Personnel du roman, which uses Greimas' grid and distinguishes three levels of description while pinpointing the conditions of knowledge, power and goodwill. We find it relevant to apply this grid of analysis to the notions conveyed by the characters in Youcenar's works.
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Le sacrifice de la mère : Étude du matricide dans six romans de femmes (1945-1968) / The sacrifice of the mother : A study of matricide in six women’s novelsCaute, Adeline 13 December 2012 (has links)
La littérature au féminin du XXe siècle est marquée par la récurrence des motifs de la matrophobie et du matricide (Hirsch, 1991 ; Saint-Martin, 1999 ; Giorgio 2002). Dans une perspective comparatiste, la présente étude s’intéresse plus précisément aux années 1945 à 1968, délimitées par six textes de fiction composés par six écrivaines du Québec, de la France et des États-Unis. La notion de sacrifice telle qu’elle a été définie par René Girard (1972 et 1982 notamment) et par Anne Dufourmantelle (2007) est convoquée pour comprendre la représentation textuelle de la matrophobie et du matricide. Combinés à plusieurs analyses féministes de la maternité comme institution (Rich, 1976 ; Irigaray, 1981 ; Olivier, 1980), les définitions et concepts de ces deux théories seront utilisés pour rendre compte des mécanismes horizontaux et verticaux à l’oeuvre dans les textes du corpus. De surcroît, le mythe, dans l’acception que lui a donnée René Girard, sera convoqué comme paradigme, pour saisir les enjeux de la parole sur la mère. À l’issue de la lecture des textes, il apparaît que, dans le corpus, loin d’être synonyme de retour à la paix sociale comme le pose René Girard, le sacrifice des mères et des filles (par identification aux mères) signifie la destruction des sociétés représentées. À ce titre, la présente thèse conclut qu’à une époque riche en bouleversements socioculturels et politiques sur la place et le statut des mères dans les trois pays concernés, ces textes de femmes mettent en image un malaise lié à la maternité instituée ainsi que l’extraordinaire force d’emprise d’une idéologie qui condamne les femmes et les mères à une mort littérale ou symbolique, parfois les deux. / Western women’s writing in the twentieth century is marked by the thematic prominence of matricide and matrophobia (Hirsch, 1991; Saint-Martin, 1999 ; Giorgio 2002). Working comparatively, this study addresses the years 1945-1968 as seen through six texts written by women in Quebec, France, and the United States. This study deploys the notion of “sacrifice,” as articulated by René Girard (1972, 1982) and Anne Dufourmantelle (2007), in order to delimit the textual representations of matrophobia and matricide engendered by these works. Drawing on feminist critiques of the “institution” of maternity (Rich, 1976; Irigaray, 1981; Olivier, 1980), this study pursues both a horizontal (systemic and causal) and vertical (learned or inherited) analysis of the act of sacrifice. It further draws on Girard’s seminal exploration of “myth” in order to examine the period’s discursive constructions of the mother. Far from being synonymous with a restoration of social harmony as René Girard argues, the “sacrifice” of mothers (and daughters, through an identification with their mothers) incites the destruction of the societies depicted by these authors. These texts relate women’s unease with the institutions of maternity during a period of political and socio-cultural upheaval regarding the role and status of mothers in the three countries concerned. Through its exploration of the ontology of sacrifice, this thesis illustrates the extraordinary influence of an ideology, which in its time, condemned women and mothers, in some cases, to both a literal and symbolic death.
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La représentation de la femme dans Arrancame la vida et Mal de amores d'Angeles Mastretta / The representation of the women in Arrancame la vida and Mal de amores by Angeles MastrettaVanguelova, Maria 05 November 2010 (has links)
A partir des deux romans d’Ángeles Mastretta, Arráncame la vida et Mal de amores – dont la publication est séparée par un écart de dix ans – nous nous attachons à montrer comment le personnage féminin répond à un projet spécifique de représentation et d’écriture. Notre étude met en relief aussi bien la variété des personnages constituant le « personnel » des deux romans que les constantes nous permettant d’établir un « système de personnages » qui répond à l’exploration d’une thématique chère à la romancière : le statut de la femme dans la société, ses possibilités d’action ainsi que les relations de couple, qui occupent une place importante dans l’œuvre romanesque de Mastretta. La première partie de cette analyse met en évidence la suprématie du personnage féminin dans l’espace textuel qui lui est consacré, tout en démontrant l’importance des personnages masculins dans la construction de figures féminines transgressives. La deuxième partie de cette étude propose d’examiner comment les figures romanesques s’inscrivent dans un espace et une Histoire essentiels à la construction et la représentation d’un nouveau regard portant aussi bien sur des espaces traditionnellement hostiles (présents dans les textes pour être subvertis) que sur la retranscription de faits fondamentaux de l’histoire mexicaine, proposant un nouveau regard sur l’Histoire. Enfin, la troisième partie s’attache à souligner l’originalité d’une écriture qui, sous l’apparence de la légèreté et la simplicité, produit de nombreux effets de sens grâce à l’humour et à l’ironie, au mélange de genres littéraires et aux références à la culture populaire. / On the basis of two novels by Ángeles Mastretta, Arráncame la vida and Mal de amores - whose publication is separated by a ten years interval – I have attempted to show how the female character responds to a specific project of representation and writing. The present thesis emphasises both the variety of characters in the two novels and the constants that allow establishing a "system of characters" corresponding to the exploration of the subject matter dear to the novelist: the status of women in the society, their possibilities to act as well as the relationships they enter, which have a prominent place in Mastretta’s novels. The first part of this analysis underlines the supremacy of the female character in the textual space devoted to it, while demonstrating the importance of male characters in the construction of transgressive female figures. The second part of the present study examines how the characters fit into a fictional space and the history crucial for the construction and representation of a new regard both on the traditionally hostile spheres (present in the texts to be subverted) and on the transcript of the fundamental facts of the history of Mexico that offers a new perspective on the history. Finally, the third part puts emphasis on the originality of writing that, under the appearance of lightness and simplicity, creates numerous shades of meaning through humour and irony, the mixture of literary genres and references to popular culture.
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Trajectoires identitaires l'ironie dans J'ai de mauvaises nouvelles pour vous, Nouvelles d'autres mères et Humains aigres-doux de Suzanne Myre, suivi de L'Auberge (nouvelles)Brouillard, Émilie January 2008 (has links)
Dans ce mémoire, j'explore la quête d'identité de personnages féminins dans des nouvelles et je fais ressortir les liens qu'une telle quête entretient avec l'ironie dans les recueils de Suzanne Myre : J'ai de mauvaises nouvelles pour vous, Nouvelles d'autres mères et Humains aigres-doux. Je montre que c'est avec ironie que Suzanne Myre présente des jeunes femmes en détresse qui se placent délibérément en marge de la société. Celles-ci écorchent les autres par une parole ou des pensées cruelles. Par ailleurs, elles ne manquent pas de retourner cette arme contre elles-mêmes, pour mieux se reconstruire. La partie réflexive de ce mémoire comporte deux chapitres. Dans les premières pages, j'aborde la notion d'"identité narrative", telle que définie par Paul Ricoeur, en lien avec les notions de mêmeté et d'ipséité, ainsi que de la"concordance discordante", pour rendre compte de la perception négative de soi et de la perte d'estime des protagonistes féminins. Le second chapitre étudie la part d'ironie dans les recueils. Après avoir caractérisé l'ironie au féminin, je présente les victimes de ce trope pour analyser ensuite l'ironie rhétorique, tant explicite qu'implicite, au service justement de la dépréciation de soi des protagonistes. Dans la partie création, j'aborde la problématique identitaire dans huit nouvelles qui comportent chacune une forme d'ironie spécifique, l'ironie du sort. Un peu comme chez Suzanne Myre, les personnages féminins dans mes textes sont tous à certains égards à la recherche de leur identité.
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Le célibat féminin à Québec et Montréal au XVIIIe siècle : travail, famille et sociabilitéFortin, Jonathan January 2016 (has links)
Les femmes occupent une place considérable au XVIIIe siècle, comme à toutes les époques. Que ce soit sur le plan du travail, au sein du ménage ou pour l’éducation des enfants, on ne peut occulter leurs rôles. Cependant, sur le plan juridique, elles sont la plupart du temps assujetties à l’autorité des hommes. Pendant leur minorité, elles sont « filles de », donc sous l’autorité du père, avant de devenir « femmes de » et de passer sous l’autorité du mari une fois le mariage contracté. Il y a malgré tout des moments d’autonomie. Le veuvage est celui qui a été le plus étudié. Cet état a été considéré par certaines historiennes comme un moment de libération, où les femmes récupèrent le droit d’administrer leurs biens et d’ester en justice. L’absence d’homme est aussi un de ces moments – dont la durée varie – qui permet à certaine femme d’avoir une plus grande autonomie. Pour finir, il y a les femmes qui sont autonomes juridiquement et capables d’administrer leurs biens en permanence, dès l’âge de la majorité – 25 ans –, les femmes célibataires laïques. Ces femmes n’ont été l’objet d’aucune étude pour le XVIIIe siècle canadien. Pourtant, dans une société où le mariage est la norme, on peut se demander pourquoi certaines femmes se retrouvent sans époux. Ont-elles choisi le célibat ou leur a- t-il été imposé? Est-ce qu’il s’agit d’une source de liberté pour ces femmes émancipées d’une tutelle masculine? Quel est leur rôle dans la famille et sur le plan du travail?
Comprendre le statut de ces femmes n’est pas aisé, il se situe à la jonction de plusieurs éléments, comme la noblesse, les titres et le niveau de fortune. Il en va de même pour comprendre les motifs qui peuvent expliquer le célibat. Le contexte familial, l’agentivité et le hasard sont autant d’éléments qui peuvent permettre d’expliquer le célibat. C’est sur le plan du travail que le célibat féminin permet de mieux appréhender l’étendue du rôle des femmes dans la famille et dans la société. Loin d’être en marge du monde, plusieurs femmes étaient très actives dans le commerce. Elles entretenaient aussi des liens affectifs avec les membres de leur famille, comme en témoignent les legs testamentaires. Malgré leur petit nombre au sein de la société canadienne du XVIIIe siècle, ces femmes avaient une grande importance pour bien des familles et de nombreux individus. Étudier ces femmes permet d’éclairer encore un peu plus l’histoire de la famille et des femmes pour la période préindustrielle.
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Polygraphies de l'intime : le projet autofictionnel de Claude Cahun (1894-1954) et d'Unica Zürn (1916-1970)Schwakopf, Nadine January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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